Un homme comme celui-ci doit avoir une histoire spécial, me direz vous. Pas forcement, non. En fait, celle de Figaro est plutôt banale, mis à part ses crises de folies. Il est né un 22 décembre, quelque part dans la campagne Irlandaise d'une mère Cracmolle et d'un père né-moldu. Ce garçon, aux cheveux de jais et aux yeux profonds fut profondément aimé par sa mère. Son père le renia lorsqu'il eu connaissance de sa folie. Figaro ne lui en a jamais voulu. Qui voudrait d'un fils fou après tout ? Personne assurément. Son dédoublement de la personnalité fut diagnostiquée alors qu'il n'avait que 5 ans. Les médecins proclamèrent au même moment sa schizophrénie ainsi que son qi plus élevé que la moyenne, un bien maigre soulagement pour ses parents qui nourrirent un mélange de peur et de dégoût,  mêlée à de l'amour et de l'admiration pour sa mère. Avec les années, elle apprit à oublier la folie de son fils, jusqu'à ne plus voir en lui que le petit génie précoce qu'il était.
Il finit donc son année de maternel et entra dans une école « pour enfants socialement inadaptés ». Pourtant, au milieu des enfants bipolaires, schizophrènes, rebelles,... il demeurait seul, éternellement incompris. Malgré sa folie, il demeurait un garçon qui se battait pour devenir « sain d'esprit », pour avoir une vie équilibrée, seulement de vivre au milieu de personnes folles, d'être encadré par des professeurs qui vous repette à longueur de journée que vous êtes « raté », une erreur de la nature, n'aidait pas vraiment à atteindre cet objectif. En effet, le pensionnat dans lequel il était était adepte des coups de bâton et autres punitions corporelles. De plus, les « fous » étaient particulièrement déteste par la société de l'époque. Bref, Figaro vécu donc une enfance solitaire, perpétuellement enfermé dans son monde, discutant avec la Chose ou interprétant ses hallucinations. Ses camarades de classe se mirent à le rejeter lorsqu'ils comprirent qu'il était surdoué, doté de dons extraordinaires et inexplicables.
Lorsqu'il reçut sa lettre d'admition à Poudlard, il ne se fit pas d'illusions. Sa vie demeurerait terne et et solitaire. Il ne chercha même pas à s'intégrer parmi ses camarades. Allongé au bord du lac ou à la bibliothèque, il continuait à vivre, ignorant les moqueries des autres. Devenu le souffre douleur officiel de Poudlard, il élit domicile dans la salle sur Demande, évitant son dortoir comme la peste. Pourtant, derrière son apparente incessibilité aux moqueries et mauvais tours qu'il subissait, il se vengeait dans l'ombre, sans que personne ne put le soupçonner. Son insatiable curiosité le mena à étudier la magie noire, pour laquelle il se prit d'un véritable amour.  Elle l'aidait à rendre la monnaie de leur pièce à ses camarades. Lors des vacances d'été entre sa 5ème et 6ème année, il ne rentra pas chez lui. A la place, il loua une chambre à Londres. Entre allée des Embrumes, livres de magie noire et sorties nocturnes, sa folie grandit. Sa personne peu gracieuse étant compensée par un charisme impressionnant, il n’eut pas de mal à conquérir plusieurs femmes. Lorsqu'il retourna à Poudlard, il était sûr de lui et la Chose prenait de plus en plus de place dans sa tête. Il ne se cachait plus pour se venger, tous le craignait. Il tomba amoureux à la fin de l'année. Lolita était une Gryffondor d'une grande beauté. Elle le rendit meilleur. Leur relation dura 10 ans. 4 longues année pleines de passion . Pourtant, une relation aussi fusionnelle ne pouvait durer. Sa fin fut violente et brutale. Désormais, Figaro vit seul avec la Chose, dans sa tour de pierre. Il n'est pas hostile aux autres professeurs, mais ne requiert pas leur présence. Les élèves l'apprécient peut être, ce professeur maladroit et étrange, aux paroles nébuleuse, au talent incontestable. Et vous, l'apprécierez vous ?Le feriez vous plonger à nouveau dans les vices de la société ou l'aiderez vous à être heureux ? Ceci cher lecteur, nous le verrons dans nos écrits.