 | you are serious ? - Madisonpar Invité, Sam 14 Fév - 1:09 ( #) | Madison Eden Nevaeh Jenkins ft. Kaya Scodelario Sang-mêlée Vingt ans Célibataire Bisexuelle Deuxième année en offensive magique Chouette effraie & grizzli Tendances neutres, mais pense mangemort Frenchadicted & Tumblr | |
| [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: d’origine française du côté paternel, la jeune femme a hérité du fameux nom de Jenkins. Un nom qui n’est pas complètement effacé de la société puisque le père est un chercheur spécialisé dans l’étude des patronus depuis l’apparition de ces derniers. Prénoms: son premier prénom est Madison, qu’elle porte avec fierté pour rendre un dernier hommage à sa défunte grand-mère. Ce fut sa mère, d’origine anglaise, qui le lui a donné. La vraie signification du prénom vient du diminutif anglo-saxon de "Madeleine", une femme parmi d’autres dans la religion chrétienne qui pleurait la mort de Jésus jusqu’à, selon l’Evangile, avoir rencontré le Chris ressuscité. Ayant eu un côté maternelle très penché sur cette religion, tout semble prendre du sens. Son deuxième prénom est Eden, donné par son père. Sa signification n’est pas plus importante que la première, ce dernier est traduit par "délice" en hébreu. Un coup de cœur venant du paternel qui souhait absolument que son enfant porte ce prénom mixte. Le dernier est Nevaeh, qui se traduit par "ciel" ou encore "paradis". En effet, il suffit simplement de le lire à l’envers pour se rendre compte qu’il s’agit bien du mot heaven. Il n’y a jamais eu de raison particulière pour lui avoir attribué ce prénom. Âge et date de naissance: âgée de vingt ans aujourd’hui, Madison est née un trois novembre 1960 lors d’une nuit froide. Cette dernière a hérité du signe astrologique scorpion, ce qui lui a toujours donné un côté autoritaire et un caractère bien trempé. Nature du sang: étant l’héritière d’une mère moldue et d’un père au sang-pur, Madison n’est d’autre qu’une sang-mêlée. Malgré cette nature, la jeune femme préfère tomber dans le mensonge et se révéler être une sang-pur. Chez les Jenkins, il était autrefois mal vu de porter une engeance différente et les règles étaient bien strictes: les familles pures devaient s’allier entre elles. Situation familiale: suite au décès de sa mère causé par un accident banal, son père s’est remarié quelques années après avec une seconde femme répondant au prénom d’Aurore. Madison a toujours été contre ce mariage, tout comme le fils de cette épouse, Léonard. Elle les fuit comme la peste, ne les considérant pas comme une belle-mère ou encore un demi-frère. Une situation qui ne fait qu’embellir la colère qu’elle a un peu plus chaque jour. Patronus: il répond au nom d’Adhara, un dérivé de l’arabe qui, apparemment, est le nom d’une étoile dans la constellation du grand chien. L’apparence qu’il prend le plus souvent est celle d’une chouette effraie au plumage de soie. Toutefois, il lui arrive de prendre celle d’un grand grizzli lorsqu’il prend peur. Miroir du rised: entourée de la famille qu’elle a toujours voulue, Madison se voit comme étant l’une des plus grandes inventrices de sorts que Poudlard ait eu sous son aile. La tête haute, le sourire aux lèvres et des récompenses pour avoir franchi toutes les étapes sous le regard attendrit de ses véritables parents. Epouvantard: une peur plus ou moins enfantine puisqu’il s’agit du tonnerre. Son épouvantard se manifeste sous la forme d’un nuage noir, jetant des éclairs un peu partout autour de lui. Il est si violent, si effrayant qu’il peut donner naissance à des incendies, mais aussi à un vilain souvenir qu’a la jeune femme depuis son jeune âge. Composition de la baguette magique: à ses onze années, Madison eut le privilège d’aller sur les terres britanniques avec son père pour l’acquisition de sa baguette magique. Cette dernière mesure 29,7 centimètres et est composée d’un bois de chêne rouge et d’un ventricule de cœur de dragon. Facilement maniable et souple, la jeune fille ne s’en est plus jamais séparée. Études Suivies: elle est en deuxième année d’études secondaires, ayant choisi pour cursus l’offensive magique et le sous-cursus des sortilèges poussés. Son cours optionnel est la métamorphose, même si elle ne suit pas grand-chose durant les heures de classe. Amortentia: la douce odeur du thé chaud à la menthe sucrée mélangé au parfum des vieux manuscrits, de l'herbe rosée et fraîche du matin, du tabac allumé et l'émanation salée des bords de mer. Animal de compagnie: un furet offert par son père cette année en guise de cadeau. Possédant le pelage zibeline, il répond au nom de Léon. Durant l’année scolaire, ce dernier reste à la maison mais sait profiter de la venue de sa maîtresse pendant les grandes vacances. | Caractère Vois-tu cette jeune fille qui se promène le long des couloirs au déhanchement entrainant ? La jeune fille qui a osé enfreindre le règlement à plusieurs reprises. Celle qui ose jeter un regard dévergondé aux autres, portant un léger sourire avare au coin des lèvres. La fille qui n’a pas peur de savoir si son apparence est impeccable ou non, aujourd’hui. Les cheveux en bataille, laissant planer le doute de savoir si elle en prend soin ou non. Elle qui préfère rester dehors accompagnée d’une misérable cigarette au bout des lèvres, que de se regarder dans le miroir tout en se demandant si elle plaît à son Roméo. Madison n’a pas vraiment été une vraie femme durant son parcours. Enfant dans l’âme, elle s’amuse encore à faire exprès d’être rappelée à l’ordre par les professeurs. Au fond, elle aime faire ce qu’elle veut et quand elle veut. Les sanctions ne lui font pas peur, même si cela s’entasse au fond d’un dossier qui lui est spécialement dédié. Rien ne semble la terroriser, pas même les remarques des autres ou encore un éventuel renvoi de Poudlard. Ne comptant sur personne, elle avance sans même donner une affection à ceux qui l’entourent. C’est une jeune fille solitaire, qui n’apprécie pas tant que ça la compagnie humaine autour d’elle. Lors des heures de cours, c’est souvent la première personne à s’éloigner des autres pour garder une certaine concentration sur son travail. Ce n’est pas non plus quelqu’un qui adore se faire des amis. Les relations amicales se font rares, à quelques exceptions près. Madison ne garde aucun contact avec les individus qu’elle rencontre. Autant dire qu’ils finissent tous par être jetés à la poubelle comme des malpropres. Ce qu’elle n’avoue jamais, c’est la crainte de se faire aimer, apprécier ou adorer. Une peur qu’elle a de la difficulté à expliquer, mais ça a toujours été comme ça. De ce fait, elle s’entoure d’une carapace solide en jouant la fille rebelle, égoïste et désagréable. Aux yeux des autres, c’est la personne à éviter absolument pour ne pas avoir d’ennuis. Et autant dire qu’il ne faut pas tenter de lui mettre des bâtons dans les roues parce qu’elle a toujours le dernier mot, coûte que coûte. Madison – surnommée Maddie pour les intimes, sait s’imposer où qu’elle soit. Même dans les endroits les plus aléatoires, comme les fêtes. Adorant s’amuser jusqu’à l’aube, il n’est pas rare de la croiser au milieu d’une piste de danse un verre à la main. Il n’est pas rare non plus de la voir extravertie lorsqu’elle n’est plus elle-même. C’est comme si elle était quelqu’un d’autre dans ces moments, abandonnant son corps au monde entier. Et pourtant, même dans des états pitoyables, elle reste la personne renfermée et solitaire que tout le monde connait. Madison est maline et aussi rusée qu’un renard. Sous n’importe quel supplice elle ne serait prête à dévoiler la moindre miette de sa vraie personnalité. Il est dur de changer un être renfermé, très renfermé. Elle n’est pas très expressive non plus. Il n’est pas courant de la voir sourire continuellement à longueur de journée, et lorsque ça arrive c’est presque touchant et à la fois surprenant. Ça lui arrive de n’en émettre aucun durant des heures entières. Des jours, peut-être des semaines aussi. Madison ne connait pas les gestes affectifs non plus. Elle ne sait pas prendre quelqu’un dans ses bras ou même déposer un simple baiser sur une joue. Comme si elle n’avait jamais été habituée à ceci. Restant dans l’ignorance et le néant total. Cela revient au même lorsqu’on le lui en fait. Elle ressentira de la gêne et du dégoût. Toutefois, quand il s’agit des conquêtes d’un soir, elle met toutes ses différences de côté jusqu’au lendemain où elle redevient miraculeusement celle qu’elle était la veille. Et ainsi de suite, tel un cercle vieux.
Malgré tous les défauts et le fait qu’elle ne soit pas un ange, Madison reçoit de bons résultats. Elle garde en elle cette soif d’apprendre, une chose qu’elle a certainement dû hériter du côté de sa mère. Il lui arrive, de temps à autre, de passer son temps à la bibliothèque de Poudlard, le nez dans un livre et un stylo à la main pour gribouiller sur une page vide. Elle peut y passer des heures et des heures. Si ce n’est pas à la bibliothèque qu’elle peut assouvir sa curiosité, c’est dans sa chambre, un livre à la main encore une fois. Même si cela paraît surprenant, elle rend et fait ses devoirs à l’heure. Ce côté-là fait quand même la fierté de son père, qui ne cesse de lui répéter que c’est ainsi qu’elle réussira dans la vie. Fidèle à son poste, Madison s’en fiche pas mal des commentaires de ce genre-là. C’est quelqu’un qui a pourtant toujours besoin d’en savoir plus sur tout et n’importe quoi. Il lui arrive de faire des insomnies parce qu’elle n’a pas eu le temps de vérifier ses sources et cela la conduit à se balader dans les couloirs de l’école en plein milieu de la nuit. Travailleuse également, il se peut que parfois elle préfère rester dans sa chambre à bosser que d’aller s’amuser en soirée. Mais, encore une fois, c’est assez rare. Évidemment, c’est une facette qui ne se remarque pas directement. Et pourtant ! Ceux proches d’elle pourront le savoir, comme ses seuls amis sur la liste. En fin de compte, Madison est celle qui vous fera sortir de vos gonds, s’amusera avec, vous manipulera, mais est tout autant une personne aimable qu’adorable envers ses proches. | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Patronus Oublier cette soirée lui est totalement impossible. Oublier cette date lui paraît inimaginable. Cette soirée où elle est condamnée à être surveillée par un être qui semblait être inexistant quelques heures avant le drame. Madison s’en rappel comme si c’était hier. Elle se souvient du cri qu’elle avait émis en s’apercevant qu’une chouette effraie s’était introduite dans sa chambre en ce soir de noël, en 1978. La jeune femme dormant la plupart du temps avec la fenêtre ouverte, pensait simplement qu’il s’agissait d’une erreur et que tout était un simple accident. La réalité est venue quelque temps après. Entendre un animal parlé n’est certainement pas commode, et c’est ainsi qu’un deuxième hurlement strident a retentit. Madison dit et dira toujours qu’elle avait eu l’impression de rêver durant cet instant. Tout paraissait comme une illusion éphémère, comme un rêve et qu’elle n’allait pas tarder à reposer les pieds sur terre. Ceci étant dit, ça n’est jamais arrivé. Il y a encore des jours où elle regrette amèrement de connaître le monde de la magie pour supporter la chouette au caractère autoritaire et protecteur. Adhara est son nom. Et, tout comme les prénoms de Madison, le nom que l’oiseau porte a une signification bien précise. Adhara est un nom dérivé de l’arabe. Le nom d’une étoile appartenant à la constellation du grand chien. La jeune fille ignore les sources de ce peuple, leur culture et bien d’autres choses. Toutefois, les livres parlent d’eux-mêmes. Étant une lectrice inspirée par les dires des bouquins, elle eut simplement l’envie et l’inspiration de le baptiser ainsi. Pourtant, le patronus n’a pas seulement une forme d’animal à ailes et aux plumes. Il peut lui arriver de prendre sa deuxième forme, celle d’un des plus grands ursidés du monde: le grizzli. Seulement, c’est un animal imposant et brusque, c’est pourquoi Madison lui interdit de prendre cette forme-là sauf si des cas urgents se présentent. Adhara est un peu craintif sur les bords, il se peut qu’il se transforme soudainement en ours en ayant une réaction apeurée. Quoi qu’il en soit, c’est un animal inoffensif, néanmoins prenez garde à ne jamais toucher violemment la sorcière. |
Pseudo et âge: Jeykill ! Où as-tu trouvé le forum ? Une pub Personnage: Inventé As-tu un autre compte sur BP ? Une gryffy tarée sur les bords Présence: À peu près tous les jours Une remarque ? Vous êtes adorables et super accueillants. ♥ |
Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Souvenirs, souvenirs – Angleterre. (1960 - 1965)Les origines de Madison sont ancrées sur les terres britanniques et même si son passé a toujours été vache envers elle, elle connait être fière de parler cette langue si mélodieuse à entendre. Sa mère était une anglaise, quant à son père, un français qui passait son temps à voyager de pays en pays grâce aux opportunités qu’offrait son ancien travail. Madison a donc grandi en Angleterre aux côtés de ses deux parents, même si son géniteur n’était pas plus présent que ça. À nouveau, les affaires étaient bien plus importantes que sa famille à chérir. Une enfance banale, parfumée d’une odeur de chocolat chaud et de gâteaux encore chauds. Judy était l’image de la mère parfaite. Élevée aux très bonnes manières et cultivée sur la religion chrétienne, la femme paraissait être une perfection à tous les niveaux. Elle ne connaissait pas la vulgarité. Tout ce qu’elle savait faire, c’était d’être souriante à longueur de journée, terriblement bien habillée et coiffée, dégageant une odeur de baume au miel. Une complicité était précieusement gardée entre elles. Madison était aux anges. Malgré l’absence de son père, elle savait où aller chercher du réconfort. Toutefois, cette belle histoire n’est que poussière de nos jours. À ses cinq ans, Judy fut brûlée vive dans un incendie causé par l’orage. Un arbre en feu est brusquement tombé sur leur maison, ce qui a causé d’énormes dégâts le lendemain. Par chance, Ryleigh a pu s’échapper des flammes en protégeant également sa fille. Madison en est sortie indemne physiquement. Sa peau ne porte aucune cicatrice, aucune trace de cet instant terrifiant. Pourtant, elle a toujours gardé des séquelles psychologiquement. En réalité, elle ne s’en est jamais totalement remise. Depuis ce jour-là, elle ressent une grande peur lorsqu’un orage se prépare. Il lui arrive d’en être paralysé. Sans refuge, Madison a été condamnée de suivre son père lors de ses voyages d’affaires pendant de longs mois. Ils n’avaient pas de domicile fixe. Ils vivaient comme la vie arrivait, sans se plaindre, même si cela lui démangeait un peu plus chaque jour. Elle devenait peu à peu la femme d’aujourd’hui. Renfermée, solitaire et sans lois. Tout commençait à travailler, à se former. Elle naissait d’un nouveau corps, un nouvel amont. Peut-être un mauvais, mais personne ne peut prédire l’avenir. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Nouveau départ, nouvelle vie – France. (1966)Au bout de quelques temps, Ryleigh a décidé de rentrer chez lui pour rejoindre sa famille. Sans pouvoir d’objecter cette décision, Madison a suivi son père dans ce pays qui lui était inconnu, de même pour cette langue différente. C’était une première pour elle. À six ans elle ne pouvait pas apprendre cette langue en quelques jours seulement et il lui a fallu du temps pour dire quelques mots basiques. Et même si cela paraissait être bon pour elle, Madison était bien loin de la plus grande surprise de sa vie. Ce retour en France n’était pas un pur hasard, loin de là. Il se trouvait que, depuis un certain temps, son père avait comme retrouvé la joie de vivre. Le sourire, le rire. Ce qui paraissait normal à la jeune fille. Mais à la foi, ceci semblait étrange. Ryleigh avait le même sourire quand Judy était encore parmi les vivants. Curieuse de nature, Madison n’a jamais lâché le morceau et espionnait faits et gestes de son père. Quant à lui, il occupait son temps à écrire des lettres. Chaque soir, à son bureau, une lumière tamise au-dessus de sa plume. Et il écrivait, encore et encore. Jusqu’au jour où une étrange lettre encore fermée était posée sur le comptoir. Sans ressentir la moindre gêne, Madison s’en est emparée et l’a lu dans les moindres recoins. Même si elle n’a pas les réflexes rapides, la petite fille qu’elle était a bien deviné qui était cette femme. Pour en être sûre, elle s’est permise d’en parler à son père. Ce dernier, gêné, a simplement avoué qu’il avait trouvé une autre perle rare sur cette terre et qu’il l’aimait. La colère n’a pas tardé à se manifester. Depuis, Madison porte toujours une haine envers cette femme qui, tout compte fait, s’appelait Aurore. Et même si cela ne suffisait pas, cette dernière avait aussi un fils répondant au nom de Léonard, ayant perdu son père auparavant. Madison n’a jamais voulu à les connaître et même si elle pensait que tout allait se terminer un jour, elle se trompait. Le noël qui suivait cette année-là, Madison a passé le réveillon avec le reste des Jenkins en comprenant à peine ce qu’ils disaient. Son père, pour sa part, avait décidé de passer la soirée chez Aurore et son fils. Elle n’a jamais autant été déçue, blessée et énervée contre son seul parent. Elle lui en a toujours voulu, remettant le décès de sa mère sur son dos. Ça avait continué jusqu’au mariage de Reilygh Jenkins et Aurore Saint-Saëns. Elle n’avait ressentie aucune joie pour leur union. À vrai dire, elle se faisait petite et transparente au fond de la salle, admirant les sourires forcés des deux familles. Pour la première fois aussi, elle avait vu Léonard. Un enfant renfermé et un peu trop étriqué à son goût. À cet instant précis, Madison a tout de suite repérer une certaine tension électrique entre eux deux. Elle a toujours été contre cette reconstruction foireuse qui lui servait de famille. Pour elle, il ne fallait pas mélanger les aigles royaux avec les pigeons de Paris. Entre temps, la jeune fille a appris à améliorer son français, même si elle avait encore un peu de mal avec. Cette langue était devenue plus ou moins importante à ses yeux. Après tout, elle va devoir vivre dans un pays et une famille qui parle ainsi. C’était à elle de s’y faire et non aux autres de changer. Néanmoins, il lui arrive fréquemment de parler en anglais exprès pour déranger ses colocataires de maison. Après tout, Madison reste toujours fidèle à son poste. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Poudlard – France.Difficile d’oublier cette fameuse année où, quelques enfants âgées de onze ans, ont le privilège de recevoir une lettre de la part d’une des plus grandes écoles de magie ; Poudlard. Avec une grande fierté, Madison n’a pas su s’empêcher d’étaler son bonheur autour de soi. Dès qu’elle a appris cette nouvelle, elle n’a pas attendu plus longtemps pour aller se procurer une baguette magique, quelques livres et une vieille chouette qui est décédée il y a quelques années maintenant. Son arrivée, le premier septembre, elle fut non seulement extasiée mais n’a pas hésité non plus à s’imposer. Déjà à cet âge, elle n’était pas une fille très ouverte aux autres. Ce qui n’avait pas tardé à piquer la curiosité d’un jeune homme, Fenrir. Depuis, entre eux deux, c’est comme des frères et sœurs. Des meilleurs amis de très longues dates et qui ne cessent de se chamailler amicalement. Poudlard est devenu une source de liberté pour Madison. Et elle n'a pas été contre le fait de déménager à Londres durant les vacances de noël en 1980 pour être plus proche de l'école. De plus, sa belle-mère a ouvert un salon de thé à Pré-au-Lard, mais ceci n'est pas important dans la vie de la jeune femme. C’est le seul et unique endroit où elle n’a aucun contact avec sa belle-mère ou encore son demi-frère. Tout est vaste ici, ils ne risquent pas de se croiser facilement. Et puis parler sa langue natale est tout ce qu’il y a de mieux ! La jeune femme n’a pas encore planté son avenir, tant qu’elle est ici, il lui en faudra peut pour la satisfaire. Bonne élève, elle continue son aventure au sein de l’école et ne passe aucun gros échec jusqu’à présent.
Dernière édition par Madison E. Jenkins le Jeu 28 Jan - 21:36, édité 18 fois |
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Tu écris super bien 
et ta fiche est géniale 
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Merci en tout cas. 
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