Nom: Lovegood Prénom: Sansa Wendy Âge et Date de Naissance: 1er avril 1964 Nature du sang: Sans-pur Situation familiale: Elle s'entend assez bien avec ses parents, surtout sa mère, ils ont une relation assez spéciale entre parents et enfants, dans la famille Lovegood. C'est une relation presque amicale. Elle était très proche de ses grand-parents mais ils sont morts devant ses yeux. Elle a un grand frère qui n'est pas de beaucoup son ainé. Patronus: Un gnou à queue blanche (pour l'élégance on repassera), il n'a pas de nom, elle considère que c'est une autre forme d'elle même. On se moque souvent de son patronus, mais elle, elle l'apprécie beaucoup. Miroir du Rised: c'est une personne pacifiste qui a seulement besoin des choses primaires que la vie peut lui offrir, c'est à dire sa famille, et ses amis. Si elle regarde dans le Miroir du Rised, elle les verra eux, et elle, autour d'une table, tous riants. Composition de la baguette magique: plume de pheonix, bois d'if, vingt-trois centimètres Epouvantard: Elle-même, avec une expression de neutralité, voir triste, presque palpable. Etudes Suivies: cycle d'études primaire, en sixième année, avec option soins aux créatures magiques et étude des moldus. Animal de compagnie: Sansa voit les sombrals depuis la mort de ses grand-parents, vivant dans un endroit très reculé, entouré par la nature, elle a remarqué que beaucoup passaient par là. Ce sont des créatures qui ne se laissent pas facilement approchées mais grâce à son calme et sa bienveillance elle s'est liée d'amitié avec un bébé égaré. Elle le considère plus comme un ami que comme un animal de compagnie. Elle a tout de même décidé de lui donner un nom, Eustache.

La famille Lovegood est une famille de sorciers de sang-pur assez connue en Grande-Bretagne, et ce ne sont pas forcément pour des raisons de puissance. Loin de là, même si ils ne sont pas incapables. Non. La particularité des Lovegood était beaucoup plus humaine, leur façon de vivre, leur façon de penser, tout ces petits détails, auxquels on ne fait pas tout le temps attention prenaient des proportions presque loufoques lorsqu’il s’agissait d’eux. Tout ce que l’on voyait, que l’on remarquait, c’était leurs coutumes à eux. Comme s’ils avaient créé une société qui ne comportait qu’eux.

Sansa, plus communément appelé Wendy dans sa famille, a été élevée dans cet esprit très laxiste, nature. On lui a toujours dit d’agir en tant que Sansa. Ne jamais nier qui elle était. Elle a grandi avec cette fierté de faire partie de la famille Lovegood. Elle sait qu’elle n’est pas comme tout le monde, finalement, tout le monde est unique mais lorsque vous êtes la cible des moqueries, c’est que vous avez quelque chose que les autres n’ont pas. Ce n’était peut-être pas de la jalousie, ou peut-être que si, peut-être que finalement, ils n’aiment pas ce quelque chose qu’elle avait. Mais elle s’en foutait. Sansa aimait cette idée d’avoir une chose que les autres n’avaient pas, qu’elle soit négative, ou positive. Mais jusque là, elle avait bien vécu, elle s’amusait bien, alors elle en avait déduit que ce ne serait que du bonus dans sa vie. Elle n’arrive toujours pas à comprendre ce qu’elle de plus, ou de différent, mais elle fait avec, elle sait que c’est là.

Sansa est une personne très tolérante. Elle est comme tout le monde, et elle peut détester quelqu’un, mais ce ne sera jamais à cause d’une quelconque différence de la part de l’individu. Elle n’a pas l’habitude de juger une personne sur la chose qui va la différencier de la masse étant donné qu’elle a été la cible de ce genre de malentendus. Et elle ne supporte pas ça. D’ailleurs, les choses qu’elle ne supporte pas se comptent sur les doigts d’une main. Elle ne s’énerve pas beaucoup, voir jamais. Considérant cela comme une perte de temps, elle prend les choses à la légère et montre une indifférence sans nom ce qui a tendance à apporter les mauvaises paroles. Serait-elle plus fausse que la barbe de Dumbledore ? Jouerait-elle un rôle ? Non. C’est possible d’être aussi pacifiste qu’elle le montre. Cependant, ces airs de petite adolescente hippie ne veulent pas dire qu’elle est innocente, fade et qu’elle se complaît dans la routine. Elle est très joyeuse et souriante, et surtout très sociable. Ce qui malheureusement ne veut pas dire que c’est facile pour elle de se faire des amis. Mais elle ne se plaint pas, elle s’en fout. On aura du mal à lui enlever sa bonne humeur, dans tous les cas elle arrive à se remonter le moral elle-même. Sansa prend souvent l’initiative de le faire toute seule, en faisant les choses si bizarres qui la caractérisent aux yeux des autres. Pour elle, ce n’est pas ce qu’on appellerait une normalité, mais elle ne voit pas l’étrangeté là où tout le monde la voit. Elle est assez solitaire et n’a besoin de personne pour se divertir, s’amuser, sourire. C’est une jeune fille assez indépendante. Dans sa tête, elle est prête à tout, malgré son apparence très fragile, elle est courageuse et aventureuse. Espiègle. Elle est loin d’être peureuse, et si il y a lieu, elle peut se défendre hardiment. Si elle estime que c’est une cause noble, elle peut même attaquer sans scrupule. Cependant, il est très facile de la briser, elle reste très instable, émotionnellement parlant et elle peut s'écrouler à tout moment.

Une dernière chose qui caractérise Sansa, c’est sa fascination pour les moldus. Leur façon de vivre, les objets et tout ce qui va être en rapport avec cette “autre culture”. Elle est souvent renié par certaine personnes venant de familles sang-pur à cause de cela. Dans sa famille, seul son père est totalement outré par cette fascination, et c’est bien le seul.

Le patronus de Sansa est des plus loufoques puisqu’il s’agit ni plus ni moins d’un gnou. Oui, un espèce de bison croisé avec un élan plutôt imposant puisque la chose fait sa taille. Cela lui a pris du temps avant de savoir utiliser ce sortilège, n’étant pas assez puissante auparavant. alors qu’à la découverte des patronus, beaucoup d’élèves ont commencé à le magner, elle, c’est seulement deux ans plus tars qu’elle a un résultat satisfaisant. Pour être honnête, c’est un personne qui aime les choses mignonnes, ou belles. Quelle fut sa surprise lorsqu’elle s’est retrouvé devant un gnou, vraiment très maladroit en plus de ça. Elle fût déçue, dans un premier temps, on se moquait d’elle, elle a eut du mal à l’accepter et c’était un vraie honte au début. Un patronus représente le sorcier, elle était donc un gnou ? Un bison-élan sans élégance ? Elle fût vexée, c’est le de le dire, elle a presque renié son propre patronus pendant un moment. Dans un premier temps, cela lui avait pris deux ans pour pouvoir l’invoquer et en plus c’était un animal improbable qui venait de se montrer. Ça lui a pris du temps avant de l’accepter mais elle a fini par en être fière. L’apparence inattendue de la chose la réconforte. De plus, celui-ci est assez attachant, avec sa maladresse, c’est un peu le boulet des patronus. Elle ne lui a pas donné de nom. Elle considère que c’est une représentation d’elle-même, alors pour elle, elle a à faire à sa propre réflexion. Elle n’a eu besoin de l’utiliser qu’une seule fois, et il s’est avéré être assez puissant, ce qu’elle ne pensait pas. Depuis, il y a eu l’épidémie. Sansa et son patronus viennent à peine d’être touchés par le virus, et elle ressent seulement maintenant une baisse d'énergie dans ses sortilèges ou enchantements. Ça commence à l’inquiéter et d’après ce qu’elle sait, certains patronus ont même fini par disparaître. Certains ont réapparus sous une autre forme et d’autres ne sont toujours pas revenus. Les deux solutions ne plaisent pas du tout à la jeune Lovegood.

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