| JUDE - Anything can go...par Guest, Jeu 1 Mai - 20:55 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Jude Olympe Diggory FEAT. Hayden Panettiere 18 ans ϟ Cursus Primaire ϟ Koala ϟ Sang-PurNom: Diggory Prénom: Jude Olympe Âge et Date de Naissance: Elle a 18 ans, et est née un 6 mars, en 1962, dans la maison familiale, par surprise. Nature du sang: Sang-pur. Situation familiale: Jude a deux soeurs aînées, Wallis et Erin, et un petit frère, Embry. Patronus: Sparkle est un koala normal, attendrissant et affectueux. Miroir du Rised: Elle se voit, elle-même, avec un uniforme d'Auror, se battant avec conviction pour ce qu'elle pense juste. Composition de la baguette magique: Bois de Sapin, 26,5 centimètres, Plume d'Hypogriffe. Epouvantard: Une horde de papillons, animaux dont elle a horreur. Etudes Suivies: Cursus primaire. Elle est en 7ème année. Animal de compagnie: Un hibou grand duc, qu'elle a acheté peu avant son entrée à Poudlard. C'est un magnifique mâle, appelé Doug. Caractère Commençons par les choses plaisantes: ses qualités. Très intelligente, elle l'a toujours été, et pense et espère le rester. Elle ne s'en vante pas, mais s'en sert pour aider les autres, ainsi que pour atteindre son but ultime. Bosseuse, Jude obtient ses résultats grâce à son intelligence naturelle, mais surtout parce qu'elle aime lire ses manuels scolaires, apprendre et travailler en général. En fin de journée, elle aime prendre de l'avance sur ses devoirs, en se rendant à la bibliothèque. Ah... Les livres... Quelle magnifique histoire entre elle et eux... Elle pourrait passer des heures à s'éduquer, s'évader, s'informer en leur compagnie. Et selon, toutes les solutions se trouvent dans les livres. Cela lui paraît logique: chaque problème a sa solution, et chaque solution peut être lue. Perfectionniste aussi, elle aime les choses bien faites, organisées et carrées à son goût. Si d'autres ne s'y retrouvent pas, elle saura toujours où trouver quoi, sans aucune hésitation. Sage, polie et respectueuse, elle saura instinctivement de quelle manière adresser la parole à quelqu'un. En plus de tout ça, Jude est une adolescente déterminée qui ira toujours au bout de ses idées, de ses rêves, de ses envies, elle se donnera toujours les moyens d'arriver à quoique ce soit qu'elle désire. Mais elle est aussi honnête, et franche; elle déteste le mensonge et l'hypocrisie, alors son principe premier est de toujours dire la vérité, même si cela peut parfois blesser autrui, ou soi-même. N'oublions pas une des caractéristiques les plus importantes du caractère de la jeune fille: elle est très loyale et un sens très prononcé de l'amitié. En effet, elle aime prendre soin des autres, et se sentir utile et appréciée. Et pour en finir avec ses qualités, ajoutons qu'elle est extravertie, ouverte d'esprit, à l'écoute de ses amis et d'excellent conseil, ainsi que des plus sociables. Pour ce qui est des défauts, rien de plus facile, elle est en a des tonnes. Rancunière, il est déjà difficile d'obtenir sa confiance aveugle, mais il est encore plus difficile de la récupérer après y avoir failli. Elle ne pardonne que peu, et ne redonne sa confiance qu'encore plus rarement. Elle se souviendra toujours d'une personne qui lui aura fait quelque chose qu'elle ne juge pas digne d'un ou d'une ami(e). Compétitive, elle déteste quand quelqu'un la dépasse, de près ou de loin, et c'est donc son tempérament de battante qui refera surface pour regagner sa place d'excellence, et qui plus est susceptible et impulsive, elle ne pense pas toujours avant d'agir, et regrette donc parfois ses gestes et/ou paroles envers autrui. Pour finir, elle aime avoir toujours raison, et avoir le dernier mot partout, et sur n'importe quel sujet, même si elle sait qu'elle a tort, car parfois un peu peste, elle sait manipuler les gens assez ingénieusement. a little something from you. Sparkle, puisque Jude a décidé de baptiser son patronus, est un koala. Elle est assez agressive, et particulièrement possessive de sa maîtresse. Elle a déjà mordu à plusieurs reprises, ce qui n'arrange pas les choses pour Jude, déjà considérée comme une élève un peu étrange. La confiance mutuelle que partage la jeune fille avec son patronus est impressionnante, alors que ses camarades ne s’en approchent que peu, dû aux raisons évoquées plus haut. Sparkle est très obéissante, bien que particulièrement fougueuse. Elle aime se cacher et sauter un peu partout quand ça lui chante. Heureusement, Jude garde un œil vigilant sur celle-ci, étant absolument consciente du danger qu’elle pourrait représenter si elle s’attaquait à quelqu’un, ce qu’elle ne souhaite absolument pas. Ella ne change pas de forme, ou du moins, elle ne l’a encore jamais fait, et cela ne pose aucun problème à sa sorcière qui est absolument gaga de son patronus tel qu’il est. Ne jalousant aucunement ses camarades ayant des patronus changeants, elle est ravie pour eux, mais est très satisfaite de celui qu’elle a, et s’en contente largement et avec un grand plaisir. You're not a sad story. Ciel, terre, ciel, terre, ciel, terre. Jude était sur la balançoire. Sa tête suivait les mouvements de celle-ci, offrant à ses jolis yeux le ciel lorsqu’elle était en avant, et la terre lors du swing arrière. BOUM ! La terre s’était approchée bien rapidement alors qu’elle heurtait le sol. Un seul regard en arrière lui avait suffit pour comprendre ce qu’il lui était arrivé : Embry avait voulu la balançoire, et avait poussé sa grande sœur pour pouvoir y accéder. Ni une, ni deux, Jude empoigna la chevelure de son cadet, avant de lui siffler dans les oreilles : « Espèce d’idiot ! Un jour, je t’apprendrai le respect, et tu sauras que comme je suis plus grande que toi, c’est moi qui décide ! Imbécile ! » Le gamin, ayant tout juste cinq ans, s’enfuit en pleurant dans les jupons de sa mère, se plaignant immédiatement de l’attitude de son aînée qui, fière d’elle, retourna vers son occupation antérieure. Elle aimait faire sa loi, et la façon dont son petit frère se tenait ne lui plaisait pas du tout. Etant plus forte et plus sûre d’elle, elle lui faisait comprendre qui commandait sans aucun remord. Petit à petit, les deux benjamins commencèrent à bien s’entendre, à se supporter tout du moins. Ils jouaient calmement ensemble et ne se battaient plus aussi souvent qu’avant. Erin, quant à elle, était sa préférée, âgée seulement d'un an de plus qu'elle, celle à qui elle adorait parler et avec qui elle préférait jouer. Wallis était quant à elle, plutôt un exemple pour Jude, qui aimait se dire qu'elle était la plus parfaite de tous. Le jour où tout changea entre les benjamins fut le jour où Jude manifesta sa capacité à la magie, le jour où ses pouvoirs apparurent. Le cadet entra dans une fureur sans nom, piquée par une jalousie hors du commun, battant et s’acharnant sur sa plus jeune sœur. « Je te déteste ! Je te hais ! Tu es la pire sœur qu’on puisse avoir ! Monstre ! » Des heures durant, il n’avait pas arrêté de répéter ce type d'abominations contre elle, et il avait été impossible de l’arrêter, jusqu’à ce qu’épuisé, il s’effondre sur le divan du salon. Amanda et Harvey, parents des quatre enfants, étaient fiers de leur progéniture, et entamèrent tout un tas de récits en rapport avec leurs expériences à Poudlard. Evidemment, Jude les connaissait toutes par cœur, les ayant déjà entendu deux fois au moins avec les expériences de ses soeurs aînées, mais prenait un plaisir fou à les réécouter à chaque fois : les échecs sorciers, les cours de vol, les retards en cours, les classes de potions, la bibliothèque, le garde-chasse ; rien n’était laissé au hasard. Voulant garder un peu de surprise pour son arrivée à l’école écossaise, elle prétexta une fatigue soudaine, avant de monter dans sa chambre. Allongée dans son lit, les yeux pleins d’étoiles, la blondinette se repassa la scène : les quatre enfants jouaient au Loup. Embry courait devant elle, et bien qu'elle y mette toute son énergie, Jude était incapable de l’attraper. Lassée, elle se surprit à souhaiter que le benjamin trébuche, pour pouvoir enfin le rendre Loup. Une demi-seconde plus tard, ce dernier se retrouva face contre terre, les vêtements complètement tachés de boue. Lorsque la plus grande chercha une explication à la scène, ses yeux se posèrent sur une énorme racine qui n’avait jamais été là auparavant, et qui s’enfonça lentement sous terre, après avoir fait son travail. Sans voix au début, l’enfant Diggory courut ensuite vers la maison familiale, s’exclamant à qui voulait bien l’entendre qu’elle était enfin une sorcière, laissant Embry à son propre sort.
Dimanche après-midi. Quatorze heures vingt. Le repas de famille avait eu lieu chez les Weasley, leurs voisins. Il faisait beau ; quelques rayons du soleil aoutien esquivaient les branches du saule pleureur sous lequel les fratries Diggory et Weasley avaient déjeuné. Les enfants jouaient, les parents étaient toujours attablés, discutant de tout et de rien, riant aux éclats à certains moments. Les joies de la famille… Jude les contemplait, assise dans l’herbe, adossée à un pin maritime du jardin. Ses sœurs, son frère, ses amis et amies gambadaient dans l’immensité du terrain au gazon impeccable, les rires se perdaient dans la brise estivale, alors que leurs pas de course troublaient avec douceur la paix de l’endroit. Les prunelles de la gamine, alors âgée de neuf ans, se tournèrent vers les adultes. Deux couples sublimes faisaient flotter un amour incommensurable dans l’air parfumé de lavande, dont sa tante, avait fait de jolis bouquets, afin de les entreposer sur la jolie nappe couvrant les tables de jardin. Jude se leva, après avoir arraché une pâquerette qu’elle coinça derrière son oreille, et rejoint la table, avant de taper du doigt contre l’épaule de son oncle. Il tourna la tête vers elle, le visage éclairé d’un sourire qu’elle se persuada instantanément lui être destiné. Joignant ses deux mains pour entourer sa petite bouche, Jude se haussa sur la pointe des pieds, afin de chuchoter à l’oreille de son oncle : « Dis, tu veux bien m’apprendre à voler sur un balai comme toi ? » Visiblement attendri, il se leva sans plus attendre, attrapa la main de sa nièce, et s’adressa à la tablée : « Mes amis, une mission des plus importantes m’a été confiée. Je ne peux vous en dire plus, sans quoi je devrais vous tuer ! » Sous les éclats de rire généraux, et l’esclaffement enfantin de la jeune Diggory, ils s’enfuirent tous deux en courant en direction de la maison, sous les regards non seulement amusés, mais aussi interrogateurs d'Amanda, Harvey et sa tante, qui ne tardèrent à reprendre leur discussion. Quelques minutes plus tard, Jude et son oncle, le balai à la main, se retrouvèrent dans l’autre partie du jardin, derrière la maison. Après avoir enfourché le balai, tenu par l’homme, elle plongea ses yeux dans les siens, et écouta bien attentivement ses explications et conseils : « Pour monter dans les airs, il te suffit de taper doucement du talon au sol. Attention à ne pas taper trop fort, tu monterais tout d’un coup et tu te ferais peur, ok ? Bon, vas-y, essaie, et je ne lâcherai pas le manche du balai, ne t’inquiètes pas. » La fillette n’avait pas peur, elle tapa du talon avec douceur, et sentit qu’elle ne touchait plus par terre. Son visage s’éclaircit, alors que la satisfaction et l’excitation pouvaient s’y lire. « Je vole ! JE VOOOOLE ! » En moins d’une minute, toute le famille accourait à l’entrée de la baie vitrée, alertés par les cris, observant la scène de l’oncle lâchant avec précaution le manche du balai, alors que la blondinette tirait le manche, pour lentement prendre quelques centimètres de hauteur. Certains visages étaient béats, alors que d’autres, ceux des enfants, exprimaient une pointe de jalousie, mêlée à l’admiration et à l’envie. « Ok, Jude, penche-toi légèrement en avant, pour redescendre ! » Alors qu’elle s’exécutait, l’adulte attrapa encore une fois le manche quand elle volait de nouveau à sa hauteur, et l’aida à poser les pieds au sol. Elle en descendit aussitôt pour offrir le plus gros câlin de sa vie à son professeur improvisé. Après un regard complice, elle se dirigea en courant vers sa famille, explosant de joie, avant de sauter dans les bras de ses deux parents : « Maman ! Papa ! Vous avez vu ? Vous avez vu ? »
Le grand jour était arrivé. Jude avait reçu sa lettre d’admission à Poudlard, et était toute excitée à l’idée de se rendre au Chemin de Traverse, afin d’acheter toutes les fournitures scolaires dont elle aurait besoin. Amanda, toute aussi excitée pour la troisième fois, s’était immédiatement portée volontaire pour l’y amener. La tradition avait déjà été lancée avec ses soeurs : il s’agissait d’une journée shopping entre une mère et sa fille. Elles allèrent de magasins en magasins, s’arrêtaient boire un verre d'eau, s’asseyaient sur un banc, bref, elles profitaient à fond l’une de l’autre, et prenaient un malin plaisir à dépenser leur argent. Le hibou était d’ores et déjà acheté, les uniformes aussi, sans oublier les plumes, parchemins et livres de cours. Une chose manquait : la baguette magique. La fillette n’en pouvait plus d’attendre, et il s’agissait de l’achat qui l’excitait le plus, celui auquel elle pensait depuis leur arrivée, mais aussi celui que sa mère s’était autorisée à garder pour la dernière minute : « Aies un peu de patience, Judy. On garde le meilleur pour la fin. Acheter sa baguette, c’est l’expérience la plus mémorable du monde, crois-moi… », avait-elle dit alors que sa plus jeune fille lui tirait le bras pour entrer chez Jimmy Kiddell. Finalement, elles pénétrèrent dans la boutique. La pièce unique était baignée dans la pénombre, où seuls deux malheureux rayons de soleil avaient réussi à trouver de quoi s’y enfuir. Leur lumière rendait visible les milliers de grains de poussière y flottant. Un vieil homme sortit d’entre les hautes étagères de vieux bois, avant de se placer derrière le comptoir et de tendre la main à Amanda : « Miss Weasley, quel plaisir de vous revoir par ici ! » Il baissa alors les yeux vers la petite, avant de continuer : « Est-ce votre petite que je vois là ? » Sa mère acquiesça d’un sourire, puis lui expliqua : « Jude va rentrer à Poudlard cette année. Nous sommes venues lui trouver une baguette. Qu’en pensez-vous, Jimmy ? » Le vendeur pencha la tête, visiblement pour examiner l’enfant. Il leur tourna le dos, et ramena trois jolies, bien que très poussiéreuses, longues boîtes. Il tira une baguette blanche de la première, et en tendit le manche à son acheteuse. Elle l’attrapa précautionneusement, et fut projetée en arrière, atterrissant dans un tas de boîtes à baguettes vides. Kiddell accourut, aussi vite qu’il le put pour récupérer le violent objet, alors que la mère aida son enfant à se relever. Il bougonna : « Non, non, non ! Le bois de cerisier n’est pas pour toi, petite ! Essaye donc celle-ci. » Il lui en tendit une autre, qu’elle accrocha d’une main tremblante. Un petit jet de lumière fluorescente en sorti, mais rien de plus. « Hm… Intéressant… Peut-être le bois de sapin sera plus convaincant que le cyprès… » Jude prit la troisième baguette qu’on lui proposait, après avoir déposé la seconde sur le comptoir, alors qu’un vent agréable parcourut la pièce. « AH AH ! », s’exclama le vieil homme, « Je sais ce qu’il te faut ! » Il laissa à nouveau ses clientes afin de se mettre à chercher dans les étagères. Il revint une demi-minute plus tard, les mains vides. Voyant le regard interrogateur de la petite, il s’adressa directement à elle : « Mon enfant. La baguette qui sera tienne contiendra en son cœur une plume d'hypogriffe, comme dans la seconde que je t’ai fait essayer. Elle mesurera exactement vingt-six centimètres et demi et sera en bois de sapin, comme la dernière, celle que tu tiens dans ta main. Malheureusement, je n’en ai pas en stock, car le sapin est un bois très spécial, tout autant que la contenance de plume d'hypogriffe. Ces deux éléments joints sont encore plus rares. Je te propose quelque chose, veux-tu ? Et si je te la taillais moi-même ? Tu aurais une baguette originale et unique, vois-tu ? Mais pour ça, il me faut l’autorisation de ta maman. » Il leva les yeux vers cette dernière, qui ne put refuser. Le vieil homme acquiesça avec douceur, et salua les deux clientes qu’il reverrait le lendemain. Jude et Amanda passèrent le jour suivant la porte de la boutique de baguettes magiques. Le vendeur sortit de ce que l’on pouvait appeler une arrière-boutique, même s’il s’agissait tout simplement d’un coin de l’unique pièce composant l’endroit qui avait été démarqué par de pauvres rideaux, et qui faisait visiblement office du lieu où il créait ses baguettes. Il marchait en direction de ses clientes, une boîte magnifiquement brillante et au look neuf dans la main. Il l’ouvrit, et tendit la baguette à la fillette, qui l’empoigna avec douceur. Ce même vent ressenti la veille refit son apparition, ainsi que le filet fluorescent au bout de la baguette. Cette fois-ci, il était plus brillant, plus consistant, et il se balada dans tous les recoins de l’enseigne, entre toutes les étagères, avant de s’estomper et de disparaître. « Parfait… Cette baguette est parfaite… Les plumes de cet hypogriffe sont une contenance idéale pour toi, mon enfant. Sache que mes ancêtres et moi-même n’avons pas beaucoup vendu de ce bois-là. La dernière baguette de ce bois étant sortie d’ici a appartenu a un certain professeur, qui enseigne la Métamorphose à Poudlard. Ce matériau ne fonctionnera qu’entre tes mains, et est propice à la métamorphose, justement. Il s’offre aux gens sérieux, concentrés, endurants, déterminés, et qui savent se montrer intimidants. La baguette que tu tiens est plutôt souple, mais capricieuse. Je peux te l’assurer, la combinaison des cheveux de vélane et du sapin peut s’avérer dangereuse si quelqu’un d’autre tente de se servir de ta baguette, ou particulièrement puissante lorsque tu apprendras à la maîtriser complètement. Miss Diggory, vous ferez un malheur. »
Jude se tenait debout, elle était stressée, ses mains étaient moites. Elle avait rarement ressenti ce type d’émotions auparavant, et elle n’aimait pas l’inconnu, à vrai dire, elle avait horreur de l’inconnu. « Jude Olympe Diggory ! » C’était son tour. Elle avançait d’un pas assuré, alors qu’elle était prête à s’évanouir. Mais sauver les apparences était ce qu’elle avait toujours essayé de faire, et ce n’était définitivement pas aujourd’hui qu’elle lâcherait ses bonnes habitudes. Elle prit place sur le tabouret, sur l’estrade, sous les yeux de tout le corps professoral, de ses futurs camarades, des anciens et des nouveaux élèves. Elle sentit la pression du Choixpeau que l’on lui posa sur la tête, et sursauta à la seconde où il commença à s’exprimer : « Ahah ! Intéressant… […] » Jude se leva du tabouret d’un bond, sous les applaudissements, et se dirigea d’un pas joyeux vers la table accueillant ceux qui seraient sa seconde famille. Elle s’assit parmi ses nouveaux camarades, et regarda la fin de la répartition. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Windust, 24 ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? J'y étais il y a un moment, et j'ai décidé d'y revenir. ϟ Personnage: Inventé. ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non. ϟ Présence: Je pense être présente de manière correcte, même si je ne peux pas vous donner d'idée précise, à cause de mon boulot très changeant. ϟ Une remarque? Il va falloir me donner un peu de temps, parce que je comptais vraiment faire un loup-garou, j'avais tout prévu, et faut que je change la plupart de mes idées. Donc je vais mettre un peu plus de temps que prévu.
Dernière édition par Jude O. Diggory le Mar 6 Mai - 19:21, édité 6 fois |
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