20 ans ϟ Médicomagie ϟ Dalmatien || Panthère Noire ϟ Sang Pur
« Vous donnez une description de ce que je suis? Cela va être difficile à faire. Je pense que personne ne peut vraiment savoir qui il est, à moins bien sur d'être un de ces sages qui croient tout savoir. Évidemment, comme tout être présent dans ce bas monde, je pourrais vous donner quelque traits qui me caractérise mais ce ne serait vous donner que le points de vue de ceux qui m'entoure.
La plupart des personnes qui me côtoie dirons que je suis ce genre de fille plutôt discrète, qui reste dans ce coin à attendre que le temps passe. Bien gentiment. Et ils ont raison, j'attends que le temps passe, gentiment. Mais lorsque vous êtes issu d'une famille comme la mienne, il est nécessaire, presque vital, d'attendre patiemment que le temps passe, sagement dans votre coin. Ils vous dirons aussi que je ne suis pas vraiment bavarde, sans compter qu'il m'est impensable de donner mon opinion sur une suggestion faite par l'un de mes parents. Ils sont le pilier de tout, c'est grâce à eux seuls si notre lignée est d'une telle élégance et qu'elle est tellement ancrée dans le temps et l'espace que maintenant. Je ne peux et ne dois contester leurs autorité. De toute manière, a quoi bon le faire? Je n'en tirerais aucuns intérêts, bien au contraire je pourrais en payer le prix fort. Les McLeod ne sont pas des bons à rien, des bâtards de second rang. Il faut être digne de porter ce nom et c'est pour cela qu'aucunes règles ne doivent être transgressées. Pour le moment, suivre les règles imposées me réussi bien. A vrai dire, tout ce que je touche se transforme en or. Voyez vous même! Je suis des études en médicomagie qui sont un énorme succès, la danse n'a plus de secrets pour moi et je n'ai pas grands choses à faire pour qu'on me serve ce que je désire sur un plateau d'argent. Je n'ai qu'à plisser des yeux en fait. Mon nom est une de mes nombreuses armes car les McLeod sont, pour la plupart, craint et détestés par la majorité du peuple. Mais bon, pourquoi ne pas profiter des avantages que la vie nous offre n'est-ce pas? »
Ce que la jolie rousse oublie de nous dire, c'est que ce descriptif n'est que ce qu'elle reflète aux premiers abords et uniquement entre les murs de l'école. En réalité, Anna cache un lourd passé qui ne cesse de traîner derrière elle, tel un boulet accroché à son pied. Elle ne semble pas pouvoir s'en défaire, comme si l'attache était plus puissant que n'importe quel sortilège. Cette partie d'elle même, elle ne souhaite pas la dévoiler car elle en a presque honte. Son nom de famille, comme elle en parle si bien, la consigne dans un moule bien dessiné par ses parents et toute l'éducation qui en découle. Dirigée depuis son enfance vers l'excellence qu'oblige leurs lignée, Anna n'a pas connu les joies des moments de tendresses et de partage qu'une famille se doit d'offrir. C'était tout le contraire. La rousse a dut subir la pire des tortures en écoutant les critiques et les absurdités prononcées par les membres de sa fratrie. Depuis toute petite, elle est la risée de tous et la proie à n'importe qu'elle méchanceté verbale. A l'heure où les frères et sœurs jouaient dans leurs chambres, bien gentiment en attendant le dîner, elle, était cachée dans la sienne, tenant de contrôler ses pleurs suite à l'abandon des siens au cours de leurs parties de "cache-cache" ou de "loups touché". Pour un enfant de cet âge là, ce pouvait être un véritable traumatisme. Certes, Anna est forte, ça elle la très bien fait comprendre. Mais ce passé n'en reste pas sa plus grosse faiblesse pouvant l'atteindre au plus profond d'elle même si jamais on venait savoir où piquer.
Au fur et à mesure de sa croissance, et celle de ses frères et cousins, cette peine s'est apaisée laissant place à un contrôle de soi affolant et déroutant pour son âge. En effet, Anna est d'un calme remarquable, même dans des situations où la plupart des personnes bien dans leurs corps perdraient rapidement les pédales. Elle incarne ce personnage mystique mystérieux d'une beauté renversante, presque horrible tant il est difficile de ne pas succomber. Sofia, de son deuxième prénom, est cette fille qui passe à côté de vous en vous frôlant pour laisser derrière elle un simple zeste de son parfum perdu dans une petite brise qui s'évapore à la seconde où elle est passée. On se souvient d'un tel visage, d'une telle pureté. Mais on en a peur aussi, surtout lorsqu'on en apprend le nom.
a little something from you.
La première fois qu'Anna a été confrontée au phénomène des patronus, c'était lors d'une des nombreuses promenades que la demoiselle peut faire, surtout en période hivernale. Elle était en train de lire sur un banc pour tenter de trouver la paix après une énième mesquinerie de son frère cette fois-ci. Loin de la demeure familiale, c'est là qu'elle était le mieux. Le nez dans son bouquin la jolie rousse avait un sentiment bizarre, celui d'être observée depuis un bon moment déjà. Mais ce n'était pas comme si la personne assise devant vous vous regardait, non, c'était quelque chose d'autre.. Plus léger, plus intriguant aussi. Et ce n'était pas par vague, c'était constant cette sensation qu'elle avait. Au bout d'un moment, alors qu'elle venait de finir un chapitre et qu'elle ne trouvait toujours pas le calme absolu à for ce de se remémorer ses souffrances, elle releva la tête pour la tourner instinctivement vers sa droite. C'était comme si quelque chose l'y avait poussée et ce quelque chose, la rousse fut figée en la voyant pour la première fois. Ce fut rapide, presque autant qu'une éclair au cours d'un orage. Une silhouette noire, de longues moustaches et un regard jaune perçant. Un chat? Non c'était plus gros cette fois-ci. Avec cette couleur de pelage, ce ne pouvait être qu'une seule chose mais que ferait une panthère noire ici, dans un parc de Londres? La jeune femme resta la bouche-bée durant plusieurs longues minutes avant de revenir à la réalité. Elle venait d'apercevoir son patronus. Sa mère lui en avait déjà touché deux mots mais elle n'avait jamais été confronté à lui. Cette première fois la laissa donc perplexe. Il était partit si vite, dès que leurs regards s'étaient croisés. Pourquoi?
Alors qu'elle n'avait pas eu la visite de la panthère depuis des mois et des mois, Sofia ne pensait pas se prendre les pieds dans une boule de poils bien en chair, tachetée qui plus est et atterrir les fesses par terre.
Anna « Ho mais.. Mais! Mais qu'est ce que c'est que ça?! »
D'abord troublée, puis attendrie puis de nouveau troublée, Anna resta par terre, les jambes à demi pliées et levées pour observer ce petit être, couché par terre à cause de la chute, qui la regardait avec un air à vous faire craquer en moins d'un quart de seconde. Lui aussi avait un grand pouvoir de séduction, était-ce un hasard s'il faisait partie des McLeod grâce à la jolie rousse? Cette dernière s'installa tout de même plus confortablement en tailleur et garda les yeux rivés sur le chien qui lui même s'était levé pour ensuite venir poser ses petites pattes de devant sur les jambes repliées de la jeune femme. Il renifla l'une de ses mains avant d'y déposer un peu de bave puis la regarda à nouveau avec un air un peu joueur.
Anna « Bien oui mais comment t'es arrivé jusque ma chambre petite fripouille? »
Dit-elle en caressant doucement la tête du chiot qui remua la queue avec frénésie. C'est lorsqu'elle eu un premier contact avec l'animal qu'elle comprit qu'il n'était pas si réel que ça. C'était lui, c'était elle, c'était eux. Il allait être son meilleur ami, sa plus belle arme et son plus grand bouclier. Il allait être son protecteur, son ange gardien comme elle allait être le sien. Mais alors la panthère dans tout ça? Elle allait devoir encore réfléchir à ce qu'elle avait vu cette après-midi là, dans ce parc. Car là, elle en était certaine, ce chien était son tout et son rien, sa lumière et son obscurité. C'était a elle.
You're not a sad story.
Little Baby
La fraicheur d'une couche épaisse de neige fraîchement tombée et un vent à vous glacer le sang. C'est dans ces conditions qu'Anna Sofia MdLeod, une jolie petite princesse aux cheveux roux, a vu le monde pour la première fois, une froide nuit de décembre. Quatrième de la fratrie, issue d'une famille au sang pur et dont le nom n'est plus un secret pour personne, c'est une chance inouïe pour ce petit bout de chair d'avoir été offerte aux McLeod. Elle s'en rendra compte au fil du temps mais pour le moment c'est une petite fille à la peau aussi clair que la lune et aux cheveux d'un roux vif et puissant qui réchauffe cette atmosphère gelée. Cette famille dans laquelle elle vient d'y ajouter son prénom, n'est plus à présenter. Riches, beaux, célèbres au delà de toutes les forêts, les McLeod ont un pouvoir phénoménal et ils ne s'en cachent pas. Bénédiction ou malédiction, quel destin la jolie rousse aura t-elle dans les années futures? Leurs l'avenir nous le dira.
Childhood
C'est à l'âge de ses cinq ans que l'avenir donna une idée de ce qu'allait vivre la petite Anna durant les dix années à venir..
Les enfants jouaient dehors, dans la neige, lors d'un repas de famille. Ainsi tous réunit cela donnait une petite troupe parfaite pour diversifier les jeux puisque leurs nombre était un grand avantage. Tout le monde était là et s'amusait à monter des boules de neige de taille différentes l'une sur l'autre pour en faire des bonhommes qu'ils décoraient ensuite comme ils le souhaitaient. Ils avaient décidé de faire une sorte de petit concours par équipe de trois. Au moment de choisir leurs coéquipiers, tous savaient par avance avec qui ils allaient se mettre. Certains privilégiaient déjà la stratégie pour arriver à la victoire, d'autres ne voyaient en ça qu'un simple moyen de s'amuser et de profiter de la famille. Les petits groupes étaient rapidement formés et une fois fait, ils ne perdaient pas une seule seconde et se ruaient dans la neige en mettant en place des tactiques pour allier rapidité et performance. Les enfants McLeod étaient déjà futés et agiles dès leurs plus jeune âge. Tous avaient donc leurs team, tous sauf une exception, la petite Anna. C'était à elle de trouver sa place et elle ne manquait pas d'essayer. Alors qu'elle voulait aider à mettre de la neige sur les boules en formation, elle se faisait bousculer, pincer et parfois même rabaisser au point de repartir à l'écart.
Matthew « Pousse-toi de là, tu gêne! »
Le jeune homme ne se privait pas d'ajouter une moquerie sur sa couleur de cheveux, suivis de très prêt par ses frères qui riaient à plein poumons. Blessée par leurs dires, Anna n'avait pas d'autre choix que de les regarder de loin. Une fille se doit de rester polie, distinguée et bien élevée en toutes circonstances, d'avantage lorsque l'on porte le nom de McLeod. Une bonne attitude, un sourire discret aux lèvres et la tête haute sont les mots que sa mère, Lucy, ne cessait de lui répéter lorsque la jeune fille venait se plaindre du comportement de ses cousins. D'ailleurs, elle ne l'a fait que trois fois depuis qu'elle sait marcher et parler. Venir pleurnicher dans les jupons de ta mère ne t'aidera pas à t'affirmer, affirmait son père avant de lui rappeler le fait qu'elle se devait de se taire et d'affronter les coups sans broncher.
Garder le silence oui, mais c'était une épreuve au quotidien pour la jeune rousse au point qu'elle en avait mal au ventre rien que de penser à quitter son lit le matin. Porter un tel nom de famille, bourré de principes et règles de vie, n'était pas aussi facile qu'elle l'avait imaginé. Combien de fois des idées malsaines lui était passé par la tête, surtout lorsqu'elle venait de se faire taquiner par ses cousins. Mais il était hors de question de passer à l'acte car les répercutions auraient pu être fatales. On ne sort pas du moule familiale lorsqu'on est une McLeod! Mais la jeune fille ne pouvait s'empêcher de se poser la question pourquoi portait-elle ce nom? Pourquoi sa propre famille la persécutait à ce point? Pourquoi la faisait-elle tant souffrir?
Une autre fois encore, c'était une jolie journée de printemps, Anna était assise près des deux saules du jardin et elle semblait joyeuse puisque le sourire était au rendez-vous. Elle semblait parler toute seule, comme à son habitude. Elle avait une petite mine de poupée qu'on venait juste de sortir de la fabrique. Ses cheveux avait légèrement bouclés durant la nuit et ils retombaient avec souplesse sur les épaulettes d'une petite robe blanche à plumes. Avec cet environnement, on aurait put facilement croire à un ange. Mais on fut rapidement ramenés à la réalité lorsque la tribut des petits démons arrivèrent avec leurs grands sabots, le regard taquin et les mains derrière leurs dos. Ils étaient tous l'un à côté des autres, formant une barrière infranchissable, une forteresse imprenable et ils avancèrent avec fierté vers la jeune demoiselle en détresse. Mais loin l'idée de la sauver..!
Matthew « Tu fais quoi Anna ? »
C'était la première fois qu'il l'appelait par son prénom en dehors des parents et cette situation était plutôt étrange. La jolie était habituée à ce recevoir les singeries de la troupe et c'est pour ça qu'elle ne fit pas un geste, figée à regarder les deux arbres plantés devant elle. Elle les avait toujours admirés. Ils étaient si grands, si beaux et si forts. Elle rêvait souvent de pouvoir être comme eux, grande et forte mais ses rêves se brisèrent avant même de prendre vraiment forme dès lors que les fripons étaient dans les parages.
Jebediah « Tu t'es faite toute belle aujourd'hui! Il y a une occasion particulière? »
Plus le temps passait et plus Sofia sentait leurs mesquinerie arriver. Et elle ne fut pas déçue du voyage. A peine eut-elle le temps de les regarder du coin de l’œil que les deux zigotos l'aspergèrent de leurs bombes à eau fabriquées plus tôt dans la journée. La jeune rousse, surprise par le froid, se mise debout et machinalement regarda sa robe et ses pointes de cheveux dont les boucles s'étaient effacées. La troupe de mâles prirent leurs jambes à leurs cous en rigolant à pleins poumons, contents de leurs bêtises. Anna, trempée jusqu'aux os, ne pouvait pas faire autrement que d'aller se sécher et se changer car malgré que le printemps soit installé, ce n'était pas encore la saison pour faire trempette. Et lorsque la fillette passa devant sa mère, à l'intérieur de la maison, et que celle-ci lui demandait des explications, la rousse répondait simplement qu'elle était tombée dans les flaques d'eau au pied des deux grands arbres. On ne dénonçait pas les autres sans avoir de preuves concrètes et les garçons l'avait bien compris. On encaisse sans rien dire.
Et cela n'était que de petites blagues établit par les membres de son propre sang pour "faire rire". Mais en réalité, tout ça allait bien trop loin et Sofia en avait plus que marre. C'était trop pour elle, son silence la bouffait littéralement. Elle gardait l'espoir que cette situation se calme avec le temps. Ses attentes furent entendues puisqu'à l'âge de onze ans, elle put rejoindre l'école de Poudlard. Pour elle, ce n'était pas un simple moyen d'apprendre la magie non, c'était un véritable échappatoire et l'opportunité de pouvoir être elle même, loin de ses parents et de sa famille. Évidemment, tous étaient sorciers mais ce n'était pas le même environnement. Peut être arrivera t-elle à se défendre face aux singeries de ses cousins? Elle en était persuadée et elle voulait pouvoir le faire. A cette occasion, la sœur d'Anna, Annabeth avec qui la rousse s'entend fort bien, lui à fait un cadeau: l'achat de sa première baguette. Cette dernière est taillée dans du bois de cerisier et contient un ventricule de cœur de dragon. Elle a une jolie couleur rosée qui s'étend sur toute la longueur c'est-à-dire vingt-sept centimètres tout pile. L'entrée dans cette école était le début de nouvelles aventures. D'une nouvelle vie peut être.
Teenage Years
Anna prenait en taille, en âge mais surtout en savoir-vivre. La jeune fille, maintenant jeune femme, pouvait être la fierté de la famille. Amoureuse de la lecture et de l'écriture, sa plume est digne des plus grands auteurs. Ses capacités intellectuelles impressionnait et jalousait le voisinage. Les mésaventures subies durant son enfance lui ont permis d'adopter un calme exemplaire en toutes circonstances qui en agace plus d'un d'ailleurs et elle joue de sa nouvelle philosophie de vie pour se venger en quelque sorte. Bien sur, Anna a put compter sur sa sœur, Annabeth, pour pouvoir se reposer un peu. Cette dernière a partagé de très bons moment avec sa petite sœur notamment autour de son instrument de prédilection: le piano. La famille McLeod a la chance de pouvoir compter parmi eux une pianiste de renom dont les doigts de fée parcourent les touches comme personne et dont la mélodie embaume les maisons voisines à la leurs. Les deux filles prenaient des heures pour elles d'eux. L'une jouait du piano, l'autre dansait en rythme. Annabeth venait, par moment, donner quelques conseils à sa petite sœur pour améliorer sa posture dans certain pas de danse. L’ainée connaissait assez cet art pour pouvoir l'aider là dedans.
Les deux filles occupaient le grand salon pendant des heures et des heures en n'arrêtant jamais de danser ou jouer. C'était les seuls moments où elles pouvaient respirer et profiter l'une de l'autre.
Annabeth « Bien. Sois plus légère dans tes bras et tes pointes de pied toujours tendues durant tes arabesques. »
Anna acquiesçait et se dépêchait de modifier ce qui n'allait pas afin que son mouvement soit le plus parfait possible. Elle vouait une adoration secrète pour sa sœur, c'était plutôt courant dans les familles et elle n'échappait pas à la règle mais elle devait se trouver sa propre place alors, là encore, elle gardait le silence. Ces moments d danse étaient les seuls qu'elle avait avec Annabeth et elle ne les rataient sous aucuns prétextes.
En approchant de la majorité, la rousse prenait conscience qu'elle avait un pouvoir, comme chaque membre de la famille McLeod. Elle en apprenait les limites et les causes pour s'en servir. Je parle bien sur d'un pouvoir bien réel, non basé sur la magie. La jolie rousse à un pouvoir de séduction qu'on peut qualifier d'immense qu'elle hérite de sa famille. Chacun sait que tout les membres McLeod sont doté d'un charisme à vous rendre dingues, et bien Anna n'échappe pas à ses traits héréditaires. Alors certes, la miss est d'une nature douce et réfléchie mais elle n'en reste pas moins une femme dont les besoins sont grandissant.. A tout point de vue!
Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge: Healing, 19 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? Une amie me l'a conseillé (Callista sur ce forum) ϟ Personnage: Scenario ϟ As-tu un autre compte sur BP? Nop chef ! ϟ Présence: Le plus possible j'espère ! Il n'y a pas de raisons du contraire. ϟ Une remarque?
Dernière édition par Anna S. McLeod le Sam 31 Aoû - 12:33, édité 2 fois
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Re: Anna S. McLoed || Douce lumière qui peu à peu se ravive.
BIENVENUE MA COUSINE ADOREE Je suis trop heureux que tu ai rejoins notre belle et exceptionnelle famille Hâte de faire des parties d'échecs sorcières avec toi et je suis fier d'être le premier McLeod à t'accueillir, ah ces frangins, décidément tous à la ramasse... Courage pour ta fichette
EDIT : Je félicite Call, la sang-de-bourbe à foutre au bucher pour t'avoir kidnappé et ameuter ici . Un bon point pour elle, attention, qu'elle ne s'habitue pas à mes faveurs
Dernière édition par Matthew McLeod le Mer 28 Aoû - 1:34, édité 2 fois
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Re: Anna S. McLoed || Douce lumière qui peu à peu se ravive.
Vos gueule les McLeod, on s'entends plus Bienvenuter :noflood:
Bienvenue Anna, un jour nous serons de la même famille car je compte épouser Lysander //SBAAAAAAAF
Heum. Bienvenue, donc. Bonne chance pour ta fiche Jeune McLeod, toi qui vient enfin faire redescendre un peu la testostérone un peu trop présente dans cette famille.
Si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite pas ~
Et dernière chose: PANTHERENOIIIIIIIIIIIIIIIIIIRE C'est l'Animagus de Seb, *Gagatise*
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Re: Anna S. McLoed || Douce lumière qui peu à peu se ravive.