| MATTEO ✶ je n'ai jamais voulu être sorcierpar Invité, Jeu 25 Sep - 20:31 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Matteo De Luca FEAT. Penn Badgley 21 ans ϟ Offensive magique ϟ Tigre de Bengal ϟ Né-molduNom: De Luca Prénom: Matteo Âge et Date de Naissance: 21 ans, 17 mars 1959 Nature du sang: Né-moldu Situation familiale: Famille très soudée, fils unique qui essaie malgré lui d'être le chef du clan. Patronus: Tigre de Bengal & suricate. Miroir du Rised: cliché total, la paix dans le monde, une famille en sécurité. Composition de la baguette magique: bois de rose et ventricule de coeur de dragon Epouvantard: un serpent dégoûtant Etudes Suivies: Offensive magique, 11e année, cursus offensive Animal de compagnie: Kahn me suffit. Caractère «J’aime, donc je suis.»Je suis atteint d'un trouble de la personnalité bordeline. ✶ Je ne vais bien que lorsque mon entourage va bien. Notre accord est mutuel, j’ai de l’importance à leur yeux, on compte sur moi et je ne saurais vivre sans cette pression constante sur mes épaules. Ce besoin est l’unique preuve de mon existence. ✶ J’ai une forte capacité d’intuition, je devine aisément ce que l’autre recherche. Je devance les désirs en étant serviable et à l’écoute. ✶ Je fuis la solitude, les autres sont au centre de ma vie. ✶ Je ne m’occupe que trop rarement de moi, à force de vouloir être gentil avec tout le monde je fais passer mes besoins en dernier. Je les refoule et les ignore. ✶ J’ai peur de l’abandon. ✶ L’amour est ma qualité principale, j’en donne et en reçoit, je m’en imbibe au quotidien. ✶ Je suis très orgueilleux. À force de me sacrifier pour les autres, j’ai fini par me sentir réellement indispensable. C’est une prétention qui enfle la tête. ✶ Malgré les apparences, j’ai une faible opinion de moi-même, je dois constamment supporter le fait qu’on ne me rendra jamais tout ce que je donne. Je n’ose jamais parler de ce malaise, de peur de ne passer pour un égoïste. ✶ Je serai toujours sceptique envers le pouvoir de la magie. Je ne suis plus naïf comme avant, mais j’ai du mal à intégrer le monde sorcier, étant né-moldu. Je ne suis pas raciste, mais je n’aime pas être regardé de haut part certaines familles puissantes qui jugent ma race comme étant la plus faible. J’ai du mal à m’intégrer auprès des autres sorciers qui ont vécus toute leur vie en terrain connu. ✶ Je préfère le monde moldu. ✶ J’ai la fibre artistique fortement prédominante, j’aurais voulu en faire mon métier, mais victime des circonstances, j’ai opté pour un emploi qui me rendrait plus ‘’serviable’’ dans le monde en décrépitude actuel.
a little something from you.
L'arrivé de Kahn -nommé ainsi en hommage au Livre de la jungle- dans ma vie fut une véritable bénédiction. Cela fait maintenant plus d'un an qu'il est apparu et je l'ai tout de suite adopté. Nous nous comprenons de cette manière qui connecte les âmes, j'ai la fier impression que si je devais être un animal dans une seconde vie, le tigre de Bengal s'imposerait de lui-même. Le tigre est l'image de la force, du pouvoir, de la colère, de l'imprévisibilité. Il est toujours prompt à se défendre, toujours sur ses gardes. En Inde on le vénère pour son intelligence. Le félin n'a peur de rien, si ce n'est d'être remplacé. Il est fier et jaloux, c'est un être possessif et dominant qui ne se laisse jamais marcher sur les pieds et qui protègera les siens jusqu'à la mort. Moi et Kahn nous partageons, en plus du reste, le goût du risque, on ne s'avoue jamais vaincu et acceptons toujours les défis. La passion nous définit par dessus tout, nous fonctionnons sur l'impulsion, sur l'envie, parfois en ignorant la raison. Contrairement au puma, le tigre ne se laisse jamais dompter, tout comme je ne me laisse jamais influencer. J'adore sa présence, nous ne nous quittons jamais et c'est bien l'unique chose, dans ce noir monde, qui me permet de dormir la nuit.
Lorsque je suis nerveux, et je l'ai appris bien malgré moi, mon Kahn prend la forme d'un suricate vulnérable. Minuscule en comparaison à ce tigre de deux mètres de long, le suricate est la proie facile du monde africain. Ce suricate me gêne, m'exhibe. Quand une femme me plaît, il apparaît pour me narguer. Pour ravoir mon tigre, il me faut réussir à calmer les battement de mon coeur. Tâche ardue.
You're not a sad STORY.
J’ai peur. C’est constant, linéaire, cette possibilité, ce risque d’abandon, ne m’a jamais quitté d’aussi loin que mes souvenirs m’amènent. Je crains la distance, je fuis les silences impulsivement, dangereusement, presque à quatre pattes sur le sol. Il fait chaud et puis froid, je ne sais plus, je ne sais jamais véritablement. C’est trop souvent noir là-haut, celui-là bat trop constamment fort. Parfois je ne vois rien venir, un simple mot et ma mâchoire se crispe sous l’effet de la colère, mes poings s’élancent et s’échouent sur un visage, peu importe lequel, peu importe la raison. Je ne vis qu’aujourd’hui, demain n’a nulle garantie. Parfois, trop souvent même, je pense à la mort. Je suis atteint, impossible de le nier davantage, c’est sur papier, promptement diagnostiqué troublé mentalement. C’était un état limite, sur le bord de la ligne, toujours sur le point de tomber ou de me relever. Je suis fonctionnel, mais qu’en niant une part de ma vie, qu’en l’oubliant. Il m’a fallut un temps avant de me rencontrer, de faire ma connaissance et de m’accoutumer à ce que j’étais et resterais pour le restant de mes jours. La marginalité de ma personnalité, la puissance de mes émotions sans cesse exacerbées, mon besoin d’être adulé, mon obssesive crainte des adieux. Toutes des conséquences de mon passé trouble que j’avais subit plus que choisit.
Je suis né au Royaume-Uni, au sein d’une famille en décomposition. Je n’ai jamais ressentie d’amour et d’attention de la part de mes parents. Ma mère a toujours été trop préoccupé par son apparence physique pour nous aimer. Elle passait trop de temps à craindre que mon père ne la trompe avec la voisine pour s’occuper de nous, de moi et de mes soeurs. Ma plus grande soeur avait quinze ans, mon autre quatorze et moi, le petit dernier, en avait sept quand tout a commencé. Mon père abusait d’elles, parfois les deux à la fois, parfois même sous mes yeux. Elles avaient beau se plaindre, pleurer, crier à ma mère ce qu’il leur faisait, elle ne voulait rien entendre. Elles allaient jusqu’à lever leur jupe, montrant littéralement leur lésions, une larme aux bords des cils, mais elle n’a jamais rien vu, rien fait pour les sauver, l’amour l’avait depuis longtemps rendu aveugle. J’étais le seul homme dans cette famille, dès que j’en avais l’occasion je serrais les poings pour les défendre, en vint. J’ai reçu coup de poing, coup de pied, claques. Un clignement de trop et il me tirait les cheveux, m’étranglait jusqu’au dernier souffle que pour le plaisir du risque. On m’a mal nourrit, mal vêtu, mal lavé, mal aimé. Je n’ai jamais reçu la moindre attention de la part de ma mère, j’aurais pu crier jusqu’à en perdre la voix qu’elle n’aurait pas tourner l’oeil vers moi, alors au bout d’un moment j’ai juste préféré me taire. Me taire si longtemps que j’en oubliais des mots, comment les prononcer et les faire vivre. Les rares fois où je devais me prononcer ma voix était éraillée, colorée d’une douleur, d’un malaise qui n’avait jamais de repos. Parfois je me demande comment j’ai pu vivre ces choses et y survivre. J’aurais pu fuir et pourtant je suis resté, pour elles, pour ces femmes que j’avais appris à n’aimer que par pitié, par larmes partagées. Éventuellement mon père s’est tut, de manière radicale... il a succombé à ces blessures suite à un accident de la route, ça a anéantis ma mère jusqu’à la pousser dans une profonde et irrévocable dépression. Le calme après la tempête, il était déjà trop tard pour moi cependant, je suis marqué à vie, les séquelles permanentes et présentes en chaque jour que je vis.
Malgré ce qui m’était arrivé, je n’ai jamais perdu fois en l’humanité. C’est à onze ans que je découvert que la race humaine n’était plus la seule habitante de la Terre, il y avait aussi les sorciers. J’en suis un moi aussi, par miracle ou par damnation, je ne me suis pas encore décidé. Les malheurs du monde magique m’ont vite alarmé, une armée de méchants qui essayaient de prendre d’assaut le monde. Mon enfance me paraissait bien mielleuse à côté des horreurs que l’ont annonçait. Comme le choix ne semblait pas s’imposer, je quittai ma terre natale pour aller étudier à Poudlard, l’école la plus prestigieuse du monde magique. Je fus déboussolé, isolé, critiqué pour mes racines modus -oui, c’est ainsi qu’ils nous nomment, nous, enfants de la race la moins prestigieuses-. Je me suis fait quelques amis, j’ai appris plusieurs choses, mais ce qui m’intéressa le plus, c’était la défense contre les forces du mal. J’ai tout de suite su que je voulais protéger mes pairs, toutes races confondues. Je le fais pour ma famille en Italie et pour celles des autres.
Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge: Maxime, 21 ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? dans les pub de Bazzart.org ϟ Personnage: Inventé ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non, point encore. ϟ Présence: un peu tous les jours, lorsque possible. ϟ Une remarque? Fantastique forum, le contexte m'a tout de suite accroché, inspiré, fasciné, j'ai vraiment hâte de débuter l'aventure parmi vous. Ps: T'aime, t'aime petite tortue.
Dernière édition par Matteo De Luca le Mer 1 Oct - 23:39, édité 8 fois |
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