« La jalousie engendre le Mal… La jalousie, c'est le Mal ! »
Agatha Christie
«
Je vous haie, je vous haie tous ! Tous autant que vous êtes !!! Ne m’approchez pas ! NON ne me TOUCHE PAS !!» En un claquement de porte et quelques sanglots, voilà comment Lysandre avait fuit la maison familiale. Ignacius et son épouse Dyonisia ne savaient que faire, comment réagir face à leur fille. La famille Peters est une famille honnête et bourgeoise, de sang mêlé, on n’en est pas sûr mais il y a certainement eux des traces de Moldu dans la famille, mais pour le patriarche il ne s’agissait pas d’une honte, ni d’un scandale ou d’un acte monstrueux… depuis quand le mot amour pouvait évoquer ce genre de comportement horripilant. Le couple avait deux beaux enfants Paulus et Lysandre, la famille était en harmonie, tout le monde était heureux jusqu’à un certain point… Lysandre venait de fêtait son neuvième anniversaire et toujours pas la moindre trace, infime étincelle de magie n’avait montré le bout de son nez. Du moins rien de remarquable, elle avait réussi une fois à faire une petite fissure sur une vitre. Dyonisia et Ignacius finirent par comprendre et accepter que leur fille fût une cracmol. Ils n’en voulaient pas à leur fille et ça ne l’empêcherait pas d’avoir une vie heureuse et épanouie. Ils ne la coupèrent pas du monde sorcier pour autant mais l’enfant très jeune se rebella. Elle devint jalouse de son frère aîné qui partait à Poudlard, quand il venait en vacance, il pouvait leur apprendre et leur montrer plein de chose qu’elle ne savait pas faire et ne pourrait jamais faire. Lysandre se remplie de jalousie, de rancœur. Une petite voix au fond d’elle lui disait qu’elle n’était pas assez bien pour eux, qu’elle n’était pas intéressante. Les parents voyant bien le malaise incessant chez leur fille essayaient d’être au plus près d’elle de s’intéresser de ce qu’elle fessait à l’école moldu, de complimenté ce qu’elle faisait ils ne voulaient pas qu’il y est de favoritisme entre leurs enfants parce que l’on n’avait pas de pouvoir magique – mais rien ne faisait - . Année après année, Lysandre se remplissait de haine envers ses parents, sa famille, son frère, les amis de son frère, sa petite amie. «
Pourquoi tu me présentes à tes amis ?! Hein ? C’est pour vous moquez de moi dans mon dos, je ne suis pas assez intéressant pour vous ! C’est ça ? » «
Je voulais juste te présenter à mes amis Lysandre, tu es ma sœur c’est normal… » «
MONSTRE ». Lysandre les voyait tous, tous autant qu’ils étaient comme des monstres, non non ! Ce n’était pas elle qui était anormal c’était eux. Ignacius voulu envoyer Lysandre à St Mangouste pensant qu’elle avait de sérieux problème psychologique et qu’elle dérivait vers la folie, la psychose… Elle était vraisemblablement névrosée. C’est ainsi que la dispute éclata et que Lysandre parti de la maison à 17 ans.
« La vérité engendre la haine. »
Proverbe Allemand
La jeune femme trouva un petit boulot de serveuse dans un bar le soir dans le quartier d’Essex, c’était le seul endroit où elle pourrait payer un loyer vu le prix peu onéreux qu’il en demandait mais on comprenait pourquoi. Le quartier était pauvre, peu gracieux, puant, dégoûtant. L’air était humide et poisseux, ça sentait l’urine et le poisson. Une parti des immeubles avaient été détruit du à la guerre moldu. Un soir, Lysandre rencontra un jeune homme des plus charmants, elle lui servit son café. En partant il lui donna un gros pourboire et une note " je reviendrai demain ". Et chaque soir il revenait en prenant toujours un café et un pourboire pour Lysandre. Après quelque noir il lui demanda à quelle heure elle finissait son service et que peut-être il pourrait la raccompagner chez elle. Il se comportait en véritable gentleman, il attendit la fin de son service et raccompagna Lysandre jusqu’à chez elle. Ils discutèrent, de tout et de rien, de la pluie et du beau temps, de-ci de-là. Ils commencèrent à ce voir, de plus en plus, régulièrement. Ils allaient au cinéma, elle ne connaissait en faite rien de lui. Ni son travail, ni qui il était mais tout ce qui lui importait c’était d’être bien et heureuse avec un moldu, un homme normal sans magie sans tout cela. Leur romance fut de courte durée, après deux ans à ce voir, Lysandre tomba enceinte par accident. Se voyant déjà marié avec son amant, elle parti lui annoncer l’heureuse nouvelle de la venu d’un bébé. Il n’en fut pas mécontent tout au contraire, il était fou de joie mais lui demanda de s’assoir qu’il avait une chose à lui révéler – c’était important. «
Tu es marié c’est ça ? J’aurais du me douté que c’était bien trop beau… -
Non chérie, pas du tout. Je suis entièrement tienne, … c’est juste qu’il y a quelque chose que je ne t’ai pas dit à propos de moi et qui risque de changer notre vie à tous les deux et à celle de notre enfant, je …-
Tu es malade ? Ce n’est rien de grave ?!-
Non, rien de grave, calme-toi. C’est assez difficile à expliquer, je ne sais comment trouver les mots, t’expliquer sans que tu es peur. Ce que je vais te dire va te paraître complètement fou voir dingue… Je suis un sorcier Lysandre.-
Pardons ? ». Une guerre nucléaire à côté ce n’était rien face à toutes les horreurs qu’avez pu dire Lysandre à son conjoint – monstre, inhumain, vermine, créature, affreux, démon, Veracrasse – à ce mot, il comprit que Lysandre n'était pas étranger au monde magique. Elle l’aimait, mais elle ne pouvait se résoudre à vivre avec un sorcier, elle avait quitté sa famille pour sa, renier ce qu’elle était au plus profond d’elle et de savoir qu’un sorcier était peut-être en train de vivre au creux de ses entrailles lui donna la nausée ! Elle jeta hors de chez elle le sang pur et ne voulu plus jamais le voir de sa vie et déménagea d’immeuble pour ne plus avoir à le voir, changea de travail, de café, de fréquentation, de lieux d’habitude! Elle le haïssait désormais puis elle se mit à pleurer pourquoi avait-il fallu qu’elle tombe sur un sorcier en plein milieu d’un quartier pauvre de moldus…. Elle se sentit désespéré, incomprise, ça fusé de tous les côtés dans sa tête entre le bien le mal, le rejoindre le fuir … Après tout c’était lui le monstre pas elle.
« Les conséquences de nos actions sont toujours si complexes, si diverses, que prévoir l’avenir est une entreprise bien difficile. »
Dumbledore
Elle rencontra Marcus, un moldu, un client du nouveau bar où elle travaillait. Il était marginal, il aimait les jolies femmes, l’alcool, le sexe il va s’en dire, il était ouvrier au port de Londres il vivait dans le même quartier que Lysandre et cette petite poulette le faisait craquer. On ne peut pas dire que Marcus était un homme honorable, respectable, il n’aimait pas les enfants, ni les animaux et encore moins les autres personnes, insociable et colérique il a tendance à avoir la main légère. C'est peut-être ça qu’elle aimait Lysandre, cet homme était jaloux, possessif, elle s’était dit que rien ni personne ne pourrait lui faire du mal avec cet homme. Assez vite elle s’installa chez lui ayant du mal à payer son loyer et avec le bébé qui prenait de plus en plus de place elle se devait d’être un minimum convenable. Marcus dans un premier temps ne voulait que coucher avec la jeune femme et finir par s’habituer à sa présence même si elle attendait un enfant qui n’était pas de lui … de toute façon il ne s’en occuperait pas de toute manière de lui ou non. Marcus voyait d’autres femmes dans le dos de Lysandre, elle devait s’en douter mais elle ne disait rien c’est que toutes ces conditions devaient la satisfaire. L’hiver 1956, Lysandre donna naissance à une petite fille à l’hôpital de Londres le 26 Février, Marcus ne s’était même pas déplacer pour voir l’enfant. Lysandre était déterminer à l’abandonner à la naissance, elle ne voulait pas s’en occuper ni avoir un quelconque rapport avec ce bébé et la magie. Après l’avoir eux sur le ventre, voir sa petite main attrapé son doigt, elle se résolu à la garder… peut-être serait-elle comme elle, non sorcière. Elle espérait au plus profond d’elle, même si cette petite voix lancinante lui répétait en éco «
et si elle ne l’était pas » «
et si elle était une sorcière… une sorcière… comme son père » «
tu serais seule…. La seule ! » Elle ferma les yeux fortement, elle n’allait pas écouter ses voix, elle avait un espoir, infime mais elle allait le tentait. En rentrant à la maison, elle posa le bébé sur le lit de sa chambre, prit une grande inspiration pour la regarder dans les yeux, elle ressemblait à son père et son grand père, elle n’avait que très peu de ressemblance avec Lysandre et se mit à hurler elle ne pourrait être une cracmol c’était impossible. Ses cries fit peur au bébé qui se mit lui-même à pleurer à chaude larme. Marcus, arriva dans la chambre dans un craquement tonitruant pour leur dire à toutes les deux «
Vous allez la fermer ! » Plus aucun bruit ne se fit entendre sauf les couinements de bébé. Ambroisine Hérésia-Lux c’était le prénom qu’elle lui avait choisi, instinctivement elle lui avait donné des prénoms latins non pour se rapprocher de sa famille sorcière mais par l’habitude et l’éducation qu’elle avait eux, cela avait été instinctif en elle. En allant déclarer sa fille, elle lui donna son nom Peters, de père inconnu.
« Endormir la douleur pendant quelques temps ne la rendra que plus intense lorsque tu la sentiras à nouveau. »
Dumbledore
En grandissant, Ambre comme tout le monde l’appeler, était une petite fille discrète avec une timidité maladive. Elle n’était pas bien chez elle, une mère qui ne portait pas une très grande attention à elle, ses dessins au lieu de finir sur le frigo partait à la poubelle, une maman qui ne l’accompagnait pas à l’école primaire, elle travaillait dans un bar vous comprenez. Son beau père s’occupait encore moins d’elle et la prenait plus pour son esclave. En rentrant de l’école son rite était souvent d’apporter une bière à Marcus et de lui apporter la télécommande de la télé trop fainéante pour aller la chercher lui-même. A 5 ans elle avait prit l’habitude de se cacher dans le placard du couloir lorsque maman et Marcus se disputait, elle posait ses petites mains sur ses oreilles et regardait ses pieds en attendant que l’orage passe. Elle avait peur, dès que les gens hausser la voix, elle tremblait, sueur froide, chaud, nausée, le cœur battant, elle attendait plusieurs minutes par moment que tout ce calme. Ce n'était que le début d'un long commencement. Marcus ou maman venait la cherchait en la tirant violemment de sa cachette et la mettre dans sa chambre et lui dire d’un ton plus qu’autoritaire de se coucher. Ambroisine vécu dans un appartement miteux, dans un quartier pauvre, une mère incapable de l’élevé qui recevait plus de coup par son conjoins que de pourboire au bar. Marcus lui ne changea pas bien au contraire, les institutrices d’Ambroisine tirèrent la sonnette d’alarme en voyant que la petite fille ne faisait pas ses devoirs, quand elle pleurait quand une maîtresse grondait un enfant, ses crises d’angoisses inquiétèrent le personnelle de l’école. Elle s'isolait et se parler toute seule comme à une petite conscience. Elle se rassurant en se parlant à voix basse à elle-même, elle racontait sa journée et se remonter le moral et se donner du courage, son seul secoure, c'était elle-même. Lysandre ne reconnu pas les faits, prit sa fille par la main et la tira en dehors de l’école et la changea d’école primaire et au passage lui donna une bonne fessé, elle n’était pas obliger de raconter comment ils vivaient à la maison. Ambroisine était pourtant une très jolie petite fille, aux yeux vert et de jolie boucle brune, un teint clair presque blanc, oui une petite blanche neige, et elle se disait que la vilaine sorcière, oui vous savez la belle maman de blanche neige elle mourrait et le prince viendrait la chercher. Ambre demanda où était papa, elle reçu une gifle sujet clos. Elle ne pleurait plus maintenant, elle n’avait plus de larme à donner et plus de sourire insouciant à donner. La petite brune changea d’école primaire et du ce refaire de nouveaux amis, s’habituer à ses nouveaux instituteurs. En rentrant de l’école, Ambroisine rentrait dans le bar où maman travaillait, elle s’installait à une table du fond et faisait ses devoirs, elle avait 7 ans. Un homme entra dans le bar, il avait un chapeau sur la tête, une grande veste et des lunettes de soleils, on aurait dit qu’il avait évitait Lysandre et s’assit une table avant de l’enfant face à elle. Il la regardait fixement, Ambroisine releva le visage et regarda le monsieur qui lui accorda un gentil sourire elle ne réussit pas à lui faire mais essaya. Puis se repencha à ses devoirs en voyant sa mère arrivait vers elle, elle lui donna un tape sur la tête «
Travail ! Fainéante… Que puis-je pour vous ?» demanda-t-elle au client qui lui demanda un café sèchement. Il continua de regarder la petite et parti en un instant, quand Lysandre revint, il n’y avait plus personne mais un gros pourboire… le père d’Ambroisine. Elle tourna la tête vers sa fille qui était studieuse dans son coin, Lysandre sorti du bar et le vit adossé au mur de celui-ci. «
Je ne veux plus te voir, fiche le camps ! -
Tu ne peux m’interdire de voir ma fille… elle a besoin de moi Lys.-
Ne m’appelle pas Lys !! Et Ne t’approche pas d’elle !! ELLE EST A MOI ! Si tu traînes encore près d’elle j’appelle la police..-
Ou Marcus ? » Il lui accorda une grimace de dégoût et lui rajouta. «
Je serais toujours là tu ne pourras me fuir mais qu’il ne lui arrive rien. Quand elle sera grande tu ne pourras rien contre le fait que je la vois ! » Et il parti.
Suite à cet incident, Lysandre avait peur que son ex petit ami enlève Ambre, elle tournait toujours la tête derrière elle quand elle marchait dans la rue, elle était à l'affut. «
Il veut te voler ta fille » «
en faire un montre ! » Cette voix incessante tournait en boucle dans son esprit. Un soir lorsque Marcus frappa Lysandre encore ivre comme beaucoup de soir, il se tourna vers Ambroisine leva sa main vers elle, étant sur son passage. La petite fille ferma les yeux très fort se voyant déjà prendre une grande claque mais là… rien. Elle ouvrit nerveusement un œil, puis le deuxième, Marcus fut repoussé d’elle de quelques mètres, trébucha et tomba au sol. Elle n’avait pas comprit, mais sa mère elle, oui ! Lysandre tapa une crise d’hystérie furieuse ! Elle était devenue complètement cinglé, elle était envahie de folie, psychotique. Elle frappa Ambroisine, la traitant de monstre comme son père, qu’elle n’était qu’un monstre, incapable et minable. Ambre resta silencieuse face à l’agréation de sa mère, elle en avait l’habitude mais là ce qui la choquer le plus… c’était ce qui venait de ce passer… comment une petite fille de 8 ans, une fille comme elle… elle Ambroisine, enfant de huit ans, sans amis, trouillard et peureuse avait –elle pu rejeter un homme comme Marcus… Marcus gros plein de soupe, ventre à bière, lourdaud, imbécile mais fort. «
JE NE VEUX PLUS TE VOIR !! » Elle frappa Ambroisine, la réveillant de ses pensés et la traînant en pleure dans sa chambre et l’y enferma. Ambroisine ne comprenait toujours pas, depuis ce jour elle devenue la pestiférait de la maison. Marcus n’osait plus mettre la main sur elle, mais la traitée de bizarre ou encore d’anormal, «
Je crois que ta môme est malade mental, elle est bizarre. » dit-il à sa conjointe. Qui regardait la chair de ses entrailles avec dégoûts, répugnance et un goût amer dans la bouche. La jeune Ambroisine passa le reste de son enfance enfermé entre sa chambre et l’école où elle se contentait d’être le plus normal possible pour ne pas énervé maman, sans même comprendre et savoir ce qu’elle faisait, comment et pourquoi. Elle fini par se persuader qu’elle n’était pas normal, qu’elle était un monstre et que c’est pour ça que les autres ne s’approcher pas d’elle. Lysandre était contente, elle faisait souffrir ce qu’elle avait toujours jalousé, ce qu’elle avait toujours envié et détesté à la fois, la magie d’un sorcier, chose qu’elle ne pourrait jamais avoir. A l’approche de son onzième anniversaire, en fin d’été, un hiboux c’était posé sur la boite aux lettres du bar où Lysandre travaillait. Elle regarda le Hiboux le faisant fuir, elle savait très bien ce que c’était… et ce que cela impliqué. Le père d’Ambroisine n’avait pas cessé de la suivre du plus discrètement possible à en faire croire Lysandre qu’il avait disparu, il observait son bout de choux… sans pouvoir agir pour elle, elle le dénoncerait aux autorités moldu… mais il lui restait un seul et dernier moyen pour rendre sa fille heureuse après toutes ses années de souffrance.
«L'espoir est une mémoire qui désire»
Honoré de Balzac
Un beau matin quelqu’un frappa à la porte, Marcus se leva de la cuisine où déjeuner la " famille ", en ouvrant la porte il tomba devant un couple d’une quarantaine d’année. La clope au bec il leur rétorqua. «
C‘est pour quoi ?-
Nous venons voir Ambroisine. » Lysandre sauta d’un bon, elle avait reconnu cette voix masculine, forte, tendre et à la fois ténébreuse, ce n’était pas son ex mais son père. Comment avait-il pu la retrouver, elle sorti de la cuisine comme une furie. «
Qu’est ce que tu lui veux ? Laisse nous tranquille.-
Alors c’est ici que tu … vie avec lui et ton enfant. -
Comment m’avez-vous retrouvé ? Sortez… SORTEZ de chez MOI !! » Ce mit-elle à sangloter comme une hystérique. Marcus s’approcha du patriarche pour le faire sortir, Ignacius sorti sa baguette et en saucissonna Marcus, qui ne pouvait bouger et résigna à s’assoir sur le canapé du salon. Au loin, il vit dépasser une petite tête brune pleine de bouclette, on aurait dit un petit animal terrorisé, Ignacius regarda sa femme et lui dit d’un ton sûr «
va la chercher ». Lysandre voulu s’interposer mais Ignacius la menaça de sa baguette, Dyonisia se précipita vers sa petite fille et la pris dans ses bras en la câlinant et constatent de multiples bleus et contusions sur son corps. «
C’est fini ma chérie, c’est fini. » Ambroisine ne comprit pas, tout ce passait si vite. Lysandre criait son nom mais l’enfant n’avait pas l’air de réagir. Elle ne réagi pas comme bon nombre d’enfant qui se serait mit à pleurait si on les retirait de leur mère, elle non elle se contentait de la regarder lacement. «
Vous ne pouvez pas me la prendre, elle est à m…-
Il suffit Lysandre ! S’exclama son père.
Tu as un énorme problème ma fille et je n’ai pas eu le choix que de prendre des mesures restrictives que j'aurais du prendre il y a déjà plusieurs années. Je ne t’ai pas élevé comme ça ! Cette enfant n’est pas un souffre douleur et encore moins un objet de torture ! Tu nous traîtres de monstre mais t’ais-tu regardé dans une glace. … Vous pouvez entrer. » Il se poussa de l’entré où des infirmiers de St mangouste pénétra l’appartement pour emmener Lysandre avec eux afin de l’interner. Ignacius avait tout organisé il ne pouvait pas laisser sa fille et sa petite fille dans te tel circonstance. La famille c’était le plus important. «
Vous n’avez pas le droit ! VOUS N’AVEZ PAS LE DROIT !!!!! HAAAAAA !!! » Elle se mit à hurler, pousser des cries. Ambroisine tourna sa tête vers sa grand-mère pour cacher son visage contre son cou, elle tremblait. Elle posa délicatement sa main sur sa tête pour ne pas l’effrayer, elle se n’avait pas ce qu’avait enduré cette pauvre enfant elle avait tellement peur de lui faire peur ou lui faire du mal. Quoi que, elle ne pouvait qu’avoir moins désormais. «
Comment tu as su ? COMMENT ? » Dit elle entre ses dents pendant que les infirmiers la mettait sous camisole pour l’emmener. «
Son père m’a écrit une lettre, c’est bien dommage que tu es détruis sa vie également il avait l’air d’être bien. Il aurait fait un meilleur père que toi en étant sa propre mère. » Il eu un regard amer et triste envers sa fille. Ses mots avaient été forts et bouleversant, mais il était juste. «
Rentrons » fit-il à son épouse, l’enfant dans les bras. Ils descendirent les escaliers avant de faire tout oublier à Marcus, il passerait simplement pour un fou… Arrivé en bas de l’immeuble, Paulus attendait ses parents avec sa femme Melania qui s’approcha de la petite fille pour lui faire un sourire, ils avaient tous comprit que tout ce qu’avait besoin cette enfants c’était d’attention et d’amour, deux choses qu’elle ignorait totalement.
« Prendre un enfant dans ses bras
Et pour la première fois,
Sécher ses larmes en étouffant de joie,
Prendre un enfant par le cœur
Pour soulager ses malheurs,
Tout doucement, sans parler, sans pudeur,
Prendre un enfant sur son cœur. »
Yves Duteil
La voiture s’arrêta devant une grande maison bourgeoise, elle était bien plus grande et bien plus belle que le misérable petit endroit où elle vivait depuis onze ans. Durant la journée et la journée suivante Ambroisine ne prononça aucun mot, ni même des son monosyllabique, elle ne communiquait que par hochement de tête verticale ou horizontal. Elle était entourer de parfait inconnus mais pourtant elle se sentait bien avec eux, en sécurité et apaisé. Ils essayèrent de lui expliquer qui ils étaient, ce qu’ils étaient, ce qu’elle était vis-à-vis d’eux, vis-à-vis du monde. Ils parlèrent du monde magique, de qui était sa maman, où elle était à présent et qu’elle était malade, qu’on s’occuperait bien d’elle. Dyonisia en compagnie de Melania lui montrèrent sa chambre, la petite fille resta sans expression, pourtant elle était stupéfaite, elle avait une vraie chambre… avec un grand lit et des jouets, pleins de jouets et de l’espace pour elle. Quand Dyonisia leva la main vers la chambre pour lui dire qu’elle était chez elle, Ambre rentra la tête dans les épaules et ferma les yeux, elle avait cru à un coup. Dyonisia jeta un regard à sa belle-fille près d’elle… cette petite aurait de gros problèmes. Il fallu plusieurs semaines à Ambroisine pour s’acclimater à sa nouvelle maison. Elle ne parlait que très peu, elle restait assez souvent seule dans un coin de la maison sans bouger, sans parler comme si elle ne voulait pas déranger. Après quelque semaine elle appela Ignacius Grand-père, Dyonisia Grand-mère, elle adressa la parole à Paulus et prenait plus facilement la main de Melania pour aller jouer dans le jardin avec son cousin qui était plus petit qu’elle. Ambroisine devient moins sauvage, elle s’approchait de plus en plus de la famille, elle parlait tout en restant discrète et timide. «
Le temps efface les blessures » disait grand-père à son épouse. Mais je pense que certaines cicatrices restent indélébiles. Grand-mère reçu la lettre pour l’admission à Poudlard de sa petite fille. Elle lui montra la lettre et la lui lue elle se revoyait quand Paulus avait reçu sa lettre d’admission, elle eu un jolie sourire de nostalgie et fit un grand sourire à Ambroisine. Elle lui expliqua ce qu’était Poudlard et que c’était formidable, c’était la bas qu’elle avait rencontré grand père et que Paulus avait rencontré Melania. Ambroisine avait comprit que sa maman n'y était jamais aller. «
Grand-mère, tu crois que je peux y aller ? » Elle fut surprise par la question et lui répondu sûrement «
Bien sûr ma chérie, pourquoi ne pourrais-tu pas y aller ? » La petite fille fit une moue triste en haussant les épaules et dit d’une petite voix. «
Il accepte les monstres ? » Dyonisia fut prit d’un haut le cœur et attrapa la petite dans ses bras et la serra très fort contre elle et lui dit en la regardant dans les yeux avec un large sourire chaleureux. «
Mais Ambroisine, tu n’es pas un monstre, tu es une gentille petite fille, une jolie petite sorcière… tu n’es pas un monstre loin de là. Ne pense plus à ça… » Elle lui embrassa le front et dit d’un ton entraînant. «
Quand grand-père revient du ministère on va t’acheter tes fournitures scolaires tu es d’accord, tu choisiras tout ce que tu voudras et qui te fera plaisir. » Elle espérait peut-être qu’ainsi sa petite fille sourit et soit un peu plus heureuse et s’enthousiasme d’aller dans une école loin d’eux. Elle avait peur qu’Ambroisine ne s’adapte pas du tout à Poudlard… elle s’avait à quel point les enfants pouvaient être méchant et elle s’avait qu’Ambroisine était faible et vulnérable. Au retour d’Ignacius, Dyonisia lui toucha deux mots sur ce qui s’était passé et tous trois partirent au chemin de travers. Malgré tout ce qu’ils avaient pu penser, Ambre n’avait pas eux peur, ni ne s’était affoler et n’avait pas fait encore une de ces crises de paniques si souvent… elle était émerveillé, elle avait les yeux écarquillé remplie d’une lumière qu’ils n’avaient jamais vu encore, Dyonisia ne plus retenir son sourire et une petite larme. Elle la prit par la main gauche, Ignacius sa main sur son épaule droite et chacun lui montrer à tour de rôle les vitrines et lui expliquer ce que c’était et pourquoi et comment. Ambroisine écoutait tout ce qu’on lui disait avec une grande attention et source de savoir malgré tout. On acheta les robes de sorciers, les manuelles ainsi que toutes les choses qu’elle avait besoin. Son grand père lui acheta le Hiboux qu’elle choisie, un petit Hiboux gris avec quelque plus noir sur le haut de la tête, on dirait qu’il avait des cheveux. Et puis enfin ils l’emmenèrent chez Ollivanders pour prendre sa baguette magique, la chose la plus importante finalement. «
Le meilleur pour la fin » dit grand père en souriant à sa petite fille qui restait en retrait coller contre ses grands parents. Il lui expliqua qu’il allait lui donner plusieurs baguettes, que c’était elle qui choisissait son propriétaire. «
Et si aucune ne veut de moi ? » Les grands parents la poussa gentiment vers Ollivanders. «
Ne vous inquiétez pas jeune fille, je n’ai jamais vu un sorcier sortir de ma boutique sans baguette » Il lui sourit et lui tendit une baguette, elle la secoua doucement et explosa le verre de la lampe qui se trouvait sur le bureau, elle la reposa de suite sur le bureau en baissant la tête. «
Excusez-moi. » «
Ce n’est rien, ce n’était juste pas la bonne … humm… peut-être, celle-ci ? » Ambroisine prit doucement le nouveau morceau de bois et fit un petit geste et fit tomber des casiers de baguettes… elle se senti une nouvelle fois honteuse. L’opération se renouvela trois fois avant qu’elle trouve sa baguette qui était faite pour elle, 37,5 cm en bois d’érable et crin de licorne. Ignacius l’enferma dans sa boite et la mit avec les autres paquets qu’il avait à la main, paya et remercia une nouvelle fois avant de partir avec sa femme et sa petite fille. Après quelques jours, Ambroisine tapa à la porte du bureau de son grand père et entra après sa permission. «
Oui chérie ?-
Grand-père… je voulais te poser une question.-
Je t’écoute ma grande. Il l’a prit sur ses genoux.
-
Tu sais qui s’est mon papa ? Il soupira, ne savant quoi lui répondre… la vérité ou mentir ? Mentir c’était protéger mais pour combien de temps… la vérité est blessante mais on est pieds à terre.
-
Non, je ne veux pas te mentir ni te dire la vérité. Je ne sais pas qui il est. Mais quand tu seras plus grande on aura une vraie discussion sur le sujet. Tu es d’accord ?-
D’accord. Il l’a fit descendre de ses genoux avant de lui embrasser le front. Et fini par lui dire avant qu’elle ne parte.
-
Ne le juge pas sévèrement, il était bien plus présent que tu ne l’imagines… »
Le jour J, le 1er Septembre 1967 Ambroisine accompagné de sa famille se rendit que le quai Voie 9 ¾ avec ses valises entourait d’autres enfants comme elle et de leur famille. Au fond d’elle, elle ne voulait pas leur montrer qu’elle était triste mais finalement prit ses grands parents dans ses bras pour leur montrer son affection. Ce qui leur fis-je pense un énorme plaisir, comme si il avait réussi à ranimer quelque chose en cette petite fille perdu. Le chemin serait encore long mais à force de persévérance et d’obstination ils y arriveraient ! Ambroisine entra dans le Poudlard express en compagnie d’autres élèves et parti vers l’aventure, dans une épaisse fumée elle leur fit coucou de sa petite main et un léger sourire discret.
« Le collège façonne un être plus qu'on ne le croît. C'est pendant les cours primaire, classique et universitaire que les hommes sont marqués pour la vie. »
André Brugel
Après plusieurs heures en train, la jeune fille était resté dans le wagon de départ, sans trop parler ni regarder les autres élèves. Ils devaient la trouver bizarre, elle semblait triste et mélancolique. «
Tu sais mon frère m’a dit que Poudlard c’était génial ! » Avait dit un enfant à Ambre, comme pour lui remonter le moral, certain avaient comprit que leur collègue de wagon ne semblait pas dans son assiette. Après être descendu du train, on conduisit les premières années vers le lac, il faisait noir et un léger petit air frais raviver les joues d’Ambre, quelques petites lumières leurs permettaient de voir où ils mettaient les pieds. Doucement, elle entra dans une barque avec d’autre enfant et chacun se tournèrent avec un émerveillement sans précédant… devant eux, loin derrière le lac d’un noir d’encre se trouvait un somptueux château, magnifique et grandiose. Ambroisine était émerveillé, elle rejoignit les autres dans le «
OOOh ! Wouaaaa ! Haaan ! » de contemplation. Arrivé à destination, elle descendit comme les autres et suivit les autres enfants s’introduisant dans la foule, regardant tout autour d’elle, son nouveau chez elle. Ils rentrèrent sous le porche de l’école et montèrent de grand escalier de pierre tout à fait magnifique, ce château avait quelque chose de sécurisant et de merveilleux. Un professeur vient à leurs rencontres, le professeur Mc Gonagall me semble-t-il et les invita à entrer dans la grande salle où les autres élèves les attendaient de pieds ferme en applaudissant. Ambre marchait en compagnie des autres élèves, elle releva la tête pour regarder le plafond qui était dès plus étranges, des bougies volé au dessus de leur tête ainsi qu’un ciel remplie d’étoile. Ambre eut un sourire, elle aimait déjà cet endroit ! Elle attendit devant les gradins que son tour approche pour passer sous le choixpeau magique. Quand elle jeta son regard sur le vieux choixpeau poussiéreux, raccordé et apparemment ancien et puis surtout vivant… Vivant ? Mais il parle ! Ambroisine fit de gros yeux surprit… C’était ça, enfin lui qui choisissait ? Vu son état il devait être plein de sagesse vu l’éternité qu’il faisait cette tâche. «
Ambroisine Peters », la jeune fille se dégagea de la foule s’assit sur le tabouret en bois, se retrouvant face à une assemblée de jeune gens, elle se mit doucement à rougir par le monde qui avait leurs yeux rivés vers elle. On déposa le choixpeau sur sa tête brune et celui-ci après une petite réflexion fini par criez le nom de sa maison. Bouclette parti vers la table de sa maison, sa nouvelle famille comme disait son oncle. Après avoir bien mangé, ils s’installèrent dans leur salle commune et leurs dortoirs. Après une bonne nuit de sommeille, les cours allaient pouvoir commencer. Ambroisine eut beaucoup de mal à s’adapter à sa nouvelle de collégienne à Poudlard, elle n’avait jamais vécu autant de temps avec des enfants tous différents, avec des caractères tous différents mais une chose les relier tous la magie. La première année d’Ambre fut assez catastrophique, elle faisait beaucoup de crise de panique, pour un tout pour un rien. L’infirmière était au courent de son problème décelé dès son arriver chez les grands parents qui voulaient comprendre le malaise chez Ambroisine, elle souffrait tout simplement de crise d’anxiété, de panique de façon chronique. Elles surviennent n’importe où, n’importe quand pour n’importe quoi de la chose la plus angoissante, la plus terrible à la chose la plus anodine qui ne donnerait ni angoisse ni anxiété à un enfant normal. L’infirmière prenait assez souvent en charge Ambroisine pour la calmer, cela pouvait durée 2 minute, comme 5 voir plusieurs heures. Elle écrivait à ses grands parents, elle leur racontait ce qu’elle avait fait, sa journée, elle essayait de ne pas leur parler des choses négatives ne voulant pas les inquiéter. Au première vacance de Noel, Ambroisine ne s’était toujours pas fait d’ami, de vrai ami. Elle adressait parole à quelques personnes mais ne se confiait à personne, ne discutait avec personne. Elle demeurait comme une petite ombre au sein de l’établissement, discrète et invisible. De retour dans son foyer pour Noel, elle comprit qu’elle devait faire des efforts pour s’adapter au autre que la vie serait bien meilleur pour les six prochaines années. Elle reçut de nombreux cadeaux de ses grands parents, de son oncle et sa tante, pourtant un cadeau sous le sapin ne venait de personne, Ambroisine le prit regardant sa grand père et l’ouvrit, il s’agissait d’un petit médaillon en argent assez fin avec une jolie chaîne en argent, il y avait une petite décoration florale sur le médaillon, ce paquet était accompagner d’un mot « Je l’avais acheté pour ta naissance. Peut-être que c’est mieux ainsi. Je t’aime ma fille. » Ambroisine voulu garder le mot, elle demanda à grand-mère de lui mettre la chaîne avec le petit médaillon, pour un monstre sanguinaire et inhumain, son père avait fait plus preuve de gentillesse en onze ans d’absence que sa mère en onze ans de vie commune. Ignacius doutait de la bienveillance de garder cette objet de peur que ça face du mal à Ambroisine, mais finalement il trouva que ça lui faisait bien plus de bien que de mal. Comprenait-elle de plus en plus que sa mère avait semait le désordre et la discorde dans sa vie et celle des autres et que le réel problème n’était pas elle mais ce que sa mère lui avait fait subir. Il ne pourrait jamais changer ses onze dernières années, il ne pouvait que les améliorés et lui apprendre à vivre avec tout ça. Durant les vacances, Ignacius alla voir Ambre pour lui demander si elle voulait rendre visite à Maman à St Mangouste, elle ne lui accorda ni regard, ni sourire, ni hochement de tête, un simple « Non. » Il avait comprit que c’était fini avant un bon et long moment avant qu’elle ne revienne la voir de nouveau. A son retour à Poudlard, Ambroisine continua la même vie qu’elle menait désespérément.
Il lui fallut atteindre la fin de la deuxième année pour reprendre le dessus sur son niveau scolaire, s’ouvrir d’avantage sur les autres élèves de sa maison comme des autres. Elle ne voyait aucune différence entre les maisons, elle parlait à qui voudrait bien l’écouter et discuter, la couleur de son uniforme de changer rien à ce qu’elle était et ce qu’elle éprouvait. Elle commença doucement par ce faire un ami, un garçon puis un deuxième et de file en aiguille elle s’ouvrit tendrement vers quelque personnes, de confiance, il y eu des hauts des bas, l’apprentissage de la vie tout naturellement. Ces personnes là étaient présentes pour elle, même dans les pires, durant ses crises en pleine nuit, dans le parc, en cours. Ils avaient apprit à gérer la situation, la serrait très fort dans les bras presque à l’étouffer et lui parler, la rassurer, critiquer les autres pour la faire rire et parler d’autre chose. Certain avait comprit la faille, il lui prenait la main et lui masser l’intérieur de la pomme ce qui avait souvent effet de calmer et d’apaiser boucle brune. Lors de sa troisième année elle décida de rendre visite à sa mère à St mangouste, elle n’était pas prête mais elle voulait voir ce qu’elle était devenue, par curiosité ou par rancune elle ne savait pas exactement. A son attente, elle se mit à hurler comme une démente en la voyant, à pleurer et pousser des cris…. Ambroisine ne put la voir que quelques minutes, c’était déjà amplement suffisant. Quelques garçons s’intéressait à elle, elle était étrange et mystérieuse ça les faisait craquer… Ambroisine était tellement absorber par ses études, ses cours et ses devoirs qu’elle ne remarquait même pas l’empressement qu’avait certain garçon à lui dire bonjour ou lui tenir une porte. Elle se contentait de baisser un peu la tête, de leur dire un petit merci timide et un faible sourire nerveux. Elle s’était plongeait dans les études à heures perdus, elle aimait tellement apprendre de nouvelle chose et travailler, elle en regrettait de n’avoir presque perdu un an et demis par la peur d’être minable vis-à-vis des autres. C’était devenu une habitude chez elle, sa mère lui avait tellement souvent dit qu’elle était inférieur, minable, incapable de grande chose qu’elle avait finir par s’en persuader sans même s’en donner la peine de prouver le contraire. A l’heure d’aujourd’hui elle avait eu un énorme revirement de situation, elle voulait être dans les meilleurs, prouver qu’elle n’était pas faible et jeter au visage de sa mère ses bulletins de Poudlard pour lui montrer qu’elle n’était pas une moins que rien. Très peu connaissait l’existence et la vie d’Ambroisine, mais si elle n’en parlait pas c’est qu’elle ne voulait en parler. D’année en année, les tensions du au seigneur des ténèbres se faisait pesante sur l’école et ses occupants, on avait peur d’une attaque contre l’école, on avait peur pour sa famille, ses amis à l’extérieur. Ambroisine écrivait beaucoup à ses grands parents, tant qu’elle recevait des lettres c’est qu’ils allaient bien et qu’ils étaient vivants. Elève brillante, ambitieuse et déterminer, Ambroisine passa ses BUSES lors de sa cinquième année avec une grande nervosité mais beaucoup de résultat à la hauteur de son engagement.
BREVET UNIVERSEL DE SORCELLERIE ELEMENTAIRE:
Astronomie : A
Botanique : O
Défense contre les forces du Mal : A
Histoire de la Magie : E
Metarmophose : P
Potion : O
Sortilège : A
Soins eux créatures magiques : E
Divination : T
A son retour à la maison sa famille l’embrassa pour récompenser de son dur labeur. Elle était capable de tout ! Ambroisine s’avait ce qu’elle voulait devenir et se qu’elle voulait faire de sa vie. Travailler dans la médecine, aider les autres. Son choix fut surement influencer par l’état de sa mère qui était de plus en plus mal. Il était temps pour Ambroisine d’avoir une discussion avec son grand père au sujet d’un évènement passé, son père. Sujet clos depuis plusieurs années, il avait attendu que la jeune fille soit prête, elle avait 15 ans, elle était en âge de savoir.
«
Je ne vais pas te mentir Ambre, tout ce que je sais c’est qu’il est sorcier tout comme nous et qu’il t’a peut-être sauvé la vie. Ta maman l’a fuit quand elle a apprit qu’il était sorcier et tu sais à quel point elle les déteste…-
Oh oui j’avais cru comprendre. Assise sur une chaise du bureau de son grand père, elle le fixait attendant des réponses.
-
J’ai trouvé ça, dans un tiroir d’une commode à ta mère dans son ancien appartement. Il faisait toujours attention de ne jamais l’inclure dans les faits de sa mère… comme pour lui faire comprendre qu’elle n’avait rien demander, ni rien choisit. Il ouvrit un tiroir de son bureau et sorti une photo, ancienne, d’un homme assise sur une chaise avec un grand sourire, cheveux châtain cours, les yeux vert, il ressemblait beaucoup à Ambroisine.
Je pense que c’est ton père. Je ne sais ni son nom, ni son prénom et il y a tellement de famille de sang pur que je ne saurais pas où commencer pour le retrouver. Ambroisine regardait la photo, posant son index sur le visage de l’homme comme pour le caresser tendrement.
-
Grand-père, quand vous êtes venu me chercher avec grand-mère, tu as dis, il nous a envoyé une lettre… Pourquoi il n’est jamais venu me chercher ?-
Je n’en ai aucune idée. Il a peut-être été dévasté par l’abandon de ta mère, il ne voulait pas lui crée de problème avec la police moldu, avec les autorités magique, avec Marcus. Il avait se nom avec un certain dédain et dégout.
Il ne voulait pas te crée de problème je suppose... D’après ce qu’il disait, il a passait onze ans à te surveiller, à la sorti de l’école, à la sorti de la maison. Il t’a protégé du mieux qu’il a peu. Ne lui en veux pas, ce n’est peut-être pas le père idéel, présent mais je pense qu’il mérite une chance d’être retrouver. » Ambroisine hocha de la tête avant de versé quelque larme, de glisser la photo dans sa poche et de partir en remercia son grand père.
Les trois dernières années passèrent assez vite en réalité, entre les examens, les cours, les sortis à Pré-au-Lard, les devoirs. Par moment elle enviait certaine fille qu’elle côtoyait qui avait un petit ami. Non pas qu’elle était moche, bien au contraire, elle était splendide, elle était devenu une belle jeune fille, grande, brune avec des cheveux long ondulé. De grands yeux verts, la peau claire, des lèvres pulpeuses comme il fallait, elle était devenue une vraie femme, une belle silhouette, svelte, une belle poitrine qui faisait en tourner la tête de certain et un fessier des plus ravissants. Elle avait juste peur, peur de l’inconnu, elle ne se sentait pas prête… elle ne savait pas non plus comment s’y prendre, elle avait peur de passer pour une gauche ou d’être à côté de la plaque. Elle avait tellement vu des filles pleuraient de déception pour des garçons, ainsi que les entourloupes pour coucher avec elle… Ambroisine avait peur de tout ça, et se préférait d’attendre le bon, celui qui fera chavirer son cœur dès qu’elle le verra mais en restera toujours autant inexpérimenté, gauche, trembleuse mais ravissante. Et puis ... elle n'était pas toute seule, elle avait ses deux cousins, les enfants de Paulus et Melania, serte plus jeune qu'elle, mais ils étaient gentil et adorable! Le moment fatidique approcha, le passage des ASPICS. La jeune fille avait prit l’Arithmancie en remplacement de la Divination qui était pour elle une calamité orageuse ! Elle réussi avec triomphe pour sa famille ses ASPICS, elle se senti libérer d’un poids énorme. Elle avait enfin réussi là où sa mère avait échoué et là où elle avait voulu la faire échouer. Ambroisine sorti de Poudlard métamorphosé, changer mais le meilleur ne venait que de commencer. Elle attaquait le cursus secondaire heureuse que sa détermination l’emmène aussi loin !
« La vie est une chance, saisis-la. »
Mère Teresa
Sa première année d’étude en médecine magique se passa plutôt bien, tout était convenable à souhait. La deuxième également, Ambroisine prenait vraiment du plaisir dans ce qu’elle faisait, féru d’apprentissage et de bouquin, elle était heureuse d’apprendre chose qui lui servait pour elle mais surtout pour les autres. Elle apprenait des choses merveilleuses et fit de formidable rencontre. Ce noël si, une chose étrange ce passa. Vous savez-qui devenez de plus en plus fort, le gouvernement avait peur, tout le monde avait peur en faite. Les attaques de mangemort se multipliaient poussant les gens vers la tension, la panique et la peur. Durant les vacances de Noël 1978, un étrange phénomène se produit, le gouvernement avait annoncé un sort qui permettrait de tous nous protéger, on serait tous épargner et en sécurité. Mais rien ne s’était produit, le gouvernement démissionna, ils avaient échoué et semé la peine et la déception au près des sorciers. Mais une chose spectaculaire se passa, quelque jour plus tard, une petite ombre spectreuse suivait de partout Ambroisine, elle n’avait pas de forme spécial, une tâche difforme, indéchiffrable. Ignacius se dirigea vers le ministère travaillant dans les bureaux pour savoir de quoi il s’agissait, les enfants de Paulus et Melania avait cette même ombre bleu qui les suivait de partout. Il s’agissait en réalité de leur patronus, qui petit à petit prenait la forme de leur âme, de leur sensibilité. Petit à petit, Ambroisine vit se dessiner un petit chaton, un tout petit chaton, tigré avec de beaux yeux lumineux. Il avait l’air si petit et mignon, elle le prenait dans ses bras et lui faisait des câlins, ses ronronnements l’apaisait vraisemblablement. Lorsqu’elle était en danger, en proie faible ce petit chaton se transformer en une lionne protectrice et hargneuse. Elle était une forme de protecteur maternel, près à défendre son petit. Ambroisine comme beaucoup d’autre eurent du mal à s’adapter à ce patronus qui les suivaient comme une ombre. Pour Ambroise elle s’habitua assez vite à Fidelis, son petit chaton qui la suivait de partout. Aujourd’hui, Ambroisine vient de réussir sa 3ème année de Médecine. Pour leur sécurité la plus optimal, le ministère de la magie a décidé d’envoyer tous les jeunes et leur patronus sur une île près des états unis afin de les protéger des mangemorts en les ayant regroupé et visible.
Ambroisine serra fort sa famille en faisant sa valise pour partir durant toutes les vacances d’été, elle ne savait pas quand elle reviendrait. Ce qui la consoler c’est que maintenant elle ne serait jamais plus seule, elle aurait toujours Fidelis.