| Arthur A. Rosenbachpar Invité, Lun 24 Mar - 20:36 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Arthur Abraham Rosenbach FEAT. Kit Harington 21 ans ϟ Cursus ordinaire ϟ Sirius ϟ Sang mêléNom: Rosenbach. Les Rosenbach représentent une famille de la bourgeoisie londonienne qui a fait fortune au début du vingtième siècle, dans l’industrie du savon haut de gamme. Désormais, la famille possède plusieurs usines et vend ses produits dans toute l’Europe. Les deux parents d’Arthur se chargent de cet héritage moldu, bien qu’ils soient des sorciers. Prénom: Arthur et Abraham, des noms assez communs dans la famille, et l'héritage d'une pratique de la religion juive abandonnée durant l'entre-deux-guerres. Âge et Date de Naissance: Il a 21 ans, et est né le 6 juin 1958. Nature du sang: Mêlée. La famille Rosenbach est de sang mêlée. C’est dans les années 1930 que l’hériter de la famille, un moldu, tomba amoureux d’une sorcière. Le sang sorcier intégra donc les veines des Rosenbach. Situation familiale: Arthur est fils unique et s'entend plutôt bien avec ses parents. La question de la reprise de l'industrie familiale est épineuse, elle créé quelques tensions, mais elle ne ruine par les relations entre le fils et les parents. Patronus: Sirius, un braque allemand vif et joueur. Miroir du Rised: Son plus grand désir est d’avoir une vie excitante, entourée de ses proches en bonne santé. Une vie pas forcement compliquée, mais dans laquelle il s’amuse et ne s’enferme jamais dans une routine. Composition de la baguette magique: Il possède une baguette qu’il a bien évidemment acheté chez Ollivander. Elle mesure 29.1 centimètre et est en prunellier. Elle se compose d’un ventricule de dragon. Epouvantard: Son épouvantard est la mort de ses proches, car il craint plus que tout de perdre ceux qu’il aime. Etudes Suivies: Arthur est dans le cursus supérieur général. Il n’est pas encore sûr de vraiment vouloir reprendre l’industrie familial, bien qu’il soit le successeur tout désigné. En prolongeant ses études, il s’accorde du temps en plus pour réfléchir, mais prolonge également sa période d’insouciance. Concernant la réforme, il est tout particulièrement intéressé par le sport magique. Animal de compagnie: Arthur a une chouette chevêche qu’il a appelé Constance, le nom d’une amie moldue de son école primaire qu’il aimait beaucoup lorsqu’il a eu l’animal, pour sa rentrée à Poudlard lorsqu’il avait onze ans. Constance est un véritable pitre ! Et Arthur est persuadée qu’elle met une sacrée ambiance dans la volière, lorsque personne n’est là pour venir embêter les volatiles. Ses grands yeux rieurs lui donnent un air de clown. Arthur aime beaucoup sa chouette, elle le fait rire. Caractère Arthur a reçu une éducation soignée certes, mais pas non plus d’ordre militaire. Il a naturellement acquis une culture bourgeoise, mélangeant culture moldue et culture sorcière. Fréquentant ces deux mondes, il est habitué à l’un comme à l’autre, et il a toujours toléré l’un comme l’autre. Le rejet des « impurs », comme les sangs-mêlés et nés-moldus sont appelés par certains, l’exaspère au plus haut point. Certes, il trouve que l’intolérance menant au conflit, c’est dangereux. Mais c’est surtout terriblement snob ! Ils n’ont juste rien trouvé d’autre pour se démarquer, pour se placer au-dessus. Leurs arguments sont pires qu’irrecevables, et il a parfois bien du mal à comprendre comment ils peuvent soutenir cette ridicule thèse sur du vent. A ses yeux, chaque catégorie à ses qualités, et le mélange des deux créent un équilibre idéal. Il trouve les moldus particulièrement ingénieux, et pense d’ailleurs qu’ils ont un sens du raffinement plus élevé que les sorciers. D’un autre côté, il trouve les sorciers habiles, et dotés, bien évidemment, d’incroyables capacités. Il ne rejette pas un monde pour l’autre, mais privilégie évidemment celui des sorciers, puisqu’il est à Poudlard. Cultivé, certes, mais pas le meilleur des élèves. Il n’est pas plus bête qu’un autre, et a les capacités pour réussir. Le problème, c’est qu’il ne les utilise qu’à moitié. Passer des heures à la bibliothèques pour étudier, ça ne l’intéresse pas vraiment. Il réussit donc à passer, à avoir la moyenne, en faisant le nécessaire, mais il pourrait faire bien plus. En cours, il écoute d’une oreille distraite. Cependant, il n’est pas non plus le genre à perturber, et à se montrer insolent et irrespectueux envers les professeurs. Il s’ennuie dans son coin, et en silence la plupart du temps. Ce n’est pas qu’il n’est pas ambitieux. Il a évidemment envie de réussir sa vie, mais n’étant pas vraiment de savoir dans quelle direction aller, difficile de se fixer des ambitions. D’un côté, il veut reprendre l’entreprise familiale, et a déjà commencé à travailler un peu avec ses parents pour apprendre le métier. Mais d’un autre côté, il a vraiment peur de s’ennuyer là-dedans. Quelque part, il aimerait bien avoir une vie un peu plus excitante que les sensations données par les fluctuations de la bourse. Arthur adore s’amuser. Pas besoin de grands choses pour cela : une bande de potes qui ne se vexent pas facilement, et de bonnes vannes. Il se prend beaucoup au second degré, et aime bien lancer des petits pics à ses amis, qui lui répondent évidemment. Il passe son temps à rigoler, et finalement il ne prend que très peu de choses au sérieux. La vie est belle, il faut en profiter. C’est un bel épicurien. Il a vraiment du mal avec les gens qui ne rigolent jamais, trop coincés pour lâcher un sourire. De toute façon, il est très social. Il va vers les gens très facilement, et accrochent bien avec autrui. Lancer une conversation avec un parfait inconnu, du moment qu’il a une bonne tête, ce n’est pas un problème. Il a donc un largue cercle d’amis, car il est agréable à côtoyer. Bien loin de chercher des ennuis, sa compagnie est appréciée. Et d’ailleurs, ce n’est pas un solitaire. Il aime être entourer et échanger. S’enfermer tout seul dans une chambre pendant des heures ? Ce n’est pas lui. Il est gentil et sympa, par contre faut pas trop le chercher. Il a tendance à facilement entrer dans le jeu de quelqu’un qui le provoque vraiment méchamment. On peut dire qu’il est impulsif, et peut d’ailleurs se montrer violent si on le cherche un peu trop. De ce côté-ci, il a du mal à se canaliser. Il va également aussi facilement prendre la défense d’un de ses amis qui se fait agresser. Affronter les autres pour de bonnes raisons, il trouve ça entièrement normal. D’autant plus qu’il est loyal envers ses amis, et il a beaucoup de mal à supporter l’injustice. Qu’elle vienne de n’importe qui, la laisser passer, c’est hors de question. Et son âge n’est pas une raison pour lui dire que ce n’est pas sa place. Arthur peut donc se retrouver au milieu de conflit qu’il n’a ni provoqué ni cherché. Il intervient dès qu’il sent que c’est légitime. Il faut sans doute un peu de courage pour se dresser devant certaines personnes, et il en a. Non pas qu’il n’a peur de rien, bien au contraire. Ses craintes concernent surtout la mort, la solitude. Loin d’être manichéen, il arrive tout de même à discerner ce qui est mal. Il lui arrive de faire des choses mal, mais il n’a pas de mauvais fond. Il fait des erreurs, et des conneries, mais comme tout le monde. Arthur est un grand sportif. Il adore les sports, moldus comme sorciers. Il faut dire qu’il a tendance à beaucoup manger. Oh que oui il mange, sans jamais s’arrêter. Difficile d’imaginer qu’il puisse ingurgiter tout ça. Mais il se dépense en faisant du sport. Un peu de tout. Alors à Poudlard, c’est surtout le quidditch : des petits matchs entre amis, après les cours, lorsque le terrain n’est pas occupé par les équipes officielles des maisons. Il aime aussi faire des courses sur balais. N’étant pas le meilleur, il gagne assez rarement. Sinon, il court, et pratique des jeux sorciers avec ballon. Lorsqu’il revient à sa vie - hors Poudlard - il fait du tennis, son sport préféré, et qu’il maîtrise le mieux - mais aussi un peu de box, de l’escalade ... Bref, il touche à tout, et aime découvrir de nouveaux sports. Mais ne lui parlez pas de golfe, il a horreur de ça. En fait, il aime bien tout ce qui est sensations fortes et qui apportent de l’adrénaline. Ce qu’il aime aussi, mais ça peu de personnes le savent, c’est dessiner. Enfin, gribouiller plutôt. Il prend un parchemin, une mine, et griffonne des scènes, des visages, des paysages. Il n’a pas un immense talent, mais il se débrouille assez bien. Ce qu’il dessine ressemble généralement à son modèle. Par contre, il aime pas trop montrer ses dessins. Il est assez pudique en la matière. Arthur aime bien les filles aussi. Mais pas très sérieusement. Le flirt l’amuse beaucoup, il considère un peu les filles comme des défis (pas toutes, car il a des amies filles avec lesquelles il ne veut pas tout casser à cause d’un jeu). Il peut se montrer un peu fourbe pour avoir une fille d’ailleurs, et mentir pour aller un peu plus loin. Mais qui ne l’a jamais fait voyons ? Alors qu’on ne lui jette pas la pierre ! Il est jeune, alors autant en profiter. D’autant plus qu’il a tendance à suivre son instinct plutôt qu’à réfléchir pendant mille ans sur le pour ou le contre. a little something from you. Arthur a pour patronus un chien de la race des braques allemands. Il s’agit d’un mâle d’assez grande taille, qu’il a nommé Sirius. Lorsqu’il prend sa forme matérielle, on peut voir qu’il est marron mais avec de très nombreuses tâches blanches, sauf sur la tête et sur la base de la queue. Sirius est un patronus très vif, et très joueur. Ses moments préférés sont sans doute ceux lors desquels il peut courir avec Arthur et jouer avec. Car Arthur apprécie la compagnie de son patronus, et il cherche à l’occuper. Certes, parfois, il aimerait bien pouvoir se tenir à une plus grande distance. Mais il s’est très vite adapté à la présence de Sirius et n’a pas eu beaucoup de mal à l’accepter. Comme la plupart des gens, il a eu peur au début. Mais très vite, un lien très fort s’est tissé entre lui et le braque allemand. Il faut dire que Sirius est protecteur, comme tous les patronus. Mais Arthur n’est pas en grand danger me direz-vous, que peut bien faire l’animal ? C’est difficile à expliquer, mais il s’agit d’une protection du quotidien. L’animal va l’empêcher sinon le prévenir d’un geste qui paraît dangereux et inopportun. Sirius empêche Arthur de se brûler, de trébucher, de manger des mauvaises choses. En fait, Sirius a amélioré la vie quotidienne d’Arthur en lui empêchant les désagréables et douloureuses situations de tous les jours. En fait, le jeune homme a tendance à considérer Sirius comme un véritable compagnon, un animal de compagnie dont il ne peut se détacher. Il n’aime pas trop lorsqu’il prend sa forme brumeuse. Lorsque Sirius le fait, c’est pour interpeller son protégé, ou pour l’énerver lorsqu’ils sont en désaccord. Mais la plupart du temps, le chien prend sa forme matérielle, ce qui permet de mieux entretenir leur lien. Arthur fait parti de ceux qui trouvent la présence des patronus très agréable au château. Ca a apporté tellement de vie et de gaieté, qu’il trouve l’ambiance bien meilleure. Le problème est sa vie moldue. Certes, elle est minoritaire, et ne prend place que pendant les vacances. Arthur a du apprendre à ne plus sortir dans la rue comme il le faisait, à ne plus fréquenter certains lieux comme il le faisait. C’est sans doute le plus douloureux pour lui, car il appréciait de pouvoir côtoyer des moldus. Il y a donc renoncé, mais il ne regrette pas, bien que ce soit difficile. You're not a sad story. L’odeur des fraises imprégnait l’air en ce beau mois de juillet 1974. Toute la famille Rosenbach était réunie pour un déjeuner familial dans leur résidence de campagne. La table avait été dressée à l’extérieur, et il avait fallu sortir les parasols pour se protéger du soleil. Le repas se terminait sur une note fruitée, chacun donnant son avis sur les fraises venant tout droit du jardin. Elles étaient la fierté du jardinier, qui, il fallait bien l’avouer, en cultivait de très belles. Arthur rigolait avec ses cousins et ses cousines, tandis que les adultes discutaient économie et travail. Autant le dire, des sujets vraiment ennuyants. « Alors Arthur, tu entames ta dernière année à Poudlard ? » l’interpela l’un de ses oncles. L’adolescent tourna son regard en direction de son interlocuteur, pas vraiment préparé à ce qu’on lui demanda ça. Il allait entrer dans sa septième année en septembre. Le temps passait beaucoup trop vite pour lui, et il avait bien du mal à prendre des décisions. Dix sept ans, c’était un peu jeune pour commencer une vie d’adulte, non ? « Ouais ouais. » répondit-il de son habituel ton détaché. Il s’agissait de bien plus qu’un arrêt des études, on lui parlait de l’industrie familial : les savons Rosenbach. Et donc, la discussion n’était pas close : « Tu penses aller travailler avec ton père l’année prochaine ? ». Cette fois, la question venait d’une de ses tantes. Arthur gesticula dans sa chaise en osier, alors qu’il commençait à se sentir très embarrassé. Il se doutait bien que ce n’était pas là l’intention de ses proches. Il était tellement peu bavard sur le sujet, que forcement il finissait pas éclore au moment où il en avait le moins envie. Un peu gêné, il rétorqua : « J’sais pas trop. On verra. ». Le jeune garçon jeta un coup d’oeil à son père qui était en bout de table, et qui écoutait, attentif, la conversation. Jamais son père ne lui avait mis la pression sur le sujet, mais Arthur sentait bien que le fait de ne pas savoir commençait à le travailler. Non pas que lui-même ne se sentait plus capable de diriger, conjointement avec son épouse, l’industrie, mais disons qu’il voulait savoir quelle direction ils allaient prendre. Un silence s’installa. Tout le monde comprenait que le sujet était très sérieux, mais qu’il restait en suspens par sa faute. Soudain, il se redressa dans son siège et fronça les sourcils. « En fait, je songeais à peut être continuer le cursus. » annonça-t-il. La nouvelle créa la surprise. N’étant pas un élève particulièrement assidu et intéressait, il n’avait, d’une part, jamais parlé de continuer après la septième année. D’autre part, jamais personne n’avait pensé qu’il irait au-delà. En fait, il venait d’y penser. C’était peut-être ça sa solution, pour gagner du temps. Il entendit alors son père approuver la nouvelle : « C’est une bonne idée. ». Arthur fut soulagé d’entendre ça. Au moins, il pouvait arrêter de songer à ce dilemme pendant quelques années encore.
Arthur tapa dans la balle qui repartit en direction de sa mère, qui la lui rendit avec force. Il perdait. Mais il fallait dire que sa mère était particulièrement douée au tennis, et qu’il avait encore beaucoup à apprendre. C’était un peu le sport familial, pratiqué par quasiment tous les Rosenbach. Il perdit le poing, et ce fut le moment de faire une pause. Etant donné le froid de cette période de noël, ils avaient opté pour une salle internet, dans le club qu’ils fréquentaient. Arthur souffla, tout en restant sur le terrain, alors que sa mère s’approchait du banc collé au mur de la salle. Elle but plusieurs gorgées d’eau avant de tourner le regard vers son fils. Ce dernier remarqua qu’elle fronçait les sourcils, alors que ses yeux se portaient sur lui. Craignant d’avoir un truc néfaste derrière lui, il tourna la tête tout en demandant, surpris : « Quoi ? ». Sa mère ne répondit rien, elle se contenta d’avancer vers lui. Et plus elle s’approchait, plus il avait la sensation qu’en fait, elle le regardait lui. Arthur baissa la tête, et aperçut une étrange brume, argentée peut être, qui s’enroulait autour de lui. Il eut le réflexe de reculer d’un pas, comme pour se débarrasser du nuage. Mais ce dernier resta autour de lui, comme s’il était attaché à lui. Il jeta un regard quelque peu affolé à sa mère et demanda, anxieux : « Qu’est c’que c’est ?! ». En aucun cas il ne fit le rapprochement avec les événements de la journée, mais quoi qu’il en soit, c’était magique. « Je ne sais pas. » répondit-elle, lentement. Elle semblait nerveuse elle aussi, mais ne leva pas la main pour essayer de toucher ce corps étranger. Arthur, lui, ne se gêna pas pour le faire, et essaya de repousser la brume à l’aide de ses mains. Elle s’éloignait pour mieux revenir contre lui, c’était un échec. « Arrête. » lui ordonna sa mère. Elle ajouta, alors que son fils la regardait avec un air paumé : « Il faut rentrer. Aucun moldu ne doit te voir comme ça. ». Ils sortirent tous les deux en catastrophe de l’établissement, ne comprenant pas encore l’ampleur de ce qui était en train d’arriver. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: LilDay, 21 ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? Par London . ϟ Personnage: Inventé. ϟ As-tu un autre compte sur BP? Nope. ϟ Présence: En principe tous les jours. Et je RP régulièrement (j'aime le dynamisme). ϟ Une remarque? Je trouve le forum très bien, et très bien construit. Je viens d'arriver, mais il m'a l'air très accueillant (consignes du règlement, guide pour les nouveaux par MP, sujet d'intégration) .
Dernière édition par Arthur A. Rosenbach le Mar 25 Mar - 20:18, édité 4 fois |
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