• De son premier nom Atlas. Doux prénom issu de la mythologie grec, désignant la lune portant métaphoriquement les anneaux de Saturne. Mais assez de ce blabla scientifique. De son deuxième nom, Eden. Rendant hommage à celui de sa propre mère. Berryman est quand à lui un nom de famille d'origine écossaise. • Les Berryman sont issue d'une lignée de sang-purs depuis des générations. La chaîne est ainsi rompue avec la naissance d'Atlas, au sang-mếlé de celui de sa mère moldue et de son père sorcier. • Atlas est née en plein cœur de l'Afrique. Plus exactement un certain seize mai de l'année mille neuf cent soixante-deux à nix-neuf heure trente-cinq en Namibie. Elle est ainsi âgée aujourd'hui de dix-sept glorieux Printemps. • Dit-on que lorsqu'elle est née, les derniers rayons du soleil couchant sont venus se loger dans sa chevelure. Ce qui lui valut le surnom de Sun. L'anglais étant la langue officielle en Namibie, bien que le dialecte Koïsan soit le plus utilisé là où les Berryman demeuraient. Ainsi, la jeune fille est aujourd'hui bilingue. • Jusqu'à ses huit ans, elle vécut une vie d'enfant heureuse Namibienne. Sans même connaître l’existence d'un Monde de Sorciers. Jamais elle n'imaginait qu'elle viendrait un jour à quitter son Afrique natale afin de rejoindre l'Angleterre. Ce pays n'était pour elle qu'une ombre du passé de sa famille. Jusqu'à ce que le jour du départ ait sonné. Elle et ses parents durent quitter l'Afrique. Trop de questions se soulevaient de part et d'autre par rapport aux étrange pouvoirs que dégageait la petite Atlas, et leur secret ne devait être révélé. Son père savait qu'elle viendrait un jour à devoir rejoindre Poudlard et il a jugé que l'heure était venue pour elle de savoir. Sa vie prit soudain une tournure différente. Tout ce passa si vite. En quelques semaines ils avaient déjà troqué le ciel bleu de l'Afrique pour le ciel gris et nuageux Anglais. • Étant petite, elle était de nature joyeuse. Un permanent sourire ne quittait jamais ses lèvres. Elle était joueuse aussi. Et c'est d'ailleurs une caractéristique qui ne l'a pas quittée en ce jour. Elle serait comparable à un chat et sa pelote de laine : elle titille chaque chose jusqu'à ce qu'elle en tire de l'amusement... Elle va parfois jusqu'à en faire baver la personne en face d'elle. Mais son caractère bien trempé l'a toujours sortie d'affaire lorsque son jeu commençait à lui nuire. Elle est aujourd'hui passée maître en matière de taquinerie. Si l'on ne se fie que sur cette partie de son caractère, on aurait tendance à penser qu'elle fait preuve d'un certain égoïsme. Que je se fiche de comprendre si la personne en face d'elle souffre. Sachez tout de suite que ce n'est qu'une rumeur. Car elle fait souvent preuve de beaucoup d'altruisme. Atlas pense simplement que certaines personnes méritent de se prendre quelques claques de temps en temps... elle s'occupe donc de remettre à leur place ce genre de personnes en s'amusant un peu. Elle se permet également d'envoyer quelques piques à ses amis les plus proches. Ceux-ci sont en général apte à comprendre que c'est ainsi qu'elle se divertie. • Mais lorsqu'elle a quitté la Namibie, son sourire s'est effacé, laissant place à un vide monstrueux. Elle ne m'amusait plus, ne riait plus. Elle n'acceptait même pas de se faire scolariser. Elle avait perdu toute gaîté. Pas toute envie. Non, au contraire elle avait une envie et un plaisir fou à apprendre des choses. Mais la flamme qui la faisait vivre l'avait quittée. • Elle se remit peu à peu en acceptant sa scolarisation - non pas sans maintes souffrances mais je ne m'attarderais pas sur ce détail dans cette partie – et le caractère qui la définit aujourd'hui se forgea peu à peu. • Elle ne s'est jamais considérée comme folle, étrange... mais c'est pourtant ce que beaucoup de gens de son age pensent. Seulement, elle se fiche totalement de ce qu'ils peuvent penser. Elle cherche leurs exclamations à sa façon de s'habiller, elle cherche leurs critiques à la vue de sa gueule d'intello... elle ne veux pas être comme eux. Elle veut être celle qu'elle aurait put être si elle n'avait pas quitté son Afrique. Et pour cela elle ne peut pas se permettre de leur ressembler. Elle les hait tout ces gens. Elle les méprise. Ces personnes qui ne comprennent rien à rien. Ces raclures à qui aujourd'hui elle fait subir ce qu'elle avait toujours fait auparavant à leurs semblables. Certains la comprennent, d'autres haïssent sa personne. C'est ainsi. Elle ne changera pas pour eux. Depuis qu'elle est à Poudlard, elle cherche ceux qui pourraient être de son côté, ceux qui se démarquent des autres. Ceux qui tout comme elle cherchent à être différent. Tandis qu'elle continue de châtier tous ceux qui le méritent. • Grâce à ceux qu'elle aime, elle garde aujourd'hui une chaleur humaine. Elle a retrouvé le goût du rire, bien qu'elle ne le partage pas avec tous. Si l'on ne la cherche pas, elle est une jeune fille comme les autres. Avec un sens de l'humour aigu, une passions pour le rock et une bienveillance sans égal. Elle souhaite le bien des gens bien, ni plus, ni moins. Mais elle a sans aucun doute trop de mal à s'intégrer, et elle devrait être plus ouverte d'esprit. Elle s'est bien trop endurcie, de là à devenir presque pierre. La difficulté aujourd'hui et de ne pas pour autant sombrer dans ce qu'elle n'est pas. Autrement dit quelqu'un de froid, hautain, égoïste, malveillant... Tout ce qu'elle souhaite, c'est retrouver la personne qu'elle est réellement au plus profond de sa chaire. • De plus, Atlas fait preuve d'une très grande intelligence et de beaucoup d'avidité à apprendre depuis qu'elle étudie dans la fameuse école de sorcellerie. Elle s'applique énormément et accorde beaucoup d'attention aux Potions, qui est pour elle un véritable art. • Sa baguette est faite de bois de sapin, contient un cœur de ventricule de dragon. Elle est étonnamment longue, mesurant tente-et-un centimètres et demi et est particulièrement souple. • L'épouventard d'Atlas ? Le vide. Une étendue sans fin d'un bleu abysse. À en perdre la tête. • La jeune femme possède depuis désormais trois ans un chat siamois qu'elle a nommé – avec une inspiration que je qualifierais de sans bornes – Chat.

Jimi est  la créature de laquelle Atlas est la plus proche. Cette marmotte et perruche est son plus fidel compagnon. Étant petite, elle et mes amis Namibiens portaient une admiration sans égale pour Jimi Hendrix. Sans même avoir entandu le moindre de ses morceaux, ils sont devenus du jour au lendemain de fervents admirateur de celui-ci. La seule et unique information qu'ils avaient de lui était qu'il s'agissait d'une rock-star noire... et cela leur suffisait amplement ! Lorsque la jeune Berryman vit apparaître cette marmotte à ses côtés, elle le prit comme un cadeau du ciel, un ami qu'on lui aurait envoyé pour lui donner le sourire. Or, Jimi Hendrix était quelqu'un qui lui redonnait sans cesse le sourire. Car il faisait le lien pour elle avec tous ses souvenirs d'enfance... c'était donc sûrement pour cette raison qu'elle avait nommé Jimi ainsi, parce que lui aussi, avait le pouvoir de tracer un profond sourire sur ses lèvres. C'est son ami, son confident. Atlas passe un temps fou à passer ma main dans son épaisse fourrure, ou à caresser ses soyeuses plumes. Leur relation est même plus qu'amicale, elle est fraternelle. En réalité, elle compte Jimi comme elle aurait compté un frère. Aujourd'hui, elle n'a pas l'impression que cela fait si peu de temps qu'elle vit en parmanence avec lui. C'est comme-ci elle l'avait toujours connu. Comme-ci Jimi avait toujours été caché quelque part en elle. Aujourd'hui, elle ne s'imaginerait pas vivre sans cette petite créature, sans que cette adorable petite boule de poil vive chaque jour à ses côtés. Elle ne comprend même pas comment certains peuvent renier leur Patronus. Ce serait comme renier une partie de soi.

ϟ pseudo et âge: Swann, je suis persuadée que j'ai l'age de ton grand père.
ϟ Où as-tu trouvé le forum? Je le connais de renom depuis un moment. Mais je viens tout juste de succomber à la tentation de l’inscription   
ϟ Personnage: Inventé.
ϟ As-tu un autre compte sur BP? Nope.
ϟ Présence: J'espère pouvoir passer minimum quatre fois par semaine. Mais mon emploi du temps est très stricte, alors je ferais mon possible...   
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