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fantôme du passé. (rueben)
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Message fantôme du passé. (rueben)
par Invité, Dim 8 Sep - 17:34 (#)
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Rueben Hoover
FEAT. Dudley O'Shaughnessy
19 ans ϟ Secondaire, cursus ordinaire ϟ Un loup et un moineau ϟ Né-Moldu

Rueben est un antagonisme sous sa forme brute. Une lutte artificielle subsiste entre son corps et son âme. Son enveloppe charnelle s'effrite, se course de nombreuses scarifications ou cicatrices et s'embellit sous les bleus entachant sa peau mordorée. Il ne ressent que quelques fourmis sous cette absence de douleur. Il souffre d'une asymbolie particulière, due à une enfance étayée par la violence de son père. Cette abstraction a fait de lui une personne nouvelle et a provoqué un changement radical dans ses pensées et son caractère craintif. Son éthique en a été bouleversée et sa moralité peu stricte l'a démuni de bons principes. Il est devenu tendancieux et n'éprouve aucun scrupule à étouffer autrui. Il fait preuve de fines manipulations pour entraîner ses victimes dans les jeux violents que lui faisait subir son père lorsqu'il était enfant. Marqué par la profondeur du sadisme de son géniteur, il est en proie à être un joueur incontestable qui se plaît à user de son intelligence pour mieux détruire et s'amuser de ses pions. La vie est un échiquier géant selon lui. Il recherche une reine, la perfection, si celle-ci existe, dans le seul but évident de la briser. Éprouvant un besoin obsessionnel d'anéantir la vision du beau dans la société, il s'est découvert une incapacité à s'adapter dans certaines circonstances. C'est une force violente que quiconque ne peut travailler. Il est impoli, indélicat et brutal, car ne connaît par le concept de la douceur. En vérité, il cache une sensibilité douloureuse, car il n'arrive pas à l'exprimer avec de simples mots. Alors il fait mal, il détruit, il monte aux autres ce qu'il a vécu. Mais qui pourrait se douter d'un passé si lancinant ? Rueben ne croit pas en la bonté de l'être-humain. Il n'est d'ailleurs pas à l'aise avec les rapports de sociabilité et de communication. Inquiet, il est en proie au scepticisme et au pessimisme. Il est craintif et se montre hargneux par peur d'être de nouveau blessé. Les seules choses en quoi il croit sont purement cartésiennes. Il peut les voir, les sentir, les toucher. Il s'agit là d'une logique pure mais ce sont bien sur ces fondements qu'il se base. La prudence et la méfiance sont devenues deux mots d'ordre selon lesquels il dicte sa vie et plus spécifiquement ses choix.


a little something from you.

Il était arrivé et avait surgi de nulle part. Il l'avait observé longuement avec un regard noir. Ses poils grisaillés lui donnaient une férocité inquiétante. Les babines retroussées, les crocs jaunis comme si le sang de sa dernière proie avait pris le temps de se décomposer, le regard brillant d'une lueur obscure... Il se serait certainement révulsé sous la peur de se faire égorger par ce loup commun. Mais l'animal lui semblait étrangement familier. Quelque chose empêchait les battements de son cœur de s'affoler. Il se revoyait en cet animal sauvage aux abords si craintifs. Il n'en était que plus dangereux, car il lutterait éternellement pour sa survie. Comme il l'avait fait durant son enfance, alors que son père prenait un plaisir malsain à le torturer. Il en était sorti plus fort, grandi. Il était devenu cette bête sauvage qui dominait par sa force, par son acharnement, par ses envies profondes de vivre. Mais il survivait. Ce loup majestueux se mutait en une espèce de petite merveille. Il n'en fut que plus surpris lorsqu'il vit que le statue imposante de ce chasseur avait disparu. Mais une voix l'avait appelé en un murmure. Une simple pensée. Il avait alors levé la tête et aperçut un oiseau délicat voltiger dans ce ciel limpide. Il s'était métamorphosé en un électron libre, en un moineau. Cet oiseau était devenu sien. Il était devenu cette âme enjolivée par la beauté d'un monde qu'il ne respectait pas lui-même. Il représentait ses rêves, ses espoirs, tassés dans un gouffre au plus profond de lui-même. Son plumage délicat était de plusieurs couleurs. Du brun se mêlait au beige et au gris. Il se nuançait par des couleurs automnales. Il était petit mais certainement plus vorace que ces oiseaux imposants qui trônaient fièrement sur un pilier.
Son patronus avait pris vie au cours de sa dernière année dans le cycle primaire. Il n'avait d'abord pas voulu le nommer, ni s'attacher, pensant que celui-ci disparaîtrait quelques semaines plus tard. Mais le temps s'écoulait. Les choses ne bougeaient pas. Il l'avait surnommé Tesgarr. Ce prénom reflétait l'essence même du guerrier. Il tintait de façon digne et agressive à la fois, ressemblant à ces tueurs viles qui n'avaient foi en rien d'autre qu'en la mort. Il était devenu sa seule échappatoire ou sa bouffée d'oxygène, celui à qui il pouvait se confier et raisonner sans être constamment sur ses gardes.
Rueben a accepté Tesgarr et le considère aujourd'hui comme faisant partie intégrante de sa vie.
 


You're not a sad story.

Juillet 1967, en Angleterre.
« RUEBEN ! » Il hurla son prénom tinté d'agressivité. Sa voix dure et fière portait dans toute la maison. Il était terrifié. Ses grands yeux verts ouvraient la porte d'un gouffre noir où une lueur s'éteignait. La crainte sommeillait au fond de lui. Il courut aussi vite qu'il le put pour se cacher dans son armoire. Il s'y cachait toujours. Il se recroquevilla sur lui-même, collant ses genoux contre son torse fragile. Ses bras s'enroulèrent autour de ceux-ci comme deux serpents autour d'une même proie. Il posa son menton et ferma les yeux en espérant que ça n'était qu'un cauchemar. Un bruit de pas s'approchait. Les battements de son cœur s'accélérait inlassablement, tambourinant à vive allure dans sa poitrine. La porte de sa chambre grinça et se claqua contre le mur. Il tressaillit. « Viens ici p'tit con ! » Son père lâcha un grognement. Il était en colère. Il ne cessait de l'être depuis ces derniers temps. Il lui répétait sans arrêt qu'il avait gâché sa vie et qu'il n'aurait jamais dû avoir d'enfant. Tout était de sa faute. Il l'entendit s'avancer d'un pas. Il emprunta une lenteur exagérée. La nervosité le gagnait à nouveau. Son géniteur s'approchait de l'armoire dans laquelle il se trouvait. Silence. Il tapa comme un forcené sur le meuble, à tel point qu'il crut que celui-ci allait se briser. Rueben hurla à pleins poumons. Mais sa mère ne viendrait pas. Non. Elle ne venait jamais. Il mit ses mains sur ses oreilles et cria. Il hurlait sans but précis. La porte en bois s'ouvrit et ce dernier l'attrapa brutalement par le bras pour le tirer de là. Son étreinte était douloureuse. Il avait l'impression que ses os se brisaient sous la violence de sa poigne. Les premières larmes perlèrent au coin de ses yeux et glissèrent sur ses joues empourprées. Il avait mal. « Tu pleurniches encore !? Je n'ai pas besoin d'une fillette dans ton genre ! » Une gifle s'abattit sur son visage. Sa peau rougit instantanément sous l'impact du choc. Il ravala ses larmes pour le rendre fier, pour lui faire honneur. Et peut-être était-ce ce qu'il y avait de pire dans cette relation. Il voulait que son père soit fier de lui.  Il le projeta sur le lit et retira sa propre ceinture. Il la fit claquer une fois au sol et le bruit le paralysa. Le garçonnet voulut s'enfuir, sautant hors du lit pour atteindre la porte, mais il le fouetta avec une si grande force qu'il tomba à terre, sous un hurlement. Les larmes coulaient sans qu'il ne puisse empêcher de faire jaillir ces flots salés. Son père réitéra son geste une nouvelle fois. Une marque sanglante tapissait son t-shirt blanc qui s'imprégnait de ce liquide pourpre. Rueben ferma les yeux et attendit. Il attendit que celui-ci en finisse. Les pleurs, les cris, la douleur ne le quittèrent pas. Ils ne le quittaient plus depuis qu'il se faisait battre par l'une des deux personnes en qui il avait placé sa confiance.

Septembre 1971, à Poudlard.
Il scrutait chaque élève assis sur ces quatre longues tables érigées devant lui. Elles semblaient avoir traversé les années et supporté quelques milliers de personnes sans se plaindre. Ils avaient les yeux rivés sur lui, comme s'il n'était qu'une vulgaire bête de foire. Il se sentait gêné, intimidé par tous ces regards curieux. Il leva ses émeraudes en direction du ciel. C'était magique, extraordinaire. De véritables nuages s'amassaient au-dessus de leurs têtes. Quelques lumières les éclairaient pour les rendre un peu plus envoûtants qu'ils ne l'étaient déjà. Le plus impressionnant était le regard que portait sur lui le corps enseignant de Poudlard. Ils étaient tranquilles, sereins et l'un d'entre eux lui sourit. Il ne put s'empêcher de se détourner pour regarder droit devant lui. C'était à son tour, il le savait. Lorsqu'il avait entendu son nom, il avait tressailli. Cette voix forte et portante lui avait fait penser à son père, quand celui-ci l'appelait pour le tabasser quelques minutes plus tard. Il s'avança d'un pas lent, scrutant les environs dédaigneusement. Il était méfiant, craignait que ce chapeau parlant soit posé sur sa tête. Il n'aimait guère cela. Il était bizarre. Ses parents le lui avait toujours reproché. Oui. Il était différent. Il était en phase de devenir un sorcier et d'appartenir à une communauté qu'il découvrait tout juste. Il se posa sur le tabouret, le cœur battant. Qu'allait-il se passer ? Il avait chaud, horriblement chaud et son estomac se tordait. Le chapeau parla pour décrire quelques-unes de ses caractéristiques. Il se posait les bonnes questions et semblait trouver les réponses dans ses pensées. C'était déroutant. Lorsqu'il prononça son verdict avec assurance, il crut perdre pied. Qu'est-ce que cela signifiait au juste ? Il était classé comme du bétail dans une maison qu'il ne connaissait pas. Des applaudissements jaillirent de part et d'autre de la pièce. Il dût se diriger vers l'une des tables du fond pour s'asseoir au côté d'autres élèves de son âge. Il n'était pas normal. Il était bizarre. Il le fit et s'en accommoda. Plus personne ne fit attention à lui, comme s'il avait été effacé de l'esprit de chacun, comme s'il en était devenu inexistant. Certains se pressaient encore pour savoir où ils allaient être réparti. Ce moment de stress intense créa un déséquilibre en lui et il lui fallut attendre de regagner son dortoir pour retrouver un semblant de stabilité intérieure.

Mars 1979, à Poudlard.
Il était posé contre un rocher relativement imposant, à la lisière de la forêt interdite. Il s'alertait au moindre bruit ou mouvement. Ses cinq sens fonctionnaient en parallèle, éveillant ses soupçons dès qu'une brise de vent mouvait les feuilles mortes d'un arbre. Tesgarr surveillait ses arrières par pure précaution. Ils étaient tous deux prudents, se couvrant mutuellement. L'apparition de son patronus avait été une véritable aubaine pour lui. Cette partie vivante de son âme lui permettait d'avoir une compagnie en laquelle il pouvait mettre toute sa confiance. Il ne pouvait pas le trahir et l'abandonner. Les douleurs étaient trop fortes et intenables à ce qu'il avait pu entendre. Les échos de quelques élèves imprudents lui étaient revenus par les rumeurs qui se propageaient dans le château. Il n'avait jamais imaginé pouvoir briser ce lien si spécial qui les unissait, car ils faisaient partie l'un de l'autre. Ils se représentaient, se protégeaient et se vouaient un respect mutuel. Il n'aurait sans doute pas pu espérer mieux qu'un loup abrupte ou un moineau idyllique. C'était spirituel et fascinant. Comment cela avait-été possible ? Il n'aurait su le dire et n'avait même jamais pensé à en avoir les réponses. Le secret résidait dans la brume mystérieuse qui entourait les élèves de Poudlard. D'autres sorciers étaient-ils touchés dans les autres écoles de magie qu'arborait le monde ? Peut-être. Le feuillage d'un buisson s'ébruita soudainement. Surpris, ils se retournèrent en sa direction. Les crocs sortis, Tesgarr grognait agressivement en direction de ce plant. Rueben plissa les yeux. Un petit animal en sortit. Il s'agissait d'un rat comme il y en avait souvent à Poudlard. Il était parmi les seuls animaux à être acceptés dans le château, en plus des chats, des hiboux et chouettes. Tous d'eux se crispèrent avant de se reposer de nouveau. Il n'y avait sans doute pas de quoi s'affoler. Mais en proie à la prudence, ils partirent en direction du parc. Il y avait des dizaines d'élèves discutant, jouant ou se baladant avec de multiples animaux. Le jeune homme cherchait quelque chose du regard et contemplait les figures féminines qui se pavanaient devant lui. Celle-là. Il lança un regard empli de noirceur au loup. Ce sera notre prochaine proie. Lui répondit Rueben en pensée. Ils se mirent d'accord d'un simple mouvement de la tête et s'avancèrent en direction de cette inconnue qui ignorait l'Enfer qu'elle allait devoir affronter.


Tell me who you really are.

ϟ pseudo et âge: river., 17 ans.
ϟ Où as-tu trouvé le forum? Dans ma poche en fait.
ϟ Personnage: Inventé.
ϟ As-tu un autre compte sur BP? Ebenezer leplusmieuxleplusbeauleplusparfait Crabbe.
ϟ Présence: Tous les jours. Screwyou
ϟ Une remarque? Hot 


Dernière édition par Rueben Hoover le Mar 10 Sep - 2:42, édité 13 fois
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Message Re: fantôme du passé. (rueben)
par Invité, Dim 8 Sep - 17:37 (#)
PREM'S!!!

OMG il est juste....bave Bravo pour ce deuxième perso, je voudrais OBLIGE un lien qui tue avec Rubis **

PS: dis-moi si mon message te gêne je supprimerais Daengelo
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Message Re: fantôme du passé. (rueben)
par Invité, Dim 8 Sep - 17:40 (#)
Re-Bienvenue Brille
J'ai hâte de RP avec ton jeune homme hihi
& bon courage pour ta fiche, Beben-chou Daengelo
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Message Re: fantôme du passé. (rueben)
par Invité, Dim 8 Sep - 17:43 (#)
    Némésis A. Malefoy a écrit:
    PREM'S!!!

    OMG il est juste....bave Bravo pour ce deuxième perso, je voudrais OBLIGE un lien qui tue avec Rubis **

    PS: dis-moi si mon message te gêne je supprimerais Daengelo
    Brille 

    Merci. Je mets un lien de côté, le Nem chinois. Hot 

    Ton message ne me gêne pas. hihi

    Emya A. Potter a écrit:
    Re-Bienvenue Brille
    J'ai hâte de RP avec ton jeune homme hihi
    & bon courage pour ta fiche, Beben-chou Daengelo
    Merci, babe. Brille 

    Non, nous n'avons pas du tout déjà décidé d'un lien. Vous vous trompez tous en lisant ce message. Perv ! 
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Message Re: fantôme du passé. (rueben)
par Invité, Dim 8 Sep - 17:45 (#)
Rebienvenue Haww

Hâte de voir comment il va être =)
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Message Re: fantôme du passé. (rueben)
par Invité, Dim 8 Sep - 17:47 (#)
    Merci. Haww 
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Message Re: fantôme du passé. (rueben)
par Invité, Dim 8 Sep - 17:51 (#)
Rueben a écrit:
    Merci, babe. Brille 

    Non, nous n'avons pas du tout déjà décidé d'un lien. Vous vous trompez tous en lisant ce message. Perv ! 

Comment tu oses nier ?! GNOE
Notre lien y rox. Hen !
Daengelo Daengelo 
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Message Re: fantôme du passé. (rueben)
par Invité, Dim 8 Sep - 17:52 (#)
    Fallait pas le dire. Ils vont tous m'ennuyer pour en avoir maintenant. GNOE
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Message Re: fantôme du passé. (rueben)
par Invité, Dim 8 Sep - 17:53 (#)
*Tatoue son prénom sur le body de Dudley*
Avec ça, tu seras tranquille darling. Silvfèlechaud Daengelo 
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Message Re: fantôme du passé. (rueben)
par Guest, Dim 8 Sep - 17:58 (#)
Re bienvenuue Haww
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Message Re: fantôme du passé. (rueben)
par Invité, Dim 8 Sep - 18:03 (#)
Re bienvenuue Daengelo
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Message Re: fantôme du passé. (rueben)
par Guest, Dim 8 Sep - 18:04 (#)
(re)bienvenue Daengelo
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Message Re: fantôme du passé. (rueben)
par Invité, Dim 8 Sep - 18:10 (#)
    Emya A. Potter a écrit:
    *Tatoue son prénom sur le body de Dudley*
    Avec ça, tu seras tranquille darling. Silvfèlechaud Daengelo 
    Tu dégages d'ici, Emya. heh 

    Braonàin N. Stratton a écrit:
    Re bienvenuue Haww
    Merci. Haww 

    Roshario Brown a écrit:
    Re bienvenuue Daengelo
    Merci. Daengelo

    S-T. Artemis Beauchamp a écrit:
    (re)bienvenue Daengelo
    Merci. Daengelo
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Message Re: fantôme du passé. (rueben)
par Invité, Dim 8 Sep - 18:10 (#)
Rebienvenue Daengelo
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Message Re: fantôme du passé. (rueben)
par Invité, Dim 8 Sep - 18:13 (#)
    Merci. Daengelo
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Message Re: fantôme du passé. (rueben)
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