| Eowyn Aurora ♪ I'll be born again as someone purerpar Invité, Ven 18 Oct - 15:58 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Eowyn Aurora White FEAT. Nastya Kusakina 17 ans ϟ Septième année, options Astronomie et Vol du balais ϟ Amaël un jeune impala ou une chauve-souris roussette selon l"humeur ϟ Née-MoldueAurora est une jeune fille à la peau de porcelaine, aux longs cheveux blonds et yeux clairs. Un héritage de sa mère suédoise à qui elle ressemble énormément. Grande mais fine, elle parait inoffensive. Certains diraient même fragile. Et c'est vrai qu'elle est douce, patiente et compréhensive. Elle déteste les pleurs et est prête à beaucoup pour apporter un peu de bonheur à ses proches. Rêveuse, elle dévore les romans qui lui passent sous la main avec un entrain impressionnant ; curieuse, elle cherche toujours à en apprendre plus sur ce qui l'entoure. Et comme Aurora est une grande romantique dans l'âme, elle ne collectionne pas les hommes. Non, elle est de celles qui attendent sagement de rencontrer celui qui fera battre son coeur et profitent pleinement de la vie pour passer le temps. Mais Aurora ce n'est pas que ça. Parce que le meilleur adjectif qu'on peut lui attribuer est : vivante. Il est aussi courant de voir la jeune fille dans la bibliothèque qu'en train de courir dans les couloirs. Elle a besoin de se dépenser pour se sentir bien et raffole de tous types de sports, qu'ils soient sorciers ou moldus. Aurora aime les choses simples et voit le bonheur partout. La nature la fascine et elle pourrait passer des heures dans le parc sans voir le temps passer. Bonne vivante elle aime le chocolat, les sucreries et les bons repas. Donner lui un balais et elle vole ; un peu de musique et elle danse. Peut importe les circonstances, elle se débrouillera pour trouver un rayon de bonne humeur -une lueur d'espoir. Et c'est tout ce qu'il lui faut pour s'accrocher à la vie avec une force renouvelée, un sourire aux lèvres. Alors ceux qui pensent qu'elle ne ferait pas de mal à une mouche feraient mieux de changer d'avis car elle n'hésitera pas à contre-attaquer.
Elle prend la vie trop à coeur, elle pleure, elle rit, elle danse et elle court : elle vit tout maintenant et pleinement. Peut être devrait elle apprendre à se projeter, à penser aux conséquences... Mais plus tard, quand elle sera grande et sage. Pour l'instant elle profite. Et c'est peut être cette joie de vivre qui font qu'elle n'a aucun mal à se faire des amis. Pétillante, elle attire. Franche, elle met en confiance. Généreuse, elle soutient. Fidèle, elle est là contre vents et marrées. Et malgré tous ses défauts, ces quatre petites qualités font qu'on a du mal à la détester. Bien sur, il y a toujours ceux avec qui le courant ne passe pas : on a beau faire, on ne peut pas plaire à tous. Alors des fois les insultes volent, Aurora est blessée mais rend coup pour coup. Ce n'est pas ça qui l'empêchera de dormir comme une bienheureuse la nuit. Et bien sur, il y a aussi ceux qui jugent sur des critères différent : sur le sang. Et elle sait qu'avec ceux-là, ce n'est même pas la peine de discuter. Alors elle encaisse et apprend à ne plus y prêter la moindre attention. Oui, elle sait moins qu'eux sur la culture magique, et alors ? Connaissent-ils le cinéma, les ordinateurs ou toutes ces inventions fabuleuses qui peuplent la vie des moldus ? Ils jugent sans connaitre, perroquets que l'on a dressé à détester et auxquels on a ôté la curiosité. Elle les plains parfois mais ne veut pas perdre son temps avec ces belles marionnettes.
Evidemment, la vie d'Aurora n'est pas non plus le monde des bisounours. Comme tout le monde, elle doute, elle déprime... Mais plutôt que de se laisser aller à sa tristesse, elle s'oublie en courant, en dansant, en volant, en lisant. En s'échappant. La jeune fille est intelligente et comprend vite ce qu'on lui explique. Aussi, elle a la chance d'avoir de bonnes notes sans trop s'investir et ce n'est qu'en quatrième année qu'elle commença à décrocher d'excellents résultats. L'élément déclencheur ? On a eu le malheur de lui affirmer qu'elle n'était qu'une "Sang-de-Bourbe" incapable. De quoi motiver l'esprit de compétition qui sommeille chez la belle. Depuis elle consacre plusieurs heures supplémentaires chaque soirs à ces études, ce qui se fait grandement sentir. Parce qu'il faut savoir que tout ne lui passe pas au dessus de la tête : elle est parfois puérile, incroyablement têtue et rancunière.
Aurora en résumée c'est une fille simple : pétillante et optimiste, elle a son petit caractère bien à elle et n'aime pas se compliquer la vie.
a little something from you. Peut être aurait-elle du avoir peur. Après tout une brume argentée qui n'a aucune raison d'être et vous suit partout n'a rien de rassurant. Seulement voilà, ça ne lui ressemblait pas à Aurora. Elle était Née-Moldu et elle s'enthousiasmait pour un rien, alors cette manifestation magique pendant les vacances ne pouvait que la réjouir. Emerveillée, elle était restée assise sur son lit, au beau milieu de la nuit, à regarder la brume se transformer pour prendre la forme d'un jeune impala. C'était comme si elle était redevenue une gamine devant un spectacle merveilleux dont la beauté l'avait ensorcelée. Elle se sentait bien, elle se sentait en sécurité.
Ce n'est qu'à la rentrée qu'elle apprit que l'animal qui la suivait maintenant partout était son patronus, une partie même de son âme. Chacun avait le sien. Certains ressemblaient exactement à des animaux réels mais le sien -Amael- avait gardé son aspect argenté au plus grand ravissement d'Aurora. Et comme c'était de la blonde dont on parlait, ça n'étonna personne de voir qu'elle acceptait totalement la situation et s'estimait chanceuse de l'avoir à ses côtés. Bien sur, c'était un peu bizarre de ne plus pouvoir se passer de l'impala mais n'était elle pas connu pour son optimisme à tout épreuve ? Et puis elle ne comprenait pas vraiment comment l'on pouvait vouloir repousser une partie de sa propre âme. Evidemment, comme tout le monde elle avait essayé de repousser les limites et de voir jusqu'à quel point elle pouvait s'éloigner de cette manifestation de sa personnalité. Autant dire que ce fut très douloureux et qu'elle n'est pas prête de recommencer. Après tout, si la première forme d'Amael n'est pas des moins encombrantes, sa seconde forme est bien plus fonctionnelle. Petite roussette, il est capable de voler avec elle lorsqu'elle enfourche son balais et il n'y a rien de plus merveilleux à ces yeux que ces instants volés de liberté et de complicité totale.
Alors même si l'animal est souvent grincheux et a un goût un peu trop développé pour le sarcasme, elle n'y renoncerait pour rien au monde. Depuis qu'il est là, elle le traite comme un ami de longue date finalement retrouvé : ils se disputent pour un rien, se font des blagues qu'eux seuls peuvent comprendre et partagent tout comme s'il n'y avait rien de plus naturel. You're not a sad story. Edwin White et Lena Fridén c'est un peu l'histoire d'amour classique, celle des romans. Le garçon est loin de chez lui, parti dans un autre pays pour les études. Le premier jour dans la capitale suédoise, il bouscule quelqu'un. Il se tourne dans le but de s'excuser seulement pour apercevoir deux yeux d'un bleu surprenant avant que la silhouette fine s'éloigne, sa longue crinière blonde jouant avec le vent. A ce moment là, le sort est déjà jeté. Elle l'a à peine remarqué. Lui, son image le garde éveillé. Plusieurs semaines plus tard, ils se recroisent. Ils sont sur le même campus : elle étudie pour devenir infirmière, lui rêve d'être scénariste. Et l'espace d'une année, ils apprennent l'autre. Ils se confient leurs rêves, leurs secrets, leurs avis. Oh, ils se sont disputés, réconciliés, se sont détestés et se sont aimés. Avec toute la passion que l'on peut ressentir à vingt ans. Puis le garçon est retourné chez lui. Ils se sont écrits, un peu. Ils ont rencontrés d'autres personnes, se sont perdus de vue mais ont gardé le souvenir de cette année. Et le garçon a un accident, deux, peut être trois ans après. Il va à l'hopital et ce sont deux yeux bleus et une crinière blonde qu'il retrouve. Un pincement au coeur, des reproches, un café partagé et des mois de silence rattrapés. La vie reprend son court, les deux moitiés se sont retrouvés et désormais c'est eux contre le monde.
Mais Eowyn ne connait pas toute l'histoire, se fiche bien d'ailleurs bien de le savoir. Elle a des parents aimants et c'est tout ce qui compte pour une enfant. Son papa écrit pour gagner sa vie, sa maman soigne des gens. De véritables héros aux yeux de la petite fille qui n'a pourtant de cesse de les faire tourner en bourrique. Hyper active, le petit ange ne tient pas en place et invente toujours de nouveaux jeux. Leçons de danse, cours de dessin, équitation, handball, elle tente tout. Elle court dans le quartier, passe la journée à explorer le parc avec ses amis et revient le soir avec les genoux écorchés, les mains boueuses et le sourire plus grand que jamais. Et quand elle se calme enfin, ce n'est que pour réclamer une histoire ou faire des cookies tout en mettant la cuisine sans-dessus dessous. Mais petit à petit, elle grandit. Elle apprend à bien se conduire, retient toutes les règles de bonne conduite et fait même à manger quand sa mère est de service le soir -autrement son père serait capable de mettre le feu à la maison-. Pourtant elle continue à passer presque tout son temps dehors, avec le voisin d'en face. Nathaniel est son meilleur ami. Il n'a pas vraiment eut le choix : elle le lui a annoncé tout en lui en remettant un bracelet tressé identique au sien. Elle peut tout lui dire, elle sait qu'il ne jugera pas. Elle fait tout pour le faire sourire, juste parce qu'elle le trouve plus beau comme ça. Eowyn ne s'en rend pas vraiment compte mais petit à petit son monde tourne autour de l'autre enfant. Si elle a un cauchemard ou une insomnie, elle ne va pas dans la chambre de ses parents mais enfile un pull et des chaussures pour traverser la rue et lancer des cailloux à sa fenêtre. Et comme il aime lire, elle aussi elle décide de dévorer bouquin sur bouquin. Juste pour pouvoir en discuter avec lui. Elle n'est pas encore sure mais elle pense que oui -peut être-, c'est ça ce que les grands appellent amour. Elle n'aura jamais le temps de savoir. Ce soir là elle avait fait un mauvais rêve et, comme à son habitude, elle était sortie pour aller chercher le réconfort dans la présence de Nathaniel. Elle a vu de la lumière et s'est assise sur le trottoir, attendant que son ami la rejoigne. Elle ne sait pas combien de temps elle a attendu, elle sait juste que ses parents l'ont retrouvés endormis devant la maison le lendemain matin. Nathaniel n'était pas venu. Il ne viendra plus. En quelque jours les Avery étaient partis sans qu'elle n'ai eu la chance de lui dire au revoir. Elle n'avait pas d'adresse à laquelle envoyer de lettre, pas plus qu'un numéro de téléphone pour le joindre. Pour la première fois de sa vie elle se sentait seule. Et plus le temps passait, plus la colère grandissait. Qu'attendait il pour lui donner des nouvelles ? Pourquoi ne lui disait-il pas qu'il allait bien et qu'ils se reverraient bientôt ? Il a fallu beaucoup de temps à Eowyn pour comprendre qu'elle n'entendrait plus parler de Nathaniel. Plus encore pour se remettre de cette perte. La petite fille était devenue irascible et secrète : elle se perchait des journées entière dans sa cabane secrète avec une réserve de romans pour seule compagnie. Puis la vie reprit ses droits. Elle fit connaissance avec d'autres enfants à l'école, intégra le club de football de la petite ville et charma le conservatoire avec ses doigts de fées et son piano. Mais une chose s'était brisée : elle n'avait plus la même fois aveugle en l'existence. Elle avait été blessée plus que ses parents ne le croyaient. C'est à cette période qu'il lui devint insupportable de s'entendre appeler Eowyn par d'autres que ses parents. Parce qu'une part d'elle ne voulait plus être Eowyn, une part d'elle voulait qu'Eowyn reste toujours la petite fille qui courrait dans les rues avec Nathaniel.
A onze ans Aurora est tout aussi active que l'était Eowyn : elle joue du piano, gagne des matchs de foot avec ses camarades, prend soin de sa petite parcelle de jardin, recueille les animaux blessé et fait de temps en temps la cuisine avec une chanson sur le bout des lèvres. Elle joue aussi au jeux vidéos avec un enthousiasme rare, dévore encore et toujours des livres et danse dans le salon. A onze ans, sa vie est sur le point de prendre un nouveau tournant. Qui aurait penser qu'une simple lettre pouvait bouleverser tout son petit monde ? Sorcière. Elle était une sorcière. Et elle avait une place toute réservée dans la communauté magique. Croyant à une farce très créative, les parents se plièrent au jeu et c'est ainsi que la famille se retrouva sur le chemin de traverse. Enchantée, émerveillée, ensorcelée. Apeurée, excitée, effrayée. Aurora voulait découvrir ce nouveau monde mais ne souhaitait pas laisser le sien derrière elle. Elle voulait apprendre l'art des potions mais ne tenait pas à abandonner le piano ni le football. Et avant qu'elle ne s'en rende vraiment compte, elle était dans un train en direction de l'Ecosse et de Poudlard, sa nouvelle école ; dans une barque sur un lac ; au milieu d'une salle au plafond copiant le ciel. Sur un tabouret, un chapeau magique sur la tête. Et c'est là qu'elle le vit. Ce visage, elle aurait pu le reconnaître partout. Nathaniel. Son coeur ratta un battement puis s'embala : il était là, à portée de main. Elle n'avait qu'à traverser la salle et tout irait bien de nouveau. « Dégage, on est pas du même monde. » Le couperet était tombé. Elle n'avait pas compris, était restée abasourdie. Et ça lui avait fait mal à Aurora. Peut être plus que le jour où elle avait compris qu'elle ne le reverrait plus. Mais s'il y avait bien une chose qui différenciait Aurora d'Eowyn c'était la détermination. La jeune fille avait appris à ne pas lâcher prise et, parole de White, il aurait bien du mal à la faire dégager. Qu'il le veuille ou non, elle faisait bel et bien partie de son monde. Et si tous ces beaux projets d'amitié retrouvée avait été passé à la douche froide, il n'en restait pas moins qu'elle méritait une explication. Il lui faudrait peut être une dizaine ou une vingtaine d'année mais elle ne le laisserait pas s'en tirer à si bon compte. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Paigie, jeune fille de 18 printemps ϟ Où as-tu trouvé le forum? Grâce à google et un après-midi pluvieux ϟ Personnage: Magnifique scénario de Nathaniel pour lequel j'ai eu un énorme coup de coeur ! ϟ As-tu un autre compte sur BP? Nope sir ! ϟ Présence: De trois à quatre jours par semaine ϟ Une remarque? Harry Potter et La Croisée des Mondes, je suis au Paradis hein ?
Dernière édition par E. Aurora White le Ven 18 Oct - 19:21, édité 2 fois |
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