"Bonjour je m'appelle Gabriel Jones, mais vous pouvez m'appeler Aki. Je suis né un soir de 29 février 1962 à Séoul en Corée du Sud. Mon anniversaire ne survient donc normalement que tous les quatre ans, j'ai donc en réalité 4ans et 1/4 d'âge mental. Ma naissance fut un miracle, je m'explique. Il était aux alentours de 21H30 lorsque ma mère perdit les os au centre du salon. Mon père fut pris de court et de plus j'étais son premier enfant. Il fit une valise en vitesse puis vint chercher ma mère encore au milieu de la pièce en train de se tenir le ventre et il l'amena jusque dans la voiture. Sur la route mon père se préoccupait plus de ma mère que de la route, il lui conseillait sa respiration et lui demandait sans cesse si ça allait seulement son obsession pour la sécurité de ma mère et de son bébé le fit traverser un carrefour à toute vitesse et une voiture du côté de ma mère nous rentra dedans de pleins fouet. Mon père après avoir réalisé la scène appelait les secours et regardait ma mère. Cette dernière était assise sur son siège la face ensanglanté et le siège imbibé de sang. L'Airbag se dégonfla et mon père vit l'ampleur des dégâts que son imprudence avait commis. Il s'effondra en larme, cognant sa tête contre le volant. L'hôpital n'étant qu'à quelques mètres, les secours arrivèrent rapidement pour sortir mon père et ma mère du véhicule. Une fois à l'extérieur mon père se mit à genoux sur le sol et fondit en larme. Ma mère fut allongée sur le goudron et un médecin prit rapidement la décision de faire une césarienne pour tenter de me sauver. L'opération fut courte, mais les premiers cris qui sortaient de ma bouche fut le signe de ma vie. Après cet évènement mon père me laissait en permanence chez mes grands-parents paternels, car les autres étaient décédés. Ils m'élevèrent comme leur propre enfant. Pendant que mon père buvait sans compter, j'apprenais à marcher. Un jour la police vint frapper à notre porte pour nous signaler la mort de mon père. La police avait retrouvé son corps dans une ruelle. Apparemment il se serait fait battre à mort pour des histoires d'argent. Je n'avais que 3ans c'est sans doute pour cela que je ne m'en souviens plus. Le deuil de la mort de son fils fut fatal à mon grand-père qui mourut d'une crise cardiaque lorsque j'avais 4ans. Les souvenirs de mon grand-père aussi furent effacé de ma mémoire. En revanche, l'un des souvenirs que j'avais en permanence c'était la fois ou ma grand-mère m'avait raconté l'histoire de leur fille aînée qui à l'âge de 11ans avait quitté la maison pour rejoindre une école de sorcellerie en Angleterre. Depuis son départ ma grand-mère ne l'avait jamais revu et elle ne savait même pas si cette école existait réellement. Malgré la réticence de mon aïeul à croire en cette école moi je n'avais aucun doute, elle existait. On a tous un rêve d'enfant et le mien était d'un jour voir ce fameux château. Ma grand-mère me quitta à mes 8ans après m'avoir inculqué des valeurs morales dignes de la haute aristocratie française. Elle avait fait de moi un enfant sage, bien élevé, poli et calme. L'école à la maison m'avait rendu timide et asociale mais j'avais une connaissance plus importante que n'importe quel autre élève de mon âge et savais parler couramment l'Anglais, le Japonais et le Coréen . Après la disparition du dernier membre de ma famille présent en Corée je fus obligé de déménager en Angleterre avec la tante sorcière. Mon trajet en avion fut long, mais mon temps fut occupé à me poser des tas de questions sur cette tante. Ressemble-t-elle à Cruella ? A-t-elle des enfants ? Un mari ? Va-t-elle me faire visiter son ancienne école ? Où est-elle tout simplement normale ?
Lorsque j'arrivais à l'aéroport ma tante avec ses deux enfants et son mari m'attendait avec une pancarte ou était marqué mon prénom. J'allais donc vers eux tout en analysant chacun de leurs mouvements. Ils avaient l'air normal enfin tout du moins en apparence car leur maison elle n'était pas normale du tout. La porte une fois avoir été ouverte se refermait seule, les objets se déplaçaient sans qu'on est besoin de les toucher, les tableaux parlaient et dans le salon deux perchoirs étaient aménagés pour porté les hiboux des jumeaux. Ma tante durant les trois ans avant mon entrée à Poudlard m'enseigna l'histoire de la magie et de notre famille. Elle m'expliqua aussi les histoires de la famille de son mari qui était un descendant du frère de Maxwell Brown. Elle me fit part aussi de leur total engagement dans l'ordre du Phénix. Elle me présenta aussi ses deux fils jumeaux qui emtamaient leurs sixième année à l'école de sorcellerie. J'ai passé des soirées entières à discuter de cette merveilleuse école avec les deux frères qui étaient tout deux aller à Gryffondor, la maison des plus vaillants et des plus courageux mages. Ils étaient mes modèles et comme eux j’espérais aller dans cette maison mais seul le choipeaux pouvait le décider.
Le jour où je reçu ma lettre ma joie fut immense, ma famille adoptive fut aussi ravit que moi car enfin je pourrais vivre comme eux. Rien ne laissait penser que j'entrerais dans cette institution puisque j'étais moldu et pourtant Dumbeldore semblait connaître mon désir intense de connaître la grande bâtisse. Le lendemain toute la famille était de sortie pour se rendre au chemin de traverse pour acheter mon hiboux des marais comme les garçons, on passa aussi chez Fleury et Bott pour mes livres, les autres fournitures m'importaient peu la seule chose dans tout mes achats dont je serais fier se serait ma baguette. Chez Olivander j'essayais plusieurs baguettes avant de trouver celle qui me correspondait. Elle m'avait choisi, je ressentais la douceur, la souplesse et la fragilité du bois d'épicéa et je sentais aussi la frénésie, la ténacité, la vélocité et le courage de la plume de Phénix. Les deux côtés de ma personnalité était réuni en cette baguette. Mes affaires fut minutieusement préparer pour que mon arrivé à l'école soit la plus paisible possible. Lors de mon arrivée les jumeaux n'étaient plus dans le château ce qui m'obligeait à me sociabilisé. Durant les sept années passés dans cette école je devenait de plus en plus ouvert, en même temps que ma popularité augmentait ma confiance en moi grandissait. Tous chez moi était devenu accessible sauf ma virginité qui elle restait intact malgré les nombreuses propositions. La maison dans laquelle j'étais tombé me satisfaisait bien et plus les années passaient plus j'étais heureux. Mon charisme et ma prestance me permettait d'aborder mon avenir avec sérénité et courage à condition d'obtenir mon diplôme."

Chacune de mes vacances scolaires je les passais dans ma famille. J'appréciais particulièrement les fêtes de Noël. Les grands banquet recouvert de nourriture alléchante, les saladiers remplient de friandises en tout genre, la table dressé comme pour recevoir la reine, les invités frigorifié agglutiné devant la cheminé, le sapin recouvert de cadeaux et de décoration, l'ambiance joyeuse et festive des convives, tout ces éléments faisait de Noël ma fête favorite. Durant les même vacances nous fêtions la nouvelle année, le compte à rebours et le champagne était de mise. Seulement cette année là je ne savais pas que Noël et le nouvel an deviendraient pour moi synonyme de désastre.
Quelque jours après Noël lors du balade au bord d'un lac gelé je remarquais une brume dans les tons argenté ou bleu me suivre. En même temps que cette brume prenais de l'ampleur je sentais une partie de moi se libérer comme une sauvegarde mais autre part que dans ma propre enveloppe corporelle. Après quelques minutes de marche la brume se dissipait puis je ne ressentais plus rien. Je m'arrêtais donc un instant puis une voix identique à la mienne résonna dans mon crâne comme un écho de ma propre personnalité. Cet écho me disait de me retourner, pensant que faire ce qu'il me demandait allait le faire partir de moi je m’exécutais. A hauteur de mon visage il n'y avait rien je regardais donc à mes pieds et c'est là que je vis Ace pour la première fois sous forme d'une loutre. Mes parents avaient continuer d'avancer puis je demandais à haute voix comment s'appelait-il. Il fixa mon regard puis il me dis en écho dans ma tête de ne pas utiliser la parole mais les pensées pour communiquer. Je pensais donc à ma question et il me répondit. Il se nommait Ace comme ice mais avec un A. Je lui posait dons la question de pourquoi il me suivait. Il n'en avait aucune idée, la seule chose qu'il savait c'est que nos corps et nos âmes étaient liés et que le seul moyen de parler était de passer par la tête. Mes parents avaient marcher durant dix mètres avant de se rendre compte que je n'étais plus là il s'étaient donc retourner puis m'avait vu penché au-dessus de ce petit être. Ils ont donc accouru puis je leurs ai expliqué le peu de chose que je savais. Nous sommes rentré immédiatement à la maison en prenant soin de cacher Ace sous mon manteau. Arrivé à la maison je déposait Ace dans la cuisine puis je fermais la porte pour aller parler tranquillement au salon avec mes parents seulement plus je m'éloignais de la cuisine plus je me sentais mal. Je gardais donc ce mal en moi durant toute la conversation avant d'aller rechercher Ace, le mal alors parti. Sauf que dans la cuisine je ne me retrouvais pas nez à nez avec une loutre mais avec un minuscule oiseau. Ace me dit qu'il ne savait rien et qu'il s'était changé instinctivement. Je me posais des questions et donc je décidais d'aller voir les jumeaux pour leurs demandé si ils savaient quelques choses seulement eux aussi avaient des animaux. Nous étions donc tous les trois touché par cette malédiction. Moi avec mon Oiseau/Loutre et un des jumeaux avait un Renard/Écureuil et l'autre une Souris/Oie. Nous sommes dons tous descendu pour voir les parents mais ils ne pouvaient rien faire de plus donc ne devions apprendre à vivre avec. Le réveillon fut donc un désastre car entre nos animaux le courant ne passait pas très bien. Ce n'est pas qu'il ne s'aimait pas par rapport à leurs caractères mais leurs instincts les obligeaient à ce haïr. Nous restions donc des journées entières chacun dans un coin afin de comprendre, appendre et contrôlé nos maintenant ami(e)s. Ace moi découvrions nos forces et nos faiblesses ensemble. Il s'entraînait à changer de forme à sa guise sous mes instructions et moi j'apprenais à ne plus sursauté lorsqu'il parle dans ma tête. Cette association fonctionnait bien et nous sommes rapidement devenu bon ami. Chaque geste chaque sentiment et chaque pensées était partagé mais malgré cette bonne ambiance nous ne savions toujours pas pourquoi nous étions liés. J'avais envoyés des courriers à mes ami(e)s et ils leurs arrivaient la même chose j'attendais donc la rentré pour apprendre peut être la vraie histoire de ces apparitions.