BELLUM PATRONUM


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(cassy) Où se posaient les hirondelles avant l'invention du téléphone?
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Message (cassy) Où se posaient les hirondelles avant l'invention du téléphone?
par Guest, Lun 15 Juin - 3:46 (#)
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Cassiopée Victorinne Weasley
FEAT. JESSICA CHASTAIN
Trente-cinq ans ans ϟ Professeure d'astronomie ϟ Flamant rose ϟ Sang pur


Nom: Weasley. Un nom simple, un nom connu, un nom qui parle. Les Weasley sont connus dans le monde des sorciers. C'est une entité. Elle n'a jamais eu besoin de préciser grand-chose, lorsqu'elle prononçait son nom complet. Elle n'a jamais eu à expliquer pourquoi ses cheveux sont si roux. Pourquoi son visage si constellé de tâches de rousseurs. Ni, non plus, son désir de défendre n'importe quelle grande cause, qui lui tient à coeur. Non. Toutes ces caractéristiques deviennent normales, deviennent évidentes.  Prénom: Cassiopée Victorinne. Pour le deuxième prénom, on peut croire que cela lui provient d'une grande-tante, ou d'une grand-mère. Pour le premier, on peut tout simplement croire que ses parents ont été très originaux, sur le coup. On ne peut pas être certains. Mais on peut se dire que sa mère a été très extraluicide, ce prénom lui va comme un gant.  Âge et Date de Naissance: Elle a trente-cinq ans. La rouquine est née un certain vingt-neuf mars (1946), ce qui fait d'elle un bélier. Mais, on s'en fout profondément. Nature du sang: AB négatif. Oui, bon, elle est de sang pur. Mais elle déteste profondément ces termes. Situation familiale: En ce qui concerne sa vie personnelle, celle de Cassiopée est extrêmement ardue et complexe. Aînée de famille, elle entretient une bonne relation avec tous les membres de sa famille, qui ont toujours été présents. Elle a aussi un petit garçon de onze ans, Hunter. Il est né d'une liaison avec un sorcier qu'elle a rencontré lors de son séjour en Italie. Patronus: Un flamant rose, qui n'apparaît que lorsqu'elle prononce une formule. Miroir du Rised: Le miroir du Rised lui renvoie son propre reflet où une multitude d'étoiles sont accrochées à elle. D'ailleurs, elle se retrouve dans l'espace. Composition de la baguette magique: Sa baguette mesure vingt-trois centimètres et on peut retrouver à l'intérieur un ventricule de dragon -un boutefeu chinois- enfermé dans un bois d'houx.  Epouvantard: Elle, momifiée (lors d'un de ses voyages, la jeune femme a entendue plusieurs histoires à propos de momies ou de zombies et cela, l'a profondément traumatisée).  Etudes Suivies: La jeune femme a, bien sûr, compléter ses études à Poudlard. Elle s'est ensuite spécialisée en astronomie. Animal de compagnie: Elle a un gros chat -pantouflard- qui se prénomme Jupiter.

Caractère
On la remarque. On n’a pas réellement le choix.
Sa chevelure de feu, ses tâches de rousseurs pleins la figure (on peut presque croire qu’une bonbonne de peinture lui a éclaté dans le visage, tellement il y en a), son allure un peu bizarre, oui, Cassiopée, on la remarque.
Parfois, elle a envie de couler dans les briques de Poudlard, de ne plus sentir le regard pesant sur sa nuque, sur son visage, sur ses cheveux. Elle aimerait que l’on cesse les regards de jugement sur sa personne (jugement, dont elle invente sans doute l’existence).
Sauf que ce désir ne dure que quelques minutes, puis ensuite elle met une robe multicolore, parle fort et prend de la place. Cassiopée n’a pas une personnalité qui est faites pour être effacé. Elle peut vous tapez sur les nerfs, en fait, tellement elle parait vivante.
Vous verrez toujours la jeune femme avec des robes de toutes les couleurs – à croire qu’elle en a des centaines. Probablement que cette dite robe sera froissée, il lui arrivera aussi de la mettre à l’envers ; et s’en rendre compte devant sa classe. Ses cheveux n’auront aucun ordre, non plus. Elle cherchera probablement toujours ses livres, ou ses lunettes. Un jour, elle a déjà perdue son télescope, c’est peu dire.
Cassiopée c’est un peu comme une enfant enfermée dans un corps d’adulte avec des connaissances sans borne sur les étoiles.
La jeune femme n’est pas ordonnée, ni organisée. Elle est impulsive et fait sans doute les pires choix du monde. Elle perd beaucoup de choses, trop de choses en fait. Bordélique, elle se retrouve très souvent – enfin, nous l’espérons – dans son bordel. Juste pour vous dire, sa mère lui a envoyé une beugléante lorsqu’elle a appris qu’elle était enceinte en lui disant, et je cite : « C’était quoi l’idée? Tu vas l’oublié à dix mois sur un balai! Et lorsque t’auras enfin saisi comment fonctionne les couches, il aura cinq ans! C'était QUOI l'idée! ».
Elle a aussi, des fixations étranges. Si le Chicaneur serait édité, à l’époque de Cassiopée, elle serait sans doute une fervente lectrice et pourrait parfaitement croire à tout ce qui est écrit. Elle n’est pas naïve, elle a seulement des croyances étranges. Elle a souvent de nombreuses théories – classées ridicules, selon les individus à qui elle les mentionne – sur plusieurs sujets. Elle peut tomber amoureuse en deux secondes. Elle peut mettre des lunettes bizarres et dire qu’ainsi elle voit des choses spéciales.
C’est d’ailleurs, cette manière de s’enfermer dans des fixations, qu’elle en est venue à étudier l’astronomie. Cassiopée était tombée sur une carte du ciel et s’est fascinée pour ce sujet instantanément. Ses rêves ont sans doute un lien très étroit avec les étoiles.
La jeune femme parle beaucoup, elle est excessivement sociable et manque sans doute de filtre pour dire les choses. Le tact n’est pas une qualité dont elle a hérité, malheureusement. Parfois trop franche, aussi, les gens ont plusieurs difficultés avec ces traits de caractère.
Loyale et honnête, son côté loufoque, particulier et passionné peut vous semblez étrange, mais il est reste que la jeune femme a un très bon fond et c’est une personne que vous voudriez de votre côté (oui, parce qu’elle est très rancunière et obstinée). Son caractère va très bien avec ses cheveux ; lorsqu’elle est fâchée, Cassiopée a l’air d’un chat sauvage qui a mis la patte sur un fil électrique.


   
a little something from you.

   
Emploi: Rien ne prédestinait Cassiopée à l’enseignement.
La jeune femme à la suite de ses études primaires à Poudlard a décidé de se spécialiser en astronomie, en recherche. Pour elle (et probablement son entourage), il était ridicule d’enseigner cette matière (ou enfin, n’importe quelle matière) vu son tempérament peu organisé et perdu.
De toute manière, fraîchement obtenu ses ASPIC, elle ne se voyait pas dans ce domaine. Elle voulait, plutôt, étudier et établir des recherches sur l’astronomie.
Ce qu’elle fait.
La jeune femme s’est spécialisée dans le domaine de la recherche en astronomie. Elle a complété plusieurs cours spécialisés – et qui allaient plus loin – dans le domaine. La rouquine a même étudié l’astronomie des moldus.
Elle a passé six ans à étudier ce domaine qui la passionne et dont, elle ne regrette aucunement, avoir donné sa vie. À ses vingt-trois ans, elle est partie en Italie afin d’établir des recherches terrain. Assistante d’un chercheur dans le domaine, qui vivait dans ce pays, cette expérience l’a extrêmement enrichie. En compagnie de cet homme, elle a observé les constellations sous plusieurs angles, étudié particulière l’astronomie extragalactique. Elle a d’ailleurs voyagé jusqu’en Égypte avec lui afin d’étudier de classer des galaxies, plus visible dans ces pays.
Elle est restée environ quatre ans, là-bas.
Lorsqu’elle est revenue en Grande-Bretagne, elle a encore travaillé avec ce même chercheur : elle a participé à l’écriture de son livre par correspondance (elle voulait se rapprocher de sa famille à la suite d’évènements personnels). Elle s’est ensuite engagée dans ses propres recherches. Étant, par contre, en mode survie (elle avait tout de même un garçon de sept ans à nourrir), la rouquine est même allée jusqu’à donner des cours d’astronomie à des moldus.
Ce n’est qu’à l’aube de ses trente et un ans que Poudlard a communiqué avec elle afin de lui offrir un poste d’enseignante. Peu de personnes s’étaient spécialisées dans ce domaine d’enseignement et le précédent professeur avait pris sa retraite. Hésitante, elle a accepté, malgré son désir de vouloir entamé des recherches spécialisée en planétologie (particulièrement sur l’étude de la lune, à la suite de l’incident arrivé à sa mère). Cela fait maintenant quatre ans qu’elle enseigne l’astronomie à Poudlard. La recherche lui manque, certes, mais elle s’est découvert une certaine passion pour l’enseignement.
 
Patronus: Cela  a pris beaucoup de temps à Cassiopée avant qu’elle soit capable de maîtriser le sort du patronus.  En effet,  jusqu’à ses vingt-quatre ans, la rouquine était capable de faire apparaître seulement un nuage doré, très faible. Maintenant, un flamant rose, assez solide apparaît au bout de sa baguette. C’est en fait, en pensant à la naissance de son fils, un souvenir douloureux mais si heureux, qu’elle est capable de faire apparaître le flamant rose,  un animal qui symbolise la joie et le bonheur.
Cassiopée, lorsque les patronus sont apparus, a jalousé ses élèves. Elle aurait réellement voulu que son patronus prenne forme. Par contre, cette apparition rend ses cours plus tendus ; généralement en haut de la tour à observer des étoiles à l’aide d’un télescope, les cours pratiques sont plus difficiles depuis que des animaux doivent prendre place. Cependant, jusqu’à ce jour, Cassiopée n’a pas perdu patience. Elle essaie, en fait, d’utiliser cette apparition afin de rendre le tout le plus intéressant possible.
La nuit qui suivait cette apparition, elle a même passé la nuit à étudier le ciel, cherchant si cela était dû à une déformation cosmique. La rouquine n’a rien trouvé, mais sa curiosité n’est aucunement satisfaite.



   
Tell me who you really are.

   
ϟ pseudo et âge: audrey + 21 ans
    ϟ Où as-tu trouvé le forum? bazzart  :3  :3  :3  :3  :3  :3  :3
    ϟ Personnage: Inventé de toutes pièces
    ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non! J'ai souvent tenté de m'en faire un, mais j'ai souvent abandonné.  Sky  Sky  Sky  Sky
    ϟ Présence: Très bonne.  Potté
    ϟ Une remarque?  Hot  Hot  Hot  Hot  Hot  Hot  Hot  Hot  


Dernière édition par Cassiopée V. Weasley le Mar 7 Juil - 5:30, édité 12 fois
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Message Re: (cassy) Où se posaient les hirondelles avant l'invention du téléphone?
par Guest, Lun 15 Juin - 3:47 (#)
You're not a sad story.

 
1946.

C’était stupide.
Elle pleurait toutes les larmes de son corps. Les médecins avaient cru que c’était de joie. Elle venait d’accoucher d’une petite fille, en pleine santé, elle devait être heureuse ainsi que d’épuisement. Cependant, les médecins ne savaient même pas. Ils ne connaissaient pas les projets que Lilian avait pris pour cette petite fille.
Mais Lilian était inconsolable. Maintenant, elle se sentait stupide. Tous les neuf mois qui venaient de passé – en coup de vent – elle avait cru que c’était la meilleure décision au monde.  Mettre en adoption ce bébé, poursuivre ses études, faire comme si de rien n’était.
Elle avait dix-sept ans. C’était ridicule croire qu’elle pourrait bien élever un enfant.
La jeune femme n’était même pas mariée au père du poupon. Oui, elle en était amoureuse, mais ça ne suffisait pas. Elle avait dix-sept ans, bordel.
On ne rencontre pas l’homme de sa vie à dix-sept ans.
Ce dernier était assis sur une chaise dans le coin de la pièce, la petite fille dans ses bras, obnubilé par sa beauté. « Lilian. » Il releva la tête. Ça faisait, déjà, une heure que le travail était terminé. Ça faisait, déjà, une heure qu’elle pleurait comme une véritable madeleine. Il s’approcha du lit, le bébé dans ses bras et la tendit à la jeune femme.
« On la garde. » La jeune femme eut un hoquet de surprise. « Ça va être difficile, mais je vais me trouver un travail, tu t’occuperas d’elle, on ira vivre au Terrier, on se mariera. » Elle reparti à pleurer, comme une bonne fontaine. « Je ne veux pas t’imposer ça… » Réussi-t-elle à prononcer à travers les pleurs.
« Tu ne m’imposes rien, je veux ton bonheur. » Il prit son visage dans ses mains. « Je t’aime, Lilian. Et bientôt tu seras Madame Weasley. » Elle sourit. Non, peut-être qu'à dix-sept ans on était pas prêt pour beaucoup de choses. Cependant, Lilian était incapable d'arrêter d'aimer cet homme et de se faire arracher cette enfant. À ce moment, elle en était certaine, elle en mourrait.

1955.

« Cassiopée Victorinne Weasley! » La jeune fille s’arrêta brusquement en plein milieu de la cour. Oups. Sa mère qui récitait son nom complet, ce n’était jamais bon signe.
Elle se retourna, prenant un air faussement sage. Ses tâches de rousseurs recouvraient tout son visage blanc comme neige et ses cheveux roux lui étaient peignés en deux lulus. Très franchement, elle était réellement mignonne. Petite pour son âge, son air aurait fait fondre n’importe qui. Particulièrement son père.
Cependant, cela n’émouvait aucune seconde sa mère. Madame sa mère était faite solide. Elle connaissait les armes secrètes de sa fille. Ce qui fit en sorte, qu’elle marcha en sa direction, sans prendre en compte son air.
« Puis-je savoir où tu comptais t’en aller? » Cassiopée abandonna son air sage et prit un air plutôt exaspérée. Enfant unique, ce n’était pas toujours drôle pour elle ; elle n’avait personne avec qui jouer. Oui, elle avait une imagination hors du commun, mais la jeune fille en avait assez parfois de jouer toute seule. Ce qui faisait en sorte que depuis, maintenant quatre Noël, elle demandait comme cadeau : un petit frère ou une petite sœur. Évidemment, ses parents évitaient de lui dire que ce n’était pas parce qu’ils n’essayaient pas, mais qu’ils ne réussissaient tout simplement pas. Alors, ils lui disaient que son petit frère ou sa petite sœur arriverait extrêmement fragile et qu’elle ne pourrait pas joué avec lui ou elle tout de suite.
Ça ne l’avait pas découragée.
Cependant, elle s’était fait un ami. Il habitait un peu plus loin du Terrier, mais ils se rencontraient à la moitié du chemin. C’était un moldu, mais cela ne dérangeait aucunement ses parents. Sa mère l’avait même invité à souper, il n’y a pas très longtemps. Si leur fille pouvait être heureuse, il n’allait pas empêcher cela.
« Je m’en vais jouer avec Charles. » Un ton exaspéré ; elle avait l’impression que c’était comme si elle lui avait demandé où était le soleil, c’était évident. Ils étaient inséparables. Ils s’étaient rencontrés, par hasard, dans les boisés près de leurs maisons. Charles se faisait intimidé par deux garçons un peu plus vieux.
Cassiopée avait pris sa défense. De cela, avait naquit une solide amitié. Bien sûr, il avait un million de questions sur la jeune fille ; elle n’allait pas à l’école, elle pouvait parler de trucs parfois très étranges, parfois, et elle croyait en des trucs qu’ils ne connaissaient même pas.
Hier, encore, Cassiopée lui avait demandé s’il voulait chasser des veracrasses. Lorsqu’il lui avait demandé c’était quoi, elle avait pouffé de rire. Sans lui donner d’explications.
« Va te changer, TOUT DE SUITE, tu n’iras certainement pas salir ta belle robe! Et tu fais le ménage de ta chambre. C’EST UN VÉRITABLE BORDEL. Des doxy pourrait y faire un nid qu’on s’en rendrait même pas compte! »
La rouquine poussa un énorme soupir d’exaspération et se laissa traîner les pieds jusqu’à sa chambre. Franchement, entre faire du ménage ou grimper dans des arbres, la question ne se posa même pas. Le pourquoi, que bien sûr, la rouquine se sauva dix minutes plus tard, pour aller rejoindre son ami.

1957.

Cassiopée avait onze ans.
Son seul ami était un moldu à qui elle ne pouvait pas parler de trolls, de gobelins ou encore de quidditch. Elle était enfant unique. Elle était rousse. La plupart des autres enfants riaient d’elle, lorsqu’il la voyait. Elle n’allait pas à l’école. Oui, elle était heureuse. Mais elle l’était, principalement, à cause de son imagination sans aucune limite. Cependant, il faut avouer, la rouquine était morte de peur de ne pas recevoir de lettre de Poudlard. Elle en avait tellement entendu parler. Il était inconcevable qu’elle n’y ait pas.
Seulement, elle avait une peur au ventre ; celle de ne pas être une sorcière, celle que la génétique n’ait pas fait son travail.
La lettre arriva un matin avec un hibou qui s’était assommé dans la fenêtre de la cuisine, bêtement. Ce fut son père qui lui remis l’enveloppe, un grand sourire s’était dessiné sur son visage. C’était encore mieux qu’un cadeau de Noël.

Chère Mme Weasley,

Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d’ores et déjà d’une inscription au collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipement nécessaires au bon déroulement de votre scolarité. La rentrée étant fixée au 1ier septembre, nous attendrons votre hibou le 31 juillet, au plus tard.
Veuillez croire, chère Mme Weasley, en l’expression de nos sentiments distingués.


Elle sauta de joie.
La seule chose qui mettait de la noirceur au tableau était l’existence de Charles. Son seul ami, son compagnon d’enfance. Cet après-midi-là, fut triste. Ils la passèrent assis sur une branche, à parler. Il ne leur restait que deux mois ensemble. Ensuite, ils allaient être séparés. Elle lui avait dit qu’elle allait étudier à l’étranger et qu’elle ne reviendrait que pour les vacances. Ils firent un pacte ; celui de se retrouver à chaque vacances.
Ils se coupèrent même le bout du doigt et mit une goutte de sang sur l’arbre sur lequel ils étaient assis ; mettre une note solennelle à ce pacte.
Ce fut donc, dans cet état d’esprit, que Cassiopée quitta le Terrier le matin du 1ier septembre ; en route vers sa destinée.

1960.

« Donc, si je comprends bien, c’est quand j’ai quatorze ans que vous décidez d’avoir un autre enfant, c’est ça? » Cassiopée n’était pas en colère. Seulement, son ton était très sarcastique. Dans sa crise d’adolescence, la rouquine était en phase de rébellion.
Ils lui avaient annoncés la nouvelle le premier jour de ses vacances. Elle avait terminé sa troisième année, il y a deux jours et ils leur avaient annoncé cela ; le ventre de sa mère était déjà bien rond.
Évidemment, ce qu’elle ne savait pas, c’était que ce bébé n’avait pas été le premier essai, sa mère avait fait plusieurs fausses couches dans les années précédentes. Celui-ci tenait bon et étaient entêté à grandir dans son utérus. Ce que Cassiopée ignorait aussi, c’était que ce bébé était un plan pour solidifier le couple de ses parents ; l’amour n’était plus au rendez-vous. Ils espéraient que ce bébé allait redonner la flamme à leur amour qui était devenu une grande amitié.
Lilian avait été incapable d’arrêter de sourire, malgré le ton emprunté par sa fille. Elle était beaucoup trop heureuse pour cela. Évidemment, la rouquine ne s’était pas calmée. Évidemment, elle s’était plainte de nombreuses fois à ses amis par hibou. Elle avait rendu ce moment de joie pour ses parents, une catastrophe. Et elle avait cassé les oreilles à Charles, qu’elle venait de retrouvé.
Charles qui était toujours là. Charles qui était un des éléments les plus stables de sa vie.
Les vacances avaient passées, la colère de Cassiopée aussi.
Au mois de novembre, elle avait quitté l’école pendant quelques jours ; son frère était né. Elle l’aima instantanément. Elle avait même oublié qu’elle avait passé la premier mois de ses vacances, cette année-là, à détester sa venue au monde.

1966.

Vingt ans.
La scolarité de Cassiopée à Poudlard s’était passée sans anicroches. Son amour pour l’astronomie était toujours présent et perdurait depuis maintenant huit ans. Elle avait obtenu à ses BUSE et ses ASPIC des notes extrêmement respectables.
Elle complétait maintenant ses études en astronomie, elle était heureuse. De toute manière, Cassiopée avait un don pour le bonheur. Elle n’avait pas le souvenir d’une période de sa vie qui avait réellement triste.
En fait, le moment qui l’avait le plus peiné avait bien sûr été lorsqu’elle avait appris que ses parents se séparaient, qu’ils ne s’aimaient plus. Cependant, ils s’aimaient mais d’un amour platonique. Cassiopée n’avait pas compris tout de suite, puis elle avait compris ; et elle respectait cela. Cela n’avait pas changé grand-chose, de toute manière, dans sa vie, sur le coup : sa mère jouait son rôle de mère et son père le sien. Plusieurs garçons avaient dû passer le test de son père afin de la fréquenter, sérieusement. Sa mère la réprimandait toujours ou lui faisait la morale. Elle habitait toujours au Terrier, cette maison qui l’avait vue grandir. Et son petit frère grandissait de fil en aiguille. Rien ne changeait réellement.  
Elle avait développé un sentiment de protection pour Amos. Elle aimait le garder. Elle aimait jouer avec lui. Elle aimait lui raconter des blagues ou lui apprendre des comptines. La rouquine, qui était encore enfantine, aimait cette situation.

Tout perdurait. Puis, il  y a quelques mois, sa mère avait annoncé qu’elle allait se remarier avec un autre homme que son père. Si Amos avait adopté sans aucune difficulté à cet homme, Éric, Cassiopée avait eu plus de difficultés.
À vingt ans, il est difficile de voir sa mère amoureuse d’un autre homme que son père. Mais Éric s’était entêté et ils avaient réussis à établir une certaine relation d’amitié. Il était hors de question qu’elle le laisse jouer le rôle de figure paternelle.
Ce mariage était aujourd’hui. Elle était debout, dans son ancienne chambre, devant le miroir, dans cette robe. Les alliances étaient sur le coussin, sur le bureau derrière elle. Sa mère avait choisie qu’elle donnerait les alliances. Elle lui avait aussi dit qu’elle pourrait inviter quelqu’un. Cassiopée savait très bien qu’elle voulait réellement qu’elle trouve un homme qui saurait la rendre heureuse. L’homme de sa vie. Une divagation, selon la rouquine.
Trop occupée dans ses études, les étoiles prenaient trop de place dans sa vie pour qu’un homme y entre, elle avait tout de même demandé à quelqu’un de l’accompagner ; celui qui la connaissait mieux que personne. Celui qui connaissait, maintenant, tout d’elle. Celui qui avait été son compagnon de jeu et d’enfance. Charles.
Charles qui ne la regardait plus comme si elle était sa meilleure amie ou sa sœur. Non, Charles qui la regardait comme un homme regarde une femme.
Mais Cassiopée ne voyait rien. Ne comprenait rien non plus.

Cassiopée tenta de stabiliser sa coiffure, puis descendit. Le mariage commença.
Ce fut un jour heureux. Le mariage avait lieu au Terrier. Son père avait organisé ce mariage pour sa mère et il avait même versé quelques larmes. Son père était l’incarnation de la bonté, même.
Elle avait joué avec son petit frère dans la soirée. Elle avait dansé. Elle avait récité un discours à la demande d’Éric et sa mère. Elle avait eu du plaisir.
Et puis, plus tard, Charles et elle avaient marché. Ils avaient marché jusqu’à cet arbre sur lequel ils jouaient, quand ils étaient petits. Ils avaient parlé. Parler jusqu’à avoir la bouche sèche.
Et puis, plus tard (si tard que les oiseaux commençaient à chanter), il l’avait embrassé.

1969.

« Tu as tout ce qu’il te faut, n’est-ce pas? »
Elle soupira, roula des yeux même. Sa mère ne la reprit même pas. Cassiopée savait qu’elle était inquiète, mais il y avait, ce qu’elle appelait, une limite.
« Maman, je m’en vais en Italie. Je ne m’en vais pas en Amazonie où je vais être coupée de la civilisation. » Évidemment, cela ne sembla pas la rassurer.
C’était la chance de sa vie. C’était sa chance à elle, de rendre toutes les études qu’elle avait faites, concrète. C’était sa chance de percer dans le domaine de l’astronomie et faire des recherches. Oui, ce n’était pas les siennes, à proprement parler, mais elle allait être en contact avec un sorcier expert dans ce domaine, qui avait accepté de la prendre comme assistante.
Elle quittait la Grande-Bretagne pour un temps indéterminé. De toute manière, elle était en soif d’aventures. Cassiopée avait des valises remplies de livres et de télescopes, alors qu’un sac contenait toutes ses choses. Évidemment, sa mère s’en était insurgée. Elle avait promis d’envoyer plusieurs lettres. Elle avait aussi promis à Amos de lui ramené pleins de souvenirs et d’histoires.
Sa famille allait lui manquer. Mais elle avait si hâte de partir! C’était interminable.
Lorsqu’elle avait annoncé cette nouvelle, énervée et sautillante, à Charles, il avait été heureux pour elle. Extrêmement, même. Sa mère avait compté sur lui, pour être son argument le plus solide afin qu’elle reste. Ils étaient ensemble depuis trois ans, il voulait peut-être des enfants, ils avaient un appartement ensemble. Mais le jeune homme avait refusé de jouer le rôle. De toute manière, leur couple branlait de l’aile et avait même prit la décision de se séparer la veille de son départ.
Cassiopée avait encore plus hâte de quitter la Grande-Bretagne. Elle était dans le cadre de la porte de la maison de sa mère et Éric, à Godric Hollows et les deux lui disaient de se calmer. Ce fut ce dernier, avec Amos, qui l’amenèrent jusqu’au train. Elle demanda à son petit frère de prendre soin de leur mère et lui promit d’essayer de convaincre sa mère de le laisser venir la voir.
Elle embrassa sur la joue Éric et entra dans le train. Assise, des valises pêle-mêle autour d’elle, ce ne fut que là que sa joie se dissipa et fit place à une véritable terreur : elle éclata en sanglots.

1975.

En Italie, Cassiopée avait été heureuse de participer à de véritables recherches sur l’astronomie. Cependant, elle était aussi tombée amoureuse d’un sorcier.
Et puis, bien sûr, tout s’était compliqué lorsqu’elle était tombée enceinte. Mais il resta là, près d’elle, acceptant de jouer son rôle de père. Cassiopée avait ainsi pu continuer ses recherches. À deux, ils s’occupaient de ce bébé qu’ils avaient nommé Hunter.
Elle resta en Italie pendant quatre ans. Elle voyagea certes, beaucoup, pour ses recherches, suivant le chercheur. Elle classe de nombreuses galaxies, vit beaucoup de constellations qu’elle n’aurait pu voir en Grande-Bretagne.
Hunter avait trois ans et demi lorsqu’elle quitta l’Italie pour retourner chez elle. Celui dont elle était tombée amoureuse la quitta. Il devait rester là-bas et cela allait être bien plus bénéfique pour leur enfant qu’ils ne continuent pas à avoir une relation amoureuse à distance. Évidemment, Cassiopée se mit en colère. Mais cela, ne changea absolument rien à la situation.
Elle arriva donc en Grande-Bretagne et tel que promit, elle avait une tonne de souvenirs à remettre à son frère, qui avait maintenant douze ans. Elle se prit un appartement à Londres et participa à la rédaction du livre du chercheur avec qui elle avait travaillé par correspondance.
Ne voulant pas faire la même erreur que ses parents, elle s’entêta à inscrire Hunter dans une école pour enfants moldus, pour le moment. Il allait ainsi, pouvoir, voir d’autres enfants. De plus, cela lui permettait une pause pour justement travailler. Elle se rendit compte que sa colère pour le père d’Hunter ne l’avait absolument pas quitté. D’ailleurs, elle remplit un tiroir de lettres d’insultes. Elle ne les envoya jamais.
Elle commença à mettre en place ses propres recherches et elle donna quelques cours à des écoles de moldues afin de pouvoir survivre et donner à Hunter tout ce qu’il avait le plus besoin. Elle prit même un boulot de serveuse pendant un temps. Elle était beaucoup trop orgueilleuse pour demander de l’aide à ses parents. Déjà que sa mère gardait quelques fois Hunter.
Ce train de vie, se déchira. Durant les vacances de Noël de 1975.
Son père cogna à sa porte d’appartement, vers cinq heures du matin. Lorsqu’elle alla ouvrir la porte, elle ne reconnaissait même pas le visage de son père : là où une bonté régnait toujours, il y avait du déchirement, de la rage ainsi que de la peine.
Il l’amena jusqu’à Ste-Mangouste, elle, elle était trop gelée par la nouvelle pour dire quoi que ce soit. Elle était pire qu’un fantôme. Elle resta au chevet de son frère jusqu’à ce qu’il se réveille. Elle avait demandé à une amie de garder Hunter. Elle ne pleura pas. Non, trop assommée pour cela.
Ce fut lorsqu’Amos se réveilla que les larmes prirent d’assaut son visage. Elle l’étouffa presque, tremblant tellement qu’elle était inquiète. Lorsqu’il lui demanda où était leur mère, ce fut à ce moment que Cassiopée s’effondra. Elle tenta de retenir son frère, mais n’y réussit pas.
Incapable de bouger, elle était assise par terre, dans la chambre d’hôpital de son frère et elle pleura. Incapable d’arrêter.
Sa mère était pire que morte. Elle était en vie, en apparence, mais elle n’était plus là. Remplacée par un monstre horrible qui ne se rappelait de rien. La folie l’avait prise.
Cassiopée ne détesta personne d’autre plus qu’Éric Jugesdore de sa vie.

1981.

Cassiopée était peut-être ridicule dans ses croyances loufoques. Mais elle avait une force énorme cachée en elle-même. Pendant six ans, elle tint bon afin d’élevé son fils toute seule. Elle tint bon afin de prendre soin de son petit frère. Elle tint bon afin de faire sourire son père. Elle tint bon afin de rendre la crise que traversait son frère moins pire.
Cassiopée avait tenu bon. Elle s’était effondrée et malgré qu’elle pleurait encore souvent, qu’elle visitait souvent sa mère alors qu’elle n’obtenait aucun regard de sa part, elle avait réussi – en apparence – à se relever. Elle n’avait pas le choix de toute manière.
Elle continuait. Elle persévérait. Plus que jamais elle s’enfermait dans son monde d’étoiles. Elle avait décidé de spécialiser ses recherches en planétologie, plus spécifiquement sur l’impact de la lune. Inutile de vous dire pourquoi.
Puis, un jour, on lui proposa un poste d’enseignante à Poudlard. Si elle ne s’était jamais vue enseigné, cette occasion elle se jeta dessus. Cela stabiliserait sa vie. Cela lui donnerait une occasion de surveiller son frère. Cela donnerait une meilleure vie à son fils.
Cassiopée ne pensa aucunement à ses rêves de recherche. Elle pensait seulement à une chose rendre son existence moins criante.
Cela faisait quatre ans, maintenant. Elle avait encore l’impression qu’elle était en état de survivance.  



Dernière édition par Cassiopée V. Weasley le Mar 7 Juil - 5:31, édité 11 fois
Guest
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Message Re: (cassy) Où se posaient les hirondelles avant l'invention du téléphone?
par Guest, Lun 15 Juin - 3:50 (#)
Alors, j'avais une question.

D'ici le mois de juillet, je serai assez peu présente. Je suis en plein déménagement, mes colocataires, elles aussi... Donc, dans mon appartement, je n'ai pas d'internet (jusqu'à temps que je sois connectée dans mon prochain, tsé, logique). Alors, je n'ai accès qu'à internet par le biais de mon téléphone (ce qui n'est pas génial), chez mes parents (chez qui je vais très peu souvent, vu mon horaire de travail hyper chargé) ou dans des cafés... Je sais que c'est poche, que j'aurais dû attendre, mais j'ai une idée de personnage dont je suis follement tombée amoureuse et je ne voulais pas la perdre. uh ! uh ! uh !

Je voulais savoir, donc, s'il était possible que l'on m'accorde une petite prolongation pour ma présentation. Twisted Twisted Twisted
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par Invité, Lun 15 Juin - 4:11 (#)
Bienvenuuuue parmis nous Chou
Quelle merveilleuse idée que de faire de la superbe Jessica Chastain une Weasley bave Daengelo
Hâte de découvrir ton personnage Brille Future collègue hihi
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par Invité, Lun 15 Juin - 4:14 (#)
Jessicaaaaaaa Chou bave en Weasley en plus Daengelo
Bienvenue et bon courage pour ta fiche Haww
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par Guest, Lun 15 Juin - 4:56 (#)
Caïn C. Magedore a écrit:
Bienvenuuuue parmis nous Chou
Quelle merveilleuse idée que de faire de la superbe Jessica Chastain une Weasley bave Daengelo
Hâte de découvrir ton personnage Brille Future collègue hihi


OMFG. Chou cumberbatch. Chou Chou Chou Chou
bonjour, futur collègue. Potté

Léliana B. Kennedy a écrit:
Jessicaaaaaaa Chou bave en Weasley en plus Daengelo
Bienvenue et bon courage pour ta fiche Haww

ohnnn merci. Daengelo Daengelo Daengelo

j'adore ton avatar. bave bave bave
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par Guest, Lun 15 Juin - 6:56 (#)
jessica dead dead
bienvenue sur BP et bon courage pour ta fiche Daengelo
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Message Re: (cassy) Où se posaient les hirondelles avant l'invention du téléphone?
par Guest, Lun 15 Juin - 12:07 (#)
Bienvenue :)

Bon courage pour ta fiche !!
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Message Re: (cassy) Où se posaient les hirondelles avant l'invention du téléphone?
par Invité, Lun 15 Juin - 12:20 (#)
Weasley Daengelo bienvenue NONPASAUBAAAIN
O. Jill Peverell
membre - i don't want just a memory
O. Jill Peverell
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Message Re: (cassy) Où se posaient les hirondelles avant l'invention du téléphone?
par O. Jill Peverell, Lun 15 Juin - 12:23 (#)
Jessica + Weasley Daengelo Bienvenue sur BP Brille
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Message Re: (cassy) Où se posaient les hirondelles avant l'invention du téléphone?
par Invité, Lun 15 Juin - 13:28 (#)
Jessica Chastain Han! Chou love

Bienvenue sur BP, il nous faudra un lien (cassy) Où se posaient les hirondelles avant l'invention du téléphone? 2895445845
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Message Re: (cassy) Où se posaient les hirondelles avant l'invention du téléphone?
par Invité, Lun 15 Juin - 15:06 (#)
Bienvenue Brille
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Message Re: (cassy) Où se posaient les hirondelles avant l'invention du téléphone?
par Invité, Lun 15 Juin - 15:39 (#)
bienvenue ! Brille
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Message Re: (cassy) Où se posaient les hirondelles avant l'invention du téléphone?
par Guest, Lun 15 Juin - 15:42 (#)
omfg, merci beaucoup. Daengelo Daengelo Daengelo Daengelo Daengelo Daengelo Daengelo Daengelo
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Message Re: (cassy) Où se posaient les hirondelles avant l'invention du téléphone?
par O. Jill Peverell, Lun 15 Juin - 15:50 (#)
Citation :
statut: cause désespérée. mère monoparentale. pense à se mettre en couple avec son chat.
Je suis fan HOHOHOHOHOHOHOHOHHO Chou
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(cassy) Où se posaient les hirondelles avant l'invention du téléphone?

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