BELLUM PATRONUM
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Version 34
Nouveau tournant, nouvelle version installée ainsi que les nouveautés qui vont avec ! Vous pouvez la commenter ici.
Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| Sixten Sznjerdmann - L. Grimes | | | Sixten Sznjerdmann - L. Grimespar Invité, Sam 26 Avr - 11:35 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Sixten Sznjerdmann FEAT. Luke Grimes 19 ans ϟ Justice magique ϟ Lion blanc & chat abyssin ϟ Sang-mêléNom: Sznjerdmann est un nom suédois, pas particulièrement connu. Et pourtant, leur fortune est colossale. Ils possèdent une raffinerie très profitable, qui a enrichit la famille. Malgré tout, ils demeurent discrets, si bien que peu de gens savent qu’ils existent. Prénom: Sixten, prénom assez répandu en Suède, mais qui dépareille en Grande Bretagne. Âge et Date de Naissance: Né le 27 mai 1960, il a donc 19 ans mais va bientôt en avoir 20. Il a vu le jour en Suède, son pays natal. Plus précisément sur l’île de Välon, où toute sa famille réside. Nature du sang: Sixten est issu d’une famille de sangs-purs. Cependant, son père ayant épousé une sang-mêlée, il n’a pas hérité de cet atout. De par son enfance, il n’est certes pas intolérant, mais aurait tout de même préféré avoir cette pureté familiale. Situation familiale:Les Sznjerdmann comporte trois frères. Et malheureusement, le père de Sixten n’est pas l’aîné des trois. Les trois frères entretiennent des relations très étranges. Vivant sur une même île, dans un même quartier, et partageant des intérêts économiques communs, il leur faut bien s’entendre. Mais ces sourires ne sont que de façade, car en réalité, ils veulent tous les trois être plus riches que les deux autres. Evidemment, c’est le père de Magnus qui remporte la plus grosse part, les autres n’ont que des petits morceaux qui leur assurent pourtant une belle fortune. Sixten apprécie plus ou moins ses oncles et tantes, mais il s’en méfie. Il ne leur fait pas confiance, car la cupidité prime. En ce qui concerne les enfants de l’aîné des frères, il ne les apprécie pas vraiment. Magnus le roi, il ne le supporte pas. Jamais il ne se prosternera devant lui. Oh certes, il a appris à le supporter, puisqu’ils vivaient ensemble et n’avaient que les uns et les autres pour jouer. Mais il est rongé de jalousie envers lui. Quand à Majken, elle n’était qu’une enfant capricieuse. Une véritable peste. Mais la noyade a vraiment été bouleversant pour lui. Il s’est rendu compte que malgré tout, il adore sa cousine. Sans doute aurait-il préféré l’avoir pour sœur, mais il faut encore que ce soit Magnus l’heureux gagnant. Ils se sont donc rapprochés depuis leur entrée à Poudlard. Jordan en revanche - lui non plus n’est pas héritier - il l’apprécie. De la famille, c’est sans doute l’enfant le plus sain, le plus sympa, contrastant avec les autres. Difficile de ne pas l’apprécier donc. Mais ce qui exaspère Sixten, c’est que Jordan est en admiration devant le grand Magnus. Et ça, ça a bien du mal à passer. En ce qui concerne les relations entre Sixten et ses parents, il y a de l’amour, ça c’est certain. Etant fils unique, ils ont concentrés leur attention sur lui, sans non plus trop le couver. Ils l’ont bien éduqués, mais lui ont également appris à avoir sa propre opinion. Oui, ils s’aiment. Mais cet amour n’est pas sans reproche. Sixten reproche à son père de ne pas assez se battre pour avoir une plus grande part de l’entreprise familiale, et de ne pas chercher à accroître son héritage. Par conséquent, il n’ambitionne pas d’entièrement se donner à la raffinerie, mais bien d’avoir un travail autre plus tard. Son père n’aime pas cette idée, car il préfèrerait le voir s’investir à 100% dans son héritage. Et c’est là un clivage entre ses parents. Car si son père ne veut pas le voir s’orienter vers la justice ou la politique, sa mère, au contraire, l’encourage. Car elle est persuadée que Sixten s’ennuierait à juste rester sur cette île. Elle salue ses ambitions, mais le supplie de ne pas faire n’importe quoi pour y arriver. Patronus: Son patronus prend la forme d’un lion blanc, qu’il a nommé Dagmar. Il lui arrive également de se transformer en chat Abyssin. Miroir du Rised: Sixten se voit considéré à sa juste valeur dans le miroir, reconnu pour ses talents, ses qualités, et ainsi recevoir la place qui lui est due. Composition de la baguette magique: Sa baguette mesure 30.1 centimètres, elle est en chêne rouge avec un ventricule de dragon à l’intérieur. Epouvantard: Son épouvantard est l’échec, complet, total et sans issue.i Etudes Suivies: Il est en deuxième année de justice magique (justice), et suit les options légilimencie et arts occultes. Par la justice, il voit un moyen de s’élever socialement. Certaines personnes lui disent qu’il devrait sérieusement songer à se lancer dans la politique. Il a du charisme et sait embobiner les gens, comme un politicien. C’est pourquoi il hésite à chanter de domaine pour les Sciences politiques magiques, nouvelle filière qui ouvrira à la rentrée prochaine. N’étant pas l’héritier de la famille, il ne compte certainement pas rester sur l’île à regarder son cousin régner en maître. S’il le faut, il trouva un autre moyen de gagner en pouvoir, et le ministère est son objectif. Animal de compagnie: Sixten possède une grande chouette effraie qu’il a prénommé Vega. L’animal est calme, silencieuse et discrète. Vega est également docile et tient à remplir parfaitement bien sa mission de transport des communications de Sixten. Caractère Sixten est un gentleman. Elevé pour côtoyer la haute société, il sait parfaitement tenir son rang. Ayant intégré les codes de la sociabilité élitiste, il converse très bien, a une attention pour tout le monde, glisse les compliments adéquats, fait preuve d’une courtoisie et d’une politesse irréprochables et se créé un réseau avec aisance. D’un naturel éloquent, il arrive à se montrer autant intéressant qu’intéressé, et sait broder à partir du rien pour ne jamais vexer ses interlocuteurs. Il lui faut se montrer sans en faire trop, et rester à sa place autant que la garder. Il ne recherche pas forcement l’attention, étant plutôt discret, mais il sait la maintenir lorsque c’est nécessaire, grâce à son charisme naturel. Fin observateur, sa tendance à remarquer les petits détails anodins lui est très utile. Trouver les faiblesses d’autrui pour mieux le mettre dans sa poche, pour éventuellement mieux s’en servir pour qu’il ne s’en rende pas compte, et le faire aller dans son sens et dans son intérêt. Jamais par la force, mais plutôt par la subtilité. Arriver à ses fins sans même que l’on s’en aperçoive, avancer dans l’ombre pour réaliser et bâtir en silence, voilà sa méthode. Opportuniste, il arrive à tirer beaucoup d’une situation qui ne paraît pourtant pas si bénéfique. Hausser le ton ? Ce n’est certainement pas son genre. Ca fait beaucoup trop garçon qui s’énerve comme un enfant capricieux lorsqu’il n’a pas ce qu’il désire. Comprendre beaucoup d’un rien nécessite d’être intuitif, ce qu’il est. Il utilise ses sens pour comprendre, et tirer ce qui peut lui être utile. Il est là, et sans que l’on se rende compte, il analyse. Accumuler, amasser, pour atteindre des sommets. Et lorsque l’on vise haut, il faut faire preuve de patience. Taper du pied n’a jamais servi personne. Car Sixten est ambitieux. Il ne saurait rester tout en bas de l’échelle, et n’être rien ni personne, agir sans répercussion sur autrui. Il voit grand, il voit large, et ne s’aveugle pas d’œillère qui lui limiterait une vue si utile. Tant de choses et tant de possibilités sont là, sans que personne ne les remarque. Voir grand nécessite que l’on se donne les moyens de réussir. Et ça, il en a bien conscience. Jamais il ne laissera la fainéantise lui arracher ses objectifs. Travailler, avec acharnement, jusqu’à parfois même en perdre le sommeil, pour réussir, toujours mieux, toujours plus haut. La rigueur, voilà le terme qui lui est indispensable dans ses études. Toujours fait les choses précisément. Il ne supporte pas qu’on le parasite dans sa concentration. Sixten est exigeant envers lui. Ses ambitions le rongent, et il se fustige de tous les reproches lorsqu’il n’atteint pas ce qu’il souhaite, le degré espéré. Flagellations morales ou autre, appelez ça comme vous voulez. La défaite lui est douloureuse, et l’échec insupportable. A tel point qu’il n’en peut plus respirer. Mais le montrer ? Impossible. Il arborera toujours son sourire de jeune homme bien élevé et élégant dans son costume parfaitement bien repassé et qui le met très bien en évidence. L’apparence, voilà donc la seule chose que les autre retiennent. Il est fou de constater le nombre de personne que l’on peut mettre dans sa poche par l’attitude. D’une démarche langoureuse et sensuelle, Sixten ne s’introduit pas par force dans son environnement. Il s’y insère en douceur, pour mieux frapper. Son assurance ne transpire pas la prétention, ni même la vanité, mais bien plus la mise en confiance. La force le répugne, ça fait tellement classe populaire. Alors que la relation de confiance est beaucoup plus efficace, et apporte les résultats escomptés sans trop de difficultés. A l’aise en société, il lui faut pourtant s’isoler par moment. S’éloigner des autres pour marcher en solitairement. Longuement, pour retrouver sa pleine capacité de contrôle. Le silence et le vide le ressourcent. Pourtant la confiance, il ne l’accorde pas si facilement. Il faut faire ses preuves, montrer qu’on la mérite, car elle se gagne. Car une fois acquise, Sixten la protège. Ses proches, ses vrais proches, rien ne doit leur arriver. Ou sinon il s’en mêle, et il le fait payer. Et la rancune ne le quitte pas, même lorsque la crasse est rendue, elle lui colle à la peau. Impossible d’oublier la tâche, la souillure. Le paradoxe, c’est d’être éloquent, et d’avoir pourtant du mal à exprimer ses réels sentiments. Mais que la confiance peut être traite quand elle est accordée à la légère. Se constituer des faiblesses inutiles ? Alors ça, c’est à écarter. La confiance est un leurre, derrière se cache des intérêts. De même qu’avec le charme et la séduction. Il faut avouer que l’attention d’une femme est plaisante, surtout quand elle est d’agréable compagnie, intellectuelle comme physique. L’héritage familial veut que Sixten soit un tombeur de ces dames, comme s’il s’agissait d’un don de naissance. Et autant le dire, le plaisir sexuel est quelque chose qu’il apprécie beaucoup, notamment pour les sensations comme décuplées que cela procure. Mais difficile de voir plus que cela en une femme, qui s’avère rapidement ennuyeuse si elle n’est pas exceptionnelle. Et puis, ne perd-elle pas de son attrait dès lors qu’elle a été goûtée ? Evidemment. Mais l’homme a autant de charmes, sinon plus. Car Sixten y voit un potentiel égal, un potentiel rival, un potentiel amant. Comme si c’était plus brut, plus vrai et plus intense. A condition de ne jamais perdre le contrôle. Dominer une situation est la seule manière de ne pas la voir se retourner contre soi. Car il ne faut jamais flancher. La faiblesse, c’est s’adonner à la dépendance, à l’addiction, et se perdre. Trop gourmand, trop avide, Sixten veut toujours plus, et ne sait pas s’arrêter. Il convoite ce qu’on les autres, et se retrouve dévoré par la jalousie. Car il veut plus que les autres, il veut les surpasser, les dominer. Jaloux de ce qu’il possède également, d’une possessivité excessive. Persuadé qu’il n’a pas ce qui lui est du, il chérit davantage ce qu’il a et fait en sorte qu’on ne lui arrache pas. Et tous ses échecs, ses ambitions non satisfaites, ses obsessions débordantes et ses jalousies maladives le plongent parfois dans des abîmes où il est difficile de le reconnaître. Incapable de se contrôler, il détruit, hurle, s’insurge contre ses non accomplissements. Il n’est alors plus le même, laissant exploser tout ce qu’il contrôle et qu’il cache. Difficile de croire qu’il est sain. Comme si une petite partie de lui se laissait dominer pour mieux émerger l’espace d’un court moment. Tout ça pour reprendre son sourire séducteur et son assurance une fois que c’est passé, comme s’il n’y avait jamais eu de tempête. Comme s’il n’avait jamais perdu le contrôle de lui-même. Il est sans doute trop intense dans ses vrais sentiments, dans ceux qui ne sont pas feints. Et lorsqu’ils prennent le dessus, c’est une libération, plus ou moins douloureuse, ce qui lui permet de conserver sa santé mentale. a little something from you. Dagmar prend donc la forme d’un lion blanc. Sa carrure et son port l’incite à être particulièrement majestueux, se déplaçant tel un roi qu’il faut craindre et admiré. Pourtant, bien qu’il soit quelque peu vaniteux, il n’en est pas moins agréable. Sa présence est rassurante pour Sixten, qui ne saurait pourtant pas vraiment expliquer pourquoi. Dagmar parle assez peu, il observe la plupart du temps. Comme son protégé, il est très intuitif, et cherche à percer le caractère des humains qui s’approchent de Sixten. Il faut dire que le patronus est de bons conseils, essayant d’anticiper les possibles erreurs que peut faire l’élève. Par contre, lorsque Sixten entre dans ses colères folles, il est impuissant. Il le regarde, et attend que cela se passe, sachant que ça finira bien par s’arrêter. Par contre, il a la fâcheuse habitude de s’exprimer en proverbes et citations, se donnant un petit côté savant qu’il porte bien, il faut l’avouer. Parfois, il prend la forme d’un chat de rac abyssin. Ce petit félin ressemble beaucoup au grand dans sa démarche. Cette forme permet à Dagmar de suivre Sixten lorsque celui-ci est dans un espace plus confiné, ou lorsqu’ils manquent de place. Mais aussi la nuit, pour pouvoir dormir sur un lit sans prendre trop de place. Le patronus et son protégé se parlent assez peu dans les faits, car ils n’ont pas vraiment besoin de communiquer pour se comprendre. Les regards en disent long, mais pas seulement. Les sentiments, que Sixten sait pourtant bien cacher pour toujours garder le contrôle, Dagmar sait les percevoir. Il connaît suffisamment son protégé pour savoir interpréter les tous petits détails qui trahissent le jeune homme. Ainsi donc, sans que Sixten n’ait rien besoin de dire, le lion agit dans la justesse. Car il a bien appris à comprendre le caractère complexe du suédois, et sait se comporter en conséquence. Rarement dans le jugement, le patronus essaie simplement d’éviter toute mésaventure à l’étudiant. Le lion est tout à fait conscient des ambitions démesurées et dangereuses de Sixten, mais il n’a jamais essayé de le changer. Il l’accompagne, essayant de lui faciliter le chemin. You're not a sad story. Ils se dirigeaient tous les trois vers le petit lac pour s’occuper en attendant que l’heure du goûter arrive. La place était déjà prise par la petite peste. Elle n’était jamais conviée à leurs jeux, car la seule chose qu’elle savait faire c’était les gâcher à ses éternels caprices. Elle ressemblait tellement à sa mère, que Sixten avait du mal à supporter. Pour le moment, il ne savait pas vraiment pourquoi. Il ressentait juste l’hostilité entre sa mère et sa tante qui ne s’appréciaient pas vraiment, et donc si sa mère ne l’aimait pas, lui non plus. Ce fut Jordan qui ouvrit le bal, poussant la fillette pour mouiller sa si belle robe. Et déjà elle geignait, comme si elle savait si bien le faire : « Je vais le dire à ma mère ! » . Cette fois, ce fût au tour de Sixten de la pousser dans l’eau, faisant plus que l’éclabousser. Pour qu’elle se taise, et qu’elle arrête une fois pour toute d’appeler sa mère. Qui évidemment, si elle l’entendait, allait accourir, n’allait même pas chercher à comprendre ce qui avait pu se passer, et allait prendre la défense de sa fille chérie. « Arrête de crier ! On en a marre nous ! » répliqua Magnus, qui devait encore plus supporter sa sœur que ses cousins pour des raisons évidentes. « Je m’en fiche de toi, c’est moi la préférée ! » fut la seule réponse de Maja. Triste vérité de notoriété publique. Leur mère n’avait d’yeux que pour sa fille qu’elle gâtait à tour de bras. Il ne restait jamais rien pour Magnus, mais ce n’était pas pur déplaire à Sixten qui avait compris depuis un certain temps déjà qu’au final, c’était lui qui allait tout avoir. Quoiqu’il en soit, l’héritier avait la mine de celui qui voulait se venger, et s’approchait donc dangereusement de sa sœur, qui n’eut d’autre réaction que de crier, comme toujours. « Met lui la tête sous l’eau, comme ça on l’entendra plus ! » lui balança Sixten telle une suggestion, largement inspirée par la présente fortuite de l’eau. Et Jordan l’encouragea : « Ouaaais bonne idée ! » . Il n’en fallait pas plus à Magnus pour se décider. Il l’avait déjà mise sous l’eau, s’asseyant sur elle pour l’y maintenir. Sixten rigolait alors que Majken se débattait frénétiquement. Il n’avait pas conscience, jusqu’à ce que ces gestes cessent. Il stoppa ses encouragements et fixa la silhouette sous l’eau, attendant un mouvement de sa part. Le frère de la victime se leva pour la laisser revenir à la surface, mais il n’en fut rien. Elle ne bougeait plus, pas même d’un centimètre. Paniqué. Sixten était paniqué, et il n’était pas le seul. « Aidez-moi ! On l’a tuée ! » hurla Magnus, après l’avoir reprise pour qu’elle soit à l’air libre. Mais il n’y avait pas on ! Magnus avait fait ça ! Il était celui qui l’avait attrapé et qui l’avait noyé ! Sixte n’avait fait que rigoler, jamais il n’avait suggérer de mettre fin aux jours de sa cousine ! Sans se mettre d’accord, lui-même et Jordan se mirent à courir ensemble, s’éloignant au plus vite de l’endroit. Il était terrorisé à l’idée qu’elle soit morte. Il ne s’arrêta de courir que quand il arriva dans sa propre chambre, après avoir traversé l’espace qui le séparait de sa maison, sans regarder ou son autre cousin alors. Il referma la porte derrière lui et se laissa tomber contre la porte pour replier ses jambes contre lui. Il se mit à pleurer, sans pouvoir s’arrêter. Si bien qu’il avait du mal à respirer. Il était pris de panique. Il ne sut pas combien de temps s’écoula avant que sa mère essaie d’entrer dans la chambre pour venir chercher son fils, car il était l’heure de couler. Etant derrière la porte en question, elle rencontra une résistance. « Sixten ? » appela-t-elle, inquiète. Le garçonnet rampa pour s’éloigner, cachant son visage rouge et ses yeux gonflés. Il n’en fallait pas plus à sa mère pour savoir que ça n’allait pas. Aussi se précipita-t-elle vers lui et retira ses bras pour venir poser ses mains sur les joues rouges du petit. « Qu’est ce qu’il y a ? » demanda-t-elle d’une voix qui se voulait réconfortante, mais qui cachait mal son inquiétude. Les mots avaient du mal à sortir de la bouche de Sixten. « Maja ... ! Maja ! » réussit-il à dire avec beaucoup de difficultés. « Je viens de l’apercevoir. » commença à répondre sa mère. « Qu’y a-t-il avec elle ? » . Mais le garçonnet avait arrêté d’écouter. Il leva les yeux vers sa mère, de grands yeux pleins d’espoir. « Tu l’as vue ? » répéta-t-il, n’étant pas certain d’avoir bien compris. Sa mère se mit à sourire et essuya ses larmes qui venaient de s’arrêter de couler. « Oui, elle vient de rentrer chez elle. » répondit-elle d’un ton maternel. Sixten se sentit soulagé, comme il ne l’avait jamais été. Il renifla et se blottit contre sa mère qui le serra contre elle pour le rassurer, sans insister sur ce qui l’avait mis dans cet état pour éviter de le bouleverser de nouveau.
Qu’est-ce qu’elle était belle. Avec sa longue chevelure brune légèrement ondulée, ses yeux d’un bleu qui n’était pas sans rappeler la mer qui encerclait leur île natale, et sa poitrine qui commençait à prendre une forme particulièrement avantageuse. Le regard de Sixten courait sur le corps de sa cousine, tandis que cette dernière se mordillait innocemment la lèvre inférieure. Le suédois fit quelques pas en direction de sa cousine pour se retrouver à côté d’elle. Ses doigts vinrent emprisonner le poignet de l’adolescente pour doucement la coller à lui. Ses lèvres effleurèrent un moment celle de Majken avant de venir se déposer dessus. Maja était trop belle, il pouvait pas s’empêcher de la regarder comme ça. Comme si elle n’était pas sa cousine. Et ses lèvres n’avaient rien de cousinales. Elles étaient bien trop sensuelles, bien trop tentantes pour cela. La main libre du garçon se glissa dans le bas du dos de la jeune fille pour la coller à lui alors que sa langue vint lécher ses lèvres. Comprenant le message, Majken entrouvrit ses lèvres pour laisser Sixten y pénétrer. Les hormones quelque peu juvéniles du suédois entrèrent en ébullition, tandis qu’il sentait déjà quelque chose se former dans son bas ventre. Le baiser langoureux devint rapidement plus avide, tandis que ses mains se firent plus pressantes. Il n’en fallait pas plus à l’adolescent pour en vouloir plus. Il voulait goûter Maja, la belle Maja. Il avança pour la faire reculer jusqu’à ce que son dos rencontre le mur le plus proche. Sixten pressa son corps contre celui de sa cousine alors que ses lèvres déviaient vers son oreille, faisant un léger détour par son cou. « Arrête ... On peut pas. » lui souffla-t-elle. Le suédois détacha ses lèvres de la peau de Majken et hésité une seconde. Reprendre ou s’arrêter ? « Sixten. » insista-t-elle, sans pour autant se dégager de son étreinte. L’adolescent se détacha de sa cousine, se mettant à une distance respectable d’elle. Une distance cousinale. Il réajusta son costume, restant silencieux. Vexé, ça oui il l’était. Elle venait de le repousser. Mais au moins, c’était pour des raisons valables. Il évita cependant de montrer qu’elle venait de blesser son orgueil, et afficha un léger sourire satisfait sur ses lèvres. « J’ai au moins goûté tes lèvres. » déclara-t-il finalement, alors qu’il l’observait. Quelques secondes s’écoulèrent. Mais Sixten s’en alla avant qu’un réel froid ne s’installe. De toute façon, il n’était pas nécessaire de parler de ce qu’il venait de se passer, ce n’était rien.
Sixten tournait nerveusement sa fourchette dans son assiette. Il n’avait aucune envie de manger ce qui s’y trouvait dedans, trop préoccupé par les chiffres de 1979 qui venaient de tomber. De très beaux chiffres, toujours croissants, toujours très impressionnants. Mais comme toujours, à qui revenait la majorité ? Certainement pas au père de Sixten, qui se faisait vraiment avoir. Ce dernier était en train de résumer le conseil d’administration qui s’était terminé un peu plus tôt. Il était arrivé juste pour l’heure du dîner et avait annoncé avec fierté la progression du chiffre d’affaire de la raffinerie. Le pétrole rapportait bien. Les objectifs de progression avaient été atteints, et tout le monde était content. Non, pas Sixten, qui gardait son visage rivé sur son assiette alors que chaque mot que son père prononçait résonnait comme une insulte pour lui. Il se sentait victime d’une terrible injustice. Si la position découlait du mérite, ce serait lui l’héritier de toute cette fortune. Mais à cause de sa foutue naissance, ou plutôt celle de son père, elle lui échappait pour revenir à son cousin. « Nous sommes certains que la progression continuera l’an prochain. » affirmait son père à son épouse attentive. Sixten laissa bruyamment tomber sa fourchette en argent dans son assiette de porcelaine, ne pouvant pas en entendre plus. « Et nous sommes évidemment parfaitement heureux de savoir qu’une infime partie de tous ces efforts va nous revenir. » lâcha-t-il, amer, lançant un regard peu amical à son père. « Sixten ... » soupira sa mère, qui craignait que son fils ne revienne sur ce fâcheux sujet. Ce qu’elle ignorait, c’était qu’il ne s’agissait pas de faibles complaintes cette fois. Mais bien d’un ras-le-bol accumulé. Et son père prit donc le relai : « Notre part est conséquente. Comment peux-tu te plaindre ? Tu as déjà manqué de quelque chose ? » . Eternel discours : vois ce que toi tu as par rapport à d’autres, tu n’as jamais manqué de rien, tu as toujours pu faire tout ce que tu souhaitais. « Mais là n’est pas le problème ! » s’emporta le jeune homme en attrapa sa serviette, aristocratiquement posée sur ses genoux, afin de la jeter sur son assiette où elle vint tremper dans la sauce qu’il n’avait pas touché. Ses parents tournèrent leurs yeux étonnés vers leur fils, ne comprenant ce soudain excès de colère. Lui qui savait toujours se contenir, qui s’énervait finalement très peu souvent. « Comment pouvez-vous tolérer que cet incapable de Magnus hérite de tout ça ?! » , car c’était bien cela qui exaspérait Sixten, bien trop lésé à son goût. Son père, décontenancé par les propos de son fils, répondit sur le ton de la défensive : « Mais je n’y peux rien si mon frère est né avant moi ! » . Toujours le même problème avec les libéraux conservateurs. Ils avaient œuvré pendant de nombreuses décennies à l’acquisition de libertés avantageuses pour leur business, et désormais ils terraient dans un système archaïque dans lequel les valeurs étaient désuètes. Aussi Sixten se leva-t-il d’un bon, poussant sa chaise derrière lui dans un bruit fracassant. « Mais agis pour changer ça ! L’héritier doit mériter la raffinerie ! Tu crois vraiment que Magnus est capable de diriger l’entreprise ?! Il est incapable de s’investir dans quoi que ce soit ! Il n’a jamais rien foutu pour prouver qu’il pouvait succéder à son père ! » hurla-t-il à une mère livide conscience du trop pleins de vérités dans les dires de son fils, et à un père qui se décomposait sur place. Jamais les accusations de son fils sur son manque de hargne quand à le défendre n’avaient été si violentes. Il se leva lentement, à son tour, se rendant compte que son fils le blâmait de ne pas assez se battre pour lui. « Crois-tu que je puisse briser le droit d’aînesse ? » demanda-t-il, d’une voix qui résonnait de la défaite, et une putin de soumission. Sixten se raidit. Son père avait jeté l’éponge depuis le premier jour, incapable de se tenir en soldat pour défendre les droits mérités de sa propre descendance. Aussi répondit-il d’une froideur à faire pâlir : « Si tu n’y arrives pas, je m’en chargerais. » . Ses mots claquèrent dans la pièce telle une menace. Il quitta la demeure familiale pour aller s’isoler, Dagmar sur ses talons qui demeurait silencieux, déterminé à mettre en application ce qu’il venait d’annoncer.
Appuyé contre le mur, Sixten regardait London approcher de sa démarche féline si caractéristique. Comme sa panthère, elle était discrète et pourtant, quand on posait son regard sur elle, on pouvait pas s’empêcher de penser qu’elle dégageait une présence incroyable. Une jambe repliée pour que son pied soit posé à plat sur le mur derrière lui, le suédois se faisait toujours discret lui aussi. Il reboutonna la veste de son éternelle veste, marron ce jour-ci, et se décolla du mur alors que la jeune serpentard s’approchait de lui. « J’espère avoir les salutations du serdaigle. » déclara-t-il de son petit ton provocateur, alors qu’il s’arrêtait à sa hauteur. London rigola légèrement et lui répondit rapidement : « Tu les as. ». Un sourire satisfait affiché sur ses lèvres, il se rapprocha de la jeune femme, se mettant face à elle et vint légèrement effleurer ses lèvres, y soufflant : « Tu m’en vois ravi. ». Puis il lui attrapa la main et l’attira derrière lui pour qu’ils commencent à marcher dans le couloir. Il adopta une allure très lente pour commencer, la laissant se remettre à sa hauteur. Dès qu’elle le fût, il glissa une main possessive dans le bas de son dos et prit une démarche un peu similaire à la sienne, sauf que beaucoup plus masculine. « Rendez-vous stimulant ? » demanda-t-il, feignant de pas vraiment s’y intéresser alors que c’était le cas. Un sourire amusé vint s’inviter sur les lèvres de la demoiselle, alors qu’elle répondait l’air de rien : « Très. Je dois dire qu’il est quand même meilleur que toi. ». Piqué, ça oui Sixten l’était. Il n’avait aucunement envie d’être surpassé par le nouveau petite amie de London. Mais l’attitude de celle-ci laissait deviner qu’elle le taquinait, aussi évita-t-il d’afficher qu’il était vexé. « Il doit certes avoir quelque chose, pour que tu t’y intéresses. Mais n’exagérons rien. » répliqua-t-il finalement, n’étant pas du tout prêt à se rabaisser pour satisfaire l’égo de ce nouveau venu dans la vie de sa meilleure amie. Il n’allait certainement pas laisser sa place à ce Samaël, ce dernier allait devoir faire avec lui. Autant dire que Sixten avait bien du mal à partager, surtout quand il s’agissait de sa meilleure amie. Il avait la fâcheuse tendance à la vouloir pour lui tout seul, ce qui était évidemment incompatible avec le fait qu’elle ait un mec. Cependant, il ne voulait pas non plus lui faire de la peine et devenir une sale copie de son taré de frère. Par conséquent, il se contenait, et essayait d’éviter au maximum de montrer qu’il n’appréciait pas que leur duo se transforme en trio. « Tu le découvriras bien assez tôt. » répondit-elle finalement, laissant présager qu’elle allait bientôt le présenter au serdaigle.
Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge:LilDay & 21 ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? Cleophée :moa: ϟ Personnage: Scenario de Magnus. ϟ As-tu un autre compte sur BP? Yope, Arthur A. Rosenbach. ϟ Présence: En principe tous les jours. ϟ Une remarque?
Dernière édition par Sixten Sznjerdmann le Dim 18 Mai - 9:05, édité 3 fois |
| | Re: Sixten Sznjerdmann - L. Grimespar Invité, Sam 26 Avr - 11:38 ( #) | PREUMS OH LECK T'AS LES NERFS LYS T'AS LES NERF LA (Rebienvenue mec, je vais lire maintenant ) |
| | Re: Sixten Sznjerdmann - L. Grimespar Invité, Sam 26 Avr - 11:48 ( #) | |
| | Re: Sixten Sznjerdmann - L. Grimespar Invité, Sam 26 Avr - 11:54 ( #) | |
| | Re: Sixten Sznjerdmann - L. Grimespar Invité, Sam 26 Avr - 12:00 ( #) | |
| Le Choixpeau Magique pnj - we are all subjects to the fates Répartition : 19/01/2013 Hiboux Envoyés : 2104
| Re: Sixten Sznjerdmann - L. Grimespar Le Choixpeau Magique, Sam 26 Avr - 12:03 ( #) | VALIDÉ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Félicitations, tu es admis chez les Serpentard! PS: c'est pas parce que je te met à Serpy que tu dois en profiter pour faire des cochonneries à ta cousine ! Tare familiale ou non Du côté des registres: N’oublie pas d’aller faire recenser ton patronus [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Petit rappel, ton personnage n’est pas adulte donc son patronus a deux formes. De plus, en tant qu’élève, il peut choisir une place dans les dortoirs de sa maison [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], pense à aller y faire un tour pour te choisir des petits camarades de chambres. Si ton personnage est préfet ou préfet en chef, fais en la demande [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. De même, s’il fait partie de l’équipe de quidditch de sa maison, c’est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Et pour finir avec les demandes, toutes demande d'adhésion à l'Ordre du Phoenix ou aux Mangemorts se fait [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] afin que nous puissions réguler les membres y appartenant. Autre chose, il est absolument interdit de poster un sujet trop érotique ou trop violent sans prendre des précautions au préalables. Il vous sera demandé d'utiliser la balise [ hide] pour ce genre de sujets, ainsi que d'utiliser le bouton +18 mis à votre disposition. Si ce compte n'est pas ton premier, ce serait bien que tu le recenses [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. De même, si ton personnage est atteint d'une maladie mentale ou physique, merci de le signaler [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Et enfin, pense à poster [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour prévenir si tu acceptes que ton prénom et nom soient doublables ou non. Du côté du jeu et hors jeu: Maintenant que ta fiche est validée, tu peux aller créer ta [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] si tu le souhaite. Si jamais tu rencontres des problèmes dans la rédaction de tes rps, sache qu’un [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] est mis à disposition. Enfin, pour mieux t’intégrer, nous t’invitons à poster dans le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et dans les [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] dès maintenant. Pour finir, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] te rapportera des points. |
| | Re: Sixten Sznjerdmann - L. Grimespar Invité, Sam 26 Avr - 12:08 ( #) | Merci Choixpeaux, t'es trop un BG . |
| | Re: Sixten Sznjerdmann - L. Grimespar Invité, Sam 26 Avr - 21:04 ( #) | |
| | Re: Sixten Sznjerdmann - L. Grimespar Invité, Sam 26 Avr - 21:39 ( #) | |
| | Re: Sixten Sznjerdmann - L. Grimespar Invité, Sam 26 Avr - 23:18 ( #) | |
| | Re: Sixten Sznjerdmann - L. Grimespar Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | Sixten Sznjerdmann - L. Grimes | |
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