BELLUM PATRONUM
|
Version 34
Nouveau tournant, nouvelle version installée ainsi que les nouveautés qui vont avec ! Vous pouvez la commenter ici.
Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens.
Nous manquons également de Mangemorts.
|
|
| Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faibles | |
 | Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faiblespar Invité, Mar 21 Oct - 2:03 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Samuele Enzo Borghese FEAT. Jamie Dornan Vingt-trois ans ϟ Médecine magique ϟ Patronus ϟ Sang-mêlé Nom: Borghese Prénom: Samuele Enzo Âge et Date de Naissance: Vingt-trois ans, il est né le 15 décembre Situation familiale: Il a une soeur (trop naïve), un frère (con et aveugle) et deux parents qu'il voit à Noël Patronus: La première forme de son patronus est un tigre. Autant vous dire qu'il a voulu se faire rembourser lorsqu'il a appris que son frère avait le même ( il a aussi longtemps essayé de lui faire croire qu'il avait le tigre et que lui était accompagné d'un bison de petite taille. ) Sa deuxième forme est une chauve-souris. Miroir du Rised: Une immense baraque, son diplôme affiché sur le mur et un bouvier bernois sur le seuil. Une vie tranquille, en somme. Composition de la baguette magique: 32 cm, bois de saule, crin de licorne, très rigide Epouvantard: Lui, en train de poignarder à mort un patient Etudes Suivies: Cycle d'études tertiaire, première année en médicomagie Animal de compagnie: Un vieil hibou à moitié borgne. Il l'a prénommé Connard. Caractère Samuele est un bon type, si on ne l’embête pas trop. Amical, blagueur et protecteur envers ses proches, il est extrêmement loyal lorsqu’il s’attache à quelqu’un. Il ment aisément, sans même s’en rendre vraiment compte, mais seulement sur des sujets où la vérité risquerait de blesser son interlocuteur. Une bonne vieille habitude de futur médicomage. Son humour sarcastique vexe quelques fois ses proches mais il ne s’en soucie pas ; s’ils sont de vrais potes, ils reviendront. Brillant, il est de ceux qui passent aisément un examen sans même mettre le nez dans un livre. Il déteste la lecture, la musique classique et le transplanage. Ses tendances misogynes le poussent à rapidement juger la gente féminine. Si une fille cherche à le draguer, elle se retrouvera fort probablement dans la catégorie salope. Il n’est pas un charmeur, ne mettant le sexe faible dans son lit que lorsque le besoin se fait sentir. Il ne va jamais au-delà de la relation d’un soir ; s’il couche avec une amie, il l’évitera systématiquement à l’avenir. Il respecte pourtant certaines personnes ; celles qui ne cherchent pas à tout prix une partie de jambes en l’air, celles qui ne voyagent pas d’un mec à l’autre. Il catégorise très vite, parfois sur une simple impression. Jugeant rapidement, il est impitoyable dans ses réflexions et change rarement d’avis. Il est toutefois très sensible, oubliant ses préjugés lorsqu’il se retrouve en compagnie d’une personne qui souffre. Pour aider ses patients, il referait le monde. Amateur de sports extrêmes, il essaie souvent d’entraîner ses amis dans des activités peu recommandables. S’il a souvent dépassé le couvre-feu lorsqu’il était jeune, sa belle gueule et ses bonnes notes lui ont toujours valu des faveurs de la part des professeurs. Assagi depuis quelques années – mais très légèrement - , il n’en demeure pas moins un homme qui aime suivre ses propres règles. Charismatique, il ne peine pas à obtenir ce qu’il veut. Il fume à l’occasion mais boit très rarement ; hors de question de tomber dans les mêmes vices que son frère. En apparence, il a tout de l’élève modèle, studieux…Mais soulevez les couvertures de son lit et vous verrez qu’il y a mis des oreillers pour faire semblant d’y être, ayant probablement fichu le camp depuis un moment. Il est très sévère envers lui-même. S’il commet une erreur, il fera tout pour la réparer, même si son orgueil démesuré s’oppose parfois à ses bonnes intentions. a little something from you. Un tigre, ça a de la gueule. Sauf lorsque ton frère a le même.
En voyant son patronus apparaître, passés les « j’ai dû trop fumer », « qu’est-ce que ce con a encore foutu dans mon café » et « j’espère qu’il ne va pas larguer ses excréments sur mon tapis », Samuele a plutôt apprécié sa compagnie. La bête avait un humour particulier qui lui plaisait bien, une sensibilité qui rejoignait la sienne et une compréhension instantanée de ses réflexions. En plus, c’était une femelle qui ne se prenait pas trop la tête. Leur relation aurait pu être parfaite ; sauf qu’Angelo a débarqué chez lui. En voyant que leurs patronus étaient presque identiques, l’homme s’est longtemps questionné. Il n’était pas alcoolique, ni idiot. Alors pourquoi… ? Pendant un long moment, il chercha à convaincre son frère que son patronus était un minuscule bison d’Amérique aux poils courts. La blague dura longtemps, jusqu’à ce que Hope elle-même en vienne à ne plus supporter cette comparaison. Depuis, Samuele a accepté cette ressemblance inexplicable. Son patronus prend rarement sa forme de chauve-souris, lui-même préférant celle du tigre, plus imposante. Il l’a prénommée Faith, pour se rappeler de ne jamais perdre espoir et pour briser son négativisme à l’égard de l’espèce humaine.
You're not a sad story. Première leçon: Ne vous fiez jamais à une femme
Rome, neuf ans Ses doigts effleurèrent les boutons dorés en une caresse d’adieu. L’échancrure de sa nuisette vermeille laissait apercevoir ce qu’il avait déjà pu apprécier quelques minutes plus tôt. Il se gratta l’entrejambe avec insistance, déglutissant difficilement. Il aurait aimé rester plus longtemps et faire honneur à cette déesse qui s’offrait à lui, telle une catin des Milles et Une Nuit. Sa chevelure d’ébène étendue sur l’oreiller appelait aux vices ; sa bouche langoureuse demandait ces baisers que son mari ne savait plus lui donner. Sauf que le mari en question revenait bientôt, très bientôt, et il n’avait pas envie de s’attirer des ennuis. Il déposa ses lèvres sur sa joue, lui chuchotant une promesse de retour. Parce qu’il allait revenir, c’était certain. Pour lui apprendre qu’elle était une femme désirable, une Ève pêcheresse, une amante parfaite. C’est ce qu’elle voulait, inconsciemment. Connaître d’autres bras que celui de son époux, voir se rallumer le désir dans les pupilles d’un homme, malgré sa silhouette déformée par ses trop nombreuses grossesses.
Ils se jurèrent la lune, le ciel et les étoiles. Il lui mentit autant qu’il le pouvait, elle fît semblant de le croire. La trahison était trop ancrée dans leur quotidien pour qu’un retour en arrière soit possible. Il boutonna son pantalon, enfila sa chemise à carreaux. Ses lunettes en écailles de dragon vînrent se poser sur son nez tandis qu’il plaçait son badge de médicomage sur sa poitrine. Un sourire, des éclairs dans les yeux. Sa silhouette invitante l’appelait de toute la force de sa féminité : il se pencha pour l’embrasser de nouveau, sans remarquer que la porte venait de s’ouvrir.
« Maman ? cria une voix enfantine, des larmes coulant déjà sur ses joues.
– Samuele ! Sors immédiatement !
– Pourquoi tu embrasses le docteur ? »
L’incompréhension, le désir d’effacer ce qui venait d’être vu. La mère de Sam ne lui répondit que plus tard, après s’être rhabillée, après le souper du soir. En venant le border avec tendresse, comme une mama. Elle avait pris sa douche, ses cheveux sentaient la rose. Lui savait que ce n’était pas pour faire plaisir à papa : c’était pour effacer l’odeur de cet homme. Elle lui expliqua que papa n’acceptait pas le nouveau corps de maman, qu’il ne la serrait plus contre lui. Qu’elle avait besoin de se sentir aimée et que Mr. Robert était très gentil, qu’il ne soignait pas que les bobos mais aussi les cœurs blessés.
Il ne répondit rien. La vérité se trouvait dans les non-dits, les allusions, les mensonges. Sa maman n’aimait plus papa. Papa qui, le matin même, lui avait amené un panier de croissants avant de partir travailler. Sa maman mentait. Sa maman n’était qu’une catin qui s’offrait au premier venu.
Et il se promit de s’en rappeler.
Deuxième leçon: Il faut toujours écouter son frère, même quand c’est un connard
Rome, dix-neuf ans Absurde, totalement absurde. Il regardait avec dégoût la bague qu’Angelo avait choisie pour Ève, incapable de camoufler sa répulsion. Il croyait pourtant que son frère avait compris que le mariage n’était qu’une connerie, un simulacre de plus pour prétendre au bonheur. De toute évidence, il s’était trompé. L’Italien allait se faire piéger comme son père avant lui et il allait en payer le prix. Il ne serra pas sa main pour le féliciter, ne sabra pas le champagne qu’il avait amené pour célébrer l’événement. Pensait-il réellement qu’il approuverait son choix ? Les dents serrés, il se laissa tomber sur un tabouret, en face de son comptoir de granit.
« C’est la bonne, Samuele. Je n’ai jamais rencontré une fille comme elle. »
Avait-il seulement essayé ? Sauter deux filles en quatre ans, ce n’était pas une moyenne qui lui donnait une grande variété de perches blondes écervelées. Il soupira, glissant une main contre ses tempes. Il cherchait les mots justes, polis, adéquats et respectueux, pour lui expliquer ce qu’il aurait dû comprendre.
« Ta fille parfaite baise sûrement ton meilleur ami à l’heure qu’il est, ou alors elle s’enverra l’air avec ton garçon d’honneur à votre mariage. Tu veux vraiment ça ? »
Le gryffondor lui répondit par un sourire, habitué à son négativisme :
« Et si c’est toi, mon garçon d’honneur ?
– Je me la ferai simplement pour te prouver que j’ai raison. Elles sont toutes pareilles, Angel. Dès qu’elles trouvent mieux, elles te lâchent. »
Il avait lui-même tenté l’expérience, jadis. Une relation sérieuse, quelques mois de bonheur. Il s’était décidé à oublier ce qu’il avait vu autrefois, à croire en la fidélité. Des foutaises, un énorme mensonge. Toutes semblables, aucune exception. Son frère secoua la tête d’un air exaspéré, empoignant la bouteille de champagne avant de se lever.
« Je vais aller célébrer avec Madée. Elle au moins ne me proposera pas de se taper ma copine… »
Samuele eut une moue amusée ; avec Madée, on pouvait s’attendre à tout. Troisième leçon: Les meilleurs menteurs sont persuadés de dire la vérité
Londres, vingt ans Il ne parvenait pas à se sortir son image de la tête. Ses yeux tristes, sa mine abattue. Ses mains tremblantes, ses jambes chancelantes. Il avait promis à la mère de tout essayer, de ne pas l’abandonner. Mais il savait déjà , au vu des résultats et des informations notées à son dossier, qu’il ne pourrait pas tenir cette promesse. Ce n’était pas la première de ses patientes qui décèderait ; mais qu’elle soit si jeune, si innocente…Il aurait aimé pouvoir l’aider, ne serai-ce qu’à garder le peu d’espoir qui lui restait. Il en avait parlé à son superviseur, espérant trouver une solution miracle. Le vieil homme lui avait rétorqué que c’était la vie, qu’il valait mieux pour lui s’habituer dès maintenant à cette fatalité.
Il n’était pas d’accord, mais il n’avait rien dit. Cette injustice noircissait déjà son humeur lorsqu’il ouvrit la porte de son appartement, déposant instinctivement son sarreau sur la surface rêche du divan. Une odeur étrange de camomille et de menthe poivrée flottait dans l’air. Il plissa les narines, intrigué, avant d’apercevoir Angelo qui buvait un verre dans le salon :
« T’as changé ton tabac, non ? » demanda l’homme nouvellement aveugle, ne faisant même pas mine de relever les yeux vers lui.
Samuele se gratta le menton sans comprendre, jusqu’à ce qu’il aperçoive les feuilles à rouler sur la table basse. Quelques cigarettes difformes trônaient en tas au centre, accompagnées d’une clope inachevée. Ce n’est qu’en voyant les petits pots métalliques qu’il saisit ce qui s’était passé.
« P’tain Angel... T’as fumé ma tisane. » lâcha-t-il sans contenir son rire, rapidement accompagné par son frère.
Il s’arrêta, le regarda sourire. C’était rare, depuis quelques mois. Il l’avait recueilli temporairement chez lui après l’accident, pour lui laisser le temps de s’adapter à sa nouvelle situation. Il avait espéré qu’il prenne cette nouvelle épreuve avec optimisme, qu’il ne se laisse pas décourager. Cruelle déception. Le gryffondor s’était enfoncé, lentement mais sûrement, dans l’alcool et la lassitude. Il s’était promis de le soigner, de trouver un moyen pour régénérer ses pupilles abimées. Il comptait se spécialiser dans les maladies liées aux accidents magiques. Mais il savait très bien que cette promesse, il ne la tiendrait pas davantage que les autres. Il n’était pas un homme de parole, on lui avait appris très tôt qu’elle ne valait rien.
Quatrième leçon: Si ta vie est pathétique, prends-toi un coup sur le crâne
Ste-Mangouste, vingt-trois ans Amnésie rétrograde. Il était persuadé que cette chute dans les escaliers était la meilleure chose qui était arrivée à son frère depuis des mois. Loin de verser des larmes de crocodile comme sa mère qui pleurait dans le couloir – il l’avait soigneusement évincée de la pièce, prétextant qu’Angelo avait besoin d’être seul avec lui- il piochait de temps à autre dans le bol de bonbons posé sur le lit du convalescent. Une claque sur sa main le ramena à la conversation et il reprit d’un ton enjoué :
« Alors, tu dis que ton dernier souvenir c’est…? »
Il aurait espéré qu’il oublie tout. L’accident. Cette connasse de fiancée. Cette poufiasse blonde. L’alcool. Surtout l’alcool, qui lui enlevait chaque jour une partie de celui qu’il connaissait depuis sa naissance.
« Je te l’ai déjà dis, ça remonte à mardi soir. Il y avait une fête dans la salle commune avant le début des vacances. Et puis j’étais supposé rencontrer cette fille de la gazette, ce weekend…Ève machin. J’y suis allé? » répondit lentement le gryffondor, sans même relever la tête vers lui.
Samuele se raidit, jetant un coup d’œil par la fenêtre de la porte ; il voyait Amadéa discuter avec son père. C’était le moment qu’il attendait, celui qui pouvait tout changer. Son frère méritait d’être heureux, d’avoir enfin une seconde chance. Tant pis si ce n’était pas éthique, tant pis s’il lui mentait. Certaines personnes auraient dû ne jamais croiser sa route et cette fille qu’il avait soi-disant aimée en faisait partie.
« Non mec, tu t’es jamais pointé à ce rendez-vous. Tu disais que la gazette n’avait pas à t’imposer une coéquipière. T’as bien fais, il paraît que cette fille était tarée », lâcha-t-il d’un ton décontracté, guettant les réactions de l’aveugle.
Pas un sourcillement, pas une hésitation. Il ferma simplement les paupières, sans même remettre en question ce qu’il lui disait. Il avait vraiment tout oublié et cette constatation fît sourire l’homme dans la vingtaine.
Une appellation, une question. Il tourna la tête vers lui en entendant son prénom, baissant les yeux en voyant ses pupilles vides. Malgré les années qui avaient passées, il ne s’y était jamais habitué. Cette infirmité était pour lui un rappel constant de son échec, de son incapacité à le protéger. Il aurait dû être là pour lui, l’éloigner de toutes celles qui avait pourrit son existence. Le guérir. Mais il ne le pouvait pas.
« Je m’y étais habitué? À être aveugle, j’veux dire… »
L’étudiant en médicomagie se crispa. Non Angel, tu ne t’es pas habitué, songea-t-il. Il aurait dû lui dire qu’il s’était enfoncé dans l’alcool, qu’il n’avait pas supporté la perte de sa fiancée et de sa vision. Il aurait dû le prévenir des gaffes qu’il allait irrémédiablement commettre, des marches qu’il allait manquer, de toutes les filles qu’il mettrait dans son lit par sa simple gueule d’handicapé. Il aurait dû lui dire tout ça, et bien plus encore.
« Oui. Tu faisais toujours des blagues sur le sujet, tu disais qu’au moins ainsi, tu ne voyais pas les mochetés de la vie. Par contre, t’es devenu un sacré fumeur. »
Il lança son paquet sur le lit, feignant de rire. Il avait fait ce qu’il devait faire, c’était son devoir, en tant qu’aîné de la famille. Le protéger.
« Y’a quelqu’un qui est venu te voir, rajouta-t-il . Essaie d’être poli. »
Lui ne le serait sûrement pas. Il dévisagea avec dédain la blonde qui approchait, fermant la porte sur ce couple atypique. Il n’avait jamais approuvé leur relation : lorsque son frère s’engageait sérieusement dans une relation, tout ne pouvait que mal se terminer. Il lui avait dit de la quitter, il ne l’avait pas écouté. Maintenant, c’était probablement elle qui le ferait. Comment pourrait-elle supporter un aveugle, amnésique de surcroît ? Toutes les femmes étaient semblables, lâches et ne cherchant que leur propre bonheur. Celle-là ne faisait pas exception à la règle, il en était certain. Il espérait simplement que la rupture serait sans douleur. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Cappuccino, 21 ans  ϟ Où as-tu trouvé le forum? Partout  ϟ Personnage: Inventé  ϟ As-tu un autre compte sur BP? Je peux enfin répondre non  ϟ Présence: 2/7 ϟ Une remarque? Vous m'avez manqué  rfksfnlkdkldd  
Dernière édition par Samuele E. Borghese le Jeu 23 Oct - 22:22, édité 20 fois |
| | | Re: Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faiblespar Invité, Mar 21 Oct - 2:04 ( #) |
Dernière édition par Solveig B. Ingherneils le Mar 21 Oct - 2:13, édité 1 fois |
| | | Re: Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faiblespar Guest, Mar 21 Oct - 2:11 ( #) | ALLLLLLEEEEEEEEEEEEEEEEXEEEEEEE !!   :hug2: Rebienvenue et bon courage pour ta fiche  |
| | | Re: Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faiblespar Invité, Mar 21 Oct - 2:25 ( #) | ALEEEEXE   :hug2: Re bienvenue !  |
| | | Re: Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faiblespar Invité, Mar 21 Oct - 2:40 ( #) | Re-biennnnvenue |
| | | Re: Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faiblespar Invité, Mar 21 Oct - 8:47 ( #) | SDKLJHFSKLDJH KSDJGKSHDGSDLKGSD ALEEEEEXE OMG CA FAIT TROP PLAISIR DE TE REVOIR ICI   Re bienvenuuuuuue à la maison  Tu nous as trop manqué |
| | | Re: Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faiblespar Invité, Mar 21 Oct - 9:05 ( #) | |
| | | Re: Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faiblespar Invité, Mar 21 Oct - 10:33 ( #) | Rebienvenue je suppose. :lilah: Sympa le nom du hibou  |
| | | Re: Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faiblespar Invité, Mar 21 Oct - 10:49 ( #) | Rebienvenue apparemment  Jamie est un très bon choix, même si je le voyais plus en prof^^ Bon courage pour ta fiche! |
| | | Re: Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faiblespar Invité, Mar 21 Oct - 11:07 ( #) | |
| | | Re: Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faiblespar Guest, Mar 21 Oct - 11:23 ( #) | Rebienvenue Puis Jamie  Voir son beau visage illumine ma journée  Et bon courage pour la rédaction de ta fiche  |
| | | Re: Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faiblespar Invité, Mar 21 Oct - 11:24 ( #) | |
| | | Re: Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faiblespar Guest, Mar 21 Oct - 12:41 ( #) | Aleeeeeeeeeeexegfmsdhfgsmghsgkl Ca fait teeellement plaisir de te revoir parmi nous omg j'suis trop contente /me lui jette ses perso dessus Rebienvenue à la maison, tu nous avais manqué. |
| | | Re: Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faiblespar Invité, Mar 21 Oct - 13:04 ( #) | |
| | | Re: Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faiblespar Guest, Mar 21 Oct - 13:06 ( #) | Tu vas finir par y arriver, ne t'inquiète pas !! Moi c'est le nom de famille pour lequel j'ai toujours un doute... |
| | | Re: Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faiblespar Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | | Samuele Ψ les puissants crèvent de la même façon que les faibles |    |
| | Page 1 sur 2 | Aller à la page : 1, 2 | | Sujets similaires |  |
| Sujets similaires | |
| » De toute façon, je n'ai pas besoin des gens.
» ANTA ♘ « je m'accompagne avec vous ! » « non, sans façon. » « si ! avec façon ! »
» Samuele E. Borghese - 10 février
» Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux »
» Du courrier à la façon sorcière
|
| | | | |
|
|
je suis trop trop trop contente que tu sois revenue et fjdlksfjdss avec Jamie en plus 
:hé: 
*commentçacestpasçaladansedelajoie? 
) !
