Iphigénie. Qui a choisi ce prénom déjà ? Ah oui, ma mère. A ce qu'on raconte je lui ressemble beaucoup. Mais je n'en ai pas l'impression. J'ai beau me poster devant le miroir, une photo d'elle à la main et faire mille grimaces, je ne trouve aucune ressemblances. En fait, je ne sais pas si je suis déçue ou non de ne pas avoir ses traits. Je crois que je m'en moque. Je veux juste savoir pourquoi les gens pensent ça, c'est tout. C'est comme lorsqu'on me dit : Elle a les yeux de son père . Ah bon? J'ai un père moi? Ah, vous voulez sûrement parler de mon géniteur. Un homme comblé par ses affaires qui se moque éperdument de sa fille unique et la refile à une gouvernante pour s'en débarrasser et retourner à ses affaires politiques. Je n'aime pas la politique. Ca me parait trop fermé, trop sérieux. Je n'aime pas ce qui est sérieux. Je préfère la liberté, vous savez, celle que l'art nous offre? Oui vous la connaissez. Lorsqu'on chante, danse, peint, écrit, lit, ou rêve notre cerveau s'envole dans un monde que j'aime à appeler la liberté ou mon nirvana dans mes temps de solitude ou d'ennuis. Ma gouvernante, dont je vous avoue que le nom m'a échappée, aimait à me voir danser dans le salon. Je me rappel la voir taper des mains pendant que je tourne sur moi-même avec grâce à l'âge de six ans. Je ne me rappelle pas beaucoup d'elle. Je crois qu'elle était gentille et qu'elle m' appréciait beaucoup, mais moi je n'en avais que faire. Je n'aime pas beaucoup m'attacher aux gens. Je n'en vois pas l'intérêt. C'est vrai en somme, en quoi pouvez-vous éprouver du plaisir à vous attacher à quelque chose qui va mourir ou vous blesser? Non merci, je préfère rester seule. Enfin... il y a bien Jaeden... mais lui c'est autre chose. Je l'apprécie beaucoup tout en le détestant. Je n'aime pas cette façon qu'il a de faire ressortir des sentiments de mon coeur. Je ne veux pas m'attacher à lui et pourtant je ne peux pas me passer de sa présence. Mais je me console en me disant qu'il est pris et qu'en tout cas je n'aurais jamais voulu m'approcher plus. Flag me convient. Flag, c'est mon patronus. Telle une petite nuée bleutée, il aime s'envoler autour de moi sous l'apparence d'un rouge gorge et m'enlacer de ses longs bras de singe lorsqu'il veut m'obliger à faire quelque chose. Je crois que c'est la seule chose à laquelle je me suis attachée en ce monde. Mais en même temps je n'ai pas eu le choix. De temps en temps nous nous disputons car il est aussi têtu que moi. Enfin, après c'est lui qui m'a conseillée de parler à Jaeden. Il sait ce que je ressent et il est ma vérité. Il affirme ce qui gît au fond de moi et que j'essaye de cacher au monde. Il me pousse à être généreuse, à assouvir ma curiosité en apprenant et il me rappelle mes principes même s'il se contredit souvent. Et oui, mon petit Patronus est aussi compliqué à comprendre que moi! Nous avons donc des défauts oui et des qualités. Un esprit borné et compliqué c'est ce que tout le monde dit de nous...enfin surtout de moi. Les gens aiment bien me critiquer à cause de mes origines, mais depuis toute petite je suis habituée à recevoir des piques alors je m'en moque. De plus, je n'ai aucune honte à être une moldue. J'aime mon " espèce" et j'en suis fière. C'est d'ailleurs pour cette raison que je me lance dans un cursus de médecine. J'aimerai tant que moldus et sorciers vivent en paix... *soupir* Il y a une chose néanmoins étrange chez moi. Je ne me vexe pas aux piques des autres, mais je suis sensible. A quoi me direz vous? Et bien à mes "amis"-si on peut appeler ainsi ceux avec qui je parle souvent-. Lorsque l'un d'eux me fait un coup dans le dos, je suis sensible. Et oui, même si ma gentillesse et ma générosité me pousse à les accepter, mes principes m'empêchent de m'attacher aux gens.
a little something from you.
Il s'appelle Flag. C'est moi qui lui ai donné ce nom. Au début, je ne lui avais rien donné, il était mon patronus et je m'en moquais. Il me suivait partout mais je n'avais pas envie de me lier avec lui. Je ne le rejetais pas non plus, je ne voulais pas lui faire de mal. Mais un jour que la tristesse m'habitait, il me regardait. Sous l'apparence d'un singe, il a grimpé sur la table et a allumé la radio. Une chanson émanait des hauts-parleurs et le patronus s'est envolé pour danser dans le ciel comme le fait un rouge-gorge. J'ai souris et me suis mise à danser avec lui. Depuis, je me suis attachée à lui. De temps en temps, nous nous disputons parce que nous sommes tous deux bornés et voulons toujours avoir raison. D'autres fois parce que nous ne nous comprenons pas. D'autres encore parce que je veux danser et lui m'affirme que je dois travailler. Mais il est des moments où nous sommes seuls au monde et que plus personne n'existe. Lorsque nous dansons ensemble, ou bien lorsque nous travaillons, ou encore lorsque la générosité nous pousse à agir. Nous sommes pareil et j'avoue beaucoup l'apprécier. Lui, je ne m'en prive pas. Nous sommes enchaînés l'un à l'autre et si je meurs il meurt alors je ne risque pas de souffrir.
This one moment when you know you're not a sad story.
J'ai toujours vu que les histoires commençaient par Il était une fois. Enfin, c'était souvent des contes de fées avec des méchantes sorcières et des princes charmants. Mais c'est moi la sorcière et je n'ai pas de prince charmant. Je ne sais même pas si j'en veux un et si j'en aurais un un jour. Après il y a le fameux ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. Ah oui, fonder une famille.. devenir maman. Je pourrais ? Je ne sais pas comment m'y prendre, ce qu'il faut dire où faire. Je me demande comment font les femmes... Mais bon, revenons à nos moutons. Je crois que je sais comment je vais commencer mon histoire. Oui, je sais.
Il était une fois, dans une grande maison d'Angleterre, près de notre chère capitale, des cris se font entendre. Oui, on entend deux cris. L'un une femme, criant de douleur et l'autre... un bébé. Une petite fille disent les médecins. La mère regarde son enfant avec un immense sourire aux lèvres mais.. elle a perdu beaucoup de sang. Elle s'évanouit et alors on écarte le mari. L'enfant est envoyée pour toutes sortes d'analyses et la femme est entre la vie et la mort. On demande au mari de sortir, il obéit. Il se moque de la gamine, il veut sa femme c'est tout. Sa bien aimée... Il ne cesse de tourner en rond dans la pièce, imaginant les pires scénarios quand soudain une femme arrive. Il la regarde avec ses grands yeux bleus emplies d'un espoir. Désolée Mr Hemingway, nous n'avons pas pu la sauver. La femme continue, tentant de rassurer le nouveau veuf que sa fille est quant à elle vivante, mais il ne veut pas la voir. Toute sa vie il maudira cette gamine de lui avoir enlevé sa femme et ça n'ira qu'en empirant, mais on y reviendra plus tard.
Les années passent et l'homme a engagé une gouvernante pour s'occuper de la gamine. Iphigénie, c'est ainsi que sa femme voulait l'appeler. Il ne voit la gamine que pour son anniversaire et les fêtes... et encore. Chaque fois il invente une réunion, quelque chose qui lui permet de partir loin de cette enfant. Pourquoi? Parce qu'elle lui ressemble tellement... et il déteste ça ! Elle n'en a pas le droit! Elle l'a tuée, elle n'a pas le droit de lui ressembler! Mais la petite, elle, elle ne comprend pas au début, puis comme elle est intelligente, elle se dit que c'est comme ça qu'un père doit se comporter avec sa fille. Elle ne prend jamais sa gouvernante comme une amie mais comme une simple employée, au grand malheur de la jeune femme. Mais Iphigénie reste gentille avec elle, déclinant souvent ses propositions à parler à jouer ou à s'habiller. Des fois même, la gamine tente de faire des blagues un peu froides mais qui pour elle lui sont naturelles. Oui, c'est l'humour que son père entretient avec elle. Tu n'es rien d'autre qu'un grain de poussière et moi je suis le vent! ou encore Oh, un petit cochon! Iphigénie n'appréciait pas beaucoup ça au début, puis elle s'est dit que ce devait être ainsi qu'on rigolait. Alors elle " rigolait" de cette manière avec la gouvernante. La femme comprend que ce n'est qu'une enfant et qu'elle est influencée par le comportement de son père, mais elle a beau tenter de la calmer, rien n'y fait. La gamin est bien trop bornée pour écouter les conseils d'une simple gouvernante. Alors la femme abandonne et la laisse s'amuser seule. La gamine ne trouve pas son bonheur dans cette maison. Elle ne l'aime pas. Pourtant, depuis ... oh bien trop longtemps! Elle aime allumer la radio et danser sur la musique en fermant les yeux. C'est comme si elle s'envolait dans un autre monde, un autre espace, un autre univers. Elle développe donc son gout pour l'art et ne le partage avec personne. La gouvernante est ravie de voir la gamine heureuse en faisant ça, mais le père la rabaisse encore, lui disant que l'art n'est rien d'autre qu'un bonheur éphémère et qu'il ne la mènera nulle part. Sauf que la gamine rêve de devenir une danseuse étoile et de jouer dans ces ballets qu'elle va voir avec la gouvernante. Elle aime tellement la danse...
Maintenant, Iphigénie à onze. Onze ans qu'elle passe à danser, à apprendre et à attiser son amour pour l'art tout en évitant le sujet avec son père pour ne pas avoir le coeur déchiré. Mais un jour... un jour qu'ils étaient tous à table et qu'ils mangeaient silencieusement, une lettre tombe par la cheminée. C'est la gouvernante qui va la prendre. Elle lit dessus le nom de la demoiselle et la lui tend. Le père s'en empare rapidement et l'ouvre. Alors une voix annonce à la gamine que dès la rentrée elle devra se présenter à l'école Poudlard, l'école pour sorciers. SORCIERS? Mais qu'est-ce que c'est que ce charabia? Le père commence à s'énerver, proférant mille insultes à sa pauvre fille qui reste juste victime du destin. Elle n'a rien demandé elle... Alors, pour la première fois en onze ans, elle pleure. Elle en a assez de subir les colères de son père. L'homme crie une dernière fois et sort, confirmant qu'il ne veut plus être le père d'un... monstre. La gouvernante ne la voit pas comme ça. Elle se précipite vers la gamine et tente de la consoler. Le lendemain, elles partent acheter les fournitures de la gamine. Toutes les deux ont peur de cet endroit... original. Iphigénie sert fort la main de la gouvernante qui alors se sent heureuse de sentir à quel point la gamine a besoin d'elle, même si elle ne l'avouera jamais. Viens alors le moment de choisir sa baguette. L'homme la regarde un instant et se retire. La demoiselle a les mains moites et attend impaciemment le retour du vendeur. Il revient donc, une boîte dans les mains. Il l'ouvre et la jeune fille est émerveillée par ce simple bout de bois sans en connaître vraiment la raison. Cette baguette est faite en bois d'acajou. Elle a été formée à partir d'un ventricule de coeur de dragon. Iphigénie le regarde avec de grands yeux, ne comprenant pas son charabia. Le vendeur la regarde en souriant et l'invite à prendre le bout de bois. Elle tend donc sa main. Attention mademoiselle, n'oubliez pas, c'est la baguette qui choisit son sorcier, par l'inverse. La gamine hoche la tête et approche sa main de la baguette. Son coeur bat fort, elle a peur de ce qui va se passer. Elle empoigne enfin le bout de bois et celui-ci se met à lui brûler la peau. Elle la lâche rapidement en émettant un petit crie de douleur. La gouvernante se précipite vers elle mais Iphigénie la rassure en lui disant qu'elle va bien. Le vendeur marmonne dans sa barbe, comme s'il réfléchissait à ce qui vient de se passer. Il embarque la baguette et retourne dans l'arrière-boutique. Il revient ensuite, une nouvelle boîte à la main. Du noyer noir et du crin de licorne. Je pense qu'elle vous conviendra. Et elle lui convint. La petit sent une force la conquérir lorsqu'elle empoigne le bout de bois. Elle rit, heureuse de cet exploit.
Deux mois plus tard elle arrive à la gare. Elle cherche le quai neuf trois quart et de jeunes gens de son âge lui indiquent le chemin. Avant de partir, la gouvernante la prend dans ses bras, pleurant légèrement et pleurant comme le ferait une mère. Mais la gamine trouve ces gestes plus amicaux. Elle sourit et embrasse la femme. Elle se retourne enfin et part se jeter dans ce mur, habitée par la peur de se cogner. Mais elle arrive dans une gare remplie de monde. Elle regarde les gens autour d'elle et commence à se sentir à l'aise. Elle grimpe dans le train, bavarde avec quelques gens sans jamais vraiment vouloir se lier d'amitié avec eux. Enfin, elle arrive à l'école. Elle s'assoit à une table, près d'une fille qu'elle a croisé dans le train et qui lui semble fort sympathique. Un vieille homme se poste devant la foule et commence un long discours. On appelle ensuite ses camarades. On les appelle un à un et les place sur une chaise devant tout le monde, un chapeau magique sur la tête. Il crie des noms qui sont inconnus à Iphigénie. Puis, vient son tour. Elle a les mains moites. Elle n'aime pas être regardée de tout le monde comme ça. On lui met le Choixpeau sur la tête et on attend. Le couvre chef se perd dans ses réflexions et enfin il crie un nom. On acclame le choix. Iphigénie sourit sans savoir vraiment pourquoi et elle se dirige vers la table de sa nouvelle maison. Une maison. Une maison qui sera plus accueillante que celle de Londres. Oui, la jeune fille aime Poudlard. Elle se lie légèrement d'amitié aux gens, ne les rejetant pas mais ne les désirant pas non plus. Les années passent et lorsqu'elle a 16 ans, elle apprend le décès de sa gouvernante. Son coeur se sert mais elle ne pleure pas. Elle n'a pas l'impression que c'est une réalité. Pour elle, la gouvernante est ailleurs dans le monde. Elle se sent perdue. Alors, un jour pour remettre ses idées en place, elle va dans la salle sur demande, son tourne disque sous le bras. Elle s'assure qu'elle est seule et l'allume. La chanson raisonne dans la pièce. La jeune fille se met à danser, ses longs cheveux ondulants au rythme de ses mouvements. Et soudain elle s'arrête. On l'observe. Un garçon. Il la regarde. Elle n'aime pas ça. Pas qu'on la regarde danser, mais qu'on la regarde faire cette danse. Elle n'appartient qu'à sa gouvernante et elle, à personne d'autre. Elle lui crie dessus, ne cherchant même pas à obtenir des explications du jeune homme elle s'en va. Elle ne parle plus au garçon, même si elle le voit tous les jours en cours. Elle se concentre sur ses études. Et un jour il revient, son tourne disque sous le bras. Il lui rend. Elle sourit. Leur petite amitié commence ici. Une amitié que Iphigénie ne veut pas développer plus, mais c'est ce qui se passe malgré tout. Ainsi, elle souffre en se rappelant qu'il ne pourra pas lui appartenir, qu'il est déjà promis. Elle abandonne donc ses sentiments, tentant de les renier.
Mais le sort arrive. Un jour qu'elle dansait tranquillement, un oiseau apparaît et se met à chantonner au dessus d'elle. Elle n'y prend pas garde puis il lui explique. Mais elle ne veut pas de Patronus. Cependant, elle ne peut pas s'en séparer, alors elle le laisse la suivre sans vraiment s'en préoccuper. Et un soir, que son père appel pour lui dire qu'il est mourant, elle pleure. Elle se demande pourquoi, alors que cet homme ne l'a jamais aimée, elle arrive à éprouver de la tristesse. Le patronus, alors devenu un singe s'approche d'elle et la prend dans ses bras. Leur amitié commence. Ils deviennent complices. Elle l'appelle Flag, pour souligner son apparence de piaf. Ils s'adorent. Le petit animal conseil à la jeune fille de rester amie avec Jaeden car même si elle ne peut l'aimer et qu'elle ne veut pas, elle ne peut empêcher sa tristesse de revenir lorsqu'elle est loin de lui. Elle abdique donc, se pliant à son destin funeste qui l'oblige à voir cet homme promis à quelqu'un d'autre. Cependant, malgré les affirmations de son patronus, elle jure ne pas être amoureuse de ce garçon... Enfin c'est ce qu'elle dit.
Le reste de l'histoire, je ne l'ai pas encore écrit. Je compte le faire bientôt, vivre de nouvelles aventures et peut-être même me trouver ma Happy End.
Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge: So call me Camo o/ /bus/ ϟ Où as-tu trouvé le forum? Ethna TT ϟ Personnage: scénario ϟ Présence: et bien malgré mon bac j'essaye de passer assez souvent et de rp rapidement ϟ Une remarque? Je vous hais TT Je devais plus m'inscrire sur des foweuh TTnTT POURQUOI MONDE CRUEL POURQUOI?!
Dernière édition par Iphigénie M. Hemingway le Jeu 21 Fév - 16:32, édité 1 fois
Bienvenue parmi nous Lys a encore ramené quelqu'un? *bâtit un temple* Je lis ta fiche mais il faudra attendre l'avis de Jaeden pour que je puisse te valider si tu as la moindre question, n'hésite pas
Un esprit aussi curieux trouvera sans aucun doute sa place chez les Serdaigle. N’oublie pas d’aller faire recenser ton patronus [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Petit rappel, ton personnage n’est pas adulte donc son patronus a deux formes. Si ton personnage est préfet ou préfet en chef, fais en la demande [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. De même, s’il fait partie de l’équipe de quidditch de sa maison, c’est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Maintenant que ta fiche est validée, tu peux aller créer ta [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] si tu le souhaite. Si jamais tu rencontres des problèmes dans la rédaction de tes rps, sache qu’un [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] est mis à disposition. Il est aussi important de savoir que ton personnage peut faire gagner des points à sa maison pour la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], pense donc bien à lire le sujet. Autre chose, vérifie qu'on t'as bien attribué ton rang, sinon c'est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] qu'il faut aller. Enfin, pour mieux t’intégrer, nous t’invitons à poster dans le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et dans les [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] dès maintenant. Et au passage, si tu veux bien voter toutes les deux heures pour soutenir le forum, il suffit de cliquer sur le petit hibou [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]