| Asphodèle + fais moi plaisir et tombe de ton balais.par Invité, Ven 6 Mar - 20:03 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Asphodèle Crescentia Lestrange FEAT. Alma Helgesson 19 ans ϟ Offensive magique ϟ Scorpion & Requin blanc ϟ Sang purNom: Il glisse entre les lèvres et siffle dans l'air comme une menace. Lestrange. Ils sont cette famille immémoriale, connue pour la pureté de son sang. Lestrange, Mangemorts de pères en fils, on chuchote que la folie gonde entre leurs murs. Prénom: Asphodèle c'est l'enfant-serpent, la beauté vénéneuse des fleurs, l’œil bleu, la langue qui siffle, parce qu'Asphodèle a l'âme noire sous ses sourires fleuris. Crescentia en second. Crescentia pour la soif de pouvoir. Âge et Date de Naissance: Dix-neuf ans, Asphodèle est née le 5 décembre de l'année 1961. Nature du sang: Pur, évidemment. Un Lestrange de sang-mêlé n'est pas un Lestrange, ce n'est rien de plus à ses yeux qu'une erreur à effacer. Situation familiale: Asphodèle est la dernière fille de Graham Lestrange, cet homme qu'elle se refuse à porter dans son cœur, bien qu'elle ne puisse afficher clairement l'opinion qu'elle a de ce traître à son sang. Graham a fauté et mit sa mère dans une position inconfortable en les encombrant d'une demi-sœur au sang impur. Asphodèle est l'enfant de sa mère uniquement. Et c'est son frère qu'elle a choisit pour modèle, une admiration discrète et durable. Asphodèle n'a strictement aucune considération pour sa demi-soeur. Athanasia la répugne c'est aussi simple que cela. La jeune-sorcière n'est pas très proches de ses cousins Von Sachsenheim, et ne leur offre qu'une indifférence froide dans la plupart des cas. Il n'y a qu'Amadeus qui fasse exception à cette règle puisqu'il a comme elle un penchant sadique qui le pousse à torturer les nés-moldus. Il y a également cette cousine, Basile, que Thaddeus s'est toujours plus à malmener pour le plus grand plaisir d'Asphodèle qui observait le spectacle en souriant en coin. Patronus: Un requin blanc flotte au côté d'Asphodèle, vaporeux, quasi-fantomatique, il peut également prendre la forme d'un scorpion. Miroir du Rised: La gloire. Ses pouvoirs dépassent l'entendement. La marque des ténèbres orne sa peau laiteuse. Et il y a cette crainte mêlée d'envie dans les yeux de ses pairs. L'heure est à la purge, elle est la fierté de sa mère et son père la supplie de lui pardonner ses pêchés, ce qu'elle refuse. Composition de la baguette magique: C'est une baguette en bois de tremble qui a choisit Asphodèle. Le bois de tremble de qualité est blanc, d’un grain très fin, et hautement estimé par tous les fabricants de baguettes pour son élégant aspect d’ivoire et sa capacité d’ensorcellement généralement exceptionnelle. Le propriétaire d’une baguette de tremble est généralement un duelliste accompli, ou est destiné à l’être, car ce genre de baguette est particulièrement adapté à la magie de combat. Au XVIIIe siècle, un club de duel occulte et tristement célèbre, qui se faisait appeler Les Lances d’Argent, avait la réputation de n’admettre dans ses rangs que des sorciers possédant une baguette de tremble. D’après mon expérience, les propriétaires de telles baguettes sont des esprits forts, déterminés, plus susceptibles que d’autres de se lancer dans des quêtes ou d’aspirer à un ordre nouveau. C’est une baguette de révolutionnaire. Celle d'Asphodèle est composée de ventricule de dragon, mesure 31 centimètres, et se caractérise pas son inflexibilité. Épouvantard: Découvrir que son sang n'est pas pur. Études Suivies: Offensive Magique, dans le sous-cursus Offensive, options Légilimencie et Métamorphose. Animal de compagnie: Aucun, c'est en vain qu'elle a exigé un dragon pendant des années. Peut être est-ce même le seul caprice que ses parents lui aient refusé. La sorcière a pour ces animaux à écailles une fascination qui dépasse l'entendement. Mais son frère s'est toujours farouchement opposé à ce que Asphodèle s'en approche de prêt ou de loin. Un sujet de discorde récurant. Caractère L'enfant Lestrange a l'apparente froideur du marbre. Mais derrière la pierre, brûlent les dessins du diable, Asphodèle est d'un naturel emporté, ses humeurs sont changeantes, ses caprices fréquents, la sorcière est depuis sa plus tendre enfance, empreinte d'une violence qu'elle ne contient qu'à regret. La demoiselle porte sa cruauté comme une parure, sertie de menaces écarlates. Asphodèle, c'est beaucoup de méchanceté dissimulée derrière la blancheur de ses sourires. Des sourires qui ne sont que l'affichage de ses crocs. Mais ses rictus trompent à merveille. Asphodèle est une sirène ; des caresses dans la voix, des gentillesses dans le regard, pour tromper et convaincre. Il ne faut pas s'y fier, ses promesses sont poison. Et dans le bleu de ses yeux ne brille que l'éclat d'une lame. Celle qu'elle plantera dans votre flanc à la première occasion. La jeune-fille ne s'embarrasse que de peu de valeurs, Asphodèle n'est pas intègre, Asphodèle n'est pas juste, Asphodèle n'est pas loyale, et sa morale est élastique. Il n'y a ni bien, ni mal seulement des objectifs et la noble cause à servir pour un renouveau qu'elle sait vouloir jusques aux tréfonds de son âme, une purge. Peu lui importe les méthodes à employer, tant que le résultat final est celui qu'elle escompte. Depuis qu'elle est enfant, Asphodèle dévore des ouvrages pas toujours de son âge dans le but d'emmagasiner toujours plus de connaissances. La grandeur n'est pas un édifice que l'on peut bâtir sur la terre branlante de ses lacunes. La Lestrange se montre extrêmement exigeante envers elle même, et ne reculera devant rien pour s'élever jusqu'à la place qu'elle estime avoir le droit d'occuper dans ce monde. Elle qui ne rêve que de puissance et du jour où elle recevra la marque des ténèbres. Ses capacités intellectuelles élevées la conforte dans l'idée qu'elle vaux mieux que les autres. Et c'est riche de cette confiance en elle inébranlable, qu'Asphodèle cherche systématiquement à écraser ses pairs, à les dominer. Asphodèle est particulièrement attachée aux valeurs de sa famille et a son idéologie Pro-Mangemort. La Lestrange n'a aucun respect pour ceux qu'elle appelle les sang de bourbe. Son obsession pour la pureté de sang, lui vient de son éducation. Et durant ses premières années à l'école, l'impureté de certains sorciers lui a donné l'excuse parfaite pour justifier ses jeux brutaux, auprès de ses parents. C'est un devoir que de rappeler à la vermine quelle n'est qu'une insulte au monde des sorciers. minaudait-elle alors. La faiblesse d'autrui ou un manque d'assurance est aussi détectable pour Asphodèle, qu'un jet de sang dans l'océan pour un requin. Elle qui sait toujours où appuyer pour blesser, elle ne peut s'empêcher d'enfoncer plus profondément sous l'eau la tête de celui qui se noie déjà. Atteinte d'égocentrisme au dernier degré, il n'y a que sa petite personne qui l'intéresse réellement. Gardez à l'esprit que si elle vous accorde un tant soit peu d'attention, elle le fait avant tout par intérêt. Quelles que soient les circonstances, Asphodèle joue seulement pour gagner, et c'est dans cette optique qu'elle consent à s'entourer de rares élus, qui de part leur rang, leur sang et leurs idéologies ont su gagner, sinon sa confiance, ce qui se rapproche le plus d'une forme de respect. a little something from you. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Les doigts serrés sur sa baguette couleur d'ivoire, la sorcière défit le monstre qui la surplombe, son regard planté dans le celui de la créature fantomatique. Le requin est immobile et son aileron noir caresse le haut-plafond de sa chambre. Il la juge, semble-t-il. Et sa gueule béante lui offre la vision de ses crocs prêt à mordre. Deux monstres qui se jaugent sans peur. Un tiraillement aux portes de son esprit, une agitation interne inhabituelle, et la sensation d'accomplissement grandiose qui gagne instantanément Asphodèle dès lors que le lien se met en place. La baguette s'abaisse, et le requin toujours sous sa forme astrale consent à plonger vers la sorcière. Ses mouvements empreint d'une sorte de langueur gracieuse qu'il ne doit qu'à sa condition de roi prédateur. Ovidius, laisse échapper la créature en pensée. Et sa voix tranchante dans l'esprit d'Asphodèle la ferait presque jubiler. Ovidius, a dans le regard, toute la méchanceté qui caractérise la sorcière. Perversion est la mettre mot pour décrire le lien qui unit Ovidius à Asphodèle puisque l'animal est aussi peu pourvu de conscience que sa maîtresse, raison pour laquelle ils s’encouragent mutuellement d’une manière particulièrement malsaine, ce qui les conduit bien souvent à certains « débordements ». Leur alliance est tout simplement diabolique. Le requin pour plus de commodité dans les salles de classe par exemple, prend également la forme d'un scorpion. Ovidius a pour habitude de se déplacer partout sur le corps de la sorcière, et de se blottir des ses manches. Mais ce qu'il préfère, c'est se glisser sur la main d'Asphodèle, lorsque celle-ci laisse volontairement traîner ses doigts sur la table des premières années. Provoquer la peur l'a toujours beaucoup amusé. You're not a sad story. « Naître au sommet c'est la crainte perpétuelle de tomber. Et aucun Lestrange digne de ce nom ne s'abaisserait à tendre sa main au maillon faible. Ce serait accepter de descendre du piédestal sur lequel sa haute naissance le place automatiquement. Plutôt mourir. Non, plutôt les regarder mourir. »
L'enfant a grandit dans le silence. Un silence vaguement troublé par les allés et venues des domestiques, ou les doigts de son frère caressant les touches du piano à queue. Un silence altéré par les jeux de ses cousins, auxquels Asphodèle n'a jamais prêté qu'une attention las. Ce qu'il y avait d'inquiétant chez la fillette, c'est qu'elle avait toujours semblé se suffire à elle même. Elle ne souriait pas, ne cherchait pas à se mêler aux autres enfants, comme si s'attirer leur sympathie lui était parfaitement égale. Comme si tout cela l'ennuyait profondément. C'était le cas. Ce qu'elle aimait, c'était se perdre entre les pages des manuscrits épais et poussiéreux de son père. Des lectures qui n'était pas de son âge et que son esprit encore jeune ne comprenait que partiellement. Courroucée, elle s'empressait alors d'aller trouver sa mère pour exiger -plus qu'elle ne demandait- à avoir des explications sur ce qu'elle n'avait pas saisit. Ce qu'elle aimait, c'était marcher au dehors, et elle s'échappait du manoir pour disparaître dans la végétation qui l'entourait dès que c'était possible. Elle s'amusait alors à réciter à voix haute, les noms des grands mages ayant marqués l'histoire, les noms de ses ancêtres et ce qu'ils avaient accomplis, les noms des incapables nommés au post de ministre de la magie au cours des siècles. En fait dans un sens plus général ce qui l'amusait était d'énumérer tout ce qu'il était possible de lister, juste pour se prouver qu'elle en était capable. Et elle l'était, puisque dotée d'une mémoire photographique, la fillette avait dès son plus jeune âge, la capacité d’emmagasiner une grande quantité d'information, en très peu de temps et de façon très détaillée.
Asphodèle savait tant de chose qu'on en oubliait presque qu'elle était une enfant. Ce qu'elle se plaisait à rappeler en multipliant les crises de colères. Déclenchées pour un rien, ou peut être pas l'absence prolongée de son frère, et son envie dévorante d'intégrer à son tours l'école de renommée mondiale. Des caprices, dont pâtissaient régulièrement les domestiques que son rang et l'argent de ses parents avaient mis à son service dès qu'elle avait été en âge de parler. Son port de tête altier, ses lèvres légèrement pincées et ses airs de princesse faisaient oublier qu'Asphodèle avait dix ans à peine. Pourtant le regard qu'elle portait sur le monde était celui d'un empereur qui jaugeait ses sujets. Elle n'avait aucun geste pour aider l'elfe de maison à poser le service à thé sur la table, à vrai dire, la jeune-fille finissait par en oublier jusqu'à l'existence. Une fois à portée de main, Asphodèle avait goûté le breuvage sous le regard anxieux de la créature. Le thé était parfait. Ce qui ne l'empêcha pas de reposer brutalement sa tasse sur la table. « Il est trop froid. » cracha-t-elle en foudroyant la malheureuse créature du regard. « Apporte moi quelque chose de buvable. » Il s'écoula plusieurs minutes avant que la-dite créature ne refasse son apparition, une lueur de crainte dans ses yeux globuleux alors qu'elle s'empressait de tendre une nouvelle tasse à sa maîtresse, les doigts tremblant. « Il est trop chaud maintenant ! Tu veux donc que je me brûle ? » s'écria-t-elle en aspergeant l'elfe de maison avec le contenu bouillant de la tasse. Mais elle se moquait bien des cris de la bestiole, lui ordonnant de réparer son erreur dans l'instant, puisqu'elle n'aurait pas de troisième chance.
Asphodèle avait été faite de façon à ce qu'elle ne puisse jamais se détourner du chemin que ses parents souhaitaient la voir emprunter. Ils avaient battit en elle une forteresse inébranlable sur les murs de laquelle s'inscrivait son dégoût pour les sangs de bourbe, et son désir de voir régner à nouveau la suprématie de sa propre race. Celle de la pureté, qu'elle proclamait comme supérieure. Son père, pour lequel elle avait encore le plus grand respect, la poussait à se surpasser, et elle se plaisait à lui prouver que c'était toujours possible. Tant dans les apprentissages magiques où elle obtenait systématiquement d'excellents résultats, que dans sa ferveur pour la cause du seigneur des ténèbres, dont elle épousait l'idéologie avec chaque jour plus de fanatisme. Et si les blâmes concernant son comportement à l'égare de certains nés-moldus avaient tendance à se multiplier depuis qu'Asphodèle fréquentait Poudlard, son père ne pouvait retenir ses sourires. Comment aurait-elle pu se douter que cet homme qui l'avait façonnée n'était qu'un traître à son sang. Incapable de respecter ses propres règles ? Asphodèle avait vu s'écrouler la conviction que son père était un homme respectable, le jour où celui-ci rentra au manoir avec sa demi-sœur. Cette fille laide dont le sang était mêlé. Cette fille qui bafouait sa mère par sa simple présence. Cette Athanasia à laquelle Asphodèle ne souhaitait que la mort. Et si elle avait eu le pouvoir de la lui infliger sur le champs, la demi-moldus n'aurait pas passé la porte du manoir. Outrée. Asphodèle s'était vengée en giflant la première servante qu'elle avait croisée sur le chemin qui la menait jusqu'à sa chambre. La haine était telle, qu'Asphodèle n'avait eu aucun scrupule à la faire basculer dans les escaliers. Une mauvaise chute et une nuque tordue au bas des marches, cadeau de bienvenue pour l'étrangère. Sa mère avait hurlé. Mais peu lui importait, la vie de cette cracmol ne valait à ses yeux, pas mieux que celle d'Athanasia. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: 19 ans spf ϟ Où as-tu trouvé le forum? Bazzart ϟ Personnage: PV ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non, j'suis unique ϟ Présence: 7/7 hors événement imprévu :kiki ϟ Une remarque? Vous êtes beaux, je vous
Dernière édition par Asphodèle C. Lestrange le Ven 13 Mar - 3:35, édité 17 fois |
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