34 ans ϟ Professeur d'Arts Occultes ϟ Chauve Souris ϟ Sang Pur
Avec ce regard sombre et inquisiteur, Pyrrhus ne pouvait être qu’un Rosier. Comme les épines de la fleur, les yeux du jeune homme vous transpercent, vous dérangent. Né quelques trente-quatre ans plus tôt, à l’hôpital pour sorcier de Sainte Mangouste, le fils Rosier a grandi dans une famille conservatrice. La pureté de son arbre généalogique n’est plus à prouver depuis longtemps, et la famille Rosier s’est faite pour mot d’ordre de préserver cet héritage avec toute la force dont elle saurait faire preuve. Pyrrhus lui-même soutient cette idée, ardent défenseur de la cause des sang-purs. Sans surprise, à l’image de presque toute sa famille, il a gagné les rangs des partisans de Voldemort, persuadé que par ses paroles passera le salut des sorciers de l’élite. Embrigadé depuis son plus jeune âge par une doctrine conservatrice, il reste toutefois un peu plus modéré dans ses positions : conscient de son rôle de professeur à Poudlard, il se garde bien de dévoiler au grand jour son allégeance et de faire ouvertement étalage de ses idéaux. On ne se fait toutefois aucune idée sur ses vues sur le monde magique : pour lui, les sangs purs sont des êtres supérieurs, les piliers du monde magique, et ce manque de reconnaissance qu’à la société pour eux est une insulte au travail de ses ancêtres. Mais malgré cette vue très tranchée, il n’en déteste pas pour autant férocement les nés moldus, persuadé que d’une certaine manière, leur présence dans le monde magique est inévitable. Ce qu’il réclame, par-dessus tout, c’est le respect des sangs purs, des valeurs qu’ils ont amené au monde magique, un monde qu’ils ont créé de toute pièce. Des privilèges supplémentaires pour ceux qui, comme ses ancêtres, sont l'élite d'un monde en décadence.
Ce semblant de raison l’a toujours différencié de son paternel et d’une large partie de sa famille, extrémiste jusque dans le traitement réservé aux nés moldus. Pour eux, le châtiment devait être à la hauteur du crime : usurpateurs d’une place qui n’était pas la leur, ils devaient payer de leur vie. Parce qu’il semblait plus prudent, plus mesuré, peut-être même plus sage, Pyrrhus fut, à la surprise générale, envoyé à Serdaigle. Premier faux pas d’un enfant qui jusqu’alors avait toujours fait la fierté paternelle. Élève impatient de tout connaître, il se révéla plus studieux qu’on n’aurait pu le penser, et brilla par ses notes et les louanges de ses professeurs. Sans mal, il décrocha tour à tour BUSE et ASPICS, effaçant pour son père l’affront de ne pas avoir suivi les traces de ses ancêtres dans la prestigieuse maison des serpents. Pyrrhus quitta Poudlard avec un poste de briseur de sorts dans la poche. Pour le compte de Gringotts, il vadrouilla dans toutes les régions du globe, fuyant par la même occasion une compagnie humaine qui ne l’avait jamais réellement passionné. Après quelques années d’errance, il décida qu’il était temps de se ranger. Il avait gagné en maturité, était prêt à passer à une nouvelle phase de son existence. Parce qu’il avait accumulé suffisamment d’expérience au cours de ses nombreux périples, Pyrrhus disposait d’un C.V qui lui laissait entrevoir un poste confortable au ministère. Mais la tranquille routine d’une vie de bureau n’avait rien d’enthousiasmant. Talentueux en tant qu’élève, il décida de passer de l’autre côté du bureau. Grâce aux relations de son père et à son expérience bien fournie, on confia à Pyrrhus le poste de professeurs des arts et sciences occultes. Sa connaissance de la dangereuse magie, découverte dans le cadre de son ancienne profession, était bien entendue la cause officielle de son arrivée à Poudlard. Mais dans les couloirs du ministère, certains laissaient entendre que le fils Rosier avait bénéficié des relations du père, qui espérait qu’à défaut d’être un membre important du ministère, son fils ainé soit celui qui parviendrait à corrompre les esprits de la jeunesse. Voilà désormais quatre ans que Pyrrhus enseigne à Poudlard. Persuadé qu'un jour, sa position au sein de Poudlard sera un atout pour son seigneur et maitre.
a little something from you.
Une chauve-souris. Voilà la forme sous laquelle le patronus de Pyrrhus a choisi de se matérialiser. Plus jeune, il en fut déçu. Ses camarades produisaient des animaux nobles, imposants, parfois craints lorsqu’ils apparaissaient, massifs, devant des élèves ébahis. Pyrrhus était vexé de faire apparaître une créature qui, de prime abord, ne semblait pas représenter son créateur. Pourtant, au fil du temps, il dû se rendre à l’évidence : nulle créature ne représentait mieux sa personnalité contrastée que cet animal nocturne. Comme lui, Pyrrhus inspirait la méfiance. Il se faisait discret, restant dans l’ombre, en silence. Au final, Pyrrhus apprit à apprécier son patronus, sans jamais oublier qu’il était, en définitive, unique en son genre : si les cerfs et les chiens peuplaient les listes de patronus, le sien restait à part, en marge. Comme si, à l’image de son propriétaire, il refusait de se mêler totalement aux autres.
Mais tout cela, c’était avant. Si son patronus à lui n’a pas changé d’un pouce depuis ce fameux sortilège, ceux de ses élèves ont en revanche connu un changement significatif. Ils ont pris vie d’une manière inattendue. Pyrrhus l’admet volontiers : il se méfie de ces nouvelles créatures collées aux bottes de ses étudiants. Qui sait si demain elles n’auront pas le dessus sur ceux qui les contrôlaient encore la veille ? S’il se dit rassuré que les adultes, plus puissants, ne soient pas affectés par la situation, il n’oublie pas que ses élèves restent vulnérables devant un phénomène que personne ne parvient à expliquer.
This one moment when you know you're not a sad story.
Fais-moi honneur, mon fils. Une main posée sur l'épaule de son fils aîné, Demetrius l'observait avec une fierté non dissimulée dans le regard. Les mains tremblantes, le souffle court, Pyrrhus fit un pas en avant, sous le regard pesant de l'assemblée, composée en grande partie de Rosier et autres membres plus éloignés de cette prestigieuse famille, réunie pour l'évènement. Il n'était pas âgé de plus de douze ans, que déjà, il sentait le poids du monde s'abattre sur ses épaules. Derrière lui, le regard appuyé de son père semblait lui brûler la nuque. Plus que quiconque dans cette salle, il était celui que le jeune Pyrrhus ne voulait surtout pas décevoir. La peur au ventre, il poursuivit sa progression. Le silence était intenable, et l'irrépressible envie de rebrousser chemin se faisait toujours plus pressante. Pourtant, porté par les encouragements de son père qui résonnaient encore à ses oreilles, il avançait toujours, résolu. La pièce lui semblait d'une longueur interminable. Lorsqu'il fut enfin à hauteur d'un vieux mage à la mine sombre et au regard glacé, il s'arrêta. Inconsciemment, Pyrrhus retint sa respiration, en prévision de ce qui allait suivre. Le rituel propre à la famille Rosier était sur le point de débuter. La baguette magique du vieil homme fendit l'air sous l'oeil attentif des sorciers présents. « IMPERO » Une vive douleur s'empara un court instant du garçon, au moment où le sortilège venait s'abattre sur sa poitrine. Sa vision se brouilla subitement. Il lui semblait qu'une énorme main s'était refermée sur lui, faisant de son corps une marionnette malléable à merci, une poupée de chiffon qu'on brassait impunément. Sans le vouloir, il avança de trois pas, et senti l'un de ses genoux se poser à terre. Il n'était plus maître de son propre corps. La foule qui l'entourait encore quelques instants plus tôt lui semblait désormais très lointaine, et il n'entendait plus que le bruit de sa respiration difficile. Il luttait, luttait pour reprendre le contrôle, refusant de céder à ce vieil homme qui se jouait de lui comme d'un pantin. Il refusait de céder à la panique voyant qu'il ne maîtrisait plus rien. Le temps jouait contre lui, il le savait. Il lui fallait faire ses preuves au plus vite, montrer qu'il était fait dans le plus pur des bois, que son sang était bien celui des Rosier, qu'il en avait hérité les traits autant que la force. Il voulait hurler, montrer qu'il était toujours là. Mais aucun son ne sorti de sa bouche, désespérément close. Dans un coin de sa tête, il entendait le sorcier qui l'avait envoûté lui intimer un nouvel ordre. Pyrrhus sentait la colère bouillonner en lui. Il se refusait à ce que quiconque lui dicte sa conduite. Pourtant, ce genou qu'il conservait toujours à terre était là pour témoigner qu'il n'avait pas été à la hauteur. Il avait obéit, contraint et forcé, possédé par ce sortilège impardonnable qu'on lui avait destiné. Mais ce nouvel ordre, il se refusait à l'appliquer. Le garçon voulait défier du regard son enchanteur, se mesurer à lui. Il releva la tête, sentant de nouveau la foule retenir son souffle, surprise par la résistance exemplaire dont faisait preuve l'enfant. Sa vision se faisait plus nette, et ses yeux bleus se posèrent sur la figure encapuchonnée de son bourreau, dont la baguette était toujours pointée sur lui. A cette vue, Pyrrhus se sentit redoubler de courage. Une rage folle sembla même s'emparer de lui, tandis qu'il fondait sur le vieux sorcier, se libérant une bonne fois pour toute des chaînes dans lesquelles on l'avait emprisonné. Le pantin venait de couper ses fils, de témoigner d'une force rare. Il était bien le digne successeur de sa prestigieuse lignée. Un Rosier forgé dans le moule le plus pur. Il faisait partie des quelques élus qui avaient surmonté l'épreuve qu'on imposait à tous les aînés de la famille. Il avait prouvé qu’au moment venu, il serait le chef de famille dont les Rosier auraient besoin : un homme fort, puissant. Et par-dessus tout : respecté. Sous les acclamations des siens, il s'était montré à la hauteur des attentes. On avait vu en lui un esprit supérieur, un enfant fort tant sur le plan physique que sur le plan intellectuel. On lui prédisait un brillant avenir. Et au vu de la démonstration qu'il venait d'offrir à ce public acquis à sa cause, on avait vu juste. Son père s'était déjà précipité à ses côtés, félicitant son fils avec une ferveur peu commune, fier d'avoir engendré un héritier dont il n'avait pas à rougir. Qu'on se le tienne pour dit: Pyrrhus Rosier serait promis à un avenir des plus brillants.
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Le feu brûlait dans l'âtre de la cheminée. Son regard perdu dans les flammes qui dansaient devant lui, Pyrrhus tendait l'oreille, guettant le moindre signe trahissant l'approche de son invité. Lorsqu'il entendit la voix suraiguë de son elfe de maison à l'étage du dessous, il devina sans peine que celui qu'il attendait venait de faire son entrée. En bon hôte, Pyrrhus se leva, et versa un peu de whisky pur feu dans les deux verres qu'il avait disposé sur la table basse. On tapa bientôt trois coups contre la porte, qui s'ouvrit sur un sorcier d'âge mur, les cheveux blancs et la mine soucieuse. La ressemblance avec Pyrrhus sautait aux yeux, et l'on devinait sans peine qu'il s'agissait là du père et du fils. Il s'avança vers Pyrrhus, lui serrant brièvement la main, avant d'attraper le verre qu'on lui tendait. Pyrrhus porta son verre à ses lèvres, savourant la gorgée d'alcool qu'il venait d'avaler. La conversation qui allait suivre n'avait rien d'agréable. Mieux valait se donner dès maintenant un peu de courage. Ce fut son invité qui brisa le silence le premier. « Ils nous tournent en ridicule, Pyrrhus. Ca ne peut plus continuer. » Ils? Pyrrhus n'avait nullement besoin de demander à son interlocuteur de qui il s'agissait. Ces satanés moldus, une fois de plus. Un sang de bourbe avait osé défier un sang pur il y a peu de temps encore. Un autre s'était moqué de l'attachement exacerbé des élites à la pureté de leur sang. Les humiliations se répétaient, et pourtant, personne ne semblait juger nécessaire de défendre l'honneur d'un groupe de sorciers bafoué par cette sous espèce. Ils ne semblaient pas comprendre que si le monde magique était tel qu'il était, c'était parce que ces sang purs qu'ils méprisaient aujourd'hui s'étaient battus pour l'édifier. Pyrrhus, au contraire de nombreux sangs purs, ne haïssait pas tous les sang de bourbes. Il comprenait bien que ces derniers étaient inévitablement une part intégrante du monde magique. On ne pourrait pas faire sans, aussi était il inutile de s'attarder sur leur cas. Mais il n'empêche qu'ils leur étaient inférieurs, et qu'ils devaient témoigner un respect à ceux qui les précédaient dans l'histoire du monde magique. S'il n'était pas de ceux qui prônait la suppression pure et simple des sorciers nés moldus, il réclamait en revanche des privilèges supplémentaires pour ceux dont les arbres généalogiques montraient un solide attachement au monde des sorciers. Une sorte de reconnaissance qui les distinguerait une bonne fois pour toutes de ces sang de bourbes provocateurs. Pyrrhus comprenait l'agacement de son patriarche. Mieux, il le partageait. Mais lui même préférait rester dans l'ombre. Il n'aimait pas être sur le devant de la scène, préférant la ruse soigneusement dissimulée aux coups d'éclats grotesques. Néanmoins, il rassura le vieil homme, après avoir bu une énième gorgée de son breuvage. « Ne vous en faites pas pour ça, père, je veillerais personnellement à ce qu'ils aient la leçon qu'ils méritent. » Il poursuivit encore un moment, rassurant son hôte, multipliant les menaces contre leur ennemi commun. Il faisait là autant de promesses en l'air qu'il lui était possible d'en faire. Il n'en tiendrait probablement aucune, sauf s'il se trouvait que l'une d'entre elle aille dans son intérêt. Il n'aimait pas faire des cadeaux s'il n'avait rien à en retirer, pas même à son propre père, qui l'avait souvent blâmé pour son manque d'ambition. Et dans le cas présent, il ignorait encore comment réagir. Cette colère, en entendant ces sorciers se réjouirent de la création d'un sort visant à exterminer Voldemort n'était pas atténuée. Les nés moldus n'avaient pas témoigné le respect que les sorciers de sang pur étaient en droit d'attendre. Rien d'étonnant à ce qu'ils se tournent vers le seul mage qui avait osé soulever le problème. Ils avaient essuyé du mépris, voire même les moqueries des plus ignares d'entre eux, alors que cette sous espèce ignorait tout d'eux et de l'histoire du monde magique, dans lequel ils débarquaient à peine. C'était bien là le problème, avec ces imbéciles: ils se pensaient toujours supérieurs aux autres, pensaient tout savoir, même lorsqu'on leur mettait sous le nez la preuve de leur incompétence. Cette ignorance dont les nés moldus faisait preuve aurait pu leur être pardonnée s'ils n'avaient pas fait preuve d'autant d'arrogance. Voldemort avait apporté une solution, un plan pour rendre aux sangs purs la juste place qui était autrefois là leur. Pyrrhus, comme de nombreux autres sorciers dont les voix s'étaient élevées ces derniers temps, estimait que leurs détracteurs méritaient une correction à la hauteur. Il semblait toutefois évident qu'une fois de plus, le ministère de la magie n'avait aucune intention de réagir. Pire, ils considéraient Voldemort comme la menace à abattre, reniant leur histoire, les plus illustres familles de ce monde. Ils devaient protéger les intérêts des sorciers, et pourtant, ils faisaient preuve d'une impuissance inquiétante. Pyrrhus avait grandi avec la certitude que les sorciers, de sang pur en particulier, étaient des êtres supérieurs, brillants, auxquels on devait sinon l'admiration, au moins le respect. Les nés moldus avaient piétiné ces croyances, débarquant en conquérant dans un monde qu'ils ne connaissaient pas. Pyrrhus ne pouvait rester insensible face à un tel affront. Et tandis qu'il poursuivait ainsi son cheminement d'idées, il comprit qu'il ne pourrait pas rester indifférent face au sort qu'on réservait aux siens. D'une voix plus assurée, plus déterminée que jamais, une inquiétante lueur naissant dans son regard, il se tourna vers son père. « J'ai réfléchis à ce que vous me disiez l'autre jour. A propos de ce poste, à Poudlard. Vous avez raison: je ne peux pas rester briseur de sorts éternellement. » Un sourire satisfait vint se figer sur ses traits. Face à lui, le vieil enchanteur ne savait plus s'il lui fallait se réjouir, ou prendre peur face à l'inquiétante métamorphose qui venait de s'opérer sous ses yeux. Ce regard déterminé, ce sourire inquiétant, il ne les connaissait que trop bien: c'était celui des Rosier, celui qui présageait des temps sombres pour ceux qui venaient à se mettre sur leur route. En cet instant, Pyrrhus ressemblait plus à ses ancêtres que jamais auparavant. Son père avait maintes fois critiqué ses choix: il était loin le temps du fils prodigue, de l'enfant qui résistait au sort de l'imperium, faisant la fierté du père. Pyrrhus semblait avoir pris tous les mauvais choix. Ce gamin qu'on imaginait gravir les échelons, finir ministre, pourquoi pas, s'était montré décevant. On lisait en lui toute la grandeur de ses aïeuls, et sans être fou, on devinait sans peine qu'il n'était pas un homme à faire dans les sentiments. Pyrrhus était décidé: il entrerait en guerre le jour où Voldemort appellerait son armée. Une guerre faite à sa manière: par la ruse, par la peur, sans jamais se dévoiler complètement. En attendant, il se contenterait d'enseigner à ces jeunes sorciers, une matière à la hauteur de son talent: les arts obscures. Avec la ferme intention de corrompre les esprits les plus malléables, au service d'un seigneur des ténèbres en quête de fidèles serviteurs. Les nés moldus qu'ils côtoyaient à l'école? Il n'y prêtait guère attention. Après tout, il en était persuadé: tous n'étaient pas un problème. Beaucoup étaient même sans histoire, de banals sorciers sans la moindre importance. Non, ceux qu'il voulait voir périr étaient les mêmes qui avançaient avec arrogance dans le monde magique. Ceux là ne méritaient aucune pitié. Ils moquaient les sang purs, jouissaient de postes qui revenaient de droit aux plus méritants des sang purs. Quatre ans après son entrée à Poudlard, Pyrrhus en était persuadé: tous ne méritaient pas de mourir. Mais s'il fallait en arriver à ces extrémités pour que les sang purs regagnent leur prestige et leurs privilèges d'autrefois, alors soit, leur sort était scellé, et le jeune homme n'aurait pas de pitié.
Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge: violaine (et en effet c'est pas un pseudo) - 23ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? par prd ϟ Personnage: Inventé ϟ Présence:oui variable mais connexion quasi quotidienne ϟ Une remarque? votre fofo est un méga coup de coeur, ça m'était pas arrivé depuis un bail d'être autant captivée par un contexte HP. Faire de l'inédit sur un sujet pourtant visité de centaines de façon, je dis chapeau!
Dernière édition par Pyrrhus L. Rosier le Mar 29 Jan - 22:19, édité 11 fois
Adam Leviiiiine les élèves vont plus savoir où donner de la tête Bienvenuuue si tu as d'autres questions, n'hésite pas (j'espère que mon message gêne pas)
Merci à tous et à toutes, chers futurs chouchous du prof et autres souffres douleurs! Alwena, merci tout spécial parce qu'entre adultes on doit bien se serrer les coudes 8)
Félicitations, tu es admis au sein du personnel du château!
Quelqu'un qui sort du moule que lui a fait sa famille, on aime toujours ça Poudlard ne pouvait avoir de meilleur professeur pour une matière telle que les arts occultes! N’oublie pas d’aller faire recenser ton patronus [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Petit rappel, ton personnage est adulte donc son patronus n'a qu'une seule forme et n'est pas constamment présent à ses côtés. Ton personnage n'a pas été touché par le sort. Maintenant que ta fiche est validée, tu peux aller créer ta [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] si tu le souhaite. Si jamais tu rencontres des problèmes dans la rédaction de tes rps, sache qu’un [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] est mis à disposition. Il est aussi important de savoir que ton personnage peut attribuer des points aux maisons pour la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], pense donc bien à lire le sujet. Autre chose, vérifie qu'on t'as bien attribué ton rang, sinon c'est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] qu'il faut aller. Enfin, pour mieux t’intégrer, nous t’invitons à poster dans le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et dans les [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] dès maintenant. Et au passage, si tu veux bien voter toutes les deux heures pour soutenir le forum, il suffit de cliquer sur le petit hibou [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]