BELLUM PATRONUM


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am, stram, gram ∆ Leho
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par Invité, Lun 18 Mar - 21:31 (#)
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Leho Maxime Andreïs
FEAT. Jake Cooper
19 ans ϟ Médecine magique ϟ Argus bleus et Belette ϟ Sang-mêlé


TOILETTE FEMME

« Suis-nous Andreïs. » Encore. Ce groupe de loubard était encore venue me chercher. Je me levai, sous les regards partagés de mes camarades de classe. Certain savait que ce qui allait se passer, d'autre se demander pourquoi un gars comme moi ; seul, intello, parlant peu, à l'allure faible et naïf, traînait avec une bande comme eux ; branché, admiré, fort et respecté. Ils m'emmenèrent devant une porte, levant les yeux, je vis qu'on entrait dans les toilettes des filles. « Entre. » Une main me poussa à l'intérieur, pris par surprise, je tombai au sol. S'ensuit alors une ribambelle de rire moqueur à mon égard. J'en avais marre. « Comment va ton épaule ? » Le silence régna tout à coup. J'appuyais ma main contre mon épaule, refoulant un cri de rage. « La ferme. » Ils n'ont pas apprécié. Je senti le premier coup contre mon thorax, le second dans mon dos, le troisième sur mon visage et puis plus rien, je ne comptais plus le nombre de coup que je recevais, ni leur endroit, je continuais de subir, encore et toujours, subir. J'en avais marre. Soudain les coups s'arrêtèrent, j'avais mal partout, je sentais l'odeur du sang se répandre dans ma bouche et une colère montait en moi. « Tu ne dis plus rien, mauviette ? » Je serai mes poings, restant immobile. Personne ne bougea pendant un long moment, je suis resté comme ça, au sol, misérable et perdu. Et eux debout, fier et désespérer. « Tss.. » Des mains agrippèrent mon t-shirt et me soulevèrent sans aucune difficultées. Elles me collèrent contre le mur et je reçu un léger choc au cerveau, nouvelle douleur. Soudain une main plongea dans une de mes poches et pris quelque chose. Je savais ce que c'était. « Hé regardez ça les gars, c'est ta p'tite amie ? » « Non, regarde imbécile, c'est écrit derrière ; Pour ne jamais oublier, Maman. » Je regardais ces idiots droit dans les yeux, en colère, ils n'avaient pas le droit. « Rendez-moi ça. » Silence. Tous me regardèrent avant d'exploser de rire. « Tu la veux, viens la prendre. » Ses mains déchirèrent en deux, puis en quatre la photo, la dernière photo de ma mère, la seule qui me restait d'elle. S'en était assez. Mes poings s'écrabouillèrent sur la première partie de corps que j'arrivais à atteindre. Violent. Colérique.


BUREAU DU PRINCIPAL

Toc toc. « Entrez. » La porte glissa bruyamment sur le sol, je senti le sol trembler, le son de ses pas marcher sur le sol, droit, fier et respectable. Il venait d'arriver. En aucun cas je le regardais, je fixai droit comme un I la fenêtre, attendant patiemment son habituel morale. Ses pas s'arrêtèrent, il empoigna fermement mon épaule, me forçant à me retourner vers lui pour affronter son regard plein de mépris. « Petit insolent. » Il me gifla. Comme toujours. Je gardais ma tête vers le sol, contenant ma rage tout en essayant d'oublier la brûlure sur ma joue. « Monsieur Andreïs, commença soudain le principal en se raclant la gorge, mal à l'aise. Je suis aujourd'hui confronté à un véritable dilemme. » Je senti le regard accusateur de mon père me regardais pendant un long moment, avant de demander au principal de poursuivre. « Et bien voilà. Dans notre établissement, nous avons un système qui permet aux élèves de s'exprimer sur ce qu'ils pensent des cours, des professeurs, des élèves .. » « Oui, je le sais bien. Et alors ? » Gronda l'imposante voix de mon père. Le principal se tue un instant, gênée. « Récemment, beaucoup ont étaient adressé à votre fils. » La main de mon père vint se poser sur ma jambe et je senti sa main se resserrer fermement, broyant ma jambe. Je ne pu retenir une grimace de douleur, il retira sa main, mais la sensation de sa pression était encore là, foudroyante. « Apparemment il se serait bagarré avec un groupe de garçons et depuis ces camarades le décrivent comme arrogant, manipulateur, froid, colérique, bagarreur, hautain et égocentrique. » J'osais enfin regarder les yeux de mon père, ils étaient perdus dans le vide, mais je ne pu sentir ni de la surprise ni du mécontentement. « Et qu'elle est donc ce dilemme dans ce cas ? » « C'est que voyez-vous, les professeurs et moi-même ne partageons pas ces dires. Pour toutes les personnes que j'ai interrogé ici, Leho est intelligent, aimable, poli, sérieux, généreux, solitaire, mais amicale. » Le regard de mon père s'assombrit peu à peu. « Leho, sors s'il te plaît. » Enfin. « A bientôt, monsieur. » Je sortie enfin du bureau. Je regagnais ma salle de classe.


a little something from you.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]« Un jour Leho, quelqu'un te trouvera, il te suivra, t'écoutera et t'aimera plus que n'importe qui ne t'a jamais aimé. Sois patient, il sera te trouver. » C'était la dernière phrase que ma mère m'ai dite et dont je me souvenais. Bien des années étaient passées depuis que maman était partie, mais personne n'était jamais venue, personne n'était jamais apparu. Du moins jusqu'à ce moment précis.

J'étais dans la cuisine à la recherche d'une poche de glace, une fois encore m'a mauvaise habitude de frapper quelque chose quand je suis énervée avait recommencé. Ce n'est pas bien grave quand la chose en question est un coussin, un lit ou autre chose confortable. Mais quand la chose en question n'est d'autre qu'un miroir et que celui-ci, sous la force de l'impact de brise et vous blesse, ça devient tout de suite plus compliqué. Après avoir trouvé mon bonheur, je remontais dans ma chambre, dans le noir. Arrivais devant ma chambre, une lueur brillante émanait de la porte. Pris d'un élan de curiosité, j'ouvris ma porte et vu voler un grand et magnifique papillon bleu au-dessus de mon lit. Croyant que les antis douleurs m'avaient donné endormi plus tôt que prévu, je m'endormis, oubliant vite cette étrange lueur. Ce n'est que quand le matin arriva et que je vis la même lueur bleue me suivre toute la journée que je me rendis compte que ce n'étais pas une hallucination, c'était réel. D'ailleurs le papillon ne partait pas, j'avais beau essayait de faire de grands gestes, rien n'y faisait, le papillon ne partait et en plus si par mégarde je le touchais plus fort que prévu, je recevais moi-même mon coup. Le papillon était un Argus Bleus. Et cette Argus Bleus me rappelait les paroles de ma mère quand elle me parlait de son ami, celui qu'elle ne quittait pas, et celui qui disait-elle un jour me trouverai. Je crois qu'il est arrivé, cet ami qui ne me quitte pas.


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] « Leho ! Lève-toi ! » « Hum .. » Je me retournais légèrement, sentant soudain une étrange sensation de froid parcourant tous mon corps. J'ouvrais péniblement un oeil, voyant devant moi ce magnifique papillon bleu, qui malgré l'habitude, me faisait toujours autant d'effet. « Ivy .. » J'avais décidé de l'appeler Ivy, nom qu'elle avait l'air d'apprécier je suppose. Je refermais mon oeil. Trop fatigué pour me lever, on était samedi non ? « Tu ne me laisses pas le choix alors. » Je n'écoutais qu'a moitié, mais je regrettais tous de suite. J'étais trempé, mon lit était mouillé, elle venait de me jeter -on ne sait comment- un verre d'eau sur la tête. Radical, j'étais levé et réveillé maintenant. « Mais ça va pas ! Je vais être malade moi maintenant ! » Ivy se changeât en sa deuxième forme, une adorable petite belette. « Tu m'ignorais, tu ne m'as pas laissée d'autre choix .. » Ça recommençait. Ivy était très manipulatrice, elle savait pertinemment que même si j'adorais sa forme de papillon, j'aimais encore plus celle-ci, une adorable petite belette toute blanche. Ivy était affreuse. « Raah ! C'est bon ok ? Je suis levé maintenant. » Je me retournais vers mon réveil, 8h du matin .. J'allais la tuer, sauf que si je faisais ça, j'allais mourir aussi. J'abandonnais. Ivy était trop maligne pour moi, elle était aussi colérique, froide et autoritaire, mais elle était adorable. Quelquefois.


This one moment when you know you're not a sad story.

    « Encore un petit effort, madame! »
    Une longue respiration, puis soudain, la délivrance.

    LEHO MAXIME ANDREIS
    NÉE LE 15 DÉCEMBRE
    FILS DE MIA W. ET DE ELIJAH ANDREIS
    BÂTARD.


    « Bâtard .. » A croire qu'ils étaient obligés de le préciser, comme si ce n'était pas déjà écrit en grosse lettre sur mon front. Ma mère n'était qu'une domestique ordinaire, amoureuse de l'homme qu'elle servait, mon père. Mon père était un homme important, je n'ai jamais su s'il avait un jour aimait ma mère, après tout ce genre de choses était courante de cette société. Quand je suis née, ma mère est partie de la grande maison où elle était, m'emmenant avec elle. Nous avons vécu de grands moments de pauvreté, mais elle m'aimait, je ne me sentais pas seul, ni triste, j'étais aimé. Ma mère m'a donné une bonne éducation, m'apprenant comment me comporter avec la grande société, malgré que durant toutes ses années, je n'en ai jamais rencontré. Ma mère était une femme étrange, à mes yeux d'enfant, elle n'était une humaine comme les autres. Et je ne mettais pas tromper. Ma mère était une sorcière, bien qu'elle ne me l'ait jamais dit. Un soir, alors que je me baladais dans la maison pour me prendre un verre d'eau, je l'avais vu, debout dans sa chambre, elle tenait quelque chose à la main, mais à ma distance, je n'avais pas deviné quoi. Puis, ses lèvres bougèrent et je n'entendis qu'un murmure dans ce silence. « Failamalle » Soudain, une lumière jaillit de nulle part, et toutes les affaires de son placard se rangèrent les unes après les autres dans une valise posée sur son lit. Ne sachant pas trop si ce que je venais de voir était vrai ou si ce n'était que mon imagination d'enfant, je retournais dans ma chambre, essayant tant bien que mal de m'endormir, sans résultat. Le lendemain matin, je me levais, boule au ventre. Était-elle encore là ? Je me dirigeais dans le salon, anxieux. Un grand soupire de soulagement sortie de mes lèvres, quand je l'a vit, debout en train de préparer le petit déjeuner, comme d'habitude. « Leho, ce soir je t'emmène faire un tour, ok ? » Je ne répondis pas, me contentant de sourire et de hocher la tête. Avant de partir pour l'école. Ah l'école...

    Le soir venu, après avoir passé une journée d'école, qui comme d'habitude était affreusement ennuyante, je suivi ma mère dehors. Nous avons marché dans les rues, très silencieux. Ma mère me tenait la main, et moi je la serrai de plus en plus fort au fur et à mesure qu'on avançait dans la ville, s'éloignant de la maison pour s'aventurer dans des ruelles et des parties de la ville qui m'étaient très inconnus. On c'était aventuré dans le quartier des riches, un quartier que ma mère n'aimait pas et dont elle m'interdisait formellement d'y aller pour y jeter un coup d'oeil. Anxieux de savoir ce que je faisais là, mais en même temps trop peureux pour oser demander, je restais donc silencieux, à admirer les gigantesques maisons. Au bout d'un certain moment, ma mère s'arrêta devant une maison, presque deux fois plus grande que toutes celles que je venais de voir. Elle resta devant, silencieuse, le regard vide. Puis, son visage se tourna vers moi. Ses yeux n'exprimaient alors que de la tristesse. Elle se baissa à ma mesure, et me serra dans ses bras, fermement. On resta comme ça, un bon moment, avant qu'elle relève la tête. J'avais beaucoup de questions à poser, mais je n'eus le temps d'ouvrir les lèvres, qu'elle posa un de ses doigts sur ma bouche, pour m'empêcher de parler. Elle se releva, m'embrassa le front, délicatement. « Je suis désolée Leho. » Ce fut la dernière chose que j'entendis. Son visage décomposée de tristesse, fut la dernière chose que je vis. Ce fut le trou noir.

    A mon réveil, la seule chose que je vis était un immense plafond blanc. Je ne pouvais pas bouger, mais j'entendais des voix autour de moi, calme et sereine. Des voix que je ne connaissais pas. J'aurai voulu tourner la tête, voir où je me trouvais, mais dès que j'essayais de pencher ma tête, elle me lançait et me tournait, m'obligeant à rester droit. J'étais fatigué, mes yeux se refermèrent encore une fois. Mon deuxième réveil se passa mieux, le plafond blanc avait disparu, je ne voyais plus qu'une longue chevelure brune pendre devant mon visage. J'essayais de bouger, cette fois-ci je n'avais mal nulle part, j'ai donc relevai ma tête. Je me trouvais dans une immense pièce, rempli d'objets qui avaient l'air précieux et de meubles à l'allure ancienne. Sentant quelque chose bouger derrière elle, la longue chevelure brune se retourna, avant de reculer. « Oh ! Vous êtes réveillé. » Un sourire s'étira le long de son visage. Elle sortie de la pièce, je restais là, immobile. Qu'elle était cet endroit ? Je n'eus pas le temps de me poser d'autres questions, encore moins d'en trouver les réponses, que déjà la femme à la longue chevelure brune était revenue, portant dans ses mains un plateau de nourriture. C'est à ce moment-là que je me rendis compte que j'avais faim. Elle posa le plateau sur une table, installé non loin du grand lit dans lequel je me trouvais. Péniblement, je m'extirpais du lit pour m'installer à la table. La longue chevelure brune vînt m'aider à m'installer et même à manger. « Excusez-moi, madame ? Où suis-je ? » Mes paroles eurent l'air de beaucoup la surprendre, car elle écarquilla les yeux, avant de se mettre à rire. Un rire léger et doux, presque inaudible. Elle me sourit chaleureusement. « Vous êtes chez vous, monsieur Leho. » Je m'arrêtais de manger. J'étais chez moi ? Hein ? Qu'es qu'elle racontait ? La longue chevelure brune commença à s'éloigner. « Non, attendez ! Madame ... » Je n'eus pas le temps de finir ma phrase qu'elle me stoppa nette. « Je ne suis qu'une servante, le terme Madame n'est donc pas approprié. Si vous voulez bien m'excuser maintenant, monsieur votre père ne va pas tarder. » Je restais là, immobile, choqué. Aussitôt qu'elle était sortie, un homme entra dans la pièce. Je le suivais des yeux. Il était grand, habillé d'un smoking noir, il avait une allure de riche. Ses yeux s'arrêtèrent sur moi, et je ne pu y lire que du mépris. « Où est ta mère ? » Son ton était dur et froid, je baissai les yeux. « Je ne sais pas, elle m'a emmené devant un grand portail, puis je ne sais comment, je me suis endormi et je me suis réveillé ici. » Je n'osai pas le regarder, mais je sentais que l'atmosphère était lourde. « Cette satané sorcière.. Bien, Leho tu vas rester ici jusqu'à que le temps sois venu » Je levai les yeux, tandis qu'il s'éloigna. « Êtes-vous mon père ? » Osais-je demander malgré la peur qui grandissait en moi. Il se retourna, me regardant d'un regard supérieur. « Je ne t'autorise pas à m'appeler ainsi, maintenant et jamais. Ici, tu seras comme tout le monde, et tout le monde m'appelle Monsieur, tâche de t'en souvenir. » Et il sortit de la pièce. Son passage me fis l'impression d'une célébrité franchissant un tapis rouge. Il ne me parla plus jamais de ma mère, et jamais j’eus de ses nouvelles.

    Quelques années c'était passé depuis j'avais rejoint la maison de mon père, avec tout ce que ça comportait. J'étais dans une école de riche, ou tous les jours les élèves s'amusaient à persécuter un élève qui n'était pas de leur monde, donc moi. Je survivais. Car j'étais fort et que leur moquerie n'était rien comparée à ce que je vivais chez moi, dans le sous-sol de la maison, dans la petite pièce humide et sale au fond du couloir à gauche. Le cachot, ou appeler par mon père « ta chambre ». Je ne dormais pas dedans, enfin si. Mon père m'y envoyait quand je n'étais pas sage, que l'école appeler pour lui dire que je mettais encore battu ou que j'avais osé l'appeler « papa ». J'avais 10 ans. Quand j'étais dans cette pièce, seul mon père pouvait venir me voir, car c'est lui qui en possédait les clefs. Quand j'y étais, je restais assis pendant des heures, jusqu'à qu'il arrive. Je ne sais pas si le pire était de rester assis pendant des heures et des heures, seul ou de le voir arriver et de savoir ce qui allait se passer. Quand il arrivait me voir, c'était qu'il était énervé et qu'il cherchait quelqu'un sur qui se défouler. Je devais rester immobile, au fond de la cellule, collé contre le mur et le laisser me frapper, avec ses pieds, ses mains, ou alors des objets quand il n'avait pas envie de s'abîmer. Je supportais. Je ne sais pas comment, mais je ne disais rien, cachant du mieux que je pouvais les nombreuses marques de brûlures, les nombreux bleues et cicatrices qu'il avait marqué sur mon corps à tout jamais.

    Le jour de mes 11 ans, j'eus droit pour la première fois depuis mon arriver ici, à une petite fête. D'habitude, je passais mes anniversaires dans le cachot à supporter la colère de mon père sur mon corps. C'était une toute petite fête, il y avait un gâteau posé sur une table, c'était tout et j'étais seul, mais j'étais content. Je soufflais mes bougies, faisant un voeux. Quand les bougies fut éteinte et que je rouvris mes yeux, je vis une lettre posée à côté du gâteau. Je regardais autour de moi, personne. J'entrepris tous de même de lire la lettre. A ma première lecture, un rire sorti de ma bouche, comme une blague. Sauf que celle-ci n'en était pas une, car je vis la servante à la longue chevelure brune avait déposé des valises devant la porte de la chambre. J'allais partir de la maison. J'étais un sorcier. J'étais comme ma mère. Je ne réalisais pas ce qui était en train de m'arriver, je savais juste que j'étais désormais libre, je n'allais plus être le souffre-douleur de mes camarades, ni celui de mon père. J'étais un garçon sans famille, un survivant de la vie.




Tell me who you really are.

ϟ pseudo et âge: Sprinng/Morgane et 15 piges.
ϟ Où as-tu trouvé le forum? par hasard pendant une de mes insomnies o/
ϟ Personnage: Tout droit sortie de mon débiles cerveau !
ϟ As-tu un autre compte sur BP? nope ! :3
ϟ Présence: 7/7 si je suis pas morte avant à cause du lycée >>
ϟ Une remarque? Je suis le 100ième membre ! héhé Ce forum est magnifique et ces membres ont l'air géniaux Daengelo


Dernière édition par Leho M. Andreïs le Dim 24 Mar - 16:47, édité 4 fois
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Message Re: am, stram, gram ∆ Leho
par Invité, Lun 18 Mar - 21:33 (#)
Aww..

Il est trooop mignon ton avatar **


t j'adore ton pseudo aussi **


Et BIENVENUUUUE \ o / Gentil 100 ième membre Daengelo
Bonne chance pour ta fiche, si tu as besoin d'aide on traine souvent sur la CB, n'hésite pas ^^
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Message Re: am, stram, gram ∆ Leho
par Invité, Lun 18 Mar - 21:40 (#)
JAAAAAAAAKE Brille bave Han! Hot

Bienvenue cher 100ème membre héhé Si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous rejoindre sur la CB ou sur le flood d'intégration :3
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Message Re: am, stram, gram ∆ Leho
par Invité, Lun 18 Mar - 21:42 (#)
100ème membre, tu gère Brille et ton avatar bave bienvenue parmi nouuuuuuus Daengelo
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Message Re: am, stram, gram ∆ Leho
par Invité, Lun 18 Mar - 21:47 (#)
ton avatar + ton pseudo + ton patronus = :sex2:
Bienvenue ici et bonne chance pour ta fiche en tout cas ♥️
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Message Re: am, stram, gram ∆ Leho
par Invité, Lun 18 Mar - 21:48 (#)
    Bienvenuuuuuuue Han! J'adore ton patronus bave
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Message Re: am, stram, gram ∆ Leho
par Invité, Lun 18 Mar - 21:52 (#)
BIENVENUUUUE 100EME MEMBREEE Han!
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Message Re: am, stram, gram ∆ Leho
par Invité, Lun 18 Mar - 21:59 (#)
Sebastian, merci beaucoup, :lyd: ton avatar est magnifique aussi et ton patronus (fan de chat o/) Yaaa Magnus, omg Shiloh le magnifique ! Potté Merci beaucoup ! Daengelo
Daedra, oui je sais que je gère 8) /PAN/ merci à toi et ton avataaaaaar ! Han! Nastasya, ton avatar + ton pseudo + ton patronus, c'est Hot quand tu veux ! Merci en tous cas. Daengelo Adrian, merci beaucoup, et moi j'adore ton pseudo! Slurp Roshario, merci beaucoup, et la sublime Lawrence .. Chou



Dernière édition par Leho M. Andreïs le Mer 20 Mar - 14:25, édité 2 fois
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Message Re: am, stram, gram ∆ Leho
par Invité, Lun 18 Mar - 21:59 (#)
Bienvenue, avatar trop beau bave ♥️
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Message Re: am, stram, gram ∆ Leho
par Invité, Lun 18 Mar - 22:16 (#)
Salut toi ! Je veux bien que tu m'enseignes la médecine...
(dans les deux sens du terme)
:petoup: *et j'adore ce smiley*
Invité
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Message Re: am, stram, gram ∆ Leho
par Invité, Lun 18 Mar - 22:24 (#)
Merci Ivy ! Leven cute
Elina, avec grand plaisir, je t'enseigne tous ce que tu veux :3
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Message Re: am, stram, gram ∆ Leho
par Guest, Mar 19 Mar - 11:21 (#)
*sort des lunettes de soleil, une grande cape, et dit d'un ton solennel* "Bienvenue dans la secte des insomniaques anonymes." "Bonjouur Leho"
/pan

Bienvenuue à toi Brille Medecine magique hein ? Daengelo
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Message Re: am, stram, gram ∆ Leho
par Invité, Mar 19 Mar - 12:06 (#)
bienvenuue parmi nous Daengelo :3
ton avatar + ton pseudo, ils gèrent. :fuck: Brille dead
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Message Re: am, stram, gram ∆ Leho
par Invité, Mar 19 Mar - 20:12 (#)
Isy-Blake Vive les insomniaques 8) Oui médecine magique! & merci à toi *STOONE FAN!!!!!!* :love2:
Merci beaucoup Aubépine, je connaissais pas ton avatar, mais ouah elle gère Chou (+ mowgli ♥️)
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Message Re: am, stram, gram ∆ Leho
par Invité, Mar 19 Mar - 20:16 (#)
Haaaan cet avatar *MONTAGUE POWAAAA*

Et ce beau gosse !!!

Et ce patronus !!!!

Hot Hot Hot

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche !!!
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Message Re: am, stram, gram ∆ Leho
par Contenu sponsorisé, (#)
 

am, stram, gram ∆ Leho

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