BELLUM PATRONUM
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| ils se ligoteraient au mât du bonheur sans nuage de l'enfance et ainsi résisteraient à la tempête. (+) léo. | | | ils se ligoteraient au mât du bonheur sans nuage de l'enfance et ainsi résisteraient à la tempête. (+) léo.par Guest, Mer 9 Avr - 0:07 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Léonard Thomas Weasley FEAT. EDDIE REDMAYNE trente et un ans ϟ professeur d'études aux moldus ϟ un panda ϟ sang purNom: Weasley Prénom: Léonard Thomas. Inutile de prononcer les deux prénoms, habituellement, seulement le Léonard suffit. Bien qu'il n'y a que sa mère, qui ose l'appeler ainsi. Il trouve cela beaucoup trop sérieux et beaucoup trop long (oui pour certains, Léonard est long LÉ-O-NA-RD, c'est au cinq syllabes de prononcées, alors que Léo, bah c'est que deux). Bref, il considère son prénom comme étant « Léo ». Donc, merci à vous de respecter cela. Âge et Date de Naissance: Le rouquin (parce que oui, c'est un rouquin, on parle ici d'un Weasley, vous vous attendiez à quoi ?) a trente et un ans. Ce qui ne signifie pas qu'il est la sagesse incarnée, ô seigneur. Il ne sait même pas comment faire un spaghetti, adéquatement, vous imaginez ? Bref, et il vient d'avoir trente et un ans (ce qui signifie, bien sûr qu'il n'y a aucune mèche blanche sur sa tête), le 18 février. Nature du sang: Il est de sang pur. Et là-dessus, il est comme chaque Weasley : il ne se sent pas nécessairement attaché à la pureté du sang. Ce qui est, assez évident chez lui, compte tenu qu'il s'est fiancé à une née-moldue. Situation familiale: Tel que mentionné précédemment, Léo est fiancé (je sais, chaque femme en est déçue et pleure chaque nuit). Cependant, elle a foutue le camp, il y a deux ans, maintenant, aux États-Unis. Il se considère encore « fiancé » parce qu'il est attaché à l'idée, mais il se sent attaché à une portée disparue, en somme. Sinon, Léo a une famille. Et une gigantesque. Tous des cheveux roux. Six frères et soeurs, dont il est l'aîné. Il fait du mieux qu'il peut pour s'entendre avec chacun. Mais la personne qu'il aime le plus dans ce monde, la femme de sa vie, c'est sa mère. Vous voyez, Léo est un peu le « garçon à maman » et il en est bien heureux. Patronus: Un panda, qui apparaît seulement lorsqu'il agite sa baguette. Miroir du Rised: Un petit garçon roux, la figure tâcheté, en jeans sals avec un ballon dans les mains ; il aimerait réellement retourné en enfance. C'est si simple être un enfant. Composition de la baguette magique: Sa baguette mesure vingt-six centimètres et est faites à partir d'un saule. Elle contient un ventricule de dragon. Epouvantard: Le noir. Le noir complet (et s'il pourrait faire du bruit, il y aurait sans doute des bruits gruttaux). Etudes Suivies: Il a terminé ses études à Poudlard et s'est spécialisé dans son cursus secondaire en enseignement magique. Animal de compagnie: Il a un chat qu'il a appelé Zeus. Caractère Si l’on cherchait un autre surnom que Léo, qui en est déjà un, en soit, on pourrait l’appeler « Peter Pan ». Après tout, lui aussi il est roux. Et lui aussi, ne veut pas grandir. Bon, ce n’est qu’une façon de voir la chose de manière caricaturale, mais on peut tout de même faire un rapprochement facile, afin de le décrire de manière brève et concise. Léonard Thomas Weasley n’aime donc ou plutôt hait le fait qu’il faut grandir. Que l’on acquiert des responsabilités, qu’il faut mûrir, que la vie n’est pas éternelle et qu’elle n’est pas un jeu. Parce que pendant longtemps, il l’a considéré comme telle. Le rôle qu’il a joué de manière la plus adéquate est bien sûr un enfant. Il s’amusait et ne se souciait de rien. Il n’avait pas besoin d’éprouver une certaine culpabilité à tirer sur les couettes de sa sœur non plus et se fichait bien de son devoir de « montrer l’exemple ». Il voulait seulement jouer, avoir du plaisir et rire, point. Mais il a grandi. Malheureusement. La vie continue de faire les choses. L’on peut donc se mettre en tête, facilement, que l’homme qui est décrit ici est un éternel enfant. Parce qu’il faut toujours avoir cela en tête pour bien le comprendre. Malgré son intelligence, son bien-paraître, sa capacité à être sérieux lorsqu’il le veut, il reste toujours cet enfant émerveillé. Cet enfant qui s’entête dans son plus grand entêtement. Il n’est donc pas rare de voir Léo faire les bêtises les plus monumentales. Il n’est pas gaffeur en quelque sorte ; sauf que sa non-capacité à se mettre dans la peau d’un homme de trente-et-un ans lui apporte des difficultés à comprendre la vie. Alors il commet beaucoup plus d’erreurs que la plupart des « adultes ». Il a encore cette naïveté dans laquelle il s’ancre. Par peur d’être trop sérieux, par peur de se « péter » la figure sur une vie d’adulte. Oui, il aime le fait d’être enfantin. Parce que c’est plus facile. Beaucoup plus facile de ne pas prendre en compte toutes les responsabilités que l’on peut évoquer chez un adulte. Beaucoup plus facile de se contenter de reluquer le postérieur de ses élèves au lieu d’avoir envie de s’attacher à une femme. Et encore, beaucoup plus facile d’être attaché au souvenir d’un amour évaporé, plutôt que de chercher ailleurs et s’y blesser. C’est par facilité, surtout. Parce qu’il est un homme intelligent, Léo. On peut le voir dans son regard, dans ses mots, dans son enseignement. Il n’a aucune difficulté à saisir les choses. Et lorsque les responsabilités lui tombent sur la figure, et qu’il n’a pas le choix, il sait gérer. Il prend les choses en mains, du mieux qu’il peut et tente d’avancer. Cependant, il ne veut pas d’une vie monotone. Il ne veut pas d’une routine embêtante. Il ne veut pas suivre la vie. Parce que c’est plus difficile et ça fait beaucoup plus mal, lorsque l’on rate. Un sens de l’humour légèrement décalé, il reste que Léo est la personne la plus douce, sans doute que vous connaitrez. Et bien sûr, jusqu’à ce qu’il vous insulte ou vous dise vos quatre vérités parce qu’il est d’une franchise assez perplexe et d’un manque monumental de tact. Mais c’est Léo. a little something from you. Emploi: Dès ses études à Poudlard terminées (miraculeusement, très bien réussie en enseignement magique) son diplôme dans la poche, le jeune homme a surtout été engagé comme remplaçant. N'ayant aucun réel post stable (et il ne s'en plaignait absolument pas). Étant particulièrement doué pour tout ce qui concernait les matières « pratiques », il optait souvent pour ces disciplines (s'endormant presque lui-même, lorsqu'il enseignait des matières très théoriques). Pendant cinq ans, il fit donc du remplacement et ainsi participant à quelques chaires de recherches. Il alla même porter son nom à Beauxbâtons (Durmstrang lui faisait beaucoup trop peur pour qu'il aie l'idée stupide d'aller enseigner là). Bien qu'il ne fut pas engagé dans l'école française. La recherche, étonnamment le passionna. Ce qui l'amena indirectement à aimer, l'aspect théorique de chaque matière, sans qu'il s'en rende réellement compte. Un désir de non pas, seulement pratiquer la magie, mais aussi de la comprendre. Ce fut donc, sans aucune surprise, que le Weasley donna son nom et fit de son possible pour être pris dans la chaire de recherche sur le sort des patronus qui arriva en 1978. Tous les adolescents « magiques » avaient un compagnon qui les accompagnait. Si le jeune homme hait les responsabilités et est un petit enfant dans sa tête, il en reste qu’il est déterminé, curieux et intelligent ; il a été pris. Il travailla donc sur ce sort, tentant de le comprendre, de définir l’étendu et ainsi d’expérimenter. Cependant, il ne participa pas activement à la recherche pendant longtemps, s'étant fait proposé un véritable poste pour le cours d'étude des moldus. Étonnamment et ne s'inscrivant absolument pas dans ses matières de prédilection, il décida d'accepter, tout simplement. Et il occupe encore le poste, deux ans plus tard. Bien que sa curiosité le pique encore à tenter de comprendre les sorts, particulièrement les patronus, et non les moldus en tant que tel. Il tente de montrer que cette matière n'est pas négligeable, comme certains élèves le croient. Il mène en quelque sorte une bataille (qui maintient son intérêt pour ce cours) avec ses élèves en tout temps, en quelque sorte. Patronus: Le patronus du rouquin est en réalité un panda. Rien de monstrueux, rien de corporel, simplement un panda en or, très distinct – non pas une forme extrêmement floue, ou une brume, tout simplement – qui sort de sa baguette. Toujours relié à celle-ci, un fil lie l’animal à la baguette, jusqu’à temps qu’il s’évapore, tout simplement. Léo a dû se pratiquer à mainte reprise afin de réussir le sort, mais maintenant il y arrive extrêmement bien et sans aucune difficulté. De toute façon, il sait très bien quel souvenir utilisé afin de réaliser le sort : la sensation, l’impression fugace de liberté et d’appartenance, qu’il avait ressentie lorsqu’il avait vu la silhouette du château, lors de sa première année. L’impression, la toute première fois, qu’il avait eu l’impression d’être au bon endroit. Inutile de dire, que la création de ce sort le passionne. Jamais il n'aurait voulu s'investir autant dans les recherches reliées à ce sort (qui est son principal regret, compte tenu qu'il n'en fait plus parti désormais). Il est certain que ce sort est beaucoup plus bénéfique que ce qu'on lui prête, mais ce n'est que son avis. Et rien n'est apporté afin de mettre en place cet argumentaire. Le rouquin est cependant légèrement jaloux. Il aurait aimé que son patronus prenne une forme plus vivante, il aurait aimé être lié à un animal qui le comprenne et qui soit une part de lui-même. Enfin, un être qu’il l’aurait compris, l’aurait accepté et n’aurait pas demandé à ce qu’il change ou modifie une quelconque caractéristique de son comportement/caractère. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: mme x. & 19yo (bientôt 20, amygad. je suis vieille. ) ϟ Où as-tu trouvé le forum? en fait techniquement l'url est dans mes favoris :siffle:non, plus sérieusement un câlinours a pété des papillons qui me l'ont montré. ϟ Personnage: Personnage inventé. ϟ As-tu un autre compte sur BP? (non, albert a dit non). ϟ Présence: je fais de mon possible (on s'entend pour les trois prochaines semaines je suis en fin de session = la fin de ma première année à l'université = (trop) occupé = procrastination). mais je viens toujours faire mon tour. ϟ Une remarque? jevousbez.
Dernière édition par Léo T. Weasley le Mar 15 Avr - 22:53, édité 7 fois |
| | Re: ils se ligoteraient au mât du bonheur sans nuage de l'enfance et ainsi résisteraient à la tempête. (+) léo.par Guest, Mer 9 Avr - 0:07 ( #) | You're not a sad story. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]On avait vu des enfances plus heureuses. Mais on en avait vu des biens plus malheureux. Vous savez le genre d’enfance où il n’y a pas de place aux fous rires, aux sourires, aux jeux, à la tendresse et à l’imagination. Une enfance morne et déserte. Qui, lorsqu’on retourne en arrière, on fait une petite grimace et on regrette de ne pas être né dans une autre famille. Non, Léonard Weasley n’a pas eu ce type d’enfance. La famille Weasley était réputée pour sa bonté, mais certainement pas pour son or. Bien sûr, aucun des enfants Weasley n’a un jour manqué de quelque chose. Il y avait toujours assez de nourriture sur la table et ils avaient toujours quelque chose à se mettre sur le dos. Bien sûr, parfois, c’est toujours plaisant avoir un vêtement que sa ribambelle de grands frères n’a pas porté. Ou encore, des souliers qui ne sont pas déjà usés. Et ne parlons pas des livres ; parfois illisibles, tellement il y a eu d’inscriptions sur chaque page usée du manuel. Ils économisèrent grandement sur l’idée de faire l’école « à la maison » pour leurs enfants. Ce fut donc Mme Weasley qui apprit, avec le plus de patience dont elle disposait, à écrire et à lire à chacun de ses enfants. Les mathématiques, les sciences, elle leur enseigna le plus de choses possibles afin qu’ils soient le mieux équipés pour l’avenir. Tout cela dans l’esprit magique du monde des sorciers. C’était inutile de les envoyer dans une école de moldue ; aucun ne comprendrait la vénération d’un pour le magyar à pointe ou l’autre pour les trolls (quelle idée, quand même). Alors, elle préférait sa manière à elle, dans une grande simplicité, à l’intérieur du Terrier. Bien sûr, cela Léo n’a pas eu à recevoir d’objets provenant de ses frères ou sœurs : il était l’ainé de la famille. C’était plutôt lui, qui donnait ensuite ses choses. Le pourquoi, que très rapidement, le rouquin a toujours fait son possible pour faire le plus attention possible à ses vêtements, à ses jouets, à ses souliers ainsi qu’à ses livres ; ils allaient resservir. Bien que parfois, il reçut, même, quelques objets provenant de l’enfance ou du passage scolaire de ses parents. Il ne manqua jamais d’amis pour jouer. Très imaginatif, chacun de ses six frères et sœurs affrontèrent sans doute plus de monstres ou de bêtes, qui étaient de sa création, que n’importe quel sorcier sur cette terre. Hyperactif, sa mère devait se battre avec lui sur tout : prendre son bain, dormir ou même manger. L’enfance fut sans doute la plus belle époque de la vie du jeune homme. Aucun questionnement, que jouer, qu’imaginer, que chialer (sur environ tout), que se faire crier de donner l’exemple et de ne pas écouter, se faire des échardes dans chaque doigt et passé proche de se casser le bras (et la clavicule) une multitude de fois. C’était simple. Aucune responsabilité, aucun devoir, aucun examen, aucune question existentielle. La lettre qu’il reçut à ses onze ans, provenant de Poudlard, changea la donne. Léo intégra l’école, sans aucune difficulté apparente – enfin, avec moins de difficulté qu’avaient ses parents – et réussit tout de même bien sa première année. Bien sûr, il reçut un nombre quand même assez important de retenues (mais ce n’était pas réellement surprenant, venant de lui). Les autres années furent similaires. Si l’adolescent qu’il était montrait un certain entêtement à ne pas vouloir grandir et ainsi provoqua en grand nombre de nombreuses blagues (ou tout simplement, un nombre important d’infractions), il restait très intelligent et talentueux dans des disciplines ou la pratique était de mise (l’astronomie, l’arithmancie, l’histoire ainsi que la divination étaient des matières où ses notes n'étaient pas si fameuses), ce qui l’amena à obtenir un nombre surprenant de BUSE et d’ASPIC. À la suite de ceux-ci, ne sachant absolument pas dans quel cursus s’engagé, il décida de s’en aller en Enseignement magique. Les autres ne l’intéressant que très peu. Ce fut durant ces quelques années qu’il rencontra celle qui allait devenir sa future fiancée. Il en tomba rapidement amoureux, alors qu’elle, ce fut beaucoup plus lentement. Si elle, elle était beaucoup plus terre-à-terre, ayant préféré d’étudier en médecine magique, lui ne l’était absolument pas. Ils étaient aux antipodes les plus complets. Les contraires s’attirent, quoi. Mais quand on est déterminé… Leur amour ne fut pas un fleuve tranquille. Les disputes, les cris, les larmes et les ruptures s’enchaînèrent, l’une à la suite de l’autre. Ils étaient beaucoup trop différents pour chercher un terrain d’entente. Mais apparemment, les deux étaient assez têtus (ou amoureux) pour revenir vers l’autres. Lorsque Léonard termina ses études, il était loin d’être stable ; ne faisant que du remplacement, alors qu’elle, devint infirmière, obtenant presque tout de suite un poste permanent, puis ensuite médecin à Ste-Mangouste. Ils tentèrent de se créer une vie ; malgré les râlements, le non-vouloir de Léo. Il n’avait pas envie de créer une famille, d’avoir une maison, d’avoir des responsabilités. Ce qu’ils avaient ; le néant complet de leur relation, un minuscule appartement qu’ils avaient de la difficulté à payer. Le temps entre les ruptures commença à augmenter. Chacun allant voir ailleurs, parfois, sans aucune culpabilité. Puis, après six années, après une année où aucune dispute ne sembla se déversée, il la demanda en mariage. Il disait qu’il avait changé, qu’il avait vieillit. Il voulait plus que cela. Et c’était vrai, à l’époque. Il en avait assez de se balancer entre recherche et remplacement. Il voulait quelque chose de stable, pour une première fois. Léo s’était inscrit dans la chaire de recherche reliée au sort du patronus, dont le travail était presque à temps plein. Ils préparaient lentement, mais sûrement un mariage. Une vie à deux. Une vie tranquille. Quelque chose de paisible, qu’il ne leur ressemblait pas, quoi. Puis, ils recommencèrent à se disputer. Et un matin de juillet de 1978, elle avait fait ses valises. Elle avait son visage bornée et ne voulait pas voir l’incompréhension inscrite sur le visage de Léo. Elle le quittait « pour de bon », s’en allait. Changeait de pays. Voulait découvrir le monde, que ce soit celui des moldus ou des sorciers. Il garda l’appartement, comme s’il était borné à croire qu’elle reviendrait. Mais elle ne le fit pas. On lui proposa tout simplement un poste d’enseignement et il accepta. Ne pouvant pas se baser uniquement sur un poste de recherche pour garder l’appartement à lui seul et c’était principalement ce qu’il voulait : enseigner. Enseigner l’étude des moldus… Très loin de ses prédilections et en même temps, très près de sa propre vie, comble de l’ironie. Il se lança corps et âme dans son travail. Ingurgitant toute la matière qui devait donnée. Le rouquin voulait dissiper son image, gardait à la tête qu’il était fiancé, alors qu’elle ne lui donnait aucune nouvelle, alors qu’il couchait à droite et à gauche avec un restant de culpabilité. Puis, il décida de revenir aux bonnes vieilles habitudes, après une année comme cela. Sa rentrée de 1979, il avait un large sourire sur son visage. Il n’allait plus se lamenter sur son sort. Il allait aimer sa vie. Ne se préoccupant pas du vaste chaos qu’était sa vie personnelle. Il s’en fichait, de toute manière. Il était chez soi, maintenant. Il était à Poudlard. Il n'avait qu'à tout simplement arrêté d'y pensé et tout se réglerait. Un illusionné, quoi.
Dernière édition par Léo T. Weasley le Mar 15 Avr - 23:04, édité 3 fois |
| | Re: ils se ligoteraient au mât du bonheur sans nuage de l'enfance et ainsi résisteraient à la tempête. (+) léo.par Invité, Mer 9 Avr - 0:09 ( #) | Bieeeeeeeeeeeeeeenvenuuuuue |
| | Re: ils se ligoteraient au mât du bonheur sans nuage de l'enfance et ainsi résisteraient à la tempête. (+) léo.par Invité, Mer 9 Avr - 0:09 ( #) | Bienvenuuuue |
| | Re: ils se ligoteraient au mât du bonheur sans nuage de l'enfance et ainsi résisteraient à la tempête. (+) léo.par Guest, Mer 9 Avr - 0:10 ( #) | merciiii. |
| | Re: ils se ligoteraient au mât du bonheur sans nuage de l'enfance et ainsi résisteraient à la tempête. (+) léo.par Invité, Mer 9 Avr - 0:18 ( #) | Bienvenuuuue~ |
| | Re: ils se ligoteraient au mât du bonheur sans nuage de l'enfance et ainsi résisteraient à la tempête. (+) léo.par Invité, Mer 9 Avr - 0:27 ( #) | Bienvenuue |
| | Re: ils se ligoteraient au mât du bonheur sans nuage de l'enfance et ainsi résisteraient à la tempête. (+) léo.par Guest, Mer 9 Avr - 0:32 ( #) | gaspard ulliel merci beaucoup. |
| | Re: ils se ligoteraient au mât du bonheur sans nuage de l'enfance et ainsi résisteraient à la tempête. (+) léo.par Invité, Mer 9 Avr - 0:33 ( #) | Bienvenue, collègue. |
| | Re: ils se ligoteraient au mât du bonheur sans nuage de l'enfance et ainsi résisteraient à la tempête. (+) léo.par Guest, Mer 9 Avr - 0:35 ( #) | ce type est juste trop . bref, merci |
| | Re: ils se ligoteraient au mât du bonheur sans nuage de l'enfance et ainsi résisteraient à la tempête. (+) léo.par Invité, Mer 9 Avr - 0:40 ( #) | Bienvenuuuue sur BP ! |
| | Re: ils se ligoteraient au mât du bonheur sans nuage de l'enfance et ainsi résisteraient à la tempête. (+) léo.par Invité, Mer 9 Avr - 1:41 ( #) | Bienvenue Mr. Weasley |
| | Re: ils se ligoteraient au mât du bonheur sans nuage de l'enfance et ainsi résisteraient à la tempête. (+) léo.par Invité, Mer 9 Avr - 4:48 ( #) | |
| | Re: ils se ligoteraient au mât du bonheur sans nuage de l'enfance et ainsi résisteraient à la tempête. (+) léo.par Invité, Mer 9 Avr - 6:10 ( #) | Bienvenue |
| | Re: ils se ligoteraient au mât du bonheur sans nuage de l'enfance et ainsi résisteraient à la tempête. (+) léo.par Invité, Mer 9 Avr - 7:29 ( #) | Bienvenue |
| | Re: ils se ligoteraient au mât du bonheur sans nuage de l'enfance et ainsi résisteraient à la tempête. (+) léo.par Contenu sponsorisé, ( #) | |
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