BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. LEO | | | Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. LEOpar Invité, Ven 13 Déc - 16:54 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Leonard "Léo" Black FEAT. adam vadel 20 ans ϟ Médecine Magique ϟ Chat Sauvage et Aligator ϟ Sang purS'il y a bien un point sur lequel tous le monde puisse s'entendre lorsque l'on parle de toi, c'est bien ta bizarrerie, le fait que personne n'arrive clairement à te cerner, ou a savoir ce que tu veux. Tu les regardes tous avec cet air détaché qu't'as passé des années au travailler, et personne ne devine ce qui se cache derrière tes yeux noirs. T'en est fier pas vrais ? De ce mystère que tu cultive, presque aussi fier que d'ta foutue science. Ah ça t'en passe du temps dans ta chambre aux rideau fermés, tu torture ces pauvres bêtes pour découvrir leur nature profonde comme tu l'dis si bien, t'affirme que c'est pour la science alors qu'tu pense qu'à ta gueule, qu'a ta propre curiosité malsaine, parce que t'es malsains sur les bords tu l'sais ça ? Bien sure que tu l'sais, et t'en jouis aussi, même si t'as pas les couille de l'assumer d'vant ton vieux. Ah ça tut t'cache devant les Black, ton ferme ta grande gueule et tu baisse les yeux, parce que tu sais très bien qu'au fond, t'es pas a ta place ici, qu's'ils pouvaient t’effacer ils le feraient surement. Étrange et dérangé, trop silencieux, pas assez d'serieux. Ils te reproche ton désintérêt d'leurs petites leçons alors que tu passe tes nuits le nez dans tes bouquins, mais c'est pas les bonne choses qui t'facinent. Tu t'considère comme un génie, un savant, alors qu't'es juste qu'un sale gosse prétentieux qui regarde les autre de haut. Pas qu'tu sois cruel ou encore moins stupide, mais juste pas normal. Puis d'toute façon, qu'est-ce que c'est être normal ? T'observe toi, et même si t'as pas les couilles de l'affirmer, tu nettoierais bien cette terre de tous ces sang-de-bourbes qui grouillent de plus en plus par ici. Pourtant les moldus, tu les aimes bien au fond, ces drôle de créature naïves et stupide qui passe leur temps à s'entre-déchirer. Tu les observe de loin, mais moi j'sais bien qu't'aimerais les avoir sous la main, les enfermer dans une petite cage que tu planquerais dans ton placard pour faire tout c'que t'as toujours voulus vérifier. Bah ouai mais t'es comme ça, la curiosité est un vilain défaut, on t'l'avait pas dit fiston ? Pourtant c'est fou c'que tu change une fois loin d'la maison, dans les murs gris d'la vielle école de sorcellerie. Là tu t'affirme, t'es grossier, solitaire et parfois insolent, tu prend ta place sans t'mêler d'rien, t'as toujours pensé qu'a ta pauvre petite gueule en fait. T'affirme rien, t'attend d'voir qui vas gagner avant d'te ranger d'leur côté, parce qu'au fond tes idées, t'as pas l'courage de les assumer. Pourtant t'es pas si sombre mon garçon, au fond d'toi y a d'la douceur, des rêve et des envies, t'as ta guitare et ta jolie voix, qui font craquer les filles et fuir les gars, t'as tes beaux yeux qui savent y faire, puis t'a ton coeur qu'est beaucoup moins froid qu'tu l'laisse penser. T'emmerde les autres c'est c'que tu dis, mais tu f'rais quoi sans eux dis-moi ? Tu parle pas d'toi, jamais, tu répond pas, tu tourne les yeux, ou tu souris de cette façon qui t’appartiens, ce sourire presque effrayant qui veut dire qu'au fond d'toi y a rien, le néant. T'es un caméléon mon gars, tu change au fil du décor, tu t'presse pas, t'observe de tes yeux de miroir et t'attaque brièvement, d'un coup fin, rapide et silencieux, sans qu'personne te vois. En fait si j'devais parler d'toi j'dirais ça, t'es un caméléon, un chien errant, un chat sauvage, sans maître ni lois, avec sa gueule et ses dix doigts. Un menteur, un magicien, le genre de gars qui aura tout en faisant jamais rien. T'es méprisable, tu t'salis pas les mains, sauf dans ta chambre, devant ces horreur qu't'aimes tant. Mais t'es une horreur toi aussi tu l'sais ? Un monstre en dedans, laid et dégoûtant. Pauvre gosse paumé, t'sais même pas qui tu es. Étrange être bancale et faussement malhonnête. Dis-moi mon vieux pour voir, t'es combien dans ta tête ?
Neron, chat sauvage et patronus, été 1979 a little something from you. Néron et Leonard c'est un peu comme le jour et la nuit, ils n'ont rien à voir ensemble et pourtant sont totalement indissociable. Malgré l'animosité de leurs échanges, ils nourrissent depuis les premier jours un lien presque fraternel, mais tout le monde sait qu'entre frère, on ne fait que s’engueuler non ? Néron c'est la lumière, le garde-fou, la limite et la conscience de Leo, mais c'est aussi son ami, le seul qui compte véritablement, le seul qui sache tout de lui, qui comprenne ce qui se cache derrière ces yeux trop sombres et cet air grave. Depuis qu'il a sont patronus dans les pattes, Leo râle et grogne de plus en plus souvent, mais il commence aussi à sortir de sa coquille, il lui arrive même parfois d'ouvrir les lourds rideau de velours sombre de sa chambre pour y laisser filtrer quelques maigres rayons de soleil. Parce que derrière ses airs d'emmerdeur, Néron essai de sortir le sorcier de son état végétatif, de la folie qui guette, qui lui pend au nez comme une vielle et terrifiante araignée. Léo dit que Néron est son paradoxe, sa propre tare, il souligne l'étrangeté du sorcier. En effet qui pourrait s'attendre à ce qu'un jeune homme sombre et silencieux comme Leonard Black soit en permanence accompagné d'un adorable petit chat gris. Un chat sauvage, qui obéit aux lois de la nature seule, mais un chaton tout de même. Et Léo perd souvent son calme lorsque l'on a le malheur de souligner l'adorable bouille de la créature. Mais tout comme son sorcier, le patronus n'a d'adorable que son apparence, car c'est d'une grosse voix rauque et vulgaire qu'il houspille le jeune homme avec des insultes insoupçonnables, et si les autres sorciers pouvaient entendre la bête parler comme un docker, Léo en mourrait certainement de honte. Toutefois le jeune Black aime passer des heures à discuter avec le chat, il sait qu'il existe sur cette planète un être qui ne l'abandonnera pas, jamais. Ça a quelque chose de rassurant parfois. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Black Lips, 20 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? Huhu je vous connaissait déjà ϟ Personnage: Inventé of course ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non, rip le queutard ϟ Présence: régulière, en fait ça dépend un peu des jours, mais j'éssairais de passer au moins une fois dans la journée, après j'ai mon forum en cours de créa qui me prend un peu de temps, mais j'vais assurez vous en faites pas ! ϟ Une remarque? Vous m'aviez manqué ! Et le nouveau design est juste SUBLIME !
Dernière édition par Leonard Black le Dim 15 Déc - 0:00, édité 12 fois |
| | Re: Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. LEOpar Invité, Ven 13 Déc - 16:54 ( #) | You're not a sad story. Naître dans la famille Black fût pour moi à la fois une bénédiction et la plus terrible des méprises. Pourtant durant mes trois premières années, j'ai représenté aux yeux des miens l'incomparable perfection. Personne n'aurait pu se douter de la voie que je choisirais de suivre quelques années plus tard. Je n'ai jamais su ce qui avait foiré chez moi, mais j'crois bien qu'personne n'y a jamais rien compris. Ils n'ont de toute façon même pas essayer. L'étrange Leonard Black, le monstre, le fou, le solitaire, j'ai toujours été mis de côté, personne en m'a jamais vraiment porté d'attention, trop différent pour faire partie de cette famille mais pas assez pour en être renié. J'ai pourtant suivis les directives de nos ancêtres, j'ai appris bien sagement à mépriser tout ce qui n'est pas pur, j'ai suivis sans broncher les chemins tracés par la famille. Mais je ne leur conviens toujours pas, je ne conviendrais surement jamais.. A qui que ce soit. Moi même j'ai du mal à ma comprend, à savoir qui je suis et pourquoi je fais ce que je fais. J'avais cinq ans lorsque pour la première fois, mon père m'a surpris dans ma chambre en train de commettre le premier de ce qu'il appellerait par la suite mes "crimes expérimentaux". Pourtant l’obscurité a toujours été de mise chez nous, mais mes tendances les ont toujours effrayés, pour la plupart du moins. Ces heures que je passais -que je passe- dans ma chambre, enfermé à double tour dans cette profonde obscurité qui m'est si familière, a pratiquer mes "observations". Ils ne me comprennent pas non, car le génie est incompréhensible, le génie n'a ni limite ni conscience, il agis. Je suis un génie. De ceux qui par leur manque d'empathie peuvent atteindre cet état effrayant de neutralité profonde. Oui je n’éprouve plus la moindre émotion à arracher une à une les pattes d'un petit animal pour tenter de les greffer, potions et vieux sortilèges à l'appuis, à une autre créature. Je rêve de réaliser ce que personne n'a jamais su faire, je rêve d'inventer le sortilège qui me permettrait de dominer et de maîtriser la forme et l'origine, la vie et la mort. Mais ils ne comprennent pas la noblesse de ma quête. Personne ne comprend. Dans les ténèbres se cachent la lumière, qui sommes-nous pour juger ce qui est bien ou mal ? Leur méfiance à mon égard a fait de moi en gamin solitaire et silencieux, de ce qui n'élève jamais la voix, qui rase les murs, qui baisse le front. Je pourrais me plaindre, mais je ne le ferais pas, je ne leur en veut pas, ils ne m'ont tout simplement pas compris. J'ai attendu sagement l'année de mes onze ans et la lettre de Poudlard qui l'accompagnerait. Je me souviens encore très clairement de mon premier jour à Poudlard, de l'angoisse terrible qui me tordait les boyaux lorsque l'on m'a posé le choixpeau sur le crâne. Surement le moment le plus terrifiant de ma courte vie. Mais ce moment absolument odieux, a finit par donner suite à tous ces instants qui libérèrent ma sombre existence. Poudlard m'offrait un nouveau monde, une nouvelle chance, et surtout un nouveau moi. J'ai relevé fièrement la tête et pour la première fois personne ne chuchotait sur mon passage. Du moins pas tout de suite. Lorsqu'ils ont su mon nom, j'ai bien sure alimenté les discutions de couloir, et mon mutisme les y a surement encouragés, mais je ne m'en suis plus jamais vraiment senti déstabilisé. A cette époque, j'ai aussi découvert le pouvoir que m'octroyait mon beau visage, cette face lisse qui m'avait été offerte par ma mère vraisemblablement. C'est fou c'que les femmes se laissent aller devant un beau sourire. Oui j'ai rapidement su plaire au filles, mais elles ne m'ont jamais vraiment plus. Non pas que les hommes me plaisent plus, certainement pas même, mais la gente féminine a le don de m'ennuyer profondément. Quoi que ces dames tentent de faire, je finis toujours par ressentir cette profonde lassitude qui me tire dans l'abîme obscure de mes pensées. C'est à Poudlard également que j'ai découvert le musique, enfin celle que je pratique. La musique c'est le meilleur des masques, le tapis qui cache le sol grouillant de vermine. Ma vermine. Ma guitare agis comme un miroir, un rideau de soie, derrière les mèches brunes de l'artiste, personne n'irait chercher le génie. Elle m'offre le calme et l’innocence qui me permettent de pratiquer les sciences les plus sombres sans être inquiété. Il est normal pour un artiste d'être excentrique, personne la folie qui -je le sais- me guette depuis toujours, mais qu'est la génie sans un grain de folie ?
Mes années dans le cycle primaire de l'école se sont déroulées sans encombre, j'ai toujours obtenue d’excellent résultats sans jamais perdre mon temps à relire les stupides radotages de professeurs séniles. Je préférait passer mon temps libre à fouiller les vieux document et parchemins usées plutôt qu'a perdre mon temps sur ces informations médiocres. Certaines personnes sont naturellement doués pour le sport, moi ce sont les études qui me réussissent, je suis nettement au dessus de toute cette vermine stupide qui grouille dans les couloirs du château. J'étais en dernière années lorsque pour la première fois j'ai réussi l'une de mes --nombreuses- expérience au seins de l'école. J'ai en effet pu assembler une souris et un lézard en un seul être, bien caché au fond d'une salle inutilisé des cachots de Poudlard. Hélas la créature n'a pas vécus plus de quelques minutes avant d'imploser littéralement. J'ai retenté plusieurs fois l'expériences, mais sans atteindre de résultat concluant. J'ai finis par obtenir mes ASPICS avec brio et orienter mes études vers la médecine magique, qui s'approche certainement le plus de ma petite passion. Jusqu'à ma première année de Médecine magique, je n'avais jamais considéré les moldus comme autre chose que de vulgaires gros animaux stupides et bruyant, mais en les étudiant, j'ai vite découvert qu'ils pouvaient être bien plus que cela. Avec l'une de ces grossières créatures, je pouvais créer un monstre incroyable, une créature splendide, parfaite. Je m’efforce donc depuis cette année-là de cacher mon "hobby" aux yeux du monde, car pour réaliser mon grand projet, je dois attendre l'anonymat parfait. En effet pour une obscure raison le ministère de la magie fait de ces moldus ses petits protégés. Mais je suis patient, et le jour viendra ou je pourrait enfin mettre à exécution mes projets et les dévoiler à la face du monde avec grandiloquence. En attendant, je passe le temps.
Vous n'en saurez guère plus sur ma noble personne, je ne suis pas homme à me dévoiler si naturellement aux yeux d'un inconnu.
Dernière édition par Leonard Black le Sam 14 Déc - 23:57, édité 4 fois |
| | Re: Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. LEOpar Invité, Ven 13 Déc - 17:03 ( #) | Bienvenue à toi ! |
| | Re: Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. LEOpar Guest, Ven 13 Déc - 17:06 ( #) | Rebienvenue à toiiii Et bonne chance pour ta fiche |
| | Re: Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. LEOpar Invité, Ven 13 Déc - 17:13 ( #) | REBIENVENUUUUUUUUUUUUE Sois un Black normal s'il te plaît. |
| | Re: Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. LEOpar Invité, Ven 13 Déc - 17:22 ( #) | Re Bienvenuuue |
| | Re: Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. LEOpar Invité, Ven 13 Déc - 17:25 ( #) | |
| | Re: Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. LEOpar Guest, Ven 13 Déc - 17:52 ( #) | Re bienvenuue ! |
| | Re: Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. LEOpar Invité, Ven 13 Déc - 17:54 ( #) | Bienvenue à toi, Black...:némé: |
| | Re: Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. LEOpar Invité, Ven 13 Déc - 18:03 ( #) | |
| | Re: Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. LEOpar Invité, Ven 13 Déc - 18:12 ( #) | Bienvenuuuue |
| | Re: Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. LEOpar Invité, Ven 13 Déc - 18:16 ( #) | MERCIIIIIIIIIIIIII Alhena, je suis tout sauf normal (mais je suis pas non plus un traître hein !) Némé, ce smiley :némé: fait vraiment peur
Dernière édition par Leonhard Black le Ven 13 Déc - 18:37, édité 1 fois |
| | Re: Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. LEOpar Guest, Ven 13 Déc - 18:27 ( #) | Re-bienvenue parmi nous |
| | Re: Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. LEOpar Invité, Ven 13 Déc - 18:34 ( #) | Toi, je t'ai à l'oeil Je pense que je vais te renier Mais bienvenue quand même |
| | Re: Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. LEOpar Invité, Ven 13 Déc - 18:35 ( #) | N'ai pas peur Némé est poilue mais gentille Bon retour donc à ce que j'ai compris |
| | Re: Nous sommes de ceux qui mettent mal à l'aise en public. LEOpar Contenu sponsorisé, ( #) | |
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