Seize ans ϟ Primaire ϟ Mangouste&Libellule ϟ Née-moldue
Que dire d’Aurore…bien des choses en vérité, mais peu de mots pour la qualifier au fond. Ce qui est sûr est qu’elle est intrépide, ne ratant jamais une occasion de jouer les casse-cous. Elle ne rechigne jamais un bon défi et part plus souvent à l'aventure qu'en salle de classe. Ce n'est pas qu'elle n'aime pas étudier c'est juste qu'elle...elle...bon d'accord elle n'aime pas étudier. Mais ça juste parce qu'elle trouve ça inintéressant. Ça ne va pas assez vite pour elle, les cours ne sont - pour la plupart - pas assez vivants. Pas la peine de préciser que l'Histoire de la magie est le pire d'entre tous pour elle. Ben quoi, tout ça c'est passé non? Alors pourquoi ressasser le passé? Mieux vaut se concentrer sur le présent, voir même le futur. C'était ça qui était important. Avide de découvertes, de faire de nouvelles expériences par ses propres moyens, elle aime sortir des sentiers battus. Et pourtant, ce n'est pas parce qu'elle n'a aucun talent. C'est une jeune fille brillante qui comprend très vite les choses et pourrait faire partie des meilleurs élèves de sa maison...si elle restait concentrée plus d'une minute sur le même sujet. Car au fond, la jeune fille est juste fainéante, ayant la flemme de réaliser certaines choses. Sauf lorsqu'il s'agit de combats ou de sorties en plein air. Aurore - malgré son prénom tout droit sorti d'un conte de fées - n'est pas du genre à se lamenter sur son sort, loin de là. Elle va au devant des problèmes, au devant des emmerdes. Elle fonce tête baissée, ce qui parfois l'amène dans des situations peu commodes dont elle peine à se sortir, mais ce, toujours avec un sourire accroché aux lèvres. C'est sa marque de fabrique, un grand sourire et un tempérament bouillonnant de vie. Mais ne lui dites pas qu'il faudrait qu'elle médite plus ses actes avant de les effectuer car elle déteste qu'on lui dise quoi faire. Aurore, c'est un peu une rebelle. Mais seulement si on la cherche. Elle peut alors se montrer rusée et sournoise pour parvenir à ses fins...mais jamais bien longtemps. Car pour ses amis, elle reste loyale et juste. Généreuse, aussi, Aurore c'est une personne au cœur d'or, un vrai rayon de soleil. Et si quelqu'un a besoin d'aide elle n'hésitera pas à se proposer, quitte à risquer sa propre vie. Courage ou stupidité, à vous de juger, mais elle est bien dans ses baskets et ça se sent. (non je ne parlais pas de l'odeur de ses chaussures, roh!)
Certaines personnes qualifieraient Aurore de quelqu'un de 'bizarre', celle-ci partant parfois dans des délires que seule elle peut comprendre, lui valant quelques regards lourds de sens. Mais elle n'est pas folle. C'est juste qu'elle arrive à se faire rire elle-même. Plutôt cool, non? Elle est du genre sociable, mais ne se laissera jamais marcher sur les pieds. Elle a du répondant et autant elle peut être gentille et généreuse - si cela n'implique pas de devoir trop travailler - autant elle sait se défendre et sortir sa baguette à la moindre provocation. Gare aux langues qui fourchent donc. Sa baguette est d'ailleurs composée de bois d'érable contenant une plume de phénix et mesure 29,5 cm de long. Elle la garde toujours avec elle. On ne sait jamais, elle pourrait très bien croiser un serpentard au détour d'un couloir, qui sait? Mais il faut dire que sa bonne étoile ne lambine pas avec elle, car elle reste malgré tout une jeune fille assez chanceuse, voir même très chanceuse. Même en sport elle a de la chance...bon elle a aussi des capacités, il faut l'avouer. Malgré qu'elle n'ai pas beaucoup de force, elle a une grande endurance et une volonté d'acier. La course, c'est son dada. Elle se débrouille également assez bien sur un balai, et avec sa chance qui ne la quitte décidément pas, il est rare de la voir se prendre un cognard. Mais qu'importe la chance, car Aurore est une battante, une vraie. Pourtant, s'il y a bien une chose qui la terrifie, c'est bien ses proches. Car comment ne pas être vulnérable lorsque l'on s'attache à des personnes. Elle a déjà perdu ses parents, et elle ne supporterait pas de voir quelqu'un d'autre mourir. Surtout si cette personne est proche d'elle. C'est pourquoi son épouvantard n'est autre que le cadavre de sa grand-mère, inerte. Sans vie. Elle en cauchemarde même parfois, laissant les larmes couler le long de ses joues, les yeux alors effrayés et suppliants. Saleté d'épouvantard.
Une Mangouste. C'était la première forme que prenait son patronus. Le petit suricate faisait un compagnon surexcité, toujours prêt à partir à l'aventure, bondissant sur tout ce qui bouge..quitte à se mettre parfois dans des situations incroyables voir humiliantes. Mais qu'importe, le mammifère ne tient pas en place et déborde littéralement d'énergie. Ce qui correspond tout à fait au caractère énergique et aventureux de la brune..quoique à force, son entrain tape un chouilla sur le système. Mais qu'importe, qui se ressemble s'assemble comme on dit. Et ces deux là font décidément la paire, et ce depuis leur première rencontre à la ferme. Une mangouste parlante, qui l'eût cru? Mais après tout dans un monde magique, il fallait s'attendre à tout. Les deux compères partagent donc tout désormais, que ce soit leurs blagues et farces aux autres élèves ou leurs pensées personnelles, leurs confessions. Bounty a du souci à se faire tant ces deux-là sont proches....ou pas. Car le hibou restait son fidèle compagnon de toujours malgré l'arrivée de la mangouste. Plus on est de fous plus on rit, n'est-ce pas?
Une libellule. Voilà la deuxième forme de son patronus. Contrastant avec l'intrépide et tonique mangouste, la libellule revêt l'aspect fragile de la jeune fille, son côté rêveur. Dotée d'un caractère bien trempée, la jeune fille peut parfois se sentir un peu seule, ayant envie de changer d'air. Et quoi de plus exaltant que la sensation de voler? Mais les oiseaux ne sont pas les seuls à pouvoir le faire. Certains insectes aussi peuvent battre des ailes pour s'élever dans les cieux. Or les libellules sont à la fois discrètes, tranquilles et belles...bon ok peut-être pas de près, mais lorsqu'elles volettent au-dessus du lac alors que le soleil se couche, il faut avouer que le spectacle est magnifique. Mais là encore, gare à leurs fesses! Car les batraciens sont aux aguets et se délecteraient bien d'une ou deux de ces fées bleues. Vole Timon, vole!! Derrière toiii!!
« Bonsoooir, où est-ce que vous voulez vous assire à mon avis? »
Aurore est née un certain 2 mai 1963 en Irlande. Ses parents, tous deux moldus, tenaient à elle comme à la prunelle de leurs yeux. Et la petite brunette le leur rendait bien, les couvrant de bisous et leur demandant sans cesse une histoire pour s’endormir. Mais hélas, le bonheur de la petite famille ne dura pas éternellement. Un beau jour, alors que les deux parents travaillaient ensemble dans leur laboratoire où ils tentaient de trouver un remède contre le cancer, une expérience tourna mal..très mal. Tués par une explosion due à une erreur scientifique, eux et plusieurs de leurs amis chercheurs moururent ainsi tragiquement, laissant la petite Aurore seule derrière. Mais heureusement pour elle, il lui restait encore une personne. Une dernière relation familiale qui pourrait la sauver de toute cette tempête dans laquelle elle se trouvait plongée. Il lui restait sa grand-mère, une londonienne pure souche. Et sorcière en plus de ça. Aurore lui avait déjà rendu visite une ou deux fois mais elle ne se rappelait pas bien d’elle sinon de son thé et de ses biscuits secs. Elle aimait l’Irlande, sa maison et la vie qu’elle vivait avec ses parents. Elle ne voulait pas quitter sa terre natale pour aller vivre chez une vieille dame qu’elle ne connaissait presque pas. Mais elle n’avait pas le choix. Et au bout du compte, la vieille dame n’était pas si horrible...malgré le fait que le thé et les petits biscuits secs étaient toujours présents. Mais bon, ce n'était qu'un détail.
« Oh my god, oh my god ! Oh-My-God! AMAAAAZIIIING!! »
Aurore avait grandi depuis l’accident qui avait coûté la vie à ses parents. Elle avait accepté leur mort, bien qu’ils lui manquent toujours cruellement. Elle habitait désormais dans la petite ferme de sa grand-mère, aux abords de Londres. Elle adorait sa vie, ainsi que sa grand-mère. Toutes deux s’occupaient de la petite ferme en se serrant les coudes, s’entraidaient pour les tâches du quotidien et se racontaient des histoires lorsqu’elles n’arrivaient pas à dormir. Elle ne pourrait pas remplacer ses parents, mais elle avait rendu la douleur acceptable, la vie plus joyeuse. Lors de ses sept ans, elle lui avait même acheté un hibou. Drôle d’animal de compagnie à vrai dire, mais la brune s’était tout de suite attaché à lui et l’avait renommé Bounty en raison de son adoration pour les friandises du même nom et de la couleur blanche de son plumage. Dès lors, Bounty et elle étaient devenus inséparables, à la grande joie de la vieille qui lui avait dit : « Gardes-le toujours à tes côtés, un jour, il te sera très utile. » La petite n’avait pas compris comment un hibou pouvait se rendre utile mais elle n’avait rien dit, ne voulant pas vexer sa grand-mère. Parfois, elle ne la comprenait pas toujours. Lorsqu’elle reçut sa lettre pour entrer à l’école de sorcellerie Poudlard, sa grand-mère fut terriblement contente pour elle, se remémorant tous les bons souvenirs qu’elle-même avait eu lorsqu’elle était jeune. Mais la séparation fut également très dure, aucune des deux ne voulant se séparer de l’autre. La jeune fille promis de lui envoyer une lettre chaque semaine et de revenir à chaque vacance et la vieille la serra fort dans ses bras. Mais qui dit magie dit obligatoirement équipement, et le départ pour Poudlard n’était pas encore imminent. Alors la grand-mère proposa d’apprendre quelques petits trucs à sa jeune protégée, l’amena sur le chemin de Traverse afin de faire les quelques emplettes nécessaires et lui fit un clin d’œil lorsque la brunette vit qu’on pouvait prendre un hibou comme animal de compagnie. Sa grand-mère avait-elle déjà su que la jeune fille se prédestinait à devenir sorcière ? Sinon pourquoi lui aurait-elle acheté ce hibou lors de son septième anniversaire ? Bounty commençait à se faire un peu vieux et stressé, perdant des plumes à chaque fois que la brune faisait quelque chose de dangereux, mais il n’en restait pas moins son fidèle compagnon de voyage. Et Aurore fut en extase quand elle comprit qu’elle n’aurait pas à le laisser à la ferme. Sa grand-mère était vraiment un ange.
« Tout d'abord je s'escuse, je s'escuse d'avance de qu'est-ce qui va t'arriver. »
Poudlard était la meilleure école qu’elle n’avait jamais fréquentée. La plus grande, la plus belle, la plus enrichissante, la plus…magique. Aurore avait toujours eu des facilités en classe, comprenant vite ce qu’on attendait d’elle, analysant avec une facilité déconcertante certaines situations. Mais son penchant à la fainéantise freinait son talent. De ce fait, elle ne se retrouva jamais dernière de la classe, mais ne finit jamais première non plus. Malgré les encouragements ou les sermons des professeurs, elle s’en fichait. Elle ne travaillait que ce qui l’intéressait et dès que ça devenait trop long ou trop abrutissant, elle se déconnectait, préférant lancer des boulettes de papier ou faire des dessins sur les marges de ses cahiers. Il fallait donc constamment la stimuler, capter son attention pour la voir réellement progresser et donner le meilleur d’elle-même. S’il n’y avait pas de challenge, pas de jeu, aucun mystère, alors elle passait son tour. C’était une fonceuse, une tête brûlée. Elle relevait chaque défi avec courage - ou inconscience, tout dépendait du point de vue. Et son tempérament de feu faisait battre plus vite le petit cœur de Bounty, son hibou. Il se faisait constamment du mouron pour elle. Elle voulait le tuer ou quoi ? Mais quand le hibou tentait de le lui faire comprendre, elle se contentait juste d’éclater de rire en lui disant qu’il devait se déstresser.
Arriva alors le mois de Décembre et les vacances de Noël. Aurore était en cinquième année désormais et, comme pour chaque vacance, elle rentrait à la ferme voir sa grand-mère. Seulement cette année-là, quelque chose d’étrange se produisit. Alors qu’elle s’amusait dehors avec Bounty, une petite voix fit irruption dans sa tête. S’arrêtant, elle fronça les sourcils, regardant autour d’elle. « Derrière toi. » lui dit la voix. Se retournant, elle ne vit que le petit étang gelé, là où elle s’amusait en été à faire peur aux grenouilles, désapprouvée par un Bounty impuissant. Mettant les mains sur les hanches, elle se dit que quelqu’un était en train de lui jouer un tour. Mais la voix reprit de plus belle, toujours avec les mêmes mots. Faisant volte-face, elle ne vit rien ce qui commença à l’agacer. Puis elle aperçut quelques mètres plus loin un petit mouvement du côté de la grange. Si la jeune fille aimait les défis, elle n’en restait pas moins brave et intrépide dans la vie quotidienne. Elle n’avait tout simplement pas peur. La pire chose qui soit serait de voir mourir ses proches et, pour elle, c’était déjà fait. Aussi protègerait-elle sa grand-mère coûte que coûte, et ce quoi qu’il arrive. Si un petit malin avait décidé de se faufiler dans leur ferme, elle allait le chasser de ce pas, adulte ou pas. Serrant les poings, Bounty hululant en signe de désaccord, battant de ses ailes blanches immaculées pour faire changer d’idée Aurore, elle l’ignora. En fait, c’était lui qui reflétait sa peur. Bounty et elle étaient comme des frères depuis qu’il arriva dans la famille. Le hibou était comme une partie d’elle. Mais elle n’imaginait pas qu’il existe un animal qui la complète encore plus. Alors qu’elle entrait dans la grange, attrapant une fourche qui était posée non loin, elle commença à épier l’endroit méticuleusement, cherchant où s’était caché l’importun. Quand tout à coup, quelque chose arriva dans son dos et se jeta sur elle en poussant un grand cri. « TAIOOOOH !!! » Sursautant, n’ayant pas le temps de faire quoi que ce soit, elle se retrouva à terre. Écarquillant les yeux, une mangouste était posée sur son ventre et riait à s’en tordre le ventre. « Tu devrais voir ta tête !! Hahaha la bonne blague ! Non mais regarde ta tronche sérieuse, haaaa !! » Roulant sur le sol, l’animal se tordait de rire. Elle n’était pas championne en géographie, mais elle aurait juré qu’il n’y avait aucune mangouste dans les environs de Londres. Sauf au zoo peut-être. Mais pas des mangoustes parlantes en tout cas. Se disant que ce devait être un rêve, elle tenta d’ignorer la chose. Mais celle-ci semblait bien décidée à la suivre et elle se mit alors à courir en direction de la ferme, voulant montrer l’animal à sa grand-mère. Ce n’est que quelques heures plus tard, que sa grand-mère lui révéla que tous les enfants sorciers s’étaient vus affublé d’un patronus en guise de compagnon. Elle regarda alors la mangouste avec des yeux émerveillés…jusqu’à ce qu’elle découvre que celle-ci était en train de danser la macarena. Non mais sérieusement, est-ce que tous les patronus étaient comme ça ? Et Bounty ne put s’empêcher d'hululer en signe de soutien. Décidément, le monde magique lui réservait encore bien des surprises.
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ϟ pseudo et âge: Sousou et 1000 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? By my sister >< (Némésis) ϟ Personnage: Inventé ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non ϟ Présence: Quand je viendrai XD ϟ Une remarque? FUCK !!!
Dernière édition par Aurore Leroy le Mar 6 Aoû - 12:14, édité 12 fois
oh mon dieu *arrêt cardiaque, réanimation, reprise d'esprit* VIKA LEVINA LA PLUS BELLE GOSSE DE TOUTE LA PLANETE ET MEME DE L'UNIVEEEEEEERS bienvenue jeune phoque