Nom: Elliott. La famille Elliott est une famille dont les descendants de toutes les générations sont devenus sorciers, bien que nombre de moldus y aient été intégrés. Prénom: Maïna Beatrix. Elle doit son premier prénom aux origines bretonnes de sa mère, Maïna étant le diminutif de Marie-Anna. Ses parents ont tenu à lui donner un deuxième nom anglais, pour représenter ses deux origines. Âge et Date de Naissance: 20 ans, née le 5 décembre 1959 Nature du sang: sang-mêlé Situation familiale: fille unique d’une enseignante Moldue et d’un employé du Ministère de la magie. Elle s’est toujours très bien entendue avec ses parents qui ont tenu à lui transmettre un maximum de connaissances et surtout à lui apprendre la tolérance. De même, elle entretient de bonnes relations avec sa grande sœur Morgane Kate Elliott, de deux ans son aînée. Maïna aurait souhaité avoir plus de frères et sœurs mais sa mère a voulu s’épargner une troisième grossesse à la suite de la deuxième très douloureuse. Patronus: un scarabée, ou plus fréquemment un faucon gerfaut Miroir du Rised: elle-même relativement vieille, entourée et occupée : le symbole, pour elle, d’une vie réussite jusqu’au bout. Composition de la baguette magique: 29.5 cm de bois d’aubépine, contenant un crin de licorne. Elle provient naturellement de la boutique d’Ollivanders. Epouvantard: un amas de serpents emmêlés les uns entre les autres. Les serpents et autres reptiles hantent ses rêves depuis l’enfance. Etudes Suivies: elle entre en dixième année, en médecine magique, spécialité psychomagie Animal de compagnie: Elle possédait un hibou durant le cursus primaire qu’elle a effectué à Poudlard, mais s’en est séparée peu de temps après l’arrivée de son patronus. Son hibou ne pouvant supporter la présence de celui-ci, il a finalement été placé chez ses parents.

  Tout d’abord,  Maïna est une jeune fille d’un naturel gai, spontané et d’apparence bonne vivante. Naturelle, cela se voit dans sa manière de s’habiller lorsqu’elle ne doit pas porter l’uniforme de l’école : avec des vêtements simples, assez peu de bijoux mais chacun d’eux ayant une symbolique sentimentale, dans sa manière d’être au quotidien : à privilégier les activités en plein air, les échanges avec des amis proches ou de simples connaissances, etc. Elle est très intéressée par la nature humaine et donc les différents caractères des gens. S’étant liée petite à des Moldus puis à des sorciers, elle a appris à être tolérante sur les différences. Elle essaye de se débarrasser de sa tendance à juger les gens en tentant de comprendre leurs réelles motivations et attentes dans la vie. Cette tâche est difficile, car une personne doit faire des choix de vie en fonction de ce qu’il estime le meilleur. A partir de là, il faut réussir à prendre du recul pour comprendre que le meilleur ne sera pas le même pour une personne ou pour une autre. Ayant des opinions sur beaucoup de sujets, elle donne l’image d’une personne sûre d’elle et de ses avis. En réalité, elle attend aussi beaucoup des autres. Convaincue que l’enjeu de toute société est de comprendre les différences des gens pour arriver à vivre ensemble, elle a tenté, lors de ses études primaires, de se lier avec un maximum d’élèves d’autres maisons. Selon le classement du Choixpeau, ils doivent en effet être différents. Elle s’est posé beaucoup de questions sur cette nécessité de regrouper les êtres semblables en une maison, mettant en exergue des valeurs communes alors que chacun des membres de la maison possède d’autres « caractéristiques » qui pourraient correspondre aux autres maisons. Elle croit qu’une vie plus riche se construit avec des personnes ayant des caractères dissemblables, et la création de tels groupes dans une école peut exacerber les rivalités qui auraient existé sans ces maisons mais auraient eu moins de conséquences sur la vie au château. Elle a été un peu mal à l’aise avec cet « étiquetage » fait à l’arrivée de chaque élève à Poudlard car à cet âge-là (pensez-vous, seulement 11 ans !) on se cherche encore soi-même. Ses réflexions à ce sujet ont évolué, mais elle continue de remettre en cause ce classement. Elle sait qu’elle ne représente pas grand-chose à sa petite échelle mais transmet tout de même ses opinions, de toute manière elle ne pourra se faire entendre qu’en essayant. Ce sont pour ces raisons qu’elle souhaite étudier pour se donner un statut suffisant dans l’avenir pour avoir un poids dans la prise de décision. Attirée par le pouvoir, elle espère acquérir assez de maturité durant sa scolarité et ses expériences en dehors de l’école pour pouvoir le gérer.

Ensuite, il est important de dire que les qualités qu’elle estime le plus sont les capacités de réflexion d’une personne et leur bonne mise en application. Que l’intelligence (sous ses diverses formes) soit utilisée à des mauvaises fins (au sens d’égoïstes, causant des dommages à d’autres personne, contraire à une certaine morale) la révolte. Elle s’efforce d’être plus tolérante envers ce que l’on peut appeler la bêtise, n’étant  pas forcément du ressort de la personne concernée mais causée par son éducation ou d’autres paramètres externes. Cependant, elle aime s’entourer d’esprits vifs et stimulants intellectuellement. La culture est très importante pour elle, c’est ce qui lui permet de voir et comprendre la vie différemment, de prendre du recul. D’où ses passions pour la lecture et l’écriture, qui lui ont un temps fait penser à effectuer une carrière de journaliste. Mais elle s’est rendue compte qu’elle souhaitait vraiment être actrice dans la vie, et non pas une simple spectatrice en relatant ce que d’autres auraient accompli. Elle continue d’écrire, pas un journal intime, mais des histoires de la vie, sur les gens qu’elle rencontre et ceux qu’elle ne rencontre pas. Ses inspirations lui viennent de la vie réelle, de ses expériences, des histoires qu’on lui raconte ou qu’elle lit. Imaginative, elle s’efforce de canaliser ses idées pour ne pas être trop brouillonne.

Un élément important de son caractère est son envie de toujours s’améliorer, de devenir meilleure. Il est dur pour elle de déterminer aujourd’hui d’où lui vient cette nécessité de tester ses limites pour mieux les franchir. Ce besoin de sans cesse devenir meilleure prend peut-être source dans un manque de confiance en elle qu’elle cache bien dans sa vie de tous les jours, se montrant plutôt extravertie, avec un caractère fort et enjoué. Mais Maïna est inconsciemment très dure avec elle-même, ce qui l’empêche d’être totalement épanouie dans sa vie. L’abus de Biéraubeurre met en exergue ce sentiment et peut provoquer chez elle des crises dont elle ne se serait pas crue capable et qui créent un sentiment de culpabilité. Si son identité se fait plus forte, elle est encore, à 20 ans, en quête d’accomplissement personnel, ce qu’elle tente d’obtenir en exerçant ses capacités de réflexion dans le travail et les relations humaines.

  Quelle créature troublante, ce patronus… A peine deux ans que le sien lui est apparu, en même temps que celui de tous les autres. Au moment des faits, elle n’a pas compris tout de suite, tout simplement car elle n’avait pas remarqué… le minuscule scarabée luisant qui était apparu sur sa commode. Elle est restée un moment un peu perplexe, cherchant à comprendre ce en quoi il lui ressemblait. Durant cette période, elle ne remarquait qu’à peine que quelque chose la suivait et n’en était donc pas embarrassée. Mais, au bout de quelques semaines, quelle ne fut pas sa surprise de se réveiller aux côté d’un majestueux faucon, qu’elle identifia par la suite comme étant un faucon gerfaut…!

L’animal ne communique pas vraiment avec elle par la pensée directement, mais parfois elle a l’impression qu’il lui inspire des idées, des sentiments, et elle n'arrive pas à déterminer s'ils viennent d'elle-même ou de son compagnon. Une grande connivence s’est établie entre eux par le regard. Maïna a tout de suite été fascinée par son œil intelligent et vif, qui ne semble pas être celui d’un animal mais clairement d’un être humain.

Il lui inspire un sentiment de protection, bien qu’il ne soit pas un animal réputé fort. Le fait qu’il soit toujours derrière elle la rassure, et la stimule en lui faisant se poser des questions régulièrement. Souvent, elle médite la nuit sur la signification des deux formes, les deux animaux qui seraient liés à elle.

Maïna a passé du temps à la bibliothèque de l’école pour en  connaître plus sur l’oiseau et l’insecte. Le faucon est un animal auquel beaucoup de mythes sont associés, il était notamment vénéré dans l’Egypte Antique. Beaucoup de dieux égyptiens étaient représentés avec une tête de faucon, comme l’un des plus connus d’entre eux ; Rê, aussi appelé Râ, nom qui signifie « celui qui fait ». Cette dénomination lui a beaucoup plu, étant très attachée à la réflexion mais comprenant l'importance dans la vie de mettre en application ses idées. Il est le dieu du disque solaire et le créateur de l’univers, rien que ça. Le point de loin le plus intéressant est certainement qu’il puisse aussi prendre la forme d’un scarabée, selon les différentes représentations qui lui sont associées. Rê voyage chaque jour à travers le ciel à bord de sa barque sacrée et chaque nuit à travers les mondes souterrains que sont les enfers. Il doit chaque nuit vaincre les dieux des ténèbres, symbolisés par le serpent Apophis, pour permettre au jour de se lever. Cette histoire est très intéressante pour Maïna, fréquemment sujette à des cauchemars mettant en scène des serpents, envers lesquels elle éprouve une vraie phobie. Venir à bout de ces cauchemars et réussir à s’endormir l’esprit libre est pour elle également un vrai combat.

Quelques semaines après avoir appris l’existence de cette légende, la jeune femme a encore une fois rêvé de serpents qui le terrorisaient. Mais cette fois-ci, c’est un oiseau qui la débarrassa de l’ignoble reptile à coups de bec, malgré la différence de taille qui jouait en la défaveur de son oiseau protecteur. L’image qu’elle garde dans son esprit depuis lors est le regard perçant du faucon blanc avant qu’il vienne se poser sur son épaule. Son patronus ne l’a jamais fait dans la réalité, il reste sauvage comme les membres de son espèce et s’approche rarement à moins d’un mètre d’elle, même s’il ne s’écarte jamais beaucoup non plus. Mais depuis la nuit où elle a fait ce rêve, elle a remarqué l’animal beaucoup plus attentif à tous ses mouvements et a même eu l’impression qu’il avait grandi. La forme du scarabée n’est depuis revenue que rarement.

La jeune femme a également eu l’impression d’être sortie grandie de cette expérience, grâce à la véritable connexion qui s’est créée entre elle et l’animal. Elle n’a parlé de cela à personne, considérant elle-même que c’était un peu tiré par les cheveux. En effet, sa confiance en elle et en ses idées s’amenuisent lorsqu'il s’agit de parler d’elle-même dans ce qu’elle a de plus intime. Si elle a été gênée que soit, à travers cet animal de poussière brillante, ainsi exposée une partie d’elle-même, elle devient de plus en plus confiante, n’ayant aucune honte et même une certaine fierté à afficher son majestueux faucon.

ϟ pseudo et âge: pas vraiment de pseudo, on peut dire Lena, 22 ans
ϟ Où as-tu trouvé le forum? en faisant une recherche pour des forum de role play
ϟ Personnage: Inventé
ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non
ϟ Présence: je ne sais pas encore, mais normalement plusieurs fois par semaine
ϟ Une remarque? Ca fait très longtemps que je n’ai pas été sur un forum de RP, ça fait plaisir de s’y remettre ^^