Son histoire est partiellement libre. Il y a quelques points importants pour la concordance de tout cela qui voici.

• Son père est un moldu Russe qui est soit mort ou qui s'est simplement séparé de sa mère (au choix). Les détails sur sa courte relation avec son père est libre et elle peut également être restée en contact avec lui par lettres ou appels, c'est comme vous voulez.
  
• Depuis ses trois ans elle habite à Londres chez Paul, le père de Salvador. Elle a une a une relation très difficile à définir avec son demi-frère depuis la première fois où ils se sont rencontrés.
  
• Elle est enfant unique et, heureusement, Salvador et elle ne partagent pas de frère ou soeur en commun.
  
• Elle a adhéré longtemps à la théorie de Salvador comme quoi les nés-moldus sont une race de sorciers supérieur aux autres, comme quoi ils ont une magie ''nouvelle'' et pas épuisée par le mélange des sangs, elle le croit encore fermement.
  
• Betsa est une jeune femme plus petite que la moyenne au niveau de la taille. Elle s'amuse souvent à jouer ''la cruche'' parce qu'on l'as toujours considérée comme étant un peu naïve, mais elle est tout sauf idiote. La présence rapprochée de Salvador dans sa vie et tout ce qu'il a pu lui faire subir ne la rend pas très saine. Elle aime les sensations fortes, même si elle y devient facilement insensible. Elle a des airs d'ange, mais elle est légèrement démoniaque. Elle sait ce qu'elle veut et elle sait comment l'obtenir.
  

{Extrait de présentation} -  Âgé de six ans peut-être, à peine, je faisais constamment pleurer ma demie-soeur, mais elle n'allait jamais raconter les horreurs que je lui faisais subir. Elle avait beaucoup trop peur de moi pour cela. En cet après-midi d'été, la minuscule gamine entrait dans ma chambre de plein gré. Nous avions joué ensemble jusqu'à ce que je décide de lui dévoiler mon secret. J'avais attrapé une petite bestiole dans le jardin. Une minuscule petite souris. « Elle est trop adorable. Il faut lui trouver un nom. On ne diras rien a maman et Paul. Ce sera notre secret à nous Salvy. » Un sourire malsain illuminait mon visage alors que je fixais la poignée de porte de ma chambre pour ensuite regarder la petite fille aux yeux verts. « Non. On ne donne pas de noms aux choses qu'on sait que l'on va tuer. » La jeune fille eut l'air terrorisée et fit un pas vers moi. Je m'avançais vers elle en la poussant pour qu'elle s'assoie sur le chaise derrière elle. « NON. NON. S'IL TE PLAIT. NON. SI TU FAIS ÇA, JE HURLE. » Je me reculais doucement alors que je savais que Bets ne bougerait pas d'un centimètre, surtout avec ce que j'ajoutais. « Si tu hurle, c'est toi que je tue. Met ta main contre ta bouche pour être certaine. » Elle s’exécuta. J'éviterais les détails pour les âmes sensibles et ou protecteurs des droits des petites bestioles. Je me contenterais de dire que le spectacle n'était certainement pas beau à voir. Les larmes coulaient sur les joues et l'enfant alors qu'elle étouffaient des cris et des pleurs dans ses mains. Elle ressentait quelque chose. Moi, rien du tout. Du vide, je n'étais pas heureux de faire du mal à Betsa, je ne regrettais pas ce que j'avais fais. Je ne sais même pas ce qu'on peut ressentir dans ses moments. Je souriais à la demoiselle. Je n'étais pas joyeux, pas de chaleur ou que ce soit. J'avais simplement l'impression de participer à quelques chose. C'était ma façon à moi de ressentir, à travers les autres. Lorsque je faisais pleurer, rire, sourire, gémir ou frémir quelqu'un, j'avais l'impression d'être quelqu'un à part entière.

Depuis qu'ils se sont croisés, c'est ainsi. Betsabe aimant les sensations fortes que Salvador pouvait lui donner à tordre sa vie, lui qui aimait la mettre dans tous les états impossible. Bien entendu, leurs parents n'ont jamais rien su de tout cela alors qu'ils grandissaient dans leur petite bulle. En effet, le syndrome de Stockholm n'as pas tardé à s'installer. Malgré les bleus et les égratignures que Salvador lui laissait, elle s'est toujours sentie près de lui, privilégiée. Elle a toujours eut l’impression qu'ils étaient différents et que personne ne pouvaient les comprendre. Elle s'est donc prise d'une drôle d'affection pour Salvador, un amour que les mauvais actes de Davy ne pouvait faire diminuer. Même si aujourd'hui ils n'habitent plus ensemble, Salvador possédant son appartement sous-loué lorsqu'il est à Poudlard, ils restent très proches. Ils se voient souvent à Poudlard et elle passe la plupart de ses étés chez-lui. Depuis qu'il a une copine pourtant, Betsabe se sent trahis. Elle n'aime pas qu'il en maltraite une autre qu'elle. Elle réclame souvent son attention comme une gamine, déçue d'avoir perdu son importance pour lui. Elle voue un culte de haine à la petite amie de Salvador et donc aux sangs-purs. Elle aime encore son demi-frère, mais il l'as déçue. Elle voudrait qu'il revienne à ses anciens idéaux. Ce n'est pas qu'il ait une copine le problème, c'est qu'elle soit une Mills et qu'elle le vampirise ainsi. Il ne peut pas être réellement amoureux d'elle, pas vrai ?