BELLUM PATRONUM


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you're so cynical, narcissistic cannibal.
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par Guest, Jeu 2 Oct - 9:17 (#)
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Salvador Angélus Feliks Anton Davy
FEAT. Bill Skarsgård
20 ans ϟ Justice Magique ϟ Python Royal ϟ Né-moldu


Nom: Ce nom à fait du chemin historiquement : Davy. Il est répandu partout à travers le monde et beaucoup de dérivés orthographiques s'en sont suivit : Davy, Davey, Davie, Daivey, Daivy, Daivie, Dayvy, Dayvie, Dayvey, Devy, Devie et plusieurs autres. Nous avons nos propres armoiries. Jaunes et bleus, on y reconnait un dragon rouge et trois étoiles jaunes. Toute famille a un jours été noble, croyez le ou non. Les temps changent, tout simplement. Les générations aussi. Je porte le nom de famille de mon père. Ma mère m'as donné naissance en plus de me donner sa vie, c'était bien assez. Pas besoin de me donner son nom en plus. Nightingal. Salvador Nightingal. Angélus Nightingal. Je changerais bien de nom comme j'exige désormais qu'on ne m'appelle plus Salvador, mais c'est plus complexe comme requête. Prénom:On m'as donné quatre prénoms lors de mon incroyable naissance. Certains disent que les prénoms nous donnent inconsciemment notre personnalité. Ou du moins, l'influence grandement. On m'as donné Salvador comme premier prénom, celui choisi par mon père. C'est un prénom Espagnol qui signifie ''Sauveur''. On parle de mégalomanie, tyrannie, abus de pouvoir et machiavélisme accompagnant le prénom de Salvador. On dit que les Angélus, mon deuxième prénom, choisi par ma mère avant ma naissance, possèdent une charmante voix grave et enrouée. Ils se passent souvent la langue sur les lèvres, apparemment. Les heureux hasard de la vie. Ça et l'astrologie, des belles conneries. Mes deux autres prénoms sont des hommages à mes deux grands-pères, des moldus sans rien de bien exceptionnel. Feliks et Anton, aux accents russes. Âge et Date de Naissance: Je suis maintenant âgé de 20 ans, un sorcier majeur et vacciné. Je n'habite plus chez mon père, j'ai un petit appartement sur le chemin de traverse depuis cette été, en haut de chez Fleury et Bot. Il est sous-loué le temps que je suis à Poudlard, mais j'y suis pendant l'été et les vacances. Je suis né à Londres, chez les moldus. Ma mère me donna naissance dans des circonstances affreuses. C'était le 12 février, il y a de cela 20 ans. Cette année là, mon père passa une très mauvaise saint-valentin.  Nature du sang: Je suis né de deux parents moldus. Ni l'un ni l'autre n'étaient au courant de ce qu'était la magie. Enfin, je n'ai jamais parlé à ma mère, donc je ne sais pas exactement, mais je m'en doute. Je suis heureux d'être né de deux parents moldus dans une famille où je suis le premier sorcier. Je ne me considère pas comme une erreur ou un sang de bourbe. Je suis un miracle, un sauveur, le sauveur tant attendu. Traitez-moi de sang de bourbe, essayez, vous aller voir votre sang de sorcier quitter votre corps aussi rapidement que vos paroles sans fondements. SITUATION FAMILIALE: Ancien petit ami de Skyler Mills, après de nombreuses séparation, nous nous sommes séparés de nouveau avant cette été. Ce n'est pourtant pas du tout de cette façon que cela s'est passé, mais tant pis. Je suis donc ''célibataire'' et cela ne risque pas de changer de si tôt. Je suis également en froid avec mon père et ma relation avec ma belle-mère est de plus difficile. Patronus: Il prend l'unique forme d'un python royal. C'est également une femelle, cruelle et sauvage que j'ai surnommée Molly. Miroir du Rised: Si autrefois je rêvais d'écraser les sangs-purs, mes priorités ont désormais changées. J'aimerais la paix, j'aimerais récupérer la seule femme que je n'ai jamais aimé. Aussi peu ambitieux soient mes rêves, je ne peux faire autrement. Je n'ai plus soif de pouvoir comme autrefois. Composition de la baguette magique: Ma baguette est ma meilleure amie, ma confidente, ma complice. Je l'ai surnommée Anna. Elle est en bois d'If, mesure 17,98 centimètres et est doté d'un crin de sombral en son centre. Brave bêtes et brave baguette également. Plus douée pour l'attaque que la défense. Epouvantard: Je me souviendrais toujours de ce cours où il fallait affronter nos démons sortant d'un placard. Le mien, c'était le vide. Le néant. Un trou noir qui m'as aspiré. L'échec. J'ai perdu la carte et je n'ai jamais réussi à le battre. Etudes Suivies: Je suis étudiant en justice magique, dans la branche Connaissances Approfondies du Monde Magique . J'ai pris  Droit Moldu et DCFM en complémentaires. J'aimerais devenir langue-de-plomb. Animal de compagnie: Je n'ai aucunes bêtes, sinon mon patronus. Je ne les aimes pas et je ne les aient jamais aimés. J'ai un hibou, mais ce n'est que pour la partie pratique de la chose.

Caractère
On disait que Salvador était un monstre incapable d'amour véritable. On disait qu'il était cruel, sadique, psychopathe et on s'était trompé. On disait qu'il ne pouvait rien ressentir, ni colère, ni amour, ni regret ni pitié. Pourtant, Skyler Mills à piétiner ses théories à de nombreuses fois en s'accrochant au bras du garçon qui semblait être devenue un autre, rien que pour elle. Transis d'amour, mais pas moins agressif, violent et antipathique, sauf pour quelques exceptions. Skyler et Salvador formaient le couple parfait, elle avait adoucie les pulsions de mort du psychopathe qu'on appelait ainsi à tord et à travers. Elle avait réussi à calmer ses poings hyperactifs, se levant pour un rien, un regard, un pincement de lèvres, un mot. Elle avait fait taire son besoin de violence et ses délires paranoïaques momentanés. Il avait réussi à la convaincre que les moldus n'étaient pas de la racaille, tout allait bien, tout aurait pu avoir une fin heureuse, mais ce n'aurait pas réellement été la fin. Son besoin de violence est revenu au galop alors qu'il quittait sa petite amie et que tout allait de travers dans sa vie. Pourtant confronté à sa propre famille, son père, sa belle-mère blessée et sa soeur, la violence n'était plus une solution. Salvador à changé, il a dû apprendre le contrôle. Apprendre à feindre l'empathie qu'il ne ressent jamais lorsque quelqu'un supplie pour qu'il le frappe. Il a donc acquis un certain contrôle sur lui-même, même s'il reste très impulsif, sauvage, animal prêt à mordre.  Il reste pourtant celui qu'on aime énerver. Celui qui dégage confiance en lui et magnétisme incompréhensible. Avec ce visage peu atypique et cette attitude changée, il semble plus abordable, pourtant toujours aussi dangereux. Il ne contrôle pourtant pas son arrogance, cette façon qu'il a d'être affreusement froid, puis d'éclater d'un rire froid dans la secondes. Il reste ce grand parleur, acerbe qui désormais n'utilisera ses poings qu'en dernier recours, quand il y arrive. Il n'en reste pas moins un manipulateur hors pair, se servant de vous comme un outils, lorsqu'il en a besoin. Convainquant, comme un serpent qui siffle, aussi attirant que effrayant. Il n'as pas perdu en détermination ni de persévérance. Il n'as pas soif de pouvoir, mais bien plus de vengeance. Il reste ce leader qu'on suit naturellement, aimant ce pouvoir qu'il n'as pas cherché. Aimant avoir des gens à sa merci, sans pour autant y prendre plaisir. Pas plus qu'il ne prend plaisir dans la violence. Devant tout le sang que sa colère peut répandre, il reste froid, vide, antipathique. Il ne ressent pas de regrets ni de pitié. Il n'y a qu'une poignée de personnes qui sont épargnées, momentanément. Salvador reste un garçon incroyablement instable. Qui passe du blanc au rouge pour une respiration de travers, un bruissement de cils. S'il est très intelligent et cultivé, il n'as rien de posé pourtant. Sanguin. Il peut mettre beaucoup de temps à élaboré ses plans, il peut tout gâcher d'un coup de dents mal placé, qu'il n'as pas su retenir. Il s'étend d'ailleurs bien moins dans la luxure qu'il ne pouvait le faire avant. Ce n'est plus un moyen pour lui. Il n'est pourtant pas devenu chaste et s'il s'amuse à draguer les jeunes gens, il n'as pourtant plus l'intention de les laisser pourrir dans le fond de cachots comme il a pu le faire autrefois. Il jouit malgré tout de cette réputation, de ce passé noir, de ses jeunes filles qui ont juré qu'il leur a fait le plus grand mal. Il reste superficiel, soucieux des apparences, de la sienne surtout, même si la colère est plus puissante, plus forte que tout. Loin d'être narcissique, il sait que son visage unique ne plaît pas à tout le monde. Il s'en fiche. Il est conscient d'avoir un certain charme et il sait comment l'utiliser. Viril, fier, mauvais garçon. Ses airs d'anges vont désormais bien à ce prénom qu'il a choisi d'adopter.


a little something from you.

Les vacances de Noël ne me faisaient ni chaud ni froid. C'était une occasion de retrouver le monde des moldus. D'emprunter la voiture de mon père et de faire des conneries avec Betsa. De rouler si vite que la belle hurle de peur. Une occasion de profiter de la présence de la belle enfant et de dormir auprès d'elle et de son corps bouillant. Un peu de tranquillité loin de ce monde magique et surtout de ses sangs purs qui se croient tout permis. Pas d'objets qui volent, pas de fantômes, rien de surnaturel. Que des choses communes et emmerdantes. Pourtant, pas une journée où j'étais confortablement installé au piano à composer quelques mélodies. J'étais profondément concentré alors que la maison m'appartenait pour la journée. La yeux à demi-clos, dans une transe où je ne guidais plus mes doigts alors que j'avais l'impression de ne faire qu'un avec mon instrument, un son étrange me stoppa brusquement. Alors que j'ouvrais les yeux, je le vis. Je ne ressentis tout de même pas la surprise. Je ne bougeais simplement plus alors que je fixais les yeux du Python royal qui s'était glissé jusque sur mon piano. Qu'est-ce qu'un bête pareille faisait chez-moi. Je fixais ses yeux jaunes, je devais le tuer si je ne voulais pas qu'il me tue, c'était mon instinct de survie. Je glissais ma main avec une lenteur infinie jusqu'à ma poche de pantalon. Vivement, j'en ressortais un canif duquel je sortais la lame pour attaquer la bête. Plantant le pieux dans sa queue alors qu'à l’unisson, nous hurlions. La douleur avait envahie ma jambe qui se déversais de sang d'une plaie invisible. Je me laissais tomber sur le dos en rigolant. Je ne comprenais rien du tout, mais je n'aimais pas la présence de cette bestiole. Je retirais rapidement l'outil de ferre de la queue de la bestiole, rampant comme elle jusqu'à la sale de bain pour aller me soigner. Je passais de nombreuses heures assis, face au reptile, mes yeux rivés dans les siens. Puis, Bett est arrivée avec sur son épaule une créature que je n'aurais su identifiée. Cette soirée là, on est restés longtemps ensemble tous les quatre. J'étais dans les bras de ma demie-soeur, parce que je ne supportais pas la présence de cette créature et qu'elle seule savait apaiser tout ça. Désormais, les choses vont mieux. Si j'étais indifférent à mon patronus, les dernières épreuves nous ont rapprochés. Comme fusionnés. Je lui ai même donner un nom. Elle n'est plus une bête qui va crever et disparaître.
ATTENTION: Les patronus sont apparus durant les vacances de Noël 1978 (nous sommes en 1980 dans le jeu), ni avant ni après.


You're not a sad story.

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I'm sorry, I don't care what you said, but you can fill that space in my bed. ♚

« T'es un monstre Davy ! » Pleurnichait la gamine en quittant ma chambre. J'étais encore jeune, beaucoup trop jeune pour être un monstre de ce genre. En fait, j'ai toujours été un monstre. Ça a commencé bien avant ce jours où la gamine brisée quittait mon antre. Ma mère, selon mon père, se lamentait d'avoir un petit monstre qui lui bouffait les entrailles tout au long de sa grossesse. C'était probablement ce que je faisais. Elle n'eut pas réellement l'occasion de me traiter de monstre de son vivant. Son dernier cris d'agonie fut « FAITES SORTIR CE MONSTRE DE MOI. » Depuis, tous le monde me traite de monstre. Si seulement j'en avais quelque chose à foutre. Lorsque je suis né, j'ai tué ma mère. Hémorragie sur hémorragie, elle était perdue. Les pauvres médecins moldus n'ont rien pu faire pour la garder en vie. J'ai donc été élevé par mon père jusqu'à son remariage avec une femme qui avait déjà une gamine. Une gamine plus petite que la normal. Celle-là justement, qui venait de quitter ma chambre le cœur en pièces détachées. Ne vous méprenez pas. J'étais alors âgé de six ans peut-être, à peine. Je faisais constamment pleurer ma demie-soeur, mais elle n'allait jamais raconter les horreurs que je lui faisais subir. Elle avait beaucoup trop peur de moi pour cela. En cet après-midi d'été, la petite fille entrait dans ma chambre de plein gré. Nous avions joué ensemble jusqu'à ce que je décide de lui dévoiler mon secret. J'avais attrapé une petite bestiole dans le jardin. Une minuscule petite souris. « Elle est trop adorable. Il faut lui trouver un nom. On ne diras rien a maman et Paul. Ce sera notre secret à nous Salvy. » Un sourire malsain illuminait mon visage alors que je fixais la poignée de porte de ma chambre pour ensuite regarder la petite fille aux yeux verts. « Non. On ne donne pas de noms aux choses qu'on sait que l'on va tuer. » La jeune fille eut l'air terrorisée et fit un pas vers moi. Je m'avançais vers elle en la poussant pour qu'elle s'assoie sur le chaise derrière elle. « NON. NON. S'IL TE PLAIT. NON. SI TU FAIS ÇA, JE HURLE. » Je me reculais doucement alors que je savais que Betsa ne bougerait pas d'un centimètre, surtout avec ce que j'ajoutais. « Si tu hurle, c'est toi que je tue. Met ta main contre ta bouche pour être certaine. » Elle s’exécuta. J'éviterais les détails pour les âmes sensibles et ou protecteurs des droits des petites bestioles. Je me contenterais de dire que le spectacle n'était certainement pas beau à voir. Les larmes coulaient sur les joues et l'enfant alors qu'elle étouffaient des cris et des pleurs dans ses mains. Elle ressentait quelque chose. Moi, rien du tout. Du vide, je n'étais pas heureux de faire du mal à Betsabe, je ne regrettais pas ce que j'avais fais. Je ne sais même pas ce qu'on peut ressentir dans ses moments. Je souriais à la demoiselle. Je n'étais pas joyeux, pas de chaleur ou que ce soit. J'avais simplement l'impression de participer à quelques chose. C'était ma façon à moi de ressentir, à travers les autres. Lorsque je faisais pleurer, rire, sourire, gémir ou frémir quelqu'un, j'avais l'impression d'être quelqu'un à part entière. Je ressens les plaisirs et douleurs physiques. Si on me frappe et me casse le nez, j'aurais mal. Pourtant, ce mal et ce cou ne causera aucuns sentiments chez-moi. Rien dans la gorge, pas de boule, pas de nœud dans le ventre non plus. Lorsque j'embrasse quelqu'un, fille ou garçon, parce que pour moi, il n'y avait pas de différence, mon corps apprécie cela. Le contact, la chaleur, les caresses. Pourtant, peu importe les personnes, je ne ressent jamais autre chose que ce que les contacts provoquent à mon corps. Vous croyez que je suis un monstre ?




You're beautiful, spinnin round my head. Without a heart, there's no breakin. ♚


« Qu'est-ce que tu fou ici Davy ? T'es venu recruter des vierges sang purs pour être tes nouvelles putains ? » Me demandais agressivement un sang pur  que je connaissais un peu. Il ne devait pas être chaud à l'idée que je vienne jouer dans ses plates bandes. « Pourquoi ? T'es libre ? » Lui demandais-je en arquant un sourcil. Faisant un pas vers lui avec un sourire charmeur. Il soupir puis tourna les talons. Pauvre imbécile. Pourtant, je n'avais absolument rien demandé. Je n'avais fait aucuns efforts pour que ses sangs purs m'invitent dans leur fête privée. J'étais tranquillement assis à la bibliothèque à lire alors que deux vipères s'étaient approchées de moi. Deux blondes sulfureuses. Leurs douces mains s'étaient glissées dans mon cou, légèrement sous ma chemise. Chacune à l'une de mes oreilles. La première avait commencé un « Davy, y'as une fiesta ce soir dans les cachots » Un soupire chaud qui réussit presque à me faire frissonner, presque. La seconde ajouta : « Tu ferais mieux d'y être. » Sérieusement. Mes sens étaient en éveil. Je sentis le parfum de l'une des deux filles qui arrivait dans mon dos, remontant ses mains jusqu'à mon cou pour desserrer ma cravate en gloussant. Je ne tardais pas à entraîner la belle jeune femme à l'écart. Nos lèvres étaient féroces alors qu'elle était adossée à une rangée quelconque et que mes mains étaient sur elle. Ses lèvres quittaient les miennes pour se rendre dans mon cou où elle y déposait des baisers. Elle mordillait parfois ma peau, elle voulait laisser sa marque de vipère. C'est sans prévenir que mes dents s'enfoncèrent dans son épaule. Elle hurlait de douleur et tentait de me repousser. Je ne m'arrêtais que lorsque son sang pur coulait dans ma bouche. Elle me repoussa alors du mieux qu'elle pu en hurlant. « Mais t'es un malade. T'es un monstre. T'es un taré. » Elle tentait de partir, mais je tenais fermement ses poignets. Je lui murmurais de se taire alors que j'allais l'embrasser avec tendresse pour la calmer. Le goût de son sang ce mélangeait à nos baisers.



You flirt with suicide. Sometimes, that's ok. ♚


Je me croyais invincible, mais ça, c'était avant elle. Cette blonde aux cheveux rayonnant sous le soleil. Elle m'avait toujours dérangé, bien avant que nous ne soyons trop près l'un de l'autre. Autant je la fuyais, je ne pouvais pas m'empêcher de m'approcher d'elle. D'ouvrir mes lèvres en la narguant d'y glisser son poison. Elle la fait, elle a coulé dans mes veines bien avant que je ne comprenne ce qui se passait. Bien avant la première morsure du serpent, avant le premier baiser, il était trop tard. Mon corps s'était uni au sien dans une passion que je ne connaissais pas, mais qui ne pouvait décemment être étranglée ou tuée. Le début d'une relation qui n'en était pas une. Poignante. Viscérale. Vitale. Malsaine. Étouffante. Condamnatoire et pire encore. Tout mon être lui hurlait, mais je n'arrivais pas à la faire finalement mienne. Nous étions dans le secret, la honte de nos sangs bouillant et se mélangeant, de toutes ses conneries qu'on avait pu faire l'un pour l'autre. Dans le sang, ce sang si important pour elle comme pour moi. Après s'être révélés en tant que couple, il y avait inévitablement la séparation, les conneries qui s'en suivirent. Un plan foireux pour mettre fin à la vie de celle que j'aimais et que j'aime encore. Même loin de moi, elle était le centre de ma vie, de mes pensées. Pourtant lorsque ce fut le moment de la tuée, je n'y arrivais pas. L'amour m'avait rendu trop faible. Malgré les marques que ma rage avait faites à sa gorge, nous nous retrouvèrent. Ensembles, heureux, à faire des efforts, des plans, qui furent réduits à néant. Je n'ai rien pu faire, rien d'autre. Je ne pouvais pas lui dire. Qu'aurait-elle pensé de lui et de moi ? D'eux ? J'ai dû plaquer Skyler, prétendre que ça ne pouvait plus fonctionner, que dans mes rêves, la nuit, je mettais fin à ses jours. Elle m'a cru, surement. Elle n'avait pas le choix. Je suis resté glacial jusqu'à ce qu'elle parte, comme si ça ne me faisait rien. Comme si je ne nouais pas la corde pour me pendre. Mon été fut difficile. Je ne peux compter le nombre de fois où j'ai voulu faire saigner mon père par tous les pores de sa peau. Cette idiote impotente aussi. Se doutaient-ils simplement de ce qu'ils m'avaient fait perdre. Je tentais en vint de gérer la tension, d'apaiser les esprits, de les ouvrir. Betsa s'amusait de la situation, heureuse de ne plus voir l'autre blonde près de moi, encourageant nos parents. Je n'ai pas eut le choix que de les laisser tous. Je suis partis avec le peu d'argent que j'avais, errant sur le chemin de travers du monde sorcier avant de ne trouver un boulot chez Fleury et Bott. Le propriétaire accepta également de me louer le petit appartement au dessus de la librairie. Pourtant, rapidement je me rendais compte que même en bossant comme un con, je n'avais pas assez de fric pour vivre normalement et profiter un peu. Alors que je prenais l'un de mes rares verres du mois sur le chemin, c'est d'autres beaux cheveux blonds qui m'ont attirés. London. London toujours là lorsque mon coeur saignait. Toujours prête à m'aider sans que je ne comprenne. Lorsque je lui demandais de partager mon appartement, elle hésita, cherchant le piège. Elle comprit pourtant rapidement qu'il n'y en avait pas. L'argent était un problème, simplement et quelque part, nos problèmes se rejoignaient. Si ce n'était que pratique au début, sa présence à finis par m'apaiser. Elle ne remplacera jamais Skyler, mais quand je la regardes de dos, j'aime bien y croire. Je sais que c'est ridicule, mais c'est plus fort que moi, je la vois partout, je l'ai sous la peau.

Tell me who you really are.

ϟ pseudo et âge: j'suis jamais née et j'ai pas de nom.   GNOE
ϟ Où as-tu trouvé le forum?  Hide
ϟ Personnage: Inventé ?  siffle
ϟ As-tu un autre compte sur BP?  :inquiet:
ϟ Présence:  Pff
ϟ Une remarque?  What a Face  Sad  


Dernière édition par S. Angélus Davy le Sam 4 Oct - 7:19, édité 10 fois
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Message Re: you're so cynical, narcissistic cannibal.
par Invité, Jeu 2 Oct - 9:59 (#)
(rebienvenue je suppose ?)

C'est bizarre j'ai déjà vu ce visage quelque part mais j'ai regardé sa biographie et non, j'ai vu aucun de ses films :/
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Message Re: you're so cynical, narcissistic cannibal.
par Guest, Jeu 2 Oct - 10:12 (#)
Un peu, oui. What a Face
Il est le petit frère d'Alexander, c'est peut-être pour ça. T'sais le mec de trueblood. Arrow What a Face
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Message Re: you're so cynical, narcissistic cannibal.
par Invité, Jeu 2 Oct - 11:31 (#)
bill bave

Bienvenuuue Brille
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Message Re: you're so cynical, narcissistic cannibal.
par Invité, Jeu 2 Oct - 12:07 (#)
Re bienvenue? Hum
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Message Re: you're so cynical, narcissistic cannibal.
par Invité, Jeu 2 Oct - 12:21 (#)
Re bienvenue à toii GNOE
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Message Re: you're so cynical, narcissistic cannibal.
par Invité, Jeu 2 Oct - 12:30 (#)
Si tu es qui je pense, nous faut un lien ! GNOE Rebienvenue en tout cas Daengelo
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Message Re: you're so cynical, narcissistic cannibal.
par Invité, Jeu 2 Oct - 13:05 (#)
rebienvenue à la maison :3
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Message Re: you're so cynical, narcissistic cannibal.
par Guest, Jeu 2 Oct - 13:42 (#)
Tiens tiens je reconnais Korn dans ton titre :3
Re bienvenue Daengelo
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Message Re: you're so cynical, narcissistic cannibal.
par Invité, Jeu 2 Oct - 14:35 (#)
billou Han! rebienvenue :3 (c'est mal de nous faire du suspens comme ça GNOE)
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Message Re: you're so cynical, narcissistic cannibal.
par Invité, Jeu 2 Oct - 15:41 (#)
Re bienvenue ? Hum
Ton titre bave KoRn Han!
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Message Re: you're so cynical, narcissistic cannibal.
par Guest, Jeu 2 Oct - 16:39 (#)
Genre personne à encore capter, sauf peut-être Pandora. 8) What a Face
C'est pas graves mes chous, je vous aimes quand même. Han!
Merci Cleo, Tess et Seb. Daengelo
Pando, ça dépend à qui tu penses, love ? :3 Un lien ce sera avec plaisir, qu'importe. Han!
Merci Dea *se trompe de jumelle pour fille se cacher avant de se faire assassiner* Twisted you're so cynical, narcissistic cannibal. 4248863152
Oui, tout à fait Brao, quand j'ai posté ma fiche, la chanson m'est venue en tête. What a Face Merci Han!
Hella, okay, okay, voilà, voilà. Arrow Silvfèlechaud
Oui, Orpheus Daengelo Et puis ouais KOOOOORN. Han! Twisted

Merci à tous en tous cas. :fitna:
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Message Re: you're so cynical, narcissistic cannibal.
par Invité, Jeu 2 Oct - 17:18 (#)
Rebienvenue hihi
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Message Re: you're so cynical, narcissistic cannibal.
par Guest, Jeu 2 Oct - 17:38 (#)
Merci Eszter :fitna: Daengelo
Invité
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Message Re: you're so cynical, narcissistic cannibal.
par Invité, Jeu 2 Oct - 17:53 (#)
re bienvenue Brille
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Message Re: you're so cynical, narcissistic cannibal.
par Contenu sponsorisé, (#)
 

you're so cynical, narcissistic cannibal.

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