BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| (alhena) love is evilpar Invité, Dim 16 Nov - 23:31 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Cassiope Alhena Prince FEAT. Troian Bellisario 19 ans ϟ Sport Magique ϟ Husky & Renard ϟ Sang-purNom: Prince. Prénom: Cassiope Alhena Âge et Date de Naissance: 19 ans, née le 31 Octobre 1962. Nature du sang: Sang-pur. Situation familiale: A un frère jumeau prénommé Sebastian. Patronus: Orion est un renard ainsi qu'un husky. Miroir du Rised: Alhena en compagnie de sa petite-amie et de son frère jumeau, dans le futur. Un avenir heureux où la haine n'a pas sa place. Composition de la baguette magique: Sa baguette est en bois d’If avec pour cœur une plume de phénix. D’une taille de 23,5 cm, elle est souple et donc très pratique pour les sortilèges et la métamorphose. Epouvantard: L’épouvantard de la jeune fille est le corps sans vie de son frère jumeau. Malgré le fait qu’elle le considère totalement has-been avec ses cheveux longs, il est la personne la plus importante à ses yeux. Elle ne peut pas imaginer une seconde ce que serait la vie sans lui. Leurs idéaux politiques divergent et elle sait parfaitement qu’ils viendront à se séparer un jour ou l’autre mais il reste la personne sur qui elle peut compter en toute circonstance. Etudes Suivies: Huitième année, sport magique, spécialité, a pour options occlumencie et sortilèges. [/url] Animal de compagnie: Aucun. Caractère Décrire Alhena n'est pas chose facile. En effet, la jeune fille est difficile à cerner. Rusée et ambitieuse, assoiffée de pouvoir et d'action, elle peut sembler peu fréquentable au premier abord. Certains pensent que sous son masque de froideur se cache une jeune fille gentille aux traits doux et à la délicatesse d'une fleur. C'est loin d'être le cas. Alhena n'a jamais été très douce ni même très délicate que ce soit dans ses propos ou dans sa façon d'agir. Maligne, elle est capable de tout pour parvenir à ses fins : sauf si cela implique sa mort ou une quelconque blessure qui pourrait la défigurer ou lui faire ressentir une douleur plus ou moins intense. Ce n'est pas que la jeune étudiante n'est pas courageuse... elle a sa façon bien à elle d'affronter le danger : la fuite. Oh bien entendu, celle-ci n'est que pure stratégie ! N'y voyez rien qui pourrait laisser penser que la peur est son principal moteur. La demoiselle est très rancunière mais, sait oublier sa rancœur l'espace de quelques minutes lorsque c'est nécessaire, lorsque la personne à qui elle en veut peut lui servir d'une quelconque manière : et sincèrement, si cette personne doit souffrir, tant mieux. Alhena n’est pas plus intelligente qu’une personne normalement constituée : peu studieuse, elle ne travaille que dans les matières qu’elle juge utile : le cours de sortilèges, celui de métamorphose (sa mère étant singulièrement douée dans ce domaine) et le cours de potions qu’elle affectionne tout particulièrement (l’idée de jouer avec la mort lui plaît énormément). Elle préfère se détendre avec les personnes qu’elle considère comme ses « amis » (ou plutôt, les personnes qui lui sont plus ou moins utiles dans la vie quotidienne) plutôt que de passer des heures à la bibliothèque en quête d’une quelconque information sur un quelconque sujet. Adepte de la procrastination, il ne faut pas s’attendre à la voir rendre un parchemin le jour prévu. Elle aime beaucoup le Quidditch et le pratique avec son frère dès qu’elle en a l’occasion : de taille moyenne, fine, habile et souple, le poste de poursuiveuse lui va à merveille. Elle est aussi douée sur un balai qu’avec une baguette lors du cours de sortilèges. Née à Londres le 31 octobre 1962, elle a un jumeau : Sebastian avec qui elle entretient une relation très forte malgré le fait qu'il lui casse les pieds de temps en temps (c-à-d souvent), il est de deux minutes son cadet. Ils ont un an de plus que certains de leurs camarades étant donné qu’ils n’avaient pas les 11 ans révolus nécessaires pour être admis à Hogwarts. Leurs parents sont tous deux des sangs-purs. Leur père, William Stefan Prince, est un Mangemort, il travaille au ministère de la magie en tant que langue-de-plomb (les activités de ceux-ci sont secrètes c'est pourquoi on les appelle ainsi) au département des mystères. Leur mère, Capella Nat Black (épouse Prince) est briseuse de sorts indépendante. Capella est la sœur de Walburga Black, elles ont sept ans d'écart. La jeune fille attache beaucoup d’importance à la pureté du sang. Pour elle, les moldus et les sang-mêlé n’ont pas leur place dans la société magique. Sa tante, Eileen Snape (née Prince, la sœur de son père donc), a d’ailleurs été reniée par sa famille lorsqu’elle s’est mariée avec le moldu Tobias Snape. Capella, sa mère, a choisi les prénoms de sa fille en l’honneur de deux étoiles : Cassiopée et Alhena. C’est une tradition dans la famille Black qui se perpétue de générations en générations. a little something from you. « Le Patronus représente une force positive, une projection de tout ce qui sert de nourriture aux Détraqueurs - l'espoir, le bonheur, le désir de vivre - mais, à l'inverse des humains, le Patronus ne peut pas ressentir de désespoir et le Détraqueur ne peut donc pas lui faire de mal. »
Orion. Au commencement, il n’avait pas de nom. On ne l’appelait pas. Ce n’était qu’un bouclier. Un animal sans réelle consistance. Ce n’était qu’un fennec, un renard miniature avec des oreilles aussi grandes que celles de Pan Pan le lapin. Alhena s’est longtemps demandé commet une créature aussi mignonne que son patronus pouvait la protéger des Détraqueurs. Ces immondices. Ces suppôts de Satan à l’haleine mentholée (elle le supposait étant donné qu’ils avaient la fâcheuse tendance à refroidir l’ambiance). Il s’est avéré qu’Orion n’était pas qu’un simple patronus. Un ami. Un allié. Les séparer serait leur infliger une douleur insupportable. Une brûlure intense. Ce n’est pas qu’un simple bouclier. C’est une partie de la jeune fille. Il reflète son âme. Il reflète son elle profond, ce qu’elle est réellement. Orion a un humour bien à lui : ses blagues sont aussi subtiles et remplies de finesse que celle d’Alhena. Orion n’aime pas vraiment se transformer en husky : ce n’est pas confortable, c’est trop imposant. Il préfère sa petite taille pour pouvoir se lover sur la tête de sa jolie amie. Il n’aime pas trop Eïuvi - le patronus du jumeau d’Alhena, Sebastian - et se bagarre souvent avec lui. Il n’aime pas trop que l’on approche la jolie étudiante. Il ne supporte pas l’idée que l’on puisse faire un jour de mal à Alhena. Il tient son nom d’une constellation. Orion veut dire « le chasseur ». Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Baba O' Rhum, 17 ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? J'y suis depuis... plus d'un an. ϟ Personnage: Inventé. Alhena, c'est sacré. Et ses cheveux sont connus dans le monde entier. ϟ As-tu un autre compte sur BP? Plus maintenant. ϟ Présence: 7/7 ϟ Une remarque? Je vous aime.
Dernière édition par C. Alhena Prince le Lun 17 Nov - 0:02, édité 4 fois |
| | Re: (alhena) love is evilpar Invité, Dim 16 Nov - 23:31 ( #) | You're not a sad story. Chapitre I : « Les enfants sont la chose la plus précieuse dans la vie. Un parent doit faire tout ce qu'il peut pour donner à un enfant le sens de la famille. »>Des cris. Ses yeux se fermèrent. Elle ne voulait plus rien entendre, plus rien écouter. Assise à côté de son frère, elle attendait patiemment que tout cela soit fini. Un bruit. Quelque chose venait de se briser sur le sol du salon, un étage plus bas. La petite fille ouvrit ses grands yeux bleus, ses longs cheveux bruns décoiffés tombant en cascade sur ses épaules, tripatouillant sa robe pour se rassurer. Son regard et celui de son frère se croisèrent, tout deux remplis d’inquiétude. La peur les envahissait petit à petit, rongeant les quelques parcelles de courage qu’ils possédaient.
« Tu… - commença le petit garçon, la voix tremblante. – Tu crois qu’ils l’ont tué… ? Tu crois… dis ? Arrête, ne sois pas stupide Sebastian. – chuchota la petite-fille. – Tout va bien aller… j’en suis persuadée. Père n’avait pas l’air très heureux quand… quand Tante Eileen est arrivée. Mère semblait décontenancée. Qu’es-ce qu’il se passe, Cassiopée ? Je ne sais pas Sebastian, je ne sais pas… Peut-être qu’elle a fait quelque chose de mal ou alors… - la jeune fille se tut lorsque son frère posa un doigt sur ses lèvres. – Qu’est-ce que… Chut ! Écoute. »
Le silence fut instantané. Plus un bruit. Tout semblait si paisible. Les cris avaient cessé. La maison avait retrouvée son calme. La petite fille, âgée d’à peine huit ans, se leva doucement suivie par son frère qui la dépassait de quelques centimètres.
« Cassiopée… Arrête, ne t’approche pas tant de la porte… - supplia le petit garçon en chuchotant. – Si père te voit ou t’entends… Tu n’as qu’à rester à ta place si père t’effraie tant. – siffla la jeune fille tout en continuant de marcher sur la pointe des pieds. - Moi, j’n’ai pas peur ! Je veux savoir ce qu’il se passe. Mais, Cass’… Ca ne nous concerne pas… C’est entre tante Eileen et père… C’est une histoire de famille et on fait partie de la famille, non ? Oui mais… »
Cassiopée fit signe à Sebastian de se taire. Un cri retentit. Les enfants se figèrent, des frissons se dessinant sur leur peau. Une larme coula le long de la joue de la petite-fille tandis que son frère tremblait. Elle le tira par la manche, se cachant derrière la rampe des escaliers. En face d’eux se trouvaient leur père, leur mère ainsi que leur tante.
« As-tu seulement conscience des répercussions de ton comportement sur notre famille ? – cria le père des deux enfants. - Sur notre vie ? Sur celle de Cassiopée et de Sebastian ? Vivre dans la honte, est-ce ça que tu veux ? Calme-toi, William. Est-ce si grave ? Nous nous aimons, Tobias et moi ! Il n’y a rien de mal à l’amour ! s’écria Eileen d’une voix plus douce que celle de son frère. Idiote ! – cria l’homme en dirigeant sa baguette vers sa sœur. – Ce n’est même pas un sorcier ! Ce n’est qu’un moldu, un homme, que dis-je, un monstre dénué d’intelligence et de pouvoirs magiques ! De vous deux, ce n’est pas lui qui est dénué d’intelligence ! – cria la jeune femme aux traits émaciés, reculant doucement vers le mur. – Capella, fais quelque chose… Je t’en supplie… N’adresse pas la parole à ma femme, à la mère de mes enfants ! Tu n’as plus rien à faire ici. Pars. Va-t-en. Je pourrais te tuer mais la mort est un châtiment bien trop doux pour les personnes comme toi ! Tu ne fais plus partie de notre famille désormais. Reniée, tu es reniée ! »
La jeune femme adressa un regard foudroyant à l’homme qui se tenait devant elle. A son frère ou plutôt à celui qu’elle avait considéré comme son frère. Seule la pureté de leur sang les liait désormais. Elle rangea sa baguette et se dirigea vers la sortie sans même regarder derrière sois avant de claquer la porte. Les enfants regardaient la scène, effrayée. Ils ne comprenaient pas ce qu’il se passait. Tout ce qu’ils avaient cru comprendre c’est que désormais, il n’avait plus qu’une seule tante, la sœur de leur mère. Leur mère était une femme avec un fort caractère mais elle n’en restait pas moins une dame douce et gentille. Leur tante quant à elle était tout son contraire : aigrie, ronde, renfermée, malveillante. Ce n’était pas une personne fréquentable pour de jeunes enfants.
« William ? – Une voix féminine retentit dans la pièce. – Puis-je vous parler ? L’homme redressa la tête, sortant la tête de son journal. Il haussa un sourcil et adressa un regard inquisiteur à la femme. Bien entendu. J’arrive. – Il replia son journal, calmement et le posa avec douceur et délicatesse sur la table. - Les enfants, ne bougeaient pas. J’ai à parler avec votre mère. »
Il se leva, ébouriffant les longs cheveux du petit garçon qui se trouvait à sa gauche et adressa un sourire à la petite-fille qui se trouvait à droite de ce dernier. Il quitta la pièce sans bruit, prenant soin de fermer la porte qui séparait la salle à manger du salon. Les deux enfants se regardèrent, stupéfaits. La brunette posa sa plume sur son parchemin et se leva avec autant de discrétion qu’il lui était possible. Elle se dirigea vers la porte fermée quelques minutes auparavant.
« Cassiopée ! – murmura le petit garçon, se retenant de crier pour ne pas alerter ses parents. – Reviens ici bon sang ! Père dit toujours que la curiosité est un vilain défaut… Tais-toi un peu, rabat joie. Je m’en fiche bien de ce que père peut dire. – siffla la jeune fille, l’air impertinent. Elle n’avait pas bon caractère. – On dirait que c’est toi la fille et moi le garçon ! Tu dis n’importe quoi. – soupira l’enfant. – Je suis juste prudent. Et tu devrais faire la même chose. Je le suis. Sinon, je ne prendrais pas la même de me faire discrète, vois-tu ! Tu n’es pas ce qu’il y a de plus futé, Sebastian… - Cassiopée posa un doigt sur ses lèvres. – Maintenant, tais-toi. J’aimerais entendre. »
Le silence envahit la salle à manger. La jeune fille colla son oreille contre la porte pour essayer de comprendre ce dont ses parents pouvaient bien parler.
« Quand vas-tu leur dire, William ? – demanda la femme, d’un ton impatient. – Ils n’ont peut-être que dix ans mais je pense qu’ils sont en âge de comprendre. Cela fait… Deux ans qu’Eileen est partie, que nous n’avons plus de nouvelles d’elle et de son… moldu de mari. – dit-il en l’interrompant. – Ils n’ont pas la maturité nécessaire pour comprendre mon point de vue, notre point vue. Ton – elle accentua sur ce mot en particulier. – Ton opinion. Tu sais parfaitement ce que je pense de cette situation. Si tu ne leur en parle pas, je le ferais. Capella… - soupira-t-il. La situation était bien trop compliquée pour que la petite fille comprenne de quoi il s’agissait réellement. – Tu as peut-être raison. »
La jeune fille se recula et retourna à sa place en quelques secondes seulement. Le père entra dans la salle à manger. La neutralité régnait en maître sur son visage. L’homme alla se rassoir à sa place, reprenant son journal comme si de rien n’était. Les enfants n’osèrent poser de questions et firent semblant de continuer leur leçon. La mère entra à son tour dans la pièce, lançant un regard inquiet à son mari. Un hululement retentit alors, brisant le silence glacial. Un hibou noir de jais, tenant une lettre de la même couleur que ses plumes. Il lâcha celle-ci sur la table avant d’aller se poser dans un coin de la pièce, attendant sa récompense. Les enfants levèrent la tête. Cassiopée tenta de se saisir de la lettre mais Capella, sa mère, la devança. Elle l’ouvrit sous le regard de ses enfants et de son mari. Ses yeux parcoururent le parchemin. Elle ferma les yeux et parcourut la pièce en quelques secondes. Elle donna la lettre à son mari, tourna les talons et alla s’assoir à coté de sa fille. Le père, après avoir lu le bout de parchemin, le rangea dans son enveloppe et posa celle-ci sur la table.
« Les enfants. – dit-il en prenant une voix grave. – Votre tante Eileen est morte. Un silence morbide imposa sa présence en l’espace de quelques secondes. Cassiopée se redressa subitement sur sa chaise, fixant son père, le regard remplit d’incompréhension. Je… père… - la petite-fille ne trouvait plus ses mots. Les yeux troublés par les larmes, elle tentait de se reprendre. – Que s’est-il passé ? Cela ne vous concerne pas. – répondit-il simplement, l’air grave. – Montez dans votre chambre, tous les deux. Maintenant. »
Les enfants hésitèrent quelques secondes mais ils cédèrent quand le regard suppliant de leur mère se posa sur eux. Ils se levèrent et sortirent de la pièce pour rejoindre leur chambre. Ils ne comprenaient rien mais une chose était sûre : plus rien ne serait jamais comme avant.
Chapitre II : « Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au collège Poudlard. »
« Chère Mlle Prince,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.
La rentrée étant fixée au 1er septembre, nous attendrons votre hibou le 31 juillet au plus tard.
Veuillez croire, chère Mlle Prince, en l'expression de nos sentiments distingués.
Minerva McGonagall.
Directrice-adjointe. »
La jeune fille resta stupéfaite pendant quelques minutes, tripotant et relisant la lettre, la tournant dans tous les sens pour s’assurer que ce n’était pas une blague de son idiot de frère jumeau. Celui-ci avait lui aussi reçu une lettre de la célèbre école de sorcellerie. Les enfants attendaient cette lettre depuis maintenant un an : étant nés après la rentrée, ils n’avaient pas eu les onze ans révolus requis à temps. A leur plus grand malheur. La brunette observa son frère, un sourire au coin de lèvres.
« Ce n’est pas trop tôt. – fit la jeune fille. – J’ai vraiment cru qu’ils allaient encore nous faire attendre ! Je n’aurais pas supporté une année de plus. – répondit son frère, en souriant. - Dans quelques semaines, on y sera, enfin ! J’ai hâte d’allez chercher ma baguette… Oui, moi aussi… Et de pouvoir être répartie dans la maison de mes rêves ! »
Attention, professeurs et élèves de Poudlard : voici venir la famille Prince.
Le trajet dans le train s’était étonnamment bien passé. La jeune fille, âgée d’onze ans et dix mois, l’avait passé en compagnie de son frère jumeau Sebastian et de quelques autres élèves. Tous des sangs-purs, évidemment. Alhena vouait une haine sans faille envers les Moldus et les nés-moldus : elles ne comprenaient pas que de simples mortels, des êtres sans pouvoirs magiques, sans talents particuliers, pouvaient exister. Celle-ci était liée à la mort de sa tante, Eileen. Leur père leur avait enseigné à détester ces monstres, ceux qui avaient enlevé leur tante. La jeune fille avait vécu dans la haine pendant de nombreuses années. Cependant, son frère, Sebastian n’était pas du même avis qu’elle. Il avait des rêves, des idéaux. Pure utopie. Elle tenait trop à celui-ci pour s’en éloigner mais, elle restait septique, elle espérait profondément que les choses allaient changer. La brunette avait toujours eu un caractère beaucoup affirmé que celui de son frère : froide et manipulatrice, orgueilleuse et rusée : elle était prête à tout pour obtenir ce qu’elle voulait. A Poudlard, elle comptait s’entourer de personnes aptes à comprendre ses idéaux, des personnes qui lui obéiraient au doigt et à l’œil comme elle en avait eu l’habitude à Londres. La fillette adorait son père. Malgré l’amour qu’elle portait à sa mère, c’était de lui dont elle était le plus proche : elle l’admirait. Elle ne lui avait reproché que très peu de temps la mort sa tante : le temps de comprendre ce qu’elle avait fait. Se marier avec un moldu avait été une erreur qui lui avait été fatale. La jeune fille soupira en repensant à la lettre qu’ils avaient reçue, quelques années auparavant. Elle lui manquait mais, elle préférait le cacher. Son père lui avait apprit à ne pas pleurer : c’était un signe de faiblesse. Elle ferma les yeux l’espace de quelques secondes pour se concentrer, pour ne pas se laisser submerger par les sentiments. Sebastian la tira subitement par la manche, la jeune fille releva la tête et ouvrit les yeux, surprise. Il pointa la fenêtre : ils apercevaient l’immense château qui allait devenir leur résidence secondaire.
Poudlard. L’école de sorcellerie. La jeune fille en avait tellement rêvée : le rêve était devenu réalité. Désormais, elle n’avait plus besoin de fermer les yeux pour s’imaginer son avenir : elle y était. Dans quelques minutes allaient avoir lieu la cérémonie de répartition : une étape importante dans la vie d’un sorcier. Quatre maisons, quatre possibilités. Alhena avait, bien entendu, sa petite préférence. Elle esquissa un sourire à la vue de la directrice adjointe. Celle-ci les mena dans la grande salle : celle où se déroulaient les repas et les examens. Les premières années entrèrent les uns après les autres dans la salle. La jeune fille marchait fièrement, accompagné de son frère, tout aussi fier d’être ici et de représenter leur famille. Cassiopée aimait être fixée, elle aimait être regardée : elle était jolie et le savait parfaitement. Son frère et elle n’avait pas été épargné par la grâce et la beauté. Le professeur McGonagall s’arrêta devant l’estrade. Sur celle-ci se trouvait un tabouret avec une sorte de chapeau usé par le temps posé dessus. Le Choixpeau Magique. Son père lui en avait parlé.
« Quand j'appellerai votre nom, vous mettrez le chapeau sur votre tête et vous vous assiérez sur le tabouret. – annonça le professeur d’une voix grave. – On va être ensemble, tu crois ? – chuchota Sebastian à sa sœur. – Ce serait bien. On verra. – répondit sa sœur en regardant autour d’elle. – Je l’espère en tout cas ! »
Le professeur sortit un parchemin et se mit à lire le premier prénom. C’était une jeune fille, pas bien grande et pas bien belle qui monta sur l’estrade et s’assit sur le tabouret. La directrice adjointe se saisit du Choixpeau et le posa sur la tête de la jeune fille. Lorsqu’il se mit à parler, sans que personne ne s’y attende, tout le monde sursauta. Une fille poussa un cri et le reste de la salle se mit à rire. La brunette soupira. Gryffondor, s’écria le choixpeau, faisant sursauter certaines personnes. Les élèves défilèrent les uns après les autres, rejoignant leurs tables.
« Cassiopée Alhena Prince ! s’écria le professeur en se tournant vers les premières années. Le jeune fille jeta un coup d’œil à son frère et sortit du groupe pour se diriger vers l’estrade. Tout le monde la regardait et c’est fièrement qu’elle s’assit sur le tabouret et qu’on lui posa le Choixpeau sur la tête. Mh… - dit-il alors. – Une Prince, hein ? Je me souviens de ton père : un homme ambitieux et assoiffé de pouvoir et d’actions… Tout comme toi, n’est-ce pas ? Je vois en toi de grandes qualités. C’est pour cette raison que tu iras à… »
Dernière édition par C. Alhena Prince le Dim 16 Nov - 23:56, édité 1 fois |
| | Re: (alhena) love is evilpar Invité, Dim 16 Nov - 23:38 ( #) | 0eifhoirhforeugovuerhfuheruivhreiuhveiurhgieuhrguhrefuhroeuhforehforzhofeizheiEO
OKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKK ?
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| | Re: (alhena) love is evilpar Invité, Dim 16 Nov - 23:39 ( #) | QSDFGHJKLMAZETIOUOJKJOKHCHCODDHQSDFGHJKLM revienvenue a la maison :potté |
| | Re: (alhena) love is evilpar Invité, Dim 16 Nov - 23:43 ( #) | |
| | Re: (alhena) love is evilpar Invité, Lun 17 Nov - 0:02 ( #) | Rebienvenue chez toi ghfkjdhgd |
| | Re: (alhena) love is evilpar Invité, Lun 17 Nov - 0:03 ( #) | merci. je vous aime. :haha: |
| | Re: (alhena) love is evilpar Invité, Lun 17 Nov - 0:04 ( #) | |
| | Re: (alhena) love is evilpar Invité, Lun 17 Nov - 0:19 ( #) | merci Louise. |
| | Re: (alhena) love is evilpar Invité, Lun 17 Nov - 9:47 ( #) | Rebienvenue alors ! |
| | Re: (alhena) love is evilpar Invité, Lun 17 Nov - 10:16 ( #) | |
| | Re: (alhena) love is evilpar Invité, Lun 17 Nov - 11:50 ( #) | merci. |
| Le Choixpeau Magique pnj - we are all subjects to the fates Répartition : 19/01/2013 Hiboux Envoyés : 2104
| Re: (alhena) love is evilpar Le Choixpeau Magique, Lun 17 Nov - 12:45 ( #) | Rebienvenue parmis nous. Cependant avant de pouvoir te valider, nous aimerions que tu complète un peu plus ta fiche. En effet, depuis la création d'Alhena elle a certainement beaucoup changé, peut-être sur le plan mental, et pas mal de choses se sont passées dans sa vie personnelle ainsi que de façon plus générale (Notamment les grands évènements de Poudlard, Belize, l'attaque durant le match, le déraillement du Poudlard Express cette année... Il y a de quoi ! ), ainsi nous voulons voir comment elle a vécu ces moments là en particulier. Quand tu auras complété ta fiche, n'oublie pas de reposter dans les fiches terminées. |
| | Re: (alhena) love is evilpar Invité, Lun 17 Nov - 17:16 ( #) | |
| | Re: (alhena) love is evilpar Invité, Mar 18 Nov - 10:59 ( #) | FEMME rebienvenue chez toi ( ) |
| | Re: (alhena) love is evilpar Contenu sponsorisé, ( #) | |
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