| Althea - With a hurricane at the back of her throatpar Invité, Ven 3 Avr - 19:17 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Althea Kahlan Greengrass FEAT. Marie Avgeropoulos 20 ans ϟ Justice magique ϟ Guépard ou corbeau ϟ Sang pur Nom: Greengrass, un nom qu'on porte comme une enclume, qui pourrait servir d'échafaud mais qui pourtant semble l'ancrer dans un monde défini. Prénom: Althea Kahlan ,comme des héroïnes d'histoires que sa mère lisait Âge et Date de Naissance: 20 ans, née le 10 août 1961 Nature du sang:Pur, même si je suppose que je ne le saurai jamais... Situation familiale:J'ai une super maman avec laquelle je m'entends à merveille. Elle s'est mariée avec un homme qui n'est pas mon père, mais que je respecte un peu quand même. Je n'ai pas de frères et soeurs et mon père.... Je crois que c'est là que le bât blesse. Je n'en ai pas.... Qu'on se comprenne bien, évidemment que j'en ai un. Mais je ne le connais pas et j'ignore même qui il est. Ètrange et lourd fardeau pour une enfant de bonne famille que d'ignorer son ascendance. Patronus: Holden est la plupart du temps un guépard à l'extérieur, lorsqu'il peut se dégourdir les jambes, mais il aime aussi être un corbeau pour se poser sur mon épaule ou à côté lorsque je suis en cours. Miroir du Rised: Je me vois dans une salle remplie de livres, essayer encore et encore des sortilèges dont je n'ai jamais entendu parler jusqu'à l'épuisement. Composition de la baguette magique: Quoi, vous voulez parler de cette peste? Il paraîtrait qu'elle a une plume de phénix et qu'elle est faite en bois de noyer... Je l'aime beaucoup, mais il me semble parfois qu'elle a son propre caractère et qu'elle ne m'aime pas toujours... Parfois elle fait des siennes et lorsque je lance un sort, il en sort quelque chose de plutôt... spécial. Mais je crois qu'on parvient à se comprendre la plupart du temps... Enfin, je crois. Epouvantard: Ma grand-mère Etudes Suivies: Je suis en troisième année de sciences politiques magiques et je suis des cours de langues, ainsi que de légilimencie et d'occlumencie. Je sais, idéalement, il me faudrait du temps libre, mais dans ma famille on dit que c'est pour les faibles... Soi disant il s'agit d'une plaisanterie, mais avez-vous déjà rencontré un Greengrass?[/url] Animal de compagnie: Un chat roux du doux nom de Bran, qui s'est pris d'affection pour mon très cher Holden et le traite comme s'il était son père. Inutile de dire que cela agace prodigieusement mon Patronus... qui ne tente pourtant pas de fuire. Caractère Le moins qu'on puisse dire d'Althea, c'est qu'elle réfléchit énormément et elle aime ça. Elle aime apprendre et méditer sur ce qu'elle a appris afin d'y trouver une utilité pratique et quotidienne. Elle est donc souvent perdue dans ses pensées, du moins en apparence. En effet, il suffit de l'interroger pour voir qu'elle écoute avec attention et suit les cours avec assiduité. En dehors des cours elle lit pour s'informer et apprendre. Il est des matières qu'elle préfère, pour lesquelles elle a des affinités particulières et d'autres qui lui demandent plus d'efforts, mais elle se met comme objectif d'exceller au niveau académique. Elle essaie de se faire apprécier de ses camarades autant qu'elle peut afin de remplir ses objectifs, même si cet aspect lui demande passablement d'efforts. En effet, si elle n'a aucun problème à être amicale et se montrer loyale et présente, elle tend à préférer la solitude et la tranquillité pour mieux méditer. Elle est tellement bien éduquée que cet aspect de sa personnalité ne transparaît pas et toute personne qui la verrait la confondrait pour une personne très sociable, voire légèrement arrogante et sûre d'elle. Même si elle connaît et apprécie beaucoup de monde à l'école, ce qu'elle estime par-dessus tout est son groupe d'amis fermés. Ceux-ci savent qu'ils peuvent la trouver à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit pour qu'elle les aide, quelle que soit la situation. Mais pas n'importe qui est son ami… Elle a beau être d'une nature ouverte et attentionnée, son éducation a joué un grand rôle sur sa vie et cette vision élitiste de sa famille lui a été transmise. Ses relations, elle les a donc cherchées en premier lieu en fonction du rang et du sang, même si elles ont par la suite évolué en réels liens d'amitié. Elle est aussi extrêmement compétitive, tant au niveau académique qu'au niveau personnel et sportif. Elle cherche à être la meilleure et non seulement meilleure que les autres, mais meilleure qu'elle-même, ce qui la pousse à travailler avec acharnement jusqu'à l'épuisement. Malgré tout, elle sait s'amuser et se lâcher lorsque l'occasion se présente, possédant de nombreuses blagues sous la manche et un certain sens du rythme. En soi, il est difficile de savoir ce qu'il se cache vraiment dans la personne d'Althea, tant ce qu'elle aimerait être se trouve contredit par ce qu'elle doit être pour satisfaire les besoins de son niveau social et de son exigeante famille. Cela en fait une personne réservée et secrète, du moins dans ses émotions qui sont en fait un branle-bas de combat. Ses courses matinales n'ont pour but que de l'empêcher de hurler sa frustration envers le monde entier et si tout le monde est au courant de son histoire, très peu sont ceux qui peuvent se vanter d'en avoir eu sa version. Dans tous les cas, elle est une personne qui gagne à être connue, non seulement pour ses nombreuses compétences, mais aussi pour son empressement à les partager… Mais attention à ne pas la lancer sur un sujet qui la passionne, vous risquez d'y perdre des heures. a little something from you. Le vent soufflait à travers le parc. Rien ne semblait pouvoir mettre le parc à l'abri des violentes bourrasques de la saison, mais cela ne m'empêchait pas de sortir. Mes courses le matin étaient ce qui me permettait de reste en forme, tant physiquement que mentalement. Je regardai Holden courir à côté de moi en me souvenant qu'il était apparu plus ou moins dans les mêmes circonstances, après un Noël parfaitement éreintant.
Sourire, hocher la tête, remercier, serrer des mains hypocrites, tout à la perfection, comme une fille de la pure famille Greengrass se devait de faire. Heureusement, tout cela se taisait à 6h du matin. Le monde entier dormait et je pouvais me permettre de filer dans les airs, courir aussi vite que possible dans un parc sous la neige, se laisser emporter par la vitesse, l'émotion et tout ce que je refoulais au plus profond de moi. Je courais de toutes mes forces lorsque cette voix retentit dans ma tête.
*Vas-y! Plus vite! Tu crois arriver où que ce soit comme ça?*
Destabilisée, je ralentis un peu, mais continuai tout de même à courir. Sans doute un tour de mon cerveau qui surchauffait à cause du week-end. *Ton cerveau surchauffe oui, mais il le faisait déjà avant ce week-end.*
Je ne comprenais pas ce qu'il se passait alors, je ralentis un peu plus et regardai de gauche à droite, avant de voir cette petite lueur briller à côté de moi. Loin d'être rassurée, cela mit mes sens en alerte et je repris de la vitesse, tentant de fuir cette boule lumineuse qui pourtant brillait à côté de moi et semblait s'étirer en un spectre. En me demandant si j'étais hantée, je repris encore de la vitesse si je le pouvais, mais bientôt, j'étais à bout de souffle et la forme à côté de moi semblait se rapprocher. Mes poumons brûlaient et mes jambes ne semblaient plus être capables de me porter longtemps, mais elles n'eurent pas à le faire. Une masse chaude et velue me sauta sur le dos en me faisant lourdement tomber au sol, le nez dans la neige, saignant sous l'impact, mais trop paniquée pour tenter autre chose que de me dégager. D'une voix désabusée, l'animal s'allongea sur mon dos comme s'il s'agissait d'un coussin confortable. Il avait quatre pattes et des griffes plutôt longue, le poids me coupait la respiration. *Oh, relax chochotte, je me mets à l'aise, tu peux très bien respirer, si tu te décides à prendre des bouffées d'air normales.* "Mais qui es-tu?! Pourquoi parles-tu dans ma tête? Qu'est-ce que tu vas me faire?" La peur m'envahissait et j'ignorais ce que je pouvais faire, mais pourtant, mon instinct n'était pas inquiet mais plutôt rassuré, comme si cette présence n'avait rien de négatif. Mais cela ne pouvait pas être positif, une boule blanche qui devient un animal qui se met sur mon dos. *Oui, mais si tu écoutais ton intuition, tu t'en sortirais beaucoup mieux dans la vie Althea.* Je me demandai comment il connaissait mon nom et je l'entendis bâiller dans ma tête. *Ah, je connais pourtant celle qui m'a donné vie… Et si on faisait une sieste maintenant?* Je sentis alors la tête se poser sur la mienne, sans comprendre.
Je souris à ce souvenir en voyant Holden courir à côté de moi sous sa forme de guépard, celle qu'il préférait, celle qui le faisait se sentir libre, même plus que celle de corbeau. Mon Patronus protecteur, comique et désabusé, ne respectant absolument aucune norme sociale. Il grogne en entendant ma pensée et je ris. Je connaissais sa réponse. *Les conventions sociales sont des entraves à notre bonheur.* Il était aussi philosophe et j'aimais débattre avec lui de plus ou moins tout ce qu'il pouvait se passer dans la vie. Une ombre obscurcit mes pensées en me souvenant de ce qu'il se passait dernièrement. Notre école en quarantaine car les gens tombaient malade et perdaient leurs Patronus. Je ne pouvais plus vivre sans cette envahissante boule de poils ou de plumes. Il m'aidait tellement jour après jour, que je n'imaginais pas m'endormir avec toute la place dans mon lit, sans un guépard qui trouvait que le sol était inconfortable. *Ne t'en fais pas, je n'irai nulle part… Je n'ai pas l'intention de tomber malade et toi non plus. En attendant, le premier arrivé à la Volière a gagné.*
Toute la vie était une blague pour Holden, mais je savais que sa peur était réelle, car je la sentais en moi. Nous étions deux moitiés d'un tout, il pensait tout haut ce que je n'osais admettre à moi-même, me poussait à me poser des questions que je souhaitais éviter de me poser et par dessus tout, il était mon meilleur ami. Dans son humour, je lisais sa peur de devoir me quitter, je lisais sa peur de souffrir comme certains l'avaient fait. Lui qui était si protecteur de base se surpassait dernièrement, laissant à peine les gens m'approcher. Je savais qu'il le pensait aussi : La vie semblerait terriblement déséquilibrée si on nous amputait de la meilleure partie de nous-mêmes. [/b] You're not a sad story. L'histoire de la plupart des gens commence avec la naissance. La mienne a commencé bien avant ma naissance, mais le problème est que j'en ignore une grande partie. Je ne connais l'histoire que depuis le 4e mois, lorsque ma mère, Eleanor Greengrass, âgée alors de 26 ans, arriva auprès de ma grand-mère avec un air coupable au visage. Ma grand-mère s'en doutait déjà et pourtant elle la laissa tout de même trouver une manière de le lui expliquer. A force de grands gestes, d'excuses pathétiques, avant de finalement prendre un gros soupir et annoncer qu'elle était enceinte. Le problème? Ma mère n'était pas mariée et ne fréquentait officiellement aucun sorcier. Lorsque ma grand-mère demanda quel était le père de l'enfant (donc moi), ma mère se refusa à le lui dire. La réponse ne la convainquit pas, mais elle ne put en obtenir une autre. Eleanor se refusait à dire le nom du père de l'enfant qu'elle portait en elle. Et rien de cela n'a changé à ce jour… Les Greengrass, tout élitiste qu'ils soient, restent une famille soudée et sans histoires et il était hors de question que ma mère se débarrasse d'un enfant, tout bâtard qu'il fût. Même si pendant une période, cela fit les choux gras de la société sorcière. Comment une fille Greengrass, aux études brillantes, à l'avenir tout tracé, avait pu se laisser aller à avoir un enfant? Était-ce l'enfant d'un moldu? Était-ce l'enfant d'un né-moldu? Pire encore, d'un Cracmol? Personne ne comprenait quelle vérité pouvait être si atroce que ma mère choisissait de la cacher. Eleanor Greengrass, enceinte d'un père inconnu… La meilleure théorie et celle qui faisait le plus réagir ma mère était celle de la liaison avec un homme marié. Elle avait beau être une femme extrêmement ouverte et sociale, je sais qu'il y a des choses auxquelles elle ne se serait pas rabaissée et la théorie de l'homme haut placé et marié était celle qui me convainquait le plus et celle qui cachait probablement la vérité.
La réalité est qu'en plus ma mère me parle de mon père. Elle refuse toujours de me dire de qui il s'agit, pourtant elle n'hésite pas à dire que je fais certaines choses "comme mon père", que je réagis "comme mon père". Que mon père était très intelligent, brillant et un excellent meneur, que je n'ai pas de soucis à me faire quant à la qualité de mon sang, car il était pur lui aussi. Pourtant, quand je la supplie de me dire de qui il s'agit, elle se referme et elle m'avoue que c'est le seul secret qu'elle ne pourrait jamais partager avec moi. Elle a l'air si triste et si brisée dans ces moments là, que je me demande si elle n'aurait pas fait un serment inviolable avec cet homme… Mais je digresse. Je suis née en cette journée d'août alors que ma mère geignait qu'elle avait trop chaud et que j'aurais dû naître depuis deux semaines. Elle qui était une assoiffé de lectures ne put faire autrement que de me nommer comme ses héroïnes favorites. Et pendant les premières années de ma vie, je fus heureuse. Bien sûr, l'éducation que les Greengrass offrent est ce qui se fait de meilleur et exige un grand investissement de temps. Mais je n'avais pas conscience d'une quelconque différence de rang ou de statut pendant un certain temps. Jusqu'à l'âge de cinq ans, lorsque ma grand-mère m'invita dans son bureau et me fit m'asseoir comme une grande personne, car elle estimait que j'étais prête à entendre la vérité. Ce sont le genre de scènes qui restent gravées à jamais, le genre de discours qu'on tente d'interpréter de toutes les manières possibles et imaginables, pourtant… Il n'y avait pas d'interprétation plus douce qu'on pouvait faire.
"Althea, mon enfant… Tu grandis maintenant et bientôt, tu devras prendre la place d'une vraie Greengrass dans le monde. Le problème, c'est que tu as beau être une Greengrass, aux yeux du monde, tu n'es rien d'autre. Tu vaux probablement moins que nous. Ton sang n'est jusqu'à présent pas sûr, on ne sait quel genre d'héritages tu portes, ni même si tu seras une sorcière comme il se doit. La vérité fait mal mon enfant, mais tu vaux moins que nous. C'est pour cette raison que tu dois te montrer plus que nous. Tu dois te montrer plus intelligente, plus éduquée, plus vive que tous les sorciers. Si tu veux que personne ne te remette en cause, si tu veux que personne ne t'appelle la bâtarde. Si tu veux continuer ta vie en portant ce nom sans le ternir, Althea, tu dois être plus que toutes les autres. Tu dois te montrer digne de ton rang et de ton sang, car malheureusement, ta naissance seule ne te suffira pas. Tu dois savoir mériter ta place dans cette famille… Sinon, il n'y a pas de raisons que tu y restes."
Peut-être me l'avait-elle dit dans l'intention de me pousser vers le haut. Peut-être était-ce de l'amour à l'état pur, car elle voulait être sûre que personne ne me rabaisserait jamais à cause de mon statut de bâtarde, mais ce discours n'en demeurait pas moins effrayant pour l'enfant de cinq ans que j'étais. Je pleurai beaucoup les jours qui suivaient, effrayée de perdre tous les liens que j'avais pu construire jusqu'à lors. Ma mère n'admit pas tout cela et se disputa avec ma grand-mère. Mais comme c'est bien connu, les femmes ont le pouvoir chez le Greengrass et ma mère avait beau être têtue, elle tenait ça de sa propre mère… Les jours qui suivirent tous ces drames, je ne mangeai pas, mon corps était affaibli et j'attrapai la varicelle. Simplement, même si mon corps était affaibli, ma magie, je le découvris alors, ne l'était pas. Les boutons qui auraient dû me déranger et me démanger à m'en rendre désespérée n'en faisaient rien. Ils se baladaient sur mon corps, pour former des sortes de dessins qui me fascinaient. Lorsqu'ils me démangeaient et que je tentais de les gratter, ils se déplaçaient si bien que je ne savais plus où était l'endroit qui me démangeait. C'est ainsi que je me découvris sorcière, au grand soulagement de toute ma famille. Mais cela ne sembla pas surprendre ma mère, qui ne fit que regarder ma grand-mère en souriant narquoisement: "Je t'avais bien dit qu'elle était une pure sorcière."
Alors la petite sorcière que j'étais se mit en tête de faire ce que sa grand-mère lui avait dit: être plus qu'une petite sorcière. Par chance, le niveau suivant dans mon éducation était la lecture, qui se révèlerait être ma plus grande passion et ainsi, mon moyen le plus facile de faire ce que ma grand-mère exigeait de moi: être plus que ce que je devais être, être plus que les autres. Je reçus sans surprise ma lettre de Poudlard et j'allai avec hâte chez Ollivanders choisir ce qui serait ma compagne pour la vie. Elle se fit désirer et attendre, et je faillis détruire la boutique du vieil homme ainsi que les sourcils de ma mère. Et pourtant, elle arriva, belle, blanche, polie, celle qui me permettrait enfin d'être plus que ce que j'étais jusqu'à là. Dès que je fus en mesure de l'user, je l'usai. Non seulement j'aimais apprendre ce que Poudlard avait à m'offrir, mais j'apprenais que la magie était plus que ce qui était dans les livres. J'apprenais à la ressentir et la percevoir comme un flux à manipuler à l'infini et j'adorais ça. J'excellais partout à force d'étudier et j'aimais ça en plus, j'avais hâte de toujours découvrir de nouvelles choses et d'être parmi les meilleures de la classe. Bien sûr, je ne parvenais pas toujours, car je n'étais pas la seule qui s'efforçait, mais je menais une compétition féroce à quiconque menaçait ma place.
J'étais une fille appréciée dans ma maison, toujours souriante et prête à aider les autres. J'avais compris qu'être plus que tous les sorciers devrait s'appliquer à tous les aspects de ma vie. Je devais aussi être plus appréciée que tous les sorciers. Le temps passait et je me découvrais pour réelle passion la création de sortilèges. Du moins la tentative de créations de sortilèges. Mais à mesure que le temps avançait et que ma famille se rendait compte que j'étais à la hauteur de leurs attentes, ces mêmes attentes semblaient croître et lorsque je fus en sixième année, ma grand-mère me fit comprendre que la voie idéale pour une "Greengrass comme moi" était de m'orienter vers le Ministère. Je devais faire briller mon nom encore plus, pour m'en montrer digne. Peu importait que je pensais pouvoir faire une carrière dans les sortilèges et leur invention, peu importait que je rêvais de voir le monde et découvrir encore et encore, tout ce qui comptait, c'était de faire briller toujours plus fort et toujours plus loin le nom de Greengrass. Et peut-être quelque part en moi, espérais-je aussi secrètement que si je brillais assez fort, je pourrais attirer l'homme que ma mère a aimé au point de garder son secret pendant en tous cas 20 longues années. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Malow, bientôt 25 *bouhouhou* ϟ Où as-tu trouvé le forum? Amadeus m'a importée ϟ Personnage: Inventée ϟ As-tu un autre compte sur BP? Nope ϟ Présence: 4/7 ϟ Une remarque? non, si ce n'est que j'adore l'idée des Daemon dans HP
Dernière édition par Althea K. Greengrass le Ven 3 Avr - 23:23, édité 8 fois |
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