Nom: Flint. Il est impossible de ne pas connaitre ce nom aussi sombre que célèbre. Un nom prestigieux, glorieux, qu'Appolyôn porte avec plus ou moins de fierté.
Prénom: Son premier prénom est
Appolyôn (
Appolione), le nom grec de l'ange de la destruction aussi connu sous le nom d'Abaddôn. Vient ensuite
Moonshine, un prénom un poil plus niais mais pas plus banal et commun que le premier, un prénom qui lui a été donné parce qu'on se disait
"Pourquoi sunshine et pas moonshine ?" Âge et Date de Naissance: 18 ans depuis le
30 août.
Nature du sang: Il est évident que les Flint ont le sang plus
pur qu'il soit.
Situation familiale: La mère d'Appolyôn a été très peu présente dans sa vie, ayant été une femme toujours très occupée et demandée un peu partout. Son père n'a jamais montré de signe d'intéressement quelconque par rapport à sa fille bien qu'il aie fait l'effort de l'éduquer. Appolyôn s'est néanmoins rapprochée de son père à la mort de sa mère. La demoiselle a également une sœur ainée répondant au prénom de
Némésis, quelques cousins et cousines ainsi que des oncles et tantes, grands-parents inclus bien que présents seulement lors des repas familiaux.
Patronus: Un petit
chinchilla blanc sur-excité mais qu'Appolyôn apprécie énormément et à qui elle fait pleinement confiance. Son patronus peut également prendre la forme d'une
mésange bleue lorsque Appolyôn se sent menacée ou blessée. C'est une femelle qu'elle a surnommée
Snowflake sans véritable raison.
Miroir du Rised: Appolyôn ne s'est jamais retrouvée en face de ce miroir et ne s'y trouvera sûrement jamais. C'est pourquoi elle ne sait pas ce que son reflet lui renverra comme image. Elle pense que, probablement, elle se verra avec quelques années de plus, mariée à un homme au patronyme aussi prestigieux et respecté que le sien, son coffre de Gringotts bien rempli et ses parents souriants et fiers, sa mère comprise.
Composition de la baguette magique: Sa baguette est faite d'un joli
bois de cerisier sur lequel ont fleuri quelques petites fleurs rose pâle, elle renferme en son sein une
plume de phénix, mesure à peu près
31 centimètres et est relativement
souple et très
droite.
Epouvantard: Il s'agit d'une forme ressemblant à la silhouette d'un homme bien plus grand que la moyenne, très fin et au visage dénué de traits. Appolyôn n'a jamais vraiment su ce que c'était mais elle soutient le fait que c'est l'homme qui a torturé sa mère avant de la laisser pour morte.
Etudes Suivies: Indiquez le domaine d'études de votre personnage, son année ainsi que les options choisies, pour en savoir davantage, rendez-vous sur
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Animal de compagnie: Snowflake lui suffit amplement.
Caractère
« La mécanique du cœur »
« Même pour moi, il est difficile de décrire Appolyôn. Son caractère est semblable à un mécanisme complexe qu’il faut avoir étudié des heures durant avant de le comprendre. Mais il y a certaines choses que j’ai réussis à comprendre, cependant. J’ai été dure avec Appolyôn j’ai été stricte et impartiale. Et c’est sûrement ce qui a contribué à sa force mentale impressionnante. Depuis qu’elle est enfant, Appolyôn n’a jamais cessé de voir le bonheur dans le pire malheur qui soit. Elle voyait le verre à moitié plein et non pas le verre à moitié vide. Je me souviens que son optimisme me faisait souvent rouler des yeux… Mais elle avait raison de penser de cette façon, de s’accrocher à l’espoir. Appolyôn est une jeune femme persévérante et bornée en plus d’être extrêmement perfectionniste, jamais elle n’abandonnera avant d’avoir atteint son objectif avec brio. Plus petite, elle me disait parfois : « Tu sais maman… Je pense que si on tombe c’est pour apprendre à se relever ! » et si je la considérais d’un air indifférent, j’étais fière de l’entendre tenir de tels propos qui, malheureusement, sonnaient toujours un peu faux à mon oreille. Même si, avec du recul, je regrette parfois certaines de mes paroles acerbes ou de mes gestes violents, je me dis que si je n’avais pas été aussi pointilleuse et exigeante avec elle, elle ne serait pas aussi indépendante aujourd’hui. Appolyôn fait attention au regard des autres, à ce qu’ils pensent d’elle, mais leur jugement n’influencera ses choix que si ces personnes comptent pour elle. Par exemple, il n’est pas rare que certains professeurs me rapportent qu’elle est insolente… Mais je sais que son insolence est mesurée. Elle a simplement du mal à se plier à d’autres règles que celles qu’elle a été forcée d’apprendre lorsqu’elle était petite et, comme Appolyôn est de nature franche et directe, elle n’arrive pas à garder pour elle ce qu’elle ne devrait pas dire. Enfin, si Appolyôn est insolente, ça m’est égal temps que ses résultats restent ce qu’ils sont ; c’est-à-dire presque excellents. Je ne regrette pas de lui avoir appris énormément de choses avant qu’elle n’arrive à Poudlard… Et je ne regrette pas non plus de la faire travailler lorsqu’elle devrait se reposer. Ce n’est qu’en se tuant à la tâche qu’on s’assure une réussite, même si elle est infime !
» -Hermine Flint, mère d’Appolyôn. « De mes deux filles, Appolyôn demeure la plus compliquée. Si certains enfants sont colériques, d’autres euphoriques à n’importe quelle heure de la journée ou encore dépressifs en permanence, Appolyôn était incompréhensible. Elle a toujours été calme et silencieuse, plus dans son coin qu’au milieu de tout le monde même sisavoir qu’on s’intéresse à elle la fait sourire. Mais nous n’avons jamais compris cette sorte de refus catégorique à se mêler aux autres. Surtout que, parfois, Appolyôn pouvait être d’humeur massacrante et donc très difficile à approcher et, d’autres fois, elle pouvait être anormalement gentille et sociable. Je n’entends pas par-là qu’Appolyôn ignore ce que sont les relations sociales… Ce n’est juste généralement pas dans ses habitudes de s’ouvrir aux autres. Hermine et moi avons élevé Appolyôn de façon droite et stricte, nous lui avons appris à être polie et à ne pas trop sympathiser avec les sang-mêlé et encore moins avec les nés-moldus parce que cela nuirait à l’image de la famille toute entière et que cela serait considéré comme une faute très grave si elle venait à détériorer le nom Flint. Mais, personnellement, je ne me fais pas de soucis, Appolyôn semble avoir tout compris et prendre ça très à cœur. Peut-être même trop d’après certains mais elle à l’âge de penser par elle-même avant d’écouter les autres. Tiens, d’ailleurs, Appolyôn est très butée. Et également assez impulsive malgré son sang-froid admirable… Oui, c’est possible. En fait, Appolyôn s’énerve facilement mais sa colère va rarement jusqu’à la fureur et à la violence. Elle est plus du genre à attaquer avec les mots. Surtout que sa franchise est désarmante… Et, même si elle est brillante et ingénieuse en plus d’être débrouillarde, elle ne réfléchit pas avant d’agir… Sûrement à cause de la précipitation. Bon, et puis, il est inutile d’ajouter qu’elle n’est pas du genre à se préoccuper des conséquences de ses actes… Ce qui doit arriver arrivera et on n’y peut rien.
» -Andreus Flint, père d’Appolyôn.
« Si on ne la connait pas, c’est tout bonnement impossible de la juger. Appolyôn a toujours l’air indifférent et peu intéressé par ce qu’il peut se passer autour d’elle, mais c’est une sorte de façade. C’est vrai qu’il en faut beaucoup pour l’impressionnée… Mais, en réalité, Applolyôn est tellement curieuse que tout l’intéresse de façon étrange. A titre d’exemple ; un Serpentard arrogant et fier lui apparaîtra comme banal et plus qu’ordinaire… Mais un Poufsouffle froid et irritant attisera sa curiosité parce que les clichés veulent qu’un blaireau soit un blaireau : une petite chose mignonne et tellement gentille qu’elle est la bonne poire de tout le monde. Mais une autre chose met ses nerfs à rude épreuve ; les nés-moldus. Appolyôn ne se prive pas d’adresser la parole avec plus ou moins de gentillesse selon l’heure et l’inclinaison des rayons du soleil à un sang-mêlé… Mais c’est une toute autre histoire avec les sang-de-bourbe. D’ailleurs, Appolyôn n’emploie jamais ce terme parce que… Parce qu’elle ne le comprend pas… De même que martyriser un né-moldu n’a, pour elle, rien d’amusant. Bref. Elle évite toujours soigneusement les nés-moldus, les ignore de façon impériale, ne leur adresse ni un sourire, ni un regard… Mais parfois c’est plus fort qu’elle. Et quand elle est prise sur le fait, soit elle se cache sous une table dans un élan d’impulsivité stupide, soit elle roule des yeux en claquant de la langue pour faire comme-si la seule vue de ces êtres inférieurs l’exaspérait au plus haut point. Je trouve que ça lui donne un côté débile, non ? En tout cas, soyez sûrs qu’elle n’ira jamais parler à un né-moldu. Ou alors elle fera ensuite comme-si ça ne s’était jamais produit. Même si Applyôn est assez indépendante et très attachée au fait de pouvoir faire, dire et penser telle ou telle chose quand elle veut, où elle veut et avec qui elle veut, sur certains sujets, la famille freine tout. Appolyôn a été élevée de façon différente de ceux qui ont été élevé dans une famille ouverte d’esprit et tolérante, elle a appris par cœur des textes expliquant le pourquoi du comment les nés-moldus étaient des sortes d’éléments nuisibles à leur monde et qu’il fallait les faire disparaître… Et enfreindre un des principes primordiaux des Flint qui est de ne jamais, Ô grand jamais, se lier avec un né-moldu, nuirait à l’image prestigieuse de la famille. Et, accessoirement, elle se ferait taper dessus pour déshonneur. Voilà, voilà. Ai-je déjà précisé qu’Appolyôn a très peur de décevoir ses parents et encore plus sa famille toute entière ? Non ? Mainten
ant c’est fait. » -Unknow. « Elle a le regard las, Appolyôn. Le regard dans le vague, le regard lointain et absent. Aucun dédain ne se lit dans ses yeux ; seul l’éclat terne de l’ennui perdure au fond de ses prunelles. Son calme énerve, son sang-froid exaspère, son répondant tue. Appolyôn ne vit pas parmi nous, elle vit plus loin, plus haut, sur son croissant de lune qui fume une clope dont la fumée forme les aurores boréales. C’est beau, hein ? Ouais, je sais, j’ai un talent fou pour décrire ce qu’il y a de plus détestable chez une personne de façon agréable. Huhu. Sinon… J’ai pas grand-chose d’autre à dire au sujet d’Appolyôn, j’ai bien tout résumé dans ces quelques lignes. Quoique, si, juste une chose : Appolyôn est humaine et intelligente. Si, j’dis que la vérité vraie. Bon, en gros, je tiens juste à préciser que malgré son calme super chiant et son air las, elle est quand même capable de ressentir des choses, la petiote. L’affection, la compassion, la joie… Bref, des émotions qu’on ne voit généralement pas se peindre sur son visage. Mais Appolyôn n’aime pas montrer ce qu’elle ressent, se confier… Elle a l’impression de se mettre à nu et d’être plus vulnérable qu’un vers de terre. Et dieu seul sait combien Appolyôn déteste se sentir faible.
» -Thaddeus Flint, grand-père d’Appolyôn. « Appolyôn s’efforce de renvoyer une image de fierté et de confiance, de prestige et de supériorité. Mais si l’on arrive à se saisir de sa confiance, alors elle laisse tomber le masque. Personnellement, je n’ai pas eu à l’amadouer, à me pavaner avec mon patronyme célèbre pour lui montrer qu’elle ne risquait rien en étant elle-même avec moi parce que le sang qui coulait –et qui coule encore- dans nos veines était pur. Je n’ai pas eu à faire ça parce que nous avons grandit ensemble et parce que je la connais par cœur depuis notre tendre enfance. Appolyôn n’est pas ma sœur pour rien, je la comprends mieux que personne, je l’écoute, la rassure et la console, je fais tout ce que les autres ne peuvent pas faire. Nous sommes des Flint, il est donc normal que nous marchions la tête haute et le dos droit en affichant un rictus arrogant et insolent. Après tout, nous avons toutes deux une réputation à tenir et si l’on vient à l’entacher, c’est toute la famille qui trinque et les représailles risquent de ne pas être très agréables… Il est vrai que la prétention fait indéniablement partie de notre caractère… Mais ce n’est pas pour autant que l’on doit tomber dans le cliché des pestes filles à papa qui se pensent supérieures aux autres. Je ne pense pas comme ça. Et Appolyôn encore moins. Appolyôn a toujours fait preuve de considération face à autrui, elle a toujours tenté de juger son vis-à-vis de façon juste et égale bien que certaines personnes nous aient rapidement été montrées comme étant les déchets du monde sorcier. Mais, ça, c’est impossible à deviner si l’on se contente de la juger sur ce que l’on voit. Appolyôn n’agit pas de la même façon en présence d’un inconnu que seule avec une personne à qui elle fait pleinement confiance, chose déjà rare. Dans le deuxième cas, comme avec moi, Appolyôn apparaît simplement comme une jeune femme banale. Elle est fragile, un peu fleur-bleue, sensible et ne demande qu’à être appréciée. Mais elle nie tout ça. Elle refuse de se l’admettre. Appolyôn n’est pas foutue de dire les choses. Quand il s’agit de faire une remarque blessante, il y a toujours du monde… Mais quand on touche aux sentiments, elle prend ses jambes à son cou. Il y a des choses, des mots, comme ça, qui ne peuvent délibérément pas sortir de sa bouche. Une simple excuse, un je t’aime, un compliment… Appolyôn n’est pas capable de dire ou de parler de ces choses là de vive voix, c’est comme un blocage. C’est pour ça que, généralement, elle ne s’excuse ou ne se confie que par le biais d’un petit papier. Je trouvais ça mignon quand on était enfants… Mais je me demande parfois comment elle fera plus tard. Appolyôn culpabilise vite, en plus. Elle ne laisse rien paraître mais est toujours la première à s’accuser. Néanmoins, il faut garder à l’esprit que cette partie d’elle-même est une chose qu’elle tente de mettre à l’écart et de dissimuler.
» -Némésis Flint, sœur ainée d’Appolyôn. a little something from you.
Tell me who you really are.