The life of the dead is placed,

in the memory of the living.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Dante E. Brown a écrit: Restez loin de moi. Evitez mon regard. N'osez en aucun cas vous approchez de moi. Je ne suis pas qu'un simple homme, je suis celui dont on cauchemarde la nuit, celui qu'on ne veut surtout pas avoir affaire. Oubliez la romance, oubliez la peur, oubliez vos sentiments. Je vous marcherais dessus sans vous laisser le temps de crier. Vous auriez beau me supplier, m'implorer. En vain. Je suis le mal incarné, ne prêtant aucune intention à ce que les gens me disent. Je suis une coquille vide ne cherchant que le mal. Je ne suis ce que la vie se cache d'être. Cruelle et impassible.

« Si tu as changé ? Oui.
Si tu es resté le même ? Oui.
Si seulement tu pouvais arrêter.
- Arrêter quoi ?
- D'être aussi compliqué, Dante. »

Pourriture. Voici ce qu'il reste de moi-même... Vous savez. Il arrive un moment ou je ne peux décidément pas refaire, du moins... Je ne peux pas encore une fois vous décrire de la même façon mon caractère, comme la première fois où j'ai concrètement coupé tout lien avec les gens qui m'entouraient. Parce que je vous mentirais. Je suis toujours le même sans l'être vraiment. Tout est tellement relatif dans cette vie. La toute première fois je vous décrivais les pires côtés de mon être, je n'étais jamais né, je n'étais qu'un monstre, je n'étais rien d'autres que malheurs. Si je le pense encore ? Oui. Si je le suis encore ? Peut-être. Si je blâme les autres à cause de ça ? Oui. Si je suis toujours violent ? Non. Du moins, les habitudes ne s'évaporent jamais, disons que je me suis calmé. Si l'on peut dire ça comme ça et surtout si vous vous sentez plus rassuré ainsi, faites vous plaisir.

Une existence corrompue,
une renaissance pure,

" Faire vivre l'enfer à ceux qui me paraissent trop sur d'eux-mêmes. " C'était ma doctrine. Le but essentiel dans ma vie. Je me devais de toujours prendre pour cible les faibles, ainsi que les meneurs. Pourquoi ? Parce que les deux n'étaient que des échecs à mes yeux. Si je le pense toujours ? Oh oui, je les méprise toujours autant mais, cela ne veut pas dire que je les fais crier dans un coin sombre du cachot, comme j'avais tellement bien l'habitude de faire. Je le savais à ce moment-là, qu' "il y avait bien entendu des gens qui avaient vécu bien plus pire que moi, mais, disons que ma réaction était bien plus extrême que les leurs ?". Ils choisissaient de baisser les bras, d'en finir avec la vie ou alors, ils s’effaçaient des autres. J'avais simplement décidé de me mettre en avant et de leurs faire vivre ce que nous pouvions bien ressentir, aider les faibles en les rendant plus fort, rabaisser les méprisant tout en jouant avec le mépris. J'étais le chasseur de Poudlard, le chasseur qui chassait les autres chasseurs, le chasseur qui faisait des petits débutant des pros en la matière. Maintenant ? Je ne le suis plus. Pourquoi ? Je n'ais pas que ça à faire de m'intéresser à chaque déchet qui croise mon chemin ou qui se croit intelligent de me tenir tête. Ce n'est pas mon problème du moins, ce n'est plus mon problème de faire ouvrir les yeux aux gens. Je dis ça mais, en attendant je ne dément pas le fait que j'y avais pris goût, le goût de la violence, des cris, des pleurs, tout cela j'avais aimé. J'aime encore. Je ne le cache pas. S'il m'arrive de temps en temps de reprendre mon "job", qui sait ? Je ne compte tout de même pas tout vous révéler mes amours. Comme je vous l'avais dis la première fois, après tout je ne suis que

méprisable et fantastique à la fois.

 une âme brisée,
une âme reconstruite,

Enfant, vous le saviez tous j'étais un amour mais, pas que. J'étais aussi la victime que certains adoraient se moquer. Bien trop sentimental et sensible, c'était là mes points faibles étant enfant. Je pensais que les enfants étaient pur, tout autant que moi. Ce n'étais pas le cas. Au début je voulais être le leadeur, celui qui menait les gens mais, je n'étais que le bouffon. Celui qu'on appelait seulement quand on voulait pas être tout seul. Les enfants sont encore plus cruels que je l'étais ou que je le suis encore, ça encore ça reste à déterminer. C'est vrai, car qui aurait cru que je devienne froid et distant, brisant tout lien avec ma famille. Sur ce point là, ce n'est plus le cas, en effet, j'ai repris contact, seulement, pas avec mes parents. Quant à mes cousins et cousines, cela reste assez compliqué. Roshario est la seule avec qui je parle en ce moment depuis mon retour. Nous n'avons pas le même sang mais, j'ai enfin compris que le sang ne comptait pas dans une famille. Elle était et resterait ma petite soeur même si elle était ma cousine.

Pour mon plus grand bonheur.

 et un corps putride.
et un corps artistique.

Pour ce qui est de moi-même, de mon corps en soit même ainsi que de mon caractère sur ce point là, rien n'a changé. Je pense que je reste toujours autant imposant et impressionnant à voir. Dégageant une expression de force ainsi que d'autorité. Je me lance des fleurs ? Non, c'est simplement la réalité. Je garde tout de même les pieds sur terre. Si vous saviez le nombre de fois où mon cerveau m'a lâché en court de route, si vous saviez le nombre de fois où j'ai pu délirer. N'essayez pas de me manipuler, mon cerveau est l'un des meilleurs en la matière, mon pire ennemis se trouve encore dans mon crâne, vous ne faites pas de taille face à lui.