BELLUM PATRONUM


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Born to die -AB
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par Invité, Dim 19 Juil - 21:18 (#)
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Leeroy Amory Burke
FEAT. Harry Lloyd
22 ans ϟ Enseignement Magique ϟ Rat/ Sphinx  ϟ Sang-Pur
Nom: Burke. Ancestrale et noble lignée anglaise relativement réputée pour son émois certain et vaguement nauséeux tous dédié à l'horripilante magie noire. Titulaire de la fameuse enseigne, Barjow & Burke au creux de l'étreinte famélique de l'allée des embrumes, cette lignée d'une pureté indéniable n'en demeure cependant que bien méconnue ou dût moins ne saurait jouir d'une réputation altière, glorifiée ..comme certaines éparses familles et cela fut jusqu'à nos jours encore le plus ample maux de cet héritier Burke pétris de haut dessein pour les siens. Prénom:  L'appellation Leeroy précède les ancrés épanchements du sorcier pour son second dénominatif qui n'est autre qu'Amory. Quand à parachever tout cela....Fergus n'est qu'affres de désagrément pour ce dernier qui n'y voit que l'utopique encensement d'une fadaise traditionnelle qu'est de léguer en odieux présent le dénominatif d'un ancêtre quelconque, pour son cas celui de son grand-père créateur de Barjow & Burke. (Dont le génie potentiel fut gâché de façon infâme dans les dédales crasseux d'une enseigne de magie noire alors que les Burke auraient put corréler les lauriers du ministère !)  Âge et Date de Naissance: 22 ans, très exactement né le 06/03/1959. Immuable cycle vitale de l'âge qui ne cesse de le sermonner, de lui rappeler que le temps ne fait d'escale pour personne en ce bas monde et qu'associer le savoir au nom des Burke n'est ni aisé, ni véloce.  Nature du sang: Ostensiblement Pur. Ample éclat, dorure à son palmarès choyé de ses prouesses au-devant de l'hostilité de son biotope, son essence sanguine n'est qu'une certitude acquise et véritable. Les Burke sont purs, les Burke le resteront. Atout goûteux parmi tant d'autre. Situation familiale: Amory n'est que le cadet d'une flopée d'aînés diverses, odieuse tripotée d'amas de potentiel véritablement gâché... Ce puîné pour lequel savoir ne saurait être égalé par une immondice croyance approximative ne sait que déverser un flot irritant de mépris condescendant sur ses deux frères, qui plus est jumelés. Jumelés dans leur puits de sottise, même. Si ses aînés n'escomptent se dédier qu'à l'enseigne familiale Barjow & Burke comme leur parent avant eux, Amory ne saurait que saluer la lucidité de leur médiocre ambition. Bien qu'il n'aspire qu'à élever la lignée d'une présence savante qui serait sienne et s'échine à songer que l'éducation, l'enseignement sont galvaniseurs potentiels d'une influence massive sur les  masses et le biotope de demain...Il ne fut que trop jouace lorsqu'il s'aperçut que nul ne se dresserait sur ses desseins, que nul ne le clouerait au creux d'une lignée au potentiel trop longuement ignoré. Enfin le jeune homme est également fiancé...Une allemande issue d'une illustre lignée de Sang-pur. De quoi le précipiter dans les considérations sociales les plus souffreteuses...Par Merlin, Amory est aussi infâme que théâtrale, certainement que cela lui sera salvateur. Patronus: Un famélique rongeur, plus précisément un rat noirâtre et tout à son antipode, un félin peu velu...Un sphinx. Ce dernier nommé Céos n'est qu'allégorie de l'intellect aux travers parfois malsain du sorcier ainsi que cet égo prépondérant.   Miroir du Rised: Amory ne s'est oncques confronté à ce reflet idéaliste. Cependant il est relativement aisé de saisir la teneur de ce dernier. Enchevêtrement d'ambition et davantage encore de l'accès à la connaissance...Certainement que cet ancestral miroir reluirait d'un Burke salué. La condescendance griserait certes ses traits mais un infini apaisement ravirait ses prunelles grisâtres. Tout en lui n'inspirerait plus que sagesse, réussite ainsi que savoir. L'allégorie même que le sorcier se fait de l'incarnée salvation de la connaissance qui ne peut être qu'élévation bienfaitrice. Ce Burke ci serait un savant, siègerait en tant que ministre de l'enseignement, galvaniserait la prépondérance de l'érudition mais surtout ... Il façonnerait à son image les sorciers d'un biotope en devenir.  Composition de la baguette magique: Douçâtre délicatesse, souplesse se répandant en éparse difficulté...Quoi d'autre que le crin de licorne et le bois d'acacia ? Tumultueux et sélectif, d'une loyauté immuable à son sorcier bien qu'âpre mélancolique le crin de licorne ne sût cependant guère résister à l'assaut nauséeux de la peste des patronus.  L'acacia quant à lui et en dépit du fait que le crin agonisa sous les vapeurs irritées et dénuées de vitalité véritable, s'illustra comme évidence pour ce sorcier. Ses dédales, autant de vils caprices, pour en mesurer la puissance réflective...Cette singularité, l'apogée d'un savoir faire minutieux, péniblement acquérir pour n'en tirer que l'essence magique la plus pure. Perfectionnisme, minutie, application et dextérité, qualité requise pour ce bois qui persista à lui convenir même pour une seconde baguette. Cependant pour cette maîtresse lascive portée au creux de sa paume, la plume de phénix fut de mise. Enigmatique, insaisissable, profondément abrupte...Un véritable défi en proie à sa patience. Fléau de 31 centimètres piles qui s'exerce encore entre ses doigts avides de maîtrise. Epouvantard: Simpliste. Cette créature famélique prends communément la forme d'un portrait. Un portrait sous lequel en quelques lettrines d'or émaillées on ne saurait que deviner son nom. Ce portrait est identique à une flopée indigeste de confrère, ce même bois patiné....cette même cheville rouillée pour le soutenir. Le cadre éphémère de ces grands êtres qui ont dirigés de façon éphémères l'ample école de sorcellerie Poudlard. Un directeur parmi tant d'autre, omis vélocement, profondément singulier. Son ridiculus n'est ainsi que le majestueux portait d'Albus Dumbledore gracieusement et outrageusement gribouillé.Etudes Suivies:  Longuement débattu en son sein intérieur, ce dernier dût cependant élire un cursus entre ses deux lascives horizons aux travers quelques peu communs. La justice magique ou l'enseignement ? Deux apogées similaires se soldant au ministère. Ambition frontale ou davantage connaissance abreuvé ? Amory sur sa ligne directrice et bien que désireux de modeler, d'œuvrer pour les sorciers de demain avec une certaine condescendance, s'est épanché pour l'enseignement. Dans le sillon de ses songes, il désigna également la spécialité éducation afin d'épouser la condition de directeur de l'éducation nationale sorcière. Animal de compagnie: Un illustre volatile, une famélique créature, une odieuse chouette nommée Gazette. Objectivement, Dame Gazette ne saurait s'avérer meilleure qu'elle ne l'est. D'une vivacité convenable et d'un ramage immaculée, elle allie avec une certaine aisance distinction et efficacité ...Cependant Amory n'est guère de ces êtres pétris d'altruisme, ni même très scrupuleux quant à ses multiples courses éreintantes qu'il fait endurer à cette chouette hulotte qui humble et avec justesse lui rend sa tyrannie de quelques gracieux coups de bec.

Caractère
Bien que la personnalité d’Amory ne s’avère n’être qu’un horripilant et épineux sujet, il est néanmoins aisé de faire état des grandes lignes directrices qui secouent son être.  De prime abord, le sorcier ne se dépeint que sous les traits manifestes d’un comédien. Sa démarche altière, ses amples gestes souples, théâtraux lui confèrent avec une certaine aisance l’extravagance de la sociabilité, de l’accessibilité et on ne pourrait guère le nier…C’est un fait avéré, Amory est une bestiole clairement disposée envers autrui et ce n’est là que l’apogée de son hypocrisie. Il se complait à ouïr ces dolentes âmes geindre ne sachant que s’en réjouir, il s’en délecte avec une avidité dans laquelle le sorcier dispose toute sa malsaine curiosité… tapis dans les dédales d’un rictus affable qui peut se faner  aussi promptement que ses humeurs. Car effectivement, si quelque chose caractérise ce dernier ce doit bien être sa famélique curiosité qui quand bien même puisse-t-elle être une douceâtre qualité ne reluit que sous les balafres évidentes de la négativité lorsqu’elle gronde dans les tréfonds du Burke. Bien que cette quête inlassable d’érudition s’étende à la somme du savoir de ce biotope, l’on aurait put saluer que celle-ci ne se borne qu’aux convenances…Il n’en n’est rien et le Burke usant de toutes les ruses les plus discutables saura toujours se délecter de ses choyées connaissances qu’important leur essence. Tout ce qui l’élève, tout ce qui justifie son irascible orgueil, il l’encense et depuis ses plus jeunes années d’existence, la réflexion, l’apprentissage et le savoir lui semble le moyen le plus certain pour parvenir à surplomber la somme d’ingénuité humaine. Odieuse vanité qui est sienne, chaque prouesse demeure immuable et portées mêmes les plus infimes d’entre-elles sont une horripilante occasion pour galvaniser ce génie qu’il pense être sien. Cependant sachez qu’aussi  volatiles soient les tirades lorsqu’elles sont dictées par un être quelconque, elles deviennent vélocement œuvres lorsqu’elles sont dictés avec la fougue d’un tribun épris de la passion de l’oratoire et c’est notamment le cas du jeune Burke. Si l’on tendrait à considérer la lignée Burke comme malaisée, d’un charisme peu éloquent, il ne semble n’en n’être qu’abrupte fausseté pour le sorcier pour lequel chaque mot est en proie à la réflexion, chaque phrase une œuvre porteuse de son talent, chaque timbre fièvre lascive oratoire. Lorsqu’Amory s’émeut en public il n’est que tribun charismatique façonnant  les foules anonymes avec aisance, c’est indéniable le Burke est un communément un beau parleur dont nulle extravagance n’est prohibée pour fasciner les êtres passifs et contemplatif composant son assemblée. Sa rigidité, sa gestuelle, son élégance ne semblent vouée qu’à séduire ceux effleurés  par ses tirades. Lorsqu’Amory débat, c’est avec cette ferveur gouffre de manipulation car vertu de ce dernier ses causes volatiles qu’il exacerbe au devant de son auditoire ne sont guère constamment avérées. Mesuré sur ses opinions que tous savent mais auxquels nul ne le confronte, on ne saurait n’être surprit lorsqu’il prend parti pour un né-moldu. Sa personnalité rendue noueuse par ses omissions, ses calomnieux mensonges le rendent tout aussi exécrables et volatile que ses humeurs. Son imprévisibilité ne saurait n’être qu’effleurer. Amory demeure avec une constance pétris de sagesse immuablement énigmatique. On ne sait jamais véritablement à qui l’on se mêle lorsque sa compagnie est de mise et cela lui confère à la hâte quelques travers sages. Emeut par les réflexions et les affres des questions sociétales, la plupart de son temps le sorcier le passe à soupeser les argumentaires, les mesurer, les comparer ...et cela avec une minutie telle que le déranger pourrait s’avérer vaguement corrosif pour votre survie immédiate. Son perfectionniste, son impétueuse minutie le rende extrêmement lent à la réalisation d’une tâche quelconque.  Nul détail même infime et infâme ne saurait échapper à ses travers méticuleux, observateur…Prédisposition à la réflexion et goût de l’observation pourrait le disposer à une certaine maturité mais ce n’est guère le plus saisissant chez ce dernier. Bien que ses idéaux pour lesquels il œuvre communément lui confèrent quelques admirations salvatrices (trôner en ministre de l’éducation n’est pas spécialement aisé), son goût pour les amples actes glorificateurs se taris quant aux moyens dont il use. Sur ce point son cynisme mordant de noirceur et de lucidité l’y aide clairement. Pugnace, persévérant à outrance, Amory ordonné et patient sait cependant prendre du recul sur une situation pour en annihiler toute la difficulté et ainsi en glorifier son ego. Si certes on lui confère une extrême autorité volatile dont il sait user à son égard  même, on peut quasiment lui attribuer quelques émois pour le tyranisme. Se voir exécuter et l’une de ses plus amples satisfactions mais à cela il faut ajouter que le garçon sait être discipliné, subordonné même si quelques vagues provocatrices peuvent venir se nicher entre sa séance et son goût pour l’hypocrisie. Effectivement entre deux démagogies hypocrites, l’homme sait être provocateur pour obstruer les vapeurs de lucidité d’autrui. Son égoïsme notable le prédisposant à faire primer ses intérêts et c’est ainsi qu’on peut affirmer quelques bribes d’intéressement dans ses actes.  Véritable érudit jouissant d’une culture relativement étendue et talentueux orateur, sa prétention n’a d’égale que sa délectation au-devant d’un livre de Runes…D’ailleurs ce Monsieur je- sais- tout extrêmement et vaguement méprisant à l’égard d’autrui ne supporte que très peu les contradictions et même s’il n’en dit mot sur l’instant le songe avec hardiesse. Sachant que l’adulation des masses ne peut se faire si une heurte frontale dans les idéologies  se fait, Amory demeure inlassablement neutre. Il semblerait même impartial lorsqu’il ne prend pas la défense du veuf et de l’orphelin pour uniquement reluire de travers glorificateurs. Pour autant si Amory peut parfois paraître extrêmement calme bien que oncques froid, on ne peut lui nier une sensibilité pétris de frustration diverses qui lui confère des songes léthargiques. De temps à autre nauséeux, voir dépressif, le garçon révèle une envie grondante et la teneur de ses haines ancrées. Bien que ses profondes intolérances soient muselées par ses intérêts. Si son besoin de reconnaissance n’a que l’éclat de son hypocrisie, il lui arrive de se révéler odieusement misanthrope. Bien que ce ne soit pas pathologique et ne s’apparentant qu’en une diffuse sensation dans son cas… Relativement censeur, le sorcier n’est guère naïf, ni même candide à l’inverse louant l’abstraction de la métaphysique sur le charnelle Amory sait dénicher des travers de beauté pure à la notion sacrificielle d’où sa dévotion à ses plus intimes convictions. Autre point notable, aussi étrange que cela puisse paraître le sang-pur tient toujours ses promesses …le seul regret que l’on puisse émettre à cet égard et que manifestement ce ne sont pas les bonnes et qu’il en est extrêmement avare.  Enfin l’on peut clore en dénonçant son infinie mauvaise foi, ses affres de sarcasmes silencieux et parfois même sa possessivité qui le pousse à la loi du talion.
Egalement le Burke requiert le port de ses lunettes étant atteint de trouble de la vision léger mais quelque peu gênant.


a little something from you.

Son patronus, une douçâtre évidence à l’aigre amertume. Effectivement lorsque cette sphère fantomatique se présenta à ses travers amplement curieux au cours de cet hiver initialement quelconque...Lui-même ne pouvait nier ce fait immuable que ce n’était qu’une prolongation de son être le plus intime. L’énigme grisâtre se présentait sous la gracile silhouette d’un loup de jais une fois matérialisée et plus rarement sous les traits d’une loutre brunâtre. Le symbolisme n’en n’était qu’extrêmement saisissant, la plus commune de ses attraits n’étaient que sa nature énigmatique prostré dans une méfiance jadis vaguement aigrie. Quant à l’espiègle créature aléatoire, ce n’était là que l’allégorie de son avidité intellectuelle. Cependant et même si promptement cette présence lui était devenue un véritable contentement, Amory Burke avait indéniablement évolué. L’aube sanglante pourléchée des putrides larmes peinées de la plus ample partie des élèves avait sût lui conférer une vision … davantage clairvoyante. Inutile de tergiverser quant aux opinions ancestrales des Burke n’est-ce pas ? Et bien sachez qu’en cette nuitée, immondice débâcle haineuse, Amory venait d’étreindre les flots salvateurs d’une sérénité immuable qui lui laissait désormais davantage de temps pour se complaire à une érudition plus .. spécifique à ses songes. Cette méfiance caractéristique d’un jadis encore fumant, n’était qu’ineptie. Sa lignée demeurait prédestinée à l’immunité, la crainte n’était plus de ses émois. Et cela se retranscrit clairement suite à l’accident du Poudlard express. La massive épidémie dont il ne fut guère épargné venait lui ôter cette créature à la brume grisâtre. Une véritable souillure psychologique, une balafre à son être …qui ne fut pansé qu’avec la venue d’un patronus novateur. Respectivement, un rat quelconque à la fourrure noirâtre et un félin sphinx dénudé de toute fioriture velue. L’évidence ainsi que l’engouement  qui fut la sienne au cours de l’hiver 1978 fut une prouesse isolée jusqu’à-ce que la créature aux traits relativement immondes ne s’exprime.  Celui qu’il nommait désormais Céos en une référence pieuse et érudite à ce titan de la mythologie grecque allégorie de l’intellect même, mais également représentant  l'axe du ciel autour duquel les constellations tournent…Ne s’avérait n’être que deux autres reflets de la complexité de son être. Ce famélique  duveteux  félin ne serait-ce pas que l’indépendance, l’égo ultime œillade à l’axe du ciel autour duquel les constellations tournent ? Et puis, ce rat …. L’expression « rat de bibliothèque » ne vous aiguille guère ? Effectivement, ce répugnant rat à la crinière de jais n’exprime certainement que cette curiosité avide, cette manie que cet horripilant rat a de fureté de toute part, de s’échiner dans le pointillisme de ses connaissances que ses fantasques fantasmagories désires amples. Et cependant comment omettre toute la salve péjorative de qualificatifs nauséeux que tous attribuent à cette créature s’abritant à la torve ombre des égouts avec tant de pugnacité ?  Pétris de bassesse, le rat s’il semble être l’allégorie de sa curiosité immuable trop régulièrement indécente et désinvolte d’Amory représente également au centuple toutes les bassesses qu’il pourrait envisager pour saisir ses convoitises. De même ce félin qui demeure chat tout en attisant les attraits, ces travers étrangement charismatiques, perplexes qui ne sauraient laissés indifférent…car c’est bien là un fait avéré, Amory Burke ne peut guère laisser indifférent qu’importe le sens que l’on puise dans le creux de ses prunelles, n’est que la théâtralité du personnage. Pétris d’une hypocrisie cinglante, affublé de fausseté…Il abrite séduction sirupeuse, il abrite l’odieuse ruse et lorsque  se mêlent à ces deux travers l’intellect, le goût du savoir et l’ambition .. On obtient une ample part de lui-même.  


You're not a sad story.

Le six Mars 1959 naquît d'une union fertile un sang-pur. Parmi ce puits d'évidence saisissante, n'en demeure pas moins quelques constats éparses qui jadis surent immuablement façonner la glaise immaculée d'un ample sorcier en devenir. Effectivement, Leeroy Amory Fergus Burke n'a guère la reluisante place de l'aîné au sein d'une fratrie de trois héritiers. Statut choyé et vilement convoité par ce dernier depuis que ses prunelles aiguisées d'envie sirupeuse se posent sur sa situation de cadet, à laquelle il ne sait allouer que les bassesses les plus horripilantes. Ainsi, Amory en sournois cadet fut repu de prédécesseurs. Jumelés, ces deux sorciers aux fades intellects, aux ambitions brimées par le pesant héritage de la lignée Burke ne surent conjointement qu'attiser les primaires haines de l'enfant. Autant de vindicte au-devant de la génétique qui l'avait desservi et doté d'ingénus, respectivement  Victor et Matthys qui devint avec les années jalousées et âpres, mépris infini. Eddy Burke et Lysie  Black furent ainsi fructueux en dépit d'un mariage reposant sur un monticule de convenance...Son géniteur s'échinant à la besogne fastidieuse de l'enseigne de magie noire et sa génitrice reporter à la gazette du sorcier ce qui lui conféra une enfance relativement idyllique éperdue d'omission parentale et constellée de frasques diverses. Lorsque les jumeaux cloîtrés leur cadet dans les combles du manoir Burke, lorsqu'ils le laisser dans une barque d'un bois croupis au centre parfait de l'étang derrière l'habitacle ... Amory jouissait d'une solitude immuable. De même lorsqu'il poursuivait les elfes de maison dans les corridors du manoir, où qu'il dérobait les ouvrages de sa mère qui vouait une sordide fascination pour les arts occultes. Mais qu'importait pour ce chérubin studieux dont l'ultime refuge ne fut que les dédales salvateurs de la bibliothèque familiale délaissée par ses aînés davantage épris du Quidditch qu'il ne le saura jamais. Omis de ses géniteurs de part et d'autre appelés à d'autres tâches faméliques que l'élévation de leur progéniture,  Amory fut régulièrement accueillit par un être aux travers atrabilaires évident. Blaise Black. Enseignant de Runes à Poudlard pendant nombre d'année, ce dernier se substitua avec aisance à l'archétype de la figure paternelle au profit de fastidieuse et laborieuse après-midi au cours desquelles le jeune sorcier n'avait de cesse de scruter le moindre sourcillement de cet homme. Homme qui, comble du tyrannisme, n'hésitait pas à l'affubler de tâche drastique, voir clairement dangereuse dès que le sorcier encore marmot quasiment tordait les lèvres en une mine contrariante, effrontée ou encore ... spontanément niaise. Un véritable tyran, un odieux mangemort aigris par ses années de mesure, de service à la noirceur peu permise ... Et pourtant c'est cet être tout juste humanoïde acceptable qui lui insuffla le goût d'apprendre, de maitriser son sujet, d'être intarissable... C'est notamment pour cela que lorsqu'il reçu sa lettre à l'image de ses deux Serpentards d'aînés, Amory maîtrisait d'hors et déjà l'option de troisième, l'étude des Runes ce qui le favorisa considérablement pour ses BUSES (une tripotée d'Optimal). Lorsqu'il y a désormais quelques années cette figure identitaire tortueuse vint à décéder Amory n'en se remit  jamais véritablement. Son grand-père maternelle était la singulière famille affective de celui-ci. C'est ainsi que les prémices d'une aura fataliste l'embauma, une vague dépressive comme il est possible d'en connaître dans une oblongue existence. Peu après, la débâcle de Bélize vint lui insuffler une horripilante réflexion, pourris jusqu'à la moelle et essence même de la noirceur il ne devait craindre nul être autre que le Seigneur des Ténèbres auquel l'allégeance ne lui était guère si lointaine....Ses deux parents étant d'émérites mangemorts. Ainsi sauf et immuablement intacte jusque dans les froissures de ses pores, le Burke se confortait dans cet idéal d'invulnérabilité jusqu'à la peste des patronus. Pathologie arbitraire qui vint lui arracher cette part de lui-même, qui vint crever le potentiel de sa baguette lui pourrissant le crin, l'aliénant jusque dans ses veines pures. C'est également l'an passé qu'il fut officiellement fiancé à une Von Sachsenheim qu'il plongea dans un ponch ravit de polynectar au nom de leur entente relative. Actuellement, Amory Burke est toujours à Poudlard, a retrouvé son patronus  et est affublé d'une nouvelle baguette...L'aube de la novation.  



Tell me who you really are.

ϟ pseudo et âge:  Intello
ϟ Où as-tu trouvé le forum? Il y a longtemps ..
ϟ Personnage: Inventé
ϟ As-tu un autre compte sur BP?  Yeah!
ϟ Présence: 5/7
ϟ Une remarque?  athanaditnon  


Dernière édition par L. Amory Burke le Mar 21 Juil - 10:42, édité 6 fois
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Message Re: Born to die -AB
par Invité, Dim 19 Juil - 21:52 (#)
Re bienvenue ! Haww

Ton titre m'a fait pensé à une musique de Lana Del Rey... RIP


Dernière édition par Madison E. Jenkins le Dim 19 Juil - 22:43, édité 1 fois
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Message Re: Born to die -AB
par Invité, Dim 19 Juil - 21:53 (#)
burke NONPASAUBAAAIN rebienvenue Brille
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Message Re: Born to die -AB
par Guest, Dim 19 Juil - 22:08 (#)
Robert47cm Robert47cm Robert47cm
Que tu es seks en Harry Robert47cm

Rebienvenue Perv !
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Message Re: Born to die -AB
par Invité, Dim 19 Juil - 23:22 (#)
Encore un sang-pur... T'aurais pu innover un peu Ophis
Re bienvenue quand même :3
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Message Re: Born to die -AB
par Invité, Dim 19 Juil - 23:49 (#)
Rebienvenue. Brille BOn courage pour ta fiche :3
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Message Re: Born to die -AB
par Invité, Dim 19 Juil - 23:52 (#)
Re bienvenue Chou
O. Jill Peverell
membre - i don't want just a memory
O. Jill Peverell
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Message Re: Born to die -AB
par O. Jill Peverell, Lun 20 Juil - 0:01 (#)

    Encore un psychotique wazaaa Re-re-bienvenue hihi 12ème année en plus, je veux et j'exige un lien, je sens que je vais adorer te détester Robert47cm BB RIP


Dernière édition par O. Jill Peverell le Lun 20 Juil - 15:10, édité 1 fois
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Message Re: Born to die -AB
par Invité, Lun 20 Juil - 1:36 (#)
rebienvenue ! ijirjfoeirfj Brille ce que t'es beau hihi
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Message Re: Born to die -AB
par Invité, Lun 20 Juil - 8:06 (#)
re bienvenue Brille
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Message Re: Born to die -AB
par Invité, Lun 20 Juil - 11:54 (#)
Re bienvenue Robert47cm Robert47cm
Je veux absolument un lien avec Abi wuuuuut wuuuuut

Bon courage pour ta fiche Hug
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Message Re: Born to die -AB
par Invité, Lun 20 Juil - 15:43 (#)
Rebienvenue ! C'est qui ? Hum
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Message Re: Born to die -AB
par Invité, Lun 20 Juil - 23:09 (#)
Meeeerci à tous Brille Gisèle Robert47cm hihi

Caïn jamais wuuuuut

Charline, Jill évidemment HOHOHOHOHOHOHOHOHHO

Bonnie comeon !

Sio hihi
O. Jill Peverell
membre - i don't want just a memory
O. Jill Peverell
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Message Re: Born to die -AB
par O. Jill Peverell, Lun 20 Juil - 23:12 (#)
L. Amory Burke a écrit:

Charline, Jill évidemment HOHOHOHOHOHOHOHOHHO
Évidemment que évidemment Robert47cm
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Message Re: Born to die -AB
par Invité, Mar 21 Juil - 10:50 (#)
O. Jill Peverell a écrit:
L. Amory Burke a écrit:

Charline, Jill évidemment HOHOHOHOHOHOHOHOHHO
Évidemment que évidemment Robert47cm

Evidemment que évidemment que évidemment Perv !

Dison maintenant que tu le dis :o
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Message Re: Born to die -AB
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