| See anybody could be bad to you || Yemelyan Geregovoï par Invité, Sam 23 Mai - 20:15 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Yemelyan Geregovoï FEAT. Ricki Hall 23 ans ϟ Sport Magique Spécialité Quidditch Dixième année ϟ Uroplate & Rhinopithèque ϟ Sang mêléNom: Geregovoï, nom qui affiche sans finesse des origines soviétiques Prénom: Yemelyan, dérivé russe du prénom Aemilianus ou Emilien Âge et Date de Naissance: 23 ans né le 10 octobre 1958 Nature du sang: Sang-mêlé Situation familiale: Yemelyan est issu d’un foyer populaire de Leningrad (ancienne Saint-Pétersbourg), d’une mère Moldue et d’un père Sorcier. Sa mère, détruite par l’abandon de son époux et par la rigueur de la vie ouvrière dans son état communiste, n’a jamais été particulièrement protectrice à son égard. Yemelyan, victime de ses sautes d’humeur fréquentes jusqu’à sa mort, avait alors 11 ans lorsqu’elle tomba sous les coups de la dysenterie. Il ne garde que très peu de souvenirs d’elle, lui-même peu porté sur les réminiscences et les interrogations sans importance. Son père lui est quant à lui un parfait inconnu. Ne l’ayant jamais connu, il ne garde de lui qu’un coffre confortablement rempli à Gringotts et des bruits colportés selon lesquels il aurait été enseignant à l’école de Magie les quelques années qui avaient précédé sa naissance. Encore une fois, nullement intéressé par l’identité de son paternel, Yemelyan n’a jamais eu la volonté de s’enquérir de son identité. Et quant à savoir s’il vit encore, Yemelyan suppose que son père est mort depuis de longues années sinon quoi il ne serait lui-même pas propriétaire d’un coffre à son nom. Patronus: Uroplate & Rhinopithèque Miroir du Rised: Son reflet lui renvoie une image de lui, son corps recouvert d’un ensemble aux couleurs de l’équipe de Quiddich soviétique et à la main, une coupe, en signe de sa victoire. Composition de la baguette magique: Constituée de bois de frêne et renfermant un crin de licorne, la baguette est docile et fidèle, quoique nerveuse en main inconnue. Epouvantard: Le cadavre de Milïnki, son patronus. Etudes Suivies: Dixième année en Sport magique spécialité Quidditch, après une réorientation suite à des résultats médiocres en Offensive Magique (retard de deux années) Animal de compagnie: Il considère son balai, un Comète 260, comme son second compagnon à qui il accorde attention et cajoleries à toutes heure de la journée. Caractère Parmi la foule, immanquable et saisissant, Yemelyan culmine et détonne, impose, plus de par son charisme que de par sa beauté. Car si ses traits ne sont pas dénués de finesse, ceux-ci sont depuis longtemps noyés sous une barbe épaisse, sombre et parfaitement taillée. Intimidant, il l’est donc par bien des aspects, parfaitement conscient des impressions qu’il suscite chez les autres. De la méfiance toujours, de la gêne souvent, de la peur parfois et du désir de temps à autre. Des sentiments dont il a parfaitement conscience de susciter et qui, en réalité, l’importe peu. De nature désintéressée et peu prolixe, Yemelyan n’est pas un modèle de sociabilité. Toutefois, les personnes qui sont parvenues à cerner son caractère ont parfaitement compris que Yemelyan est un homme pétri d’indulgence plutôt doux, à la patience inébranlable. Ayant une expérience de la vie que bien des hommes ne connaîtront jamais, la sérénité et la confiance en soi sont très fortement ancrées en lui, de sorte que lui faire perdre son sang-froid est proprement impossible. Il abhorre la violence sous toutes ses formes, privilégiant une indifférence glacée à l’agressivité. Le recul qu’il a sur son environnement et sur lui-même explique en grande partie ce tempérament imperturbable. Il n’en reste pas moins qu’avec Milïnki et ses proches amis, Yemelyan est un fervent adepte du sarcasme et de la raillerie, bien que son sens de l’humour échappe à la majorité d’entre eux. Grand inconditionnel de Quiddich, absolument tout perd de l’intérêt à ses yeux une fois la partie commencée. Intérêt au combien accaparant qui explique en partie l’insuffisance de ses résultats dans de nombreuses matières. Cela s’explique aussi par le peu d’intérêt qu’il y porte. Yemelyan n’est pas du genre à se laisser tarabuster par des questions dénuées d’intérêt à ses yeux. a little something from you. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]La forme que Milïnki adopte la majorité du temps est celle d’un Uroplate mâle, et plus précisément celle d’un Uroplatus phantasticus. Il s’agit d’un reptile de 10 cm de longueur, dont le poids n’excède pas les 15 grammes. C’est un être extrêmement discret, suprêmement observateur et sensible aux signaux corporels et aux émotions qui se dégagent des individus qu’il rencontre. Discrétion grandement servie par son aspect singulier qui lui permet de se fondre allégrement dans toutes les taches sombres qui parsèment son environnement. Car si Milïnki est petit, son tégument fin et froid est aussi d’un noir profond, et seuls ses yeux, énormes et écarlates, peuvent témoigner de sa présence, pour qui est suffisamment attentif et scrutateur pour les discerner toutefois. Profondément timide et curieux, les rares instants qu’il ne passe pas sur l’épaule de Yemylyan, il les occupe à rester discrètement fixer sur une surface sombre à satisfaire sa curiosité maladive. Curiosité du monde que Yemylyan ne partage malheureusement pas. En effet, si Mili occupe son temps en se posant mille et une questions sur absolument tout, il ne manque pas de faire part à son grand compagnon de ses interrogations et ses découvertes. Interrogations qui bien souvent, ne le préoccupent aucunement. - « Tu penses qu’il est de quelle maison ? Tu crois qu’il est de sang pur ? » - « … » - « Je me demande s’il a déjà vu un uroplate ? Toi tu n’en avais jamais vu avant non ? » - « … » - « Qui est cette fille qui vient lui tapoter l’épaule ? Tu penses qu’elle est sa compagne ? » - « Mili … » - « Tu penses qu’elle aime ta barbe ? Tu crois qu’elle aime les petites choses noires comme moi ? Toi je sais que tu aimes, mais les gens … » - « C’est bon Mili, on s’en branle des autres. » - « Oui, mais tu crois qu’elle aime ou pas ? Tu penses qu’elle préfère les grosses choses noires ou les petites comme moi ? » - « Les grosses je suppose. » Si Milïnki préfère sa forme reptilienne car elle lui permet de tromper sa timidité et de satisfaire sa curiosité, il n’en reste pas moins qu’il prend parfois sa forme de rhinopithèque. Les rares instants lors desquels il se sent en confiance et parfaitement à son aise, il adopte cette forme qui elle lui permet davantage de mobilité. Il apparaît alors comme un petit singe roux d’une soixante de centimètres au faciès bleu turquoise, dynamique et survolté. Joie de vivre débordante qui ne cesse d’émerveiller Yemelyan. You're not a sad story. Déjà tout jeune, Yemelyan semblait être destiné à un avenir incertain. Issu d’une famille populaire d’un quartier crasseux de Leningrad, le jeune garçon avait grandi aux côtés de sa vieille mère, veuve, dont le comportement acariâtre et l’esprit querelleur le poussaient à fuir fréquemment l’environnement familial, moins qu’infecte. Fils unique, survivant parmi les nombreuses familles litigeuses avec lesquelles sa mère et lui partageaient leur petit immeuble sordide au nom du communisme, il ne savait alors pas encore que le sang de sorcier qui courait dans ses veines lui venait de son paternel, disparu bien avant sa naissance. Une scolarité plus que calamiteuse, des fréquentations moins que déplaisantes, voici les éléments qui rythmèrent sa vie insignifiante pendant ses douze premières années. Le garçon était davantage de nature sombre que rigolard, et du haut de sa stature dégingandée déjà impressionnante pour son jeune âge, ses relations avec autrui se cantonnaient bien souvent à des hochements de tête désintéressés et des haussements d’épaules maigres. Et malgré son tempérament bourru et renfrogné, Yemelyan ne manquait pas d’ami. Apprécié pour ses qualités d’observateur et de tacticien, les quelques groupes de jeunes freluquets entre lesquels il partageait son temps le suivaient dans toutes les escroqueries et impostures sans importance qu’il imaginait, au nez et à la barbe du NKVD, qui en ce temps-là avait bien mieux à faire que s’importuner de petits groupes de jeunes trouble-fêtes. Et s’il mettait son ingéniosité au service d’entreprises frauduleuses, cela s’expliquait moins pour des raisons de malignité que par ennui. Car contrairement à ce que la génétique aurait pu laisser transparaître, Yemelyan n’était pas un enfant prompt à l’animosité, et encore moins à l’agressivité et à la violence. De ce que sa mère lui en avait apporté, il n’en désirait pas davantage. En réalité, le jeune garçon n’avait absolument aucune idée de ce qu’il désirait. Rien de bien étonnant au vu de son jeune âge certes, mais l’endurance et la résistivité dont il faisait preuve face aux violences de sa mère et à l’insignifiance de sa jeune vie étaient saisissantes. N’importe qui dans pareille situation aurait fantasmé sur une vie différente, meilleure, loin de toute cette crasse fétide et pulvérulente. Pas Yemelyan. Son calme et sa patience faisaient de lui un être docile. D’aucune manière toutefois il n’était malléable et obéissant une fois tombé sous le joug d’autrui, car si l’enfant faisait preuve d’autant de patience c’était parce qu’il le voulait bien. Prompt à extraire de tous malheurs matière à satisfaction, il ne se plaignait que rarement. Et lorsque sa mère tomba durement sous les coups de la dysenterie, il resta à son chevet jusqu’à la fin. Pendant une période longue de quelques années, il vécut alors seul. Conservant précieusement les tickets de restauration que l’état communiste daignait lui procurer en contre-parti de petits services insignifiants, Yemelyan poursuivit sa courte déchéance entre vandalisme et came insipide. Lorsque son patronus, Milïnki, lui apparut pour la première fois sous la forme d’un condensé de poussières irisées et scintillantes, il resta fidèle à lui-même. A savoir placide et serein, l’esprit vide d’interrogations superflues et futiles, trouvant une extraordinaire satisfaction en la présence indéfectible de ce compagnon, tantôt singe grotesque au nez lacéré et au faciès bleu, tantôt minuscule lézard sombre à la queue feuillée, aux énormes yeux rouges globuleux et aux doigts frangés de petites ventouses. Milïnki, le mot russe pour désigner quelqu’un de mignon, constitua à lui seul la raison pour laquelle Yemelyan daigna quitter ses groupes de compagnons que constituaient son foyer d’alors, lorsqu’il reçut sa lettre d’admission à l’école Poudlard. Une réticence facile à expliquer, car si son foyer était certes peu aimant, il se sentait accepté au milieu de tous ces gosses délinquants destinés à finir enfermés ou égorgés par un membre du NKVD. Et il doutait sérieusement de parvenir à se faire accepter chez ces Britishs de la haute, une fois arrivé dans cette soi-disant école de sorcellerie dont Milïnki semblait trouvé tant d’intérêts. Mais il finit par céder aux supplications de son patronus et suivre les instructions laissées dans une seconde lettre, accompagnée de quelques pièces étranges, pour relier le Chemin de Traverse. Ses pièces, ainsi que la promesse de trouver l’héritage de son père s’il suivait les indications, avaient contribué à sa prise de décision. Le reste avait suivi naturellement lorsqu’il s’était retrouvé au Chemin de Traverse au moyen de poudre de cheminette. De nature sereine et posée, il avait suivi les indications sans trop d’inquiétudes, même si la barrière de la langue lui avait causé de nombreux malentendus. En effet, l’anglais n’était pas une langue enseignée en URSS. Ce problème de langue l’avait suivi durant toutes les premières années de sa scolarité et si son anglais actuel est irréprochable, son accent russe transparaît immanquablement pour qui sait entendre. Par la suite, il apprit que son paternel avait pendant quelques années été enseignant au sein de l’établissement de sorcellerie britannique et avait exprimé le désir pour sa descendance d’éviter tout passage par Durmstrang, l’école réservée aux jeunes sorciers issus de l’état communiste. Sa nouvelle vie à Poudlard lui permit de s’ouvrir à une vie sociale plus douce que celle qu’il ne connaissait déjà, sans se départir toutefois de son tempérament désintéressé et renfrogné. D’ailleurs, les vacances d’été restent un excellent prétexte pour rejoindre ses anciens compagnons, auprès desquels il entretient son amour indéfectible pour le tatouage. Sa seconde passion, il se la découvrit au cours de sa première année d’études à Poudlard durant un enseignement de Vol sur balais. Le Quiddich. Et pour contrecarrer un cursus tout juste acceptable, Yemelyan s’investit énormément dans ce sport et fait partie de l’équipe de sa maison. Il espère bien obtenir un jour un statut de professionnel dans ce secteur. *** Le jeune russe empoigna le manche de son balai, déterminé, tâchant de noyer son appréhension sous son habituelle impassibilité. Le professeur de Vol donnait des indications tout en fustigeant de nombreux élèves pour leur mauvaise position. Yemelyan ne comprenait que trois mots sur dix. L’anglais n’était pas encore une langue qu’il maîtrisait. Alors il ne disait rien et observait. Lorsqu’il vit tous ses camarades déposer leur vieux balai sur le sol moelleux et verdoyant du parc, il reproduisit le même geste. Etrangement, Milïnki s’était tu. Il ne le submergeait pas sous ses habituelles interrogations décousues. Le patronus percevait l’importance de l’instant. Certainement mieux que Yemelyan. L’atmosphère lui paraissait pesante malgré la légère brise qui faisait balloter les quelques nuages qui parsemaient le ciel bleu azur. L’adolescent leva les yeux vers le ciel et imagina les sensations que l’on pourrait ressentir à être tout là-haut. Un frisson lui parcourut la nuque lorsqu’il se vit voler aux côtés des grives et des faucons qui parcouraient librement cette étendue de bleue infinie. - « Maintenant vous … sur vos jambes … votre main … de votre balais … dites DEBOUT. » Pendant un instant, la fébrilité emporta le groupe, faisant trembler les mains des élèves de première année. Mais ce fut la détermination qui fit trembler celles de Yemelyan. Il jeta un coup d’œil discret à son voisin de gauche, un garçon malingre aux cheveux jaunes. A l’injonction de ce dernier, le balai s’éleva doucement pour venir se loger dans la paume du blondinet. Yemelyan leva à son tour la main au-dessus de son propre balai et prononça avec fermeté : -« Debout » Le mot raisonnait étrangement dans la bouche de Yemelyan. Sa voix rauque et son accent russe déformaient les voyelles pour leur donner une consonance maladroite. Mais le balai sembla reconnaître l’ordre du jeune sorcier et se mit à léviter calmement vers sa main épaisse. Partagé entre satisfaction et émerveillement, il n’entendit pas le professeur poursuivre ses explications et ne vit pas les autres élèves enfourcher leur balai. Depuis son arrivée à Poudlard, Yemelyan avait connu de nombreux obstacles. Entre sa difficulté à suivre des cours sans importance, à assimiler la langue anglaise et à s’intégrer parmi les autres sorciers, sa patience avait été largement éprouvée. Mais il ne s’était pas plaint. Il avait suivi, confiant, les méandres du chemin qu’était le sien, jusqu’à arriver à cet instant, qui revêtait d’une importance primordiale comme le lui soufflait fiévreusement son instinct. Lorsqu’il releva les yeux du manche qu’il empoignait fermement à faire blanchir ses phalanges, son regard croisa celui de son voisin aux cheveux jaunes qui souriait avec fierté. Les pieds de ce dernier avaient quitté le sol et s’élevaient de quelques centimètres. Yem lui réserva un hochement de la tête en reconnaissance de son succès. C’est alors qu’il attira le regard foudroyant du professeur de Vol : - « Tu … dormir … longtemps ?! N’espère pas que je te … de … comme ça … toute la … !! » Devant le regard impassible et l’expression indéchiffrable de son jeune élève, la colère sembla littéralement submerger le professeur. Il leva alors la main, certainement pour secouer le balai de Yemelyan lorsque celui-ci se dégage calmement et déclara maladroitement : - « Je ne dors pas. Je vais commencer vos exercices. Je fais observer juste les personnes. Inutile de vous exciter. »Le professeur le foudroya du regard. Inutile de préciser qu’il ne prit pas la peine de répéter lentement ses explications devant le malaise du jeune étranger. Il se contenta de gesticuler brusquement pour presser Yemelyan à enfourcher son balai, comme si ce dernier était un sombre crétin incapable de suivre des indications simples. - * Tu penses qu’il s’est coincé la queue ou les pattes quelque part pour se comporter aussi méchamment ? Tu penses qu’il a une épine enfoncée dans le doigt ? Peut-être qu’il a mal quelque part … * Les interrogations débordantes de naïveté que lui soumettaient Milïnki, alors qu’il se trouvait sous sa forme éthérée à son côté, fit jouer un petit sourire sur les lèvres encore dénudées de l’adolescent. Sa confiance renforcée par la présence vivifiante de son patronus, Yemelyan passa sa longue jambe au-dessus du manche à balai et donna un coup ferme sur le sol avant de décoller, plus brusquement que ce à quoi il ne s’attendait. D’abord surpris, l’adolescent trouva naturellement son équilibre et prenant appui sur ses mains fermement fixées au sommet du manche, il se mit à tracer des cercles de plus en plus larges autour du groupe. A seulement quatre mètres de hauteur, les sensations étaient déjà stupéfiantes. Subjuguantes. Envoutantes. Grisantes. Le léger souffle de vent qui portait l’odeur acidulée et grasse des étendues verdoyantes faisait voleter les cheveux sombres et lisses que portaient à la nuque Yemylyan. Son cœur battait au rythme des pulsations qui lui venait de Milïnki, fidèle nuage de poussière scintillante et irisée qui suivait naturellement les courbes de plus en plus hautes qu’il faisait suivre à son balai. La joie incommensurable qui le frappa en cet instant fit naître un sourire éblouissant et irrésistible sur ses lèvres fines déjà humides de sueur. Comme en écho à son allégresse, il perçut le ravissement de Milïnki en réponse à sa propre joie. Ils avaient tout oublié. Son enfance sordide, son isolement, ses difficultés à s’intégrer, le professeur qui beuglait sur le sol, son avenir incertain. Seul le sentiment de liberté étourdissant et l’euphorie de l’instant avait de l’importance. Yemelyan fut alors pris d’un besoin irrépressible d’exprimer son exhalation alors qu’il s’élevait dans le ciel immaculé. Et son éclat de rire résonna dans le parc vallonné en cette matinée d’automne, parfaite. . Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Crocs, 19 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? Via Bing (nan jdéconne) ϟ Personnage: Inventé ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non ϟ Présence: A peu près chaque jour, avec le week-end pour RP ϟ Une remarque? J'espère qu'il n'y avait pas de code dans le règlement sinon je vais me faire taper dessus
Dernière édition par Yemelyan Geregovoï le Mar 26 Mai - 10:58, édité 16 fois |
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