Nom: Aymslowe, ce nom qui n'a pas toujours été le sien mais qu'il défend farouchement depuis qu'il s'est allié à ses prénoms. Prénom: Machar, Sloan.  Machar, (prononcé makhar) très ancien prénom irlandais signifiant 'grand'. Sloan, 'guerrier', 'soldat', dans la même origine. Des prénoms auxquels il essaye de faire honneur. Âge et Date de Naissance: Il est né le 29 février 1964. Sa date de naissance l'agace au plus haut point, parce que personne ne peut s'empêcher d'y aller de ses petites réflexions lorsqu'ils la connaissent. Nature du sang: Sang-pur. Il sait qu'il doit en être fier, mais il n'arrive pas à y prêter une grande attention. Toute cette guerre a tendance à lui passer au dessus de la tête, se considérant trop jeune pour prendre parti.   Situation familiale: Les Aymslowe sont une famille nombreuse, que Machar a rejoint il y a tant d'années. Immédiatement, il a tout fait pour se faire accepter par ses pairs, pour leur montrer qu'il est aussi bien qu'eux. Il n'hésite pas à rabaisser Megan pour cela. Megan, d'ailleurs. Il déteste tout ce qui fait la personne de Megan. Son caractère, son statut, ses mimiques, sa façon de parler, sa façon de marcher. Il est tout ce qu'il a peur de devenir, bien qu'ironiquement, il porte depuis plus longtemps que lui le nom des Aymslowe. Il fera tout pour l'éclipser aux yeux de tous. Ses relations avec le reste de sa famille sont bien meilleures. Il s'entend très bien avec son frère et sa petite sœur. Son frère est un modèle à atteindre pour lui, il essaye de marcher dans ses pas même si le but de Duncàn n'est absolument pas le sien. La pression qu'il subit de la part d'à peu près tout le monde, il a tendance à bien la supporter sauf à quelques occasions où il lui arrive de tout envoyer bouler sous le coup de l'énervement.Patronus: Léopardeau d'Afrique présentant une mutation appelée mélanisme. Plus simplement,  il s'agit d'un bébé panthère noire qui n'a pas été touchée par la peste des patronus, et qui prend parfois la forme d'un rat brun. Miroir du Rised: Il se verrait lui-même, debout aux côtés d'une silhouette encore floue. A part cette silhouette, il est seul, et il est recouvert de gloire. Bien qu'il se sente bien dans sa famille, son jeune âge lui donne l'impression qu'il sera toujours dans l'ombre des plus âgés, dans l'ombre de son nom. Quand à la silhouette, il ferait n'importe quoi pour éviter de la voir. Bien qu'elle soit floue, il sait ce qu'elle représente, cette part de lui-même qu'il serait bien content d'annihiler. Cette silhouette, qui représente un homme, et à qui il tient la main.  Epouvantard: La matriarche, Adalhaïd Aymslowe, se tenant devant lui et le regardant avec dégoût, lui annonçant qu'il est la honte de la famille, qu'il ne mérite pas son nom et qu'il ferait mieux de partir de chez eux, pour son propre bien. Lui annonçant qu'il a tout raté. Qu'il est une erreur. Bien que ce soit sa plus grande peur, il ne se rend pas compte que c'est ce que vit son demi-frère Megan. Composition de la baguette magique: Une baguette composée d'un ventricule de dragon, recouvert par du bois de houx. Cette baguette est connue pour s'enticher de sorciers colériques et menant souvent une quête, quelle qu'elle soit.  Etudes Suivies: Encore en cursus primaire, Machar va entrer en septième année à la rentrée de 1981. Ses options sont études des runes et soins aux créatures magiques, bien qu'il aurait préféré n'en prendre aucune. Il n'a pas vraiment d'idées sur ce qu'il veut faire plus tard, mais il semble se diriger vers des études d'offensive magique.Animal de compagnie: Aucun.

Avant de pouvoir comprendre ce qu'il se passe dans l'esprit du jeune Aymslowe, il faut distinguer les deux facettes qu'il peut posséder. La première, celle qu'il arbore devant ses parents, et les figures d'autorité en général. L'autre, le Machar plus naturel, celui qu'il est dans la vie de tous les jours, lorsqu'il n'y a personne possédant un pouvoir administratif ou parental pour le voir. Il peut être relativement différent en fonction des personnes qu'il a en face de lui. Il ne se considère pourtant pas comme hypocrite, juste comme quelqu'un de malin. En face d'adultes en général, il a tendance à devenir beaucoup plus attentif, moins arrogant, moins sarcastique. Tout pour faire croire qu'il est un parfait petit enfant sang-pur, tout ce que l'on attend de lui. Les professeurs ont tendance à bien l'apprécier parce qu'il ne leur montre que cette partie de sa personnalité. De plus, ses notes sont relativement élevées. Bon élève, il est travailleur et essaye toujours de faire partie des meilleurs de sa classe, pour que sa famille n'ait rien à redire sur son comportement. Pour qu'on le félicite, lui dise qu'il est digne de son nom. Bien sûr, ça n'arrive pas souvent. Chez les Aymslowe, la perfection est un critère de base. Il sera rarement félicité pour son bon comportement, mais bien plus souvent disputé pour une petite faute au règlement. Mais son travail n'est que rarement approfondi. Machar, il fait le strict nécessaire pour s'accorder des Efforts Exceptionnels. Il ne va pas aller passer des heures en bibliothèque sur un sujet. Il bosse, mais il a des limites. Il ne fait ça que pour essayer de briller un peu plus dans sa famille. Il sait qu'étant l'un des plus jeunes, on le comparera toujours à ses aînés. Il sait qu'il aurait du mal à être reconnu pour qui il est, plutôt que d'être un énième Aymslowe. S'il adore son nom et le défendra jusqu'à son dernier souffle, l'ombre dans laquelle il le projette à tendance à l'agacer parfois.
L'un de ses traits de caractère le plus proéminent est son goût pour la compétition. Tout, absolument tout, devient une compétition avec lui. Poussé par sa mère, il a dès son plus jeune âge tout fait pour essayer d'être meilleur que tout le monde. Il essaye de toujours avoir une longueur d'avance sur ses cousins, sur son demi-frère. Megan doit être la personne contre qui il détesterait le plus perdre. Il ne l'accepterait absolument pas. Le Poufsouffle est tout ce qu'il exècre, tout ce qu'il ne veut pas devenir. Ce sang-mêlé, le fils de son beau-père. Il ne méprise personne autant dans ce monde, sans raison valable. Son caractère l'énerve, et l'ambiance de la famille n'aide pas à construire une entente entre les deux jeunes. Ayant pourtant le même âge, rien ne semble pouvoir bien se passer entre Machar et Megan. Le fait que son prénom commence par la même lettre que lui l'énerve, aussi. Heureusement, la deuxième lettre de son prénom le fait passer en premier sur les listes d'appels. Une maigre consolation, qu'il a tout de même remarqué. S'il essaye malgré tout de faire semblant de le tolérer lorsqu'ils sont de retour chez eux, il a tendance à lever les yeux au ciel à la moindre de ses remarques, à le reprendre sur chacune de ses phrases.
Immanquablement, il se pense supérieur à Megan. Son arrogance naturelle n'aide franchement pas dans leur relation, également. Profondément ironique, Machar à tendance à prendre ce ton insupportable, moqueur, totalement sarcastique lorsqu'il parle à quiconque. Megan y a droit lui aussi, mais le Poufsouffle a le droit à un supplément mépris en plus du reste. Il est pourtant populaire dans le reste de l'école, sa nonchalance feinte et sa tendance à se ranger du côté des plus forts aidant en cela. Il aime être en groupe, il est du genre à vivre mieux entouré de personnes en qui il a confiance. Il fait partie de ces bons élèves qui ont tendance à rabaisser leurs compétences en présence d'autres élèves de peur de passer pour un intello, qu'il perde son statut d'élève populaire. C'est stupide, c'est un comportement qui a tendance à en agacer plus d'un, mais il se débrouille assez bien pour jongler entre l'image qu'il donne aux professeurs et celles qu'il donne à ses camarades.
Il a tendance à prendre la compétition beaucoup trop au sérieux. Il est toujours celui qui, dans un groupe, lance des paris débiles à faire et ne lâche pas l'affaire avant d'avoir gagné. Et bien sûr, s'il perd, ce n'est jamais de sa faute. Quelque chose l'a déconcentré, il n'était pas prêt, de toute façon il n'était pas à fond. Totalement de mauvaise foi, Machar aime avoir raison. Et il a toujours des tas d'excuses en poche pour prouver qu'il a raison.
Incapable de tenir en place plus de cinq minutes, il faut toujours que l'irlandais trouve quelque chose à faire. Une bêtise à faire, principalement, en se débrouillant pour ne pas être pris. Il a besoin de cette adrénaline, du sang qui bat à ses tempes. Téméraire, on pourrait presque le qualifier d'inconscient. Il faut qu'il titille le danger au plus près, comme s'il avait besoin d'aller prouver quelque chose à quelqu'un. Souvent, il ne se rend compte qu'il a des ennuis que quand ceux-ci l'ont déjà recouvert jusqu'au cou. Cette fâcheuse tendance à agir avant de réfléchir est la raison principale  pour laquelle il est quelquefois  pris à faire des bêtises. Il essayera toujours de s'échapper par une pirouette, avec plus ou moins de succès.
Son trait de caractère compétiteur à, au fil des années, fait émerger dans sa façon d'être une colère excessive lorsque Machar est confronté à la défaite. S'il essaye de ne pas exploser, il y arrive rarement et finira sûrement par insulter la personne qui l'a battue, et l'accuser de tricherie ou autre. D'ailleurs, dans ses jeunes années, il avait postulé pour être batteur dans l'équipe de sa maison, le Quidditch l'attirant énormément. C'est finalement un élève plus âgé qui lui a été préféré, et il est entré dans une telle colère que désormais ce n'est même plus la peine qu'il retente sa chance. Cet événement le frustre encore, bien qu'il lui arrive d'aller taper du cognard pour se détendre après les cours.
Malgré ses défauts qu'il essaye de cacher le plus possible, pour coller au mieux au modèle qu'il montre à sa famille, il faut concéder à Machar qu'il a une loyauté à toute épreuve. Sa confiance se gagne relativement facilement, mais il est quelqu'un de très rancunier qui n'hésitera pas à faire vivre un enfer à quiconque trahirait cette confiance. Pour les autres, il a tendance à essayer de tout faire pour les personnes qui lui tiennent à cœur. Il n'a qu'une seule parole et met un point d'honneur à essayer de ne rompre aucun des engagements qu'il a pris auprès de quelqu'un. Le mensonge ne le dérange pas spécialement, mais une fois qu'il a juré, il ne reviendra pas sur sa parole.
Une dernière chose à noter concernant Machar concerne une partie de lui-même qu'il refuse de connaître. Qui le dégoûte au plus profond de lui-même. Qu'il ne supporte tellement pas que son inconscient efface chacune des preuves qui pourraient exister. Les preuves qui prouveraient que Machar n'est pas attiré par la gente féminine. Son regard qui a tendance à s'égarer du côté de corps trop semblables au sien, certaines pensées qu'il peut avoir. Il les enfoui au plus profond de lui-même, les détruits, les écrases. Ces preuves n'existent plus, n'ont jamais existé. Il est normal. Il n'a pas de problèmes. Il ne laissera pas ces choses étranges qui lui arrivent ternir la réputation de son nom et ce qu'il essaye de bâtir pour prouver qu'il vaut autant que n'importe quel Aymslowe. À cause de ça, il a plutôt eu tendance à sortir le plus tôt possible avec des filles, enchaînant les relations sans réussir à éprouver les sentiments que les autres garçons de son âge semblaient ressentir lorsqu'ils en parlaient. Il se demandait s'il n'y avait pas un problème avec lui. Il ne devait pas avoir de problèmes. Il n'avait pas le droit. Du coup, il essaye de se "soigner" comme il peut, se détestant mentalement pour oser s'égarer de la sorte, ayant tendance à être beaucoup trop charmeur avec les filles de son âge, espérant qu'un jour il arrêtera d'avoir ces regards déplacés, que quelque chose arrêtera de clocher chez lui.

Le nom du léopardeau qui suit Machar à la trace depuis deux ans et demi, ce n'est pas lui qui l'a choisi. À vrai dire, il a refusé de jeter un regard à la créature qui le suivait partout pendant quelques semaines. Bien qu'Azraël ne soit pas particulièrement insupportable comme peuvent l'être certains patronus, il dérangeait son sorcier qui n'arrêtait pas de pester contre l'incompétence du ministère anglais. Leur relation s'est améliorée depuis, et Machar se surprend même à s'être attaché à cette partie de son âme. Le léopardeau a parfois tendance à paraître un peu abruti, mais au moins il est supportable. Il ne parle pas énormément, et il est souvent à côté de la plaque. Bien qu'il ait tendance à suivre son sorcier de sa démarche pataude de bébé félin, il lui arrive de se glisser sur son épaule ou dans la manche de son uniforme en prenant l'apparence d'un rat commun, qui est bien plus taciturne et mature qu'il ne peut l'être sous sa forme féline. Le léopardeau représente le désir d'indépendance de Machar, son impulsivité et son immaturité. Le rat au contraire, aurait tendance à symboliser sa vie en famille, très hiérarchisée, ainsi que son comportement opportuniste.
Arzaël n'a, au grand bonheur de son sorcier, pas été touché par la peste des Patronus et le sorcier à donc pu rester à l'extérieur de la zone de quarantaine lorsque celle-ci était en place.