INFORMATIONS PERTINENTES. ♡ Sahvanna ne s'est jamais -ou presque- fait appelé par son prénom. Même ceux qui la déteste trouve que Sahvanna c'est trop long pour rien. La plupart du temps c'est Burberry. Et pour ceux qui se trouvent comique c'est Blueberry. Sinon, c'est carrément Sahv ou Sahvy. Elle suppose que lorsqu'on l'appelle par son prénom complet vous êtes soit a) son professeur b) frustrés c) sa mère ou d) un connard fini. De plus, son épouvantard correspond tout simplement au vide. Elle a le vertige, et c'est connu, ils ont tous peur du vide, ceux qui ont le vertige. Faut pas trop chercher loin, quoi. Sa baguette quant à elle, mesure vingt-six centimètres et elle est fabriquée dans un bois de chêne et contient un crin de licorne. Techniquement, il ne faut pas être trop étonnée de savoir qu'elle déteste les cours de vol, bien qu'elle n'a échoué aucun cours de sa vie.  

DÉCRITE PAR SA MÈRE. ♡ « Sahvanna c'est mon bébé, c'est la première de la famille et bien que je n'ai pas su comment réagir lorsque nous avons appris qu'elle détenait des aptitudes magiques, je l'ai toujours encouragé, écouté et conseillé le mieux que je pouvais. Bien que je ne m'habitue aucunement à son chat, Edgar, ou à tous les hiboux qui squattent notre maison, maintenant. Cependant, il n'en reste pas moins que nous avons toujours eut une relation facile. J'ai certes des difficultés avec son caractère explosif ou bien sa manie à ne pas prendre la peine de réfléchir avant de poser une action, ma fille pourrait se retrouver dans n'importe quelle situation que je la soutiendrais. J'aurais aimé avoir son tempérament de fonceuse ainsi que son côté battante à son âge pour accomplir mes rêves. Sahvanna elle obtiendra toujours ce qu'elle voudra, parce que lorsqu'on veut, on peut et elle ne se laissera jamais faire. C'est sa beauté à elle. »

DÉCRITE PAR SON PÈRE. ♡ « J'ai certes eut beaucoup plus de difficultés à accepter que ma fille soit une sorcière, que sa mère. Pourtant, Sahvy est toujours restée elle-même. Une jeune fille remarquablement intelligente, bouillante d'énergie et obstinée. Nous avons continués à nous chicaner pour différentes conneries, nous avons, comme chaque adolescent, vécu sa crise d'adolescence, peut-être plus vivement puisque Sahvy reste Sahvy et qu'elle est orgueilleuse et qu'elle rouspète à n'importe quoi. Pourtant c'est une jeune fille qui ira loin dans son monde, elle est si ouverte, si accessible et à la fois si déterminée qu'il n'en peut être autrement. »

DÉCRITE PAR SON FRÈRE JÉRÉMY. ♡ « Ma grande sœur, c’est mon héroïne. J’aimerais avoir sa force pour passer au travers n’importe quelle situation. Tout semble si facile, lorsqu’on l’observe, que ça en vient énervant. Elle est toujours là, pour tout le monde, au point de s’oublier elle-même. Lorsque j’ai découvert que j’étais attiré par les hommes, ce fut l’unique personne qui fut réellement là pour moi. Elle vous écoute, elle vous comprend, elle vous donne pleins de surnoms, elle vous donne une surdose d’amour, elle vous touche en plein cœur et elle se met en colère pour un rien. Sahvy c’est ça. Sauf qu’elle est adorable. »

DÉCRITE PAR LA PSYCHOLOGUE DE POUDLARD. ♡ « Elle a besoin d’être aimé, elle a peur même si elle ne dit rien. C’est un volcan. Elle montre à tout le monde qu’elle va bien, alors que c’est faux. Alors qu’elle a juste besoin qu’on la serre dans nos bras en lui disant que tout ira bien. Et c’est ça son plus grand défaut. Sahvanna a tant besoin d’être aimé, qu’elle accepte l’amour de tout le monde, la confiance de tout le monde, la parole de tout le monde, sans se poser de réelles questions. Elle accepte et c’est tout. »

¸Taz. Sahvanna a nommé son patronus ainsi en l’honneur des Looney Tunes, émission de télévision qu’elle écoutait lorsqu’elle était petite. Le diable de Tasmanie. Bien que son patronus n’ait rien d’un diable de Tasmanie, elle l’a surnommé ainsi. Celui-ci prend pour la plupart du temps sa forme de panda et sinon on peut le retrouver dans son sac d’école – ou sur ses genoux – sous la forme d’un blanchon. Si certaines personnes ont plus de difficulté avec l’apparition de ces créatures dans leur vie, Sahvanna est tombé raide dingue de son panda (qui ne tomberait pas dingue d’un panda, hen ?). Ils se parlent souvent – très souvent – pour se dire la plupart du temps des conneries. Il l’a prend dans ses bras souvent pour la réconforter, c’est son meilleur ami. C’est son plus précieux allié. Juste à l’idée de perdre ce lien si étroit qu’elle a développé avec lui, elle a envie de pleurer. Personne ne l’a jamais aussi bien compris jusqu’à ce moment, jamais personne n’a compris qu’elle n’était pas si forte, qu’elle n’était pas si combattive que cela, qu’au fond elle était d’une fragilité épouvantable. Et au lieu d’en profiter, son panda à elle, qui lui ressemble sur bien des choses, s’efforce de la protéger, de l’encourager, de la réconforter et de la faire rire en lui disant un tas de conneries. Qui se ressemble s’assemble.