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Fermez-là, asseyez-vous, sortez vos livres et vos cervelles. [UC] Dax Krisstïrvon
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Message Fermez-là, asseyez-vous, sortez vos livres et vos cervelles. [UC] Dax Krisstïrvon
par Invité, Jeu 16 Jan - 1:18 (#)
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Dax Krisstïrvon
FEAT. Hugh Laurie
Âge ϟ Cursus ϟ Patronus ϟ Statut du sang

Je voudrais commencer par préciser qu'il est très impoli de demander son âge à une jeune femme, et qu'une demoiselle comme moi se tiendra donc de répondre à d'aussi impolis personnages que vous. Je note cependant que vous faites preuve d'une curiosité qui ne peut faire défaut qu'à vous, aussi vais-je prendre le temps de vous expliquer quelques détails qui relèvent, à mes yeux, de la nécessité, plus que la précision subjective d'une pathétique construction sociale. Sachez en effet que je ne suis pas le genre d'homme à apprécier parler de ma vie, et que cela ne regarde que moi que de dévoiler ou non mon passé. C'est votre affaire, si vous étalez la votre comme de la confiture sur une foutue tranche de pain, et je plains l'idée que vous puissiez penser intéresser qui que ce soit avec cela. Si vous insistez, cependant, je peux néanmoins vous répondre que ma baguette est totalement normale. Totalement. Ne me regardez pas avec cet air consterné, cela ne fait que vous rendre un peu plus ignoble, et ma perception de vous est à peu près équivalente à celle que j'ai pour les insectes qui rampent sur le sol. La composition de ma baguette ? En quoi est-ce que cela vous regarde ? Oh, indiscrétion, c'est cela ? Et bien …
… Elle est … composée de … Bois …
… Et d'un autre truc. A l'intérieur. Dont j'ai … oublié le nom.

Mon épouvantard et sa conceptualisation ne regardent que moi.
Quand à l'animal de compagnie … Considérez John comme tel. Avec le chat.
Et peut-être mes élèves, aussi.


a little something from you.

Qu'y a t-il de plus colérique, vicieux, rageux, et anti-personnel que le chat ? Félin capricieux que l'on accorde souvent aux dames, le patronus que j'aurais possèdé, si j'avais été de ces enfants subissant cette épreuve de la matérialisation de leur âme, n'aurait rien eu d'une minette. Chat monstrueux, au poil hérissé dans sa rage contemplative du monde, il cracherait et sauterait sur les dangers contre lesquels il aspire à se battre. Mais je n'en ai pas, et brume légère, je me satisfait de cette onction qui baptise ce que je ne veux pas affronter pour le moment. Simplement contemplatif, pour le moment, je m'amuse, aussi pervers et voyeur que n'importe qui depuis, à reluquer ces âmes enfantines et juvéniles qui s'exhibent, dans toutes leur sincérité, dans toute leur honnêteté. Honnêteté de la souffrance ou de la violence, j'aime considérer ces élèves d'un œil critique, en sachant que j'ai une approche de leur personnalité rien qu'avec un regard sur ces patronus qui les double.

ATTENTION: Les patronus sont apparus durant les vacances de Noël 1978 (nous sommes en 1980 dans le jeu), ni avant ni après.


You're not a sad story.

John. John Fields.

Un nom très commun, très banal, assez désagréable en vu de sa normalité, et de toute cette sensation amère du manque d'originalité qu'apportait la lecture de cette identité. Un prénom qui portait à lui tout seul cette grisaille ennuyeuse d'un ciel londonien. Ce ciel qui m'avait adopté tout autant que je l'avais toujours rejeté, moi, l'allemand rageux de ces territoires britanniques. John Field était un homme identique à ce ciel porteur de son identité britannique. Un homme que j'avais rejeté, mais qui m'avait adopté.

Enfants, cessez vos illusions ; nous avons couchés ensemble un nombre incalculable de fois. Je ne suis pas homme à craindre le jugement des autres ; pour la simple et bonne raison que je n'en ai particulièrement rien à foutre, et que vos attentions sur moi sont à peu près aussi importante que le nombre de cheveux blancs de cette horrible tante clichée que nous avons tous. Bien ? Bien. J'ai couché avec John le soir même où je l'ai rencontré.

Les circonstances dans lesquelles cela se fit se révèlent cependant assez intéressantes pour que je puisse vous en parler. Figurez vous le silence d'une existence qui se tait, qui se meurt ; moi. Moi, héritier d'une riche famille moldue ayant toujours vaguement méprisé mon appartenance au monde magique, j'obtenais du jour au lendemain, suite à l'accident malheureux de mes octogénaires de parents, tout l'héritage d'une firme pharmaceutique connaissant un succès très certain en Allemagne. Moi, homme de presque cinquante ans, esseulé dans cette vie qui s'était toujours vue remplie par mes compétences, à temps pleins, de musicien dans un petit café, quand il ne s'agissait pas d'être libraire lorsque j'en avais l'occasion, ou bien vendeur à la sauvette. Jusque là, je n'avais jamais mené une existence très riche. Je vivais à la semaine, usant mes semelles à fouler des trottoirs germaniques que je ne connaissais que trop, lorsque je ne cherchais pas à échapper à ce reflet identitaire, et que je ne fuyais pas mon pays natif en rejoignant la France. J'aimais bien la France. A mes yeux, c'était un joli pays. Remplis de petits cons arrogants et si peu intéressants, avec comme ville, la capitale des hormones sexuelles et des roulements de galoche baveux, mais, j'aimais bien la France. La France et sa Bretagne sombre, humide, sauvage. La Bretagne. Sexy endroit qu'il me plairait, indéfiniment, de revisiter.

J'étais sur le seuil de mes cinquante ans, quand j'appris la mort de mes parents. Déchet humain, se trainant dans son orgueil en portant sa fierté à bout de bras, j'avais toujours refusé avec dédain la moindre once de pitié à mon égard. Je n'étais pas malheureux, j'étais simplement pauvre. Pas démuni. Je possédais ce savoir que Poudlard et ses années passées dans le sein de la maison Serpentard m'avaient apportés.
Aussi, quand on m'apprit que je me retrouvais convoqué devant l'huissier pour faire valoir mes droits d'unique héritier, j'en restais bras ballant. Gueule fermée. Et prunelles dilatées sur ce choc que vous ne connaissez que très rarement dans votre vie. Ce choc qui ne parvenait même pas à vous faire faire de ces expressions bizarres. Vous restiez juste silencieux, presque attendris par l'ironie cruelle du destin. Il avait fallu que la capacité matérielle ne se manifeste ainsi dans ma vie qu'à l'aube de ma retraite. Quelle sauvagerie. Je me voyais mal profiter d'une petite vie pépère au bord de la plage, à siroter un cocktail sucré. Non. Je ne supportais pas l'idée de m'enfoncer dans une oisiveté qui n'aurait eu d'autre conséquences que de ramollir mon cerveau.  Je ne le cachais pas une seule seconde ; j'envisageais énormément de personnes comme simplement aptes à être ce gazon sous mes pieds qui me soutenait lorsque je déclamais avec douceur « Je suis supérieur à vous tous ». Perfidie audacieuse ; je savais que ma place à Serpentard était mérité, dans ma compréhension du monde. C'était pour cela, indubitablement, que le nombre de relations sociales que j'entretenais avec le monde flirtait avec le néant.

Pauvre de tout, je me retrouvais à tenir entre mes mains les clés d'une possession matérielle qui aurait pu me permettre d'accéder à ces liens que je n'avais pas.
Brusquement riche, je restais longtemps à contempler le seuil de cette maison, de ces territoires, de cet héritage qui désormais était mien. Ce jour-là, la clé glissé dans la serrure, je me souvins m'être senti comme un étranger brusquement propulsé et écrasé dans un univers dont il ne comprend rien, mais qui le forçait avec violence à se tenir debout. J'avais la sensation d'être face au vide de toutes choses. De ma vie, de mes croyances et de mes ironies ; de ma violence et de mes moqueries. Ces parents qui n'avaient jamais vraiment refusé l'idée que je n'appartienne pas à leur univers, mais qui n'avait jamais réellement réussi à intégrer le concept de « différence ». Différent, je l'étais.
Indubitablement.

La main sur la poignée de la porte de mon enfance, j'observais cette existence qui s'offrait à moi, prometteuse de facilité et d'oisiveté. J'avais peur. J'avais terriblement peur de faire ce pas en avant.

Et puis Fields avait descendu les escaliers. Britannique envahissant ma maison allemande, il avait les yeux abaissés dans cette séduisante attitude servile, et chien domestiqué, était venu jusqu'à moi, relevant ses yeux clairs sur mon visage, dans une expression vaguement dédaigneuse. D'une voix monotone, comme l'on récite un long poème d'enfance, il s'était présenté. Jeune majordhomme de mes parents décédés, il avait été engagé quelques années auparavant. Pas assez pour que j'entende parler de lui, suffisament pour être le « véritable » maitre des lieux. Il connaissait la maison mieux que moi, maitrisant ce territoire sur le bout des doigts. Moi, durant la visite guidée qu'il me fit effectuer, c'est son visage, anguleux et noble, que je visitais des yeux. Ce nez un peu abaissé, en une courbe sévère ; ces yeux clairs, stricts, et sa coiffure négligemment parfaite. Il me plaisait, dans son éloquence, sa tenue, la rigueur de ses mouvements et le timbre de sa voix, en passant par le port de sa tête, et le petit pli de son pantalon. Nous avions presque atteint la cuisine, j'avais cessé de poser le pour et le contre, et il s'était retourné vers moi, avec ses quarante ans éclatants.

« Monsieur désire t-il savoir quelque chose ? »

Il avait soulevé son sourcil dans cette expression si hautaine, si méprisante. Je n'avais même pas souri.

(…)

Et mes mains sur son corps, nos chemises abandonnées sur le rebord d'un meuble en acajou, ses lunettes rondes déposées sur le sol, je soupirais dans ses mouvements, murmurant que j'étais désormais propriétaire de la maison et de ses biens. Ses mouvements de saccade, maîtrisés sur le bout de ses doigts, me faisait haleter cette expiration qui saluait mon deuil de pauvre. Mon premier lien social, ma première amitié, je la construisais sur le désir de la chair, bâtissant les fondations de cette liaison dans la relation d'un maitre et de son serviteur. Exquise et malsaine idée, surtout au XXI °. Mais il fallait croire que John était aussi perverti que moi, dans ses idées, car rouvrant la bouche, il vint me murmurer, qu'indubitablement, il faisait parti des biens de la maison.

(…)


John était celui qui, avec classe et mépris, m'avait appris à survivre dans ce monde devenu mondain. Invité par les docteurs, les médecins, j'apprenais à découvrir, secondé par les lèvres de Fields, cet univers où il n'y avait pas que la chair qui était malade. Dire que je fus contaminé par la drogue est un mensonge ; mais alors que j'avais réussi à me préserver jusque là : je découvrais soudainement qu'il était plus facile de s'abandonner au destress avec une petite pilule déposée sur la langue.
Et puis, le goût de la sueur de John au fond de la gorge.

Je ne lui révélait pas mes capacités.
Jusqu'au jour où, encore à demi endormi, je le vis effectuer, involontairement, la preuve de la culpabilité de son savoir à ce niveau là. Car alors qu'il me croyait profondément endormi suite à nos chevauchements de la veille, il se transforma, ni plus ni moins, en ce chat noir que j'avais cru être un animal errant autour de notre maison. John Fields était un sorcier Animagi, et je le découvrais comme cela. La surprise me laissa sans voix, et lorsque je vins lui apprendre mon appartenance à ce monde, il y eut alors cet instant de complicité entre nous. Une complicité qui resta rare, mais qui, rien que ce soir là, explosa dans nos cœurs comme ces pétillements de bulles dans le champagne.

Les années qui suivirent furent consacrées à la recherche d'emploi. Je refusais de mourir en tant que vieux n'ayant plus jamais quitté son fauteuil ; je ne voulais pas que l'on me retrouve comme l'on aurait retrouvé un morceau de viande oublié au fond d'un placard. John se fit le témoin de cette recherche particulière d'effort, de travail. Ce fut lui qui me soumit l'idée de retourner au berceau magique.

« Pourquoi pas professeur de métamorphose ? J'ai entendu dire que le poste était vacant. »
« Ne soyez-pas ridicule. Ils ne prendraient jamais une personne ayant aussi peu d'expérience. »
« Vous êtes doués en métamorphose, Monsieur. Vous avez eu de très bonnes ASPICs dans cette matière là, il me semble. Vous devriez tenter. »

Je tentai.


Tell me who you really are.

ϟ pseudo et âge: Ophélie, 18 ans.
ϟ Où as-tu trouvé le forum? Sur Internet  :plum: 
ϟ Personnage: Inventé.
ϟ As-tu un autre compte sur BP? Du tout.
ϟ Présence:  Ophis 
ϟ Une remarque? Queen Amy 


Dernière édition par Dax Krisstïrvon le Jeu 16 Jan - 3:07, édité 5 fois
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Message Re: Fermez-là, asseyez-vous, sortez vos livres et vos cervelles. [UC] Dax Krisstïrvon
par Invité, Jeu 16 Jan - 1:24 (#)
Le début de ta fiche me bute déjà  RIP  Bienvenue de manière officielle et bon courage pour ta fiche !  Brille 
Puis Hugh quoi  Daengelo 
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Message Re: Fermez-là, asseyez-vous, sortez vos livres et vos cervelles. [UC] Dax Krisstïrvon
par Invité, Jeu 16 Jan - 1:25 (#)
Hugh Laurie Chou Bienvenue parmi nous ! Yaaa
J'ai hâte de lire la suite de ta fiche, ton personnage a l'air prometteur mdr
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Message Re: Fermez-là, asseyez-vous, sortez vos livres et vos cervelles. [UC] Dax Krisstïrvon
par Invité, Jeu 16 Jan - 1:35 (#)
HUGHHHHH
Bienvenue Brille
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Message Re: Fermez-là, asseyez-vous, sortez vos livres et vos cervelles. [UC] Dax Krisstïrvon
par Invité, Jeu 16 Jan - 1:36 (#)
Hugh Chou Bienvenue et bonne chance pour ta fiche. Daengelo Haww
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Message Re: Fermez-là, asseyez-vous, sortez vos livres et vos cervelles. [UC] Dax Krisstïrvon
par Invité, Jeu 16 Jan - 1:47 (#)
Hugh Lauriiiie Haww
Dr House Haww

Faudraitquejem'yremette Hum

Bref, bienvenuuuue Haww
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Message Re: Fermez-là, asseyez-vous, sortez vos livres et vos cervelles. [UC] Dax Krisstïrvon
par Invité, Jeu 16 Jan - 6:09 (#)
Huuuuuuugh~~~~ ♥️
Bienvenuuuuuue~ Han!
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Message Re: Fermez-là, asseyez-vous, sortez vos livres et vos cervelles. [UC] Dax Krisstïrvon
par Guest, Jeu 16 Jan - 8:12 (#)
Laurie Daengelo
Bienvenuuue Brille
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Message Re: Fermez-là, asseyez-vous, sortez vos livres et vos cervelles. [UC] Dax Krisstïrvon
par Guest, Jeu 16 Jan - 9:05 (#)
Aha Hugh en prof, bon choix. Daengelo

Bienvenue Haww 
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Message Re: Fermez-là, asseyez-vous, sortez vos livres et vos cervelles. [UC] Dax Krisstïrvon
par Invité, Jeu 16 Jan - 10:04 (#)
HUGH LAURIIIE  Youpi  je l'ai jamais vu sur un forum, c'est géant comme choix Chou
bienvenuuuuuue  Han! 
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Message Re: Fermez-là, asseyez-vous, sortez vos livres et vos cervelles. [UC] Dax Krisstïrvon
par Invité, Jeu 16 Jan - 13:07 (#)
Huuuuugh Haww bienvenuuue Daengelo
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Message Re: Fermez-là, asseyez-vous, sortez vos livres et vos cervelles. [UC] Dax Krisstïrvon
par Invité, Jeu 16 Jan - 13:16 (#)
Excellent choix d'avatar  Chou 
Bienvenue Brille
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Message Re: Fermez-là, asseyez-vous, sortez vos livres et vos cervelles. [UC] Dax Krisstïrvon
par Guest, Jeu 16 Jan - 15:39 (#)
Hug en prof de méthamorphose, j'ose à peine imaginé ce qu'il va faire de ces élèves...
Bref.

Bienvenue :D
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Message Re: Fermez-là, asseyez-vous, sortez vos livres et vos cervelles. [UC] Dax Krisstïrvon
par Invité, Jeu 16 Jan - 18:07 (#)
Bienvenuuuuue ! Han!
HughLaurie *-*
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Message Re: Fermez-là, asseyez-vous, sortez vos livres et vos cervelles. [UC] Dax Krisstïrvon
par Invité, Jeu 16 Jan - 18:22 (#)
HUUUUUUUUUUUUUUGH TwistedHan!Brille

Bienvenue Brille
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Message Re: Fermez-là, asseyez-vous, sortez vos livres et vos cervelles. [UC] Dax Krisstïrvon
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