[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]SIX YEARS OLD ∞ My poor mother begged for a sheep but raise a wolf "
Angharad ! Reviens ici tout de suite !" Tu ne t'arrêtes pas, tu cours même plus vite aussi loin que tes petites jambes peuvent te porter avant qu'elle te rattrape pour te ramener dans cette prison dorée où tu étais enfermé. Elle te rattraper toujours, te ramenant inéluctablement au point de départ, mais ça ne t'empêcher pas d'essayer toujours et encore. Tu voulais partir, pousser par un désir de liberté que tu n'attendais jamais. Tu étais gardé dans ce manoir telle une princesse dans son donjon, un pantin dont ta mère tirait les ficelles. Une poupée bien façonnée que le moindre choc pourrait brisait en mille morecaux .
Tu t'appelles Angharad Lullaby Lannister . Tu es née il y a 19 ans maintenant, à l'hôpital de Canterburry. De l'union arrangée d'Olivier Lannister et de Victoria Pendragon . Un mariage sans amour. Sa famille avait de l'argent et ton père avait du pouvoir. Voilà de quoi tu étais le fruit, une sang pur, presque comme dans les élevages dans un sens. Voilà, ce qui t'attendait, le sort d'une poupée sur une étagère, une petite chose fragile et obéissante, qu'on montre, qu'on utilise pendant un temps avant de la délaisser dans un coin. Tu ne serais pas cette chose. Tu ne le supporterais pas, déjà très jeune, tu l'avais compris curieuse de nature, tu aimais te perdre des heures dans des livres d'aventure, des rêves plein la tête. Malheureusement, ce n'était pas la réalité.
"
Anghara! Applique-toi un peu ! Ce n'est pas bien compliqué ! " Voilà, ce qui était ta réalité "1,2,3,4" tes doigts danse sur les touches du piano et tes pieds sur le sol, ton dos est droit et ta tête haute. Tes journée ne sont qu'une répétition de cours, cours de danse, de conduite, de piano, d'équitation -Oui, elle avait même décider de t'appendre à monter comme une ladie, la connerie - et encore d'autre dont tu avais oublié le nom. Tout cela dans le but de faire de toi la parfaite petite poupée. Tout cela t'ennuyait à mourir, et même à la fin de la journée, quand tu en avais fini avec tout t'es cours et que tu pouvais vaquer, ta mère était derrière toi pour te dicter tes moindres faits et geste. Mais dés que tu en a eu l'âge, tu ne t'es pas laissé faire l'ignorant d'abords, puis lui répondant quand tu en eu l'âge. Lui faisant bien comprendre que tu n'allais pas lui faciliter la tâche de ton "éducation", tâche qu'elle abandonna très vite reléguant ce soin à tes grands parents.Ces dernier qui en plus de tes cours t' inculquèrent le culte du sang pur. Et si tu continuais à aller dans tous ses cours et à te donner la peine de réussir dans, c'est même cours, ce n'était absolument pas pour faire plaisir à ta génitrice, mais plutôt pour attirer l'attention de ton géniteur. Olivier Lannister, chef de la famille généralement au abonné absent. Parce que si tous tes cours étaient plus barbants les un que les autres, il y en avait tout de même un qui sortait du lot, le piano, ton père adorait t'écouter en jouer. C'est d'ailleurs pour ça que de tout les cours, c'est celui-là que tu as gardé.
Tu voulais son attention d'une façon ou d'une autre, mais toute son attention était portée sur Zéphyr, ton demi-frère, un sang-mêlé. Et pourtant, toutes les attentes de la famille et de ton père étaient braquées sur lui, lui l'héritier, l’aînée, celui qui transmettrait le nom de la famille l'héritage. Toi, à côté, tu n'étais qu'un joli visage, bon à marié. Mais il se tromper, tu voulais être plus que ça, tu le pouvais et tu l'étais. Et tu avais beau te démener pour le prouver à tes parents, ou plutôt à ton père puisque c'était bien de lui que tu voulais l'attention. Ce qui a causé pas mal de dispute entre vous, vous vous sauriez presque toujours à la gorge et il fallait l'intervention d'un adulte pour vous séparer.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]THIRTEEN YEARS OLD ∞ They say we crazy youngsters, time is running out but who care we runing free. Puis il y a eu la lettre de Poudlards, ton ticket de sortie. Tu allais enfin pouvoir sortir de cette maison et t'échapper. À ton arrivée, tu étais tout simplement perdu, toutes ses personnes, ce bruit, cette agitation, tout étaient nouveaux. Certains en auraient était effrayé, mais tout au contraire, tu en étais excité, un grand sourire sur ton visage. Tu aimais déjà cet endroit. Au début, tu étais un peu perdu, mais il ne te fallut pas longtemps pour t'habituer à ce nouvel environnement. T'affirmant au côté de tes paires, tu as rapidement acquis un côté garçon manqué, ne t'écrasant devant personne, tu n'hésitais plus à faire entendre ton opinion et a parlé franchement, t'attirant assez régulièrement des disputes. Tu as aussi commencé à faire du sport, t'attirant l'amitié de pas mal de garçons. Au fil des années, tu deviens plus ouverte aux autres, apprécié de tes camarades, tu as su te faire un cercle assez proche d'amis, mais aussi quelques ennemis sur lesquels tu déchaînait tes foudres. Néanmoins, tu as rapidement appris à mettre en usage les cours administrés par ta mère, usant de tes savoirs pour manipuler les personnes, surtout tes professeurs. Passer pour une élève ne lui état au début pas très difficile, elle était curieuse de nature et avait prit l'habitude de travailler depuis longtemps. Ceux qui te permirent de réussir dans la plupart de tes classes, sans vraiment avoir besoin d'essayer. Avec ça, il ne te rester plus qu'à ne pas te faire attraper. Petit à petit, tu es devenu plus féminine, apprenant à utiliser tes charmes pour obtenir ce que tu voulais, en profitant. Mais surtout devenant de plus en plus sauvage presque incontrôlable. Tu voulais, t'amuser autant que tu pouvais avant de revenir chez toi. Ta mère n'acceptait pas ce comportement, ne supportant pas l'idée que sa poupée devienne hors de contrôle, alors elle te punissait et tu recommencé. Simplement.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]SIXTEEN YEARS OLD ∞ We are like parallel lines, always close never together L'arrivé de Zadig Kray . Dés sont arrivé, tu ne l'as absolument pas aimé. Premièrement, il n'était qu'un sang de bourbe et les années d'éducation pro-sang pur de tes grands-parents y jouait pour beaucoup. Et même si petite tu avais eu tes doutes dans ce culte du sang, il avait vite était balayé par des cris d'indignation dés la première fois que tu les avais exprimés. Tu étais meilleur qu'eux simplement grâce à la pureté du sang qui coulait dans tes veines. Ce qui t'emmène à la deuxième raison, il s'est très vite avéré que ce garçon était plus fort que toi. Et tu ne l'acceptais simplement pas. Une certaine rivalité se créa très vite entre vous deux et le début d'année se passa entre vos incessantes compétitions et vos coups bas.
En dehors des cours, vous vous évitiez généralement, mais un jour que tu rentrée dans ta salle commune, tu l'aperçois cacher sur un toit, une étrange chose sur les oreilles, tu t'approches t'apercevant bien vite que cette chose diffusait de la magie et qu'elle n'était absolument pas d'ici. De la magie moldue. Tu souris te glissant derrière lui, avant de lui chuchoter à l'oreille "Tu sais que je pourrais te reporter pour ça " Il se tourne violemment vers toi d'abords apeuré puis plus d'étendus lorsqu’il compris à qui il avait à faire. Il sourit et te demanda "
Alors pourquoi tu ne l'as pas déjà fait hm ? "Tu lui réponds immédiatement "
La curiosité ", C'est un vilain défaut " Tu lui souris effrontément et t'asseoir à ses côtés "
J'en ai des pires...Puis soudain tu lui arrache la machine des mains pour la regarder sous toutes les coutures, tu finis par retourner ton attention sur lui brandissant l'objet
... Et donc qu'est-ce que c'est ? " Il te sourit probablement amusée de ton innocence
"Disons que c'est une boite pour écouter de la musique " Tu fronces les sourcils comment ce machine pouvait faire de la musique ? Il continue à sourire avant de te poser ce qui pourrait être un casque sur la tête. Tu lui lances un regard interrogateur auquel il te répond en te désignant ses oreilles. Puis il appuya sur un bouton et la musique emplit tes oreilles. Immédiatement, tu enlèves l'objet de tes oreilles "
What the fuck " Tu te tournes pour avoir des explications, mais tu n'est accueilli que par Zadig tordue de rire. Vexée, tu t'apprêtes à lui lancer une pique, quand tout d'un coup, une voix n'appartenant à aucun de vous s'éleva "
Qu'est-ce que vous faites " Merde, un surveillant, normalement, tu te serais enfui, mais il t'attrapait déjà le bras, rendant impossible toute manœuvre d'extraction. "
Angharad encore toi ? Qu'est-ce que tu as encore fait ? " Tu hausses un sourcil en lui lâchant un vague "
A vous de me le dire "et te retournes t'attendant à rencontrer le regard vert de Zadig, mais ce dernier avait disparu. Oh le con, il te laissait derrière pour prendre toute la responsabilité de ses actions.
Dans les faits, tu n'échoppas que d'un avertissement puisque l'objet du délit avait disparu avec son propriétaire. Mais ce qui te mettait vraiment la rage était qu'il t'ais laissé en plan - clairement c'était de la mauvaise fois puisque tu aurais fait la même chose - Mais même si tu aurais put faire l'action, tu n'appréciais en aucun cas qu'ont te a fasse. Revenge devait être faite.
Deux jours plus tard, le pauvre garçon avait, c'était retrouvé avec les cheveux teints en rouge. Entonnement, il le prit mieux que tu ne le pensais.
Les mois qui suivirent vous rapprochèrent de plus en plus, vous ne faisiez que vous lancer des défis qui terminaient généralement en colle. Bien assez vite, vous étiez devenu amie, finalement assez semblable vous vous ressembliez trop pour ne pas vous entendre. Bientôt des rumeurs ont commencé à courir sur vous deux, mais en réalité, il n'en était rien, la vérité était bien que tu aie déjà eu quelques expériences avec différente personne. Tu t'es assez vite rendu compte que tes goûts penchaient plus vers la gente féminine. Zadig, lui était quelque chose d'autre, de plus, contrairement à ce qu'aurait put laisser entrevoir vos premier rapport, tu t'étais énormément attaché au garçons. Ce qui remit en cause ton opinion sur les sangs purs, tu avais bien vu que tu n'étais pas meilleur ou supérieur à Zadig cela, c'était prouvé des le premier mois. Plus entraîné, habitué à la magie, oui, mais pas forcement meilleur. Ou peut-être, c'était seulement lui, peut-être que Zadig était simplement spécial.
Le grand brun prenait d'ailleurs un malin plaisir à te faire découvrir le monde moldus. D'abords réticente, ta curiosité à bien vite prit le dessus te laissant entrevoir, un monde à la technologie avancée. Tout ce qu'il n'avait pas par la magie les moldus l'avait compensé par ce qu'il appelait "la science".
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Mais pour toi attendre les bras croisés était impossible, tu es donc descendu chercher quelque chose pour essayer d'apaiser ses symptômes quand tu entendis la voix de ta mère "
Angharad vient voir par là ma chérie " Tu fronces les sourcils, ce n'était pas normal, cette voix mielleuse ne te plaisait pas le moins du monde mais tu étais déjà à l'entrée du salon tu ne pouvais plus reculée. Alors tu entres dans la pièce l'air de rien, dévisageant tes parents un par un. Cette histoire commencée à être de plus en plus bizarre, ta mère prend la parole un grand sourire jouant sur ses lèvres "
Assied toi, nous avons une grande nouvelle à t'annoncer". Une nouvelle fois, tes sourcils se froncent, cette histoire ne sentait pas bon, tu n'aimais pas se sourire qui ne te donnait qu'une envie, t'enfuir le plus loin possible. A la place tu gardes, la face et t'assoie en face de tes parents, droite, les jambes croisait, tu les regardes tour à tour, cachant ton anxiété du mieux que tu voulais mais tu ne put t'empêcher de tambouriner tes doigts sur tes genoux dans un geste typiquement nerveux. Essayant de te calmer en prenant une gorgée de ton verre d'eau. Et finalement, ta mère ne tient plus et finis par lâcher la bombe "
Tu vas te marier !" Mauvaise idée, l'eau ressortis immédiatement à moitié dans ton verre, à moitie à côté, t'étouffant à moitié, à côté de toi Vodka feul apparemment aussi peu incline que moi à cette idée.
"Oh chérie, n'est ce pas fantastique ! " Évidemment, elle prenait ces rêves pour la réalité et ton choc pour quelque chose de joyeux. Comme si elle te faisait le plus beau des cadeaux. Tu ne lui lances même pas un regards préférant te tourner vers ton père le plaidant presque du regards "
Sérieusement .... Tu ne peux pas là laisser faire ça !" Il ne te regarda même pas répondant par un simple "
Tout est déjà arrangé " Encore une réponse mièvre de ta mère que tu n'écoutes plus, fixant ton père une colère sourde monte en toi. Puis le geste de trop, la main de ta mère sur ton bras essayant de regagner ton attention. Vodka gronde bondissant entre toi et ta mère alors que tu te recules violemment. Ta mère se recule choqué alors que ton père se lève dans une attitude autoritaire. Tu le fixes toujours avant de le regarder "
Et tu crois vraiment que je vais accepter ça ? ... Ta voix augmente d'une octave...
Que je vais vous laisser me vendre comme ça au premier venu " Il ne te lance qu'un regard dur tintement clairement de te calmer et de te rasseoir, tu n'en fit rien et il reprit '
Tu feras simplement ce qu'ont te dis Angharad, tu n'as pas le choix ici, tu l'épouseras que ça te plaise ou non " Un rire sarcastique et sans humour s'élève dans la pièce et il te faut un moment pour te rendre compte que la voix t'appartient et tu continues sur ta lancée "
Alors c'est comme ça ? Tu es à peine là pendant mon enfance et là, tu te pointes et me dis de marier un illustre inconnu ? Sans que j'aie mon mot à dire ? Et ben en fait si j'ai mon mot à dire, on est au 20 éme siècle, tu ne peux pas me forcer... " "
Bon sang arrête d'agir comme une enfant." Tes sourcils se haussent et un mauvais sourire "
Une enfant. T'as raison, je n'en suis plus une. Je peux faire mes propres décisions ! Donc si vous voulez marier quelqu'un, vous pouvez toujours essayer avec Zéphyr ! Moi c'est même pas la peine d'y penser" Sur ce, tu ne veux même pas attendre leur réponse et fonce directement hors de la maison puis de la propriété. Sans t’arrêter, tu finis par courir. Pour atterrir dans un bar de Carteburry, un coup de fil et Z étaient à l'extérieur. Il te retrouva assez rapidement, tu en étais déjà à ton deuxième verre, il ne dit rien comprenant se mettant à ton écoute, sachant mieux que de te brusquer. De toute la soirée, tu ne lui as rien dit, au rien de bien important. Tu voulais simplement oublier pour une nuit, ne plus penser à rien, les problèmes seraient toujours là demain. Tous seraient là comme il l'a toujours était. Exactement pareil.
La prochaine que tu te rappeler, il t'avait ramené à la voiture et tu rentrés à la maison. Tu en voulais pas rentrer là-bas c'était ce que tu essayais de lui expliquer. Mais il ne t'écoutait pas les yeux fixait sur la route. Tu finis par lâcher le morceau dans un chuchotement "
J'ai l'impression qu'il me voit seulement comme ce qu'ils veulent, un objet et pas comme ce que je suis. Personne, aucun d'entre eux, ils ne font que voir ce qu'ils veulent que je sois. Rien d'autre. Comme si moi, j'étais invisible. "
Automatiquement, il te regarde droit dans les yeux avant de te chuchoter "
Moi, je te vois" il aurait dû voir la route. ...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Tu es étendue sur le parvis, ton corps entier n'est qu'une immense peine. Tu cherches du regard ton patronus. Mais ton regard ne rencontre que le cadavre de la voiture en feu alors que tu perds petit à petite connaissance. Tu cherches Z du regard, mais tu ne le trouves nul part. Tu essaies de bouger, sans en avoir la force, ton corps est en feu et tu sais que ce n'est pas seulement dû à la disparition de ton patronus. Autour de toi tout est silencieux. Et puis tu le vois, son corps et toujours courbé au-dessus du volant, la voiture prenant lentement feu autour de lui. Tu essaies de l'aider, de l'appeler, faire quelque chose pour le réveiller. Mais il ne bouge pas et tu perds lentement connaissance face à cette vision.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Tu te réveilles doucement au son des bip du moniteur, rapidement aveuglé par la lumière, tu grognes, ta gorge proteste immédiatement. Tu cherches la pièce du regard sans vraiment savoir ce que tu cherches. Mais tu sais que ce n'est pas là. Dans quelques minutes, tu apprendras que tu as eu un accident de voiture et que tu comates depuis un mois, t'empêchant dans le même temps de subir les effets de ta maladie. Tu es passé par le pare-brise, mais tu t'en étais sortie chanceuse. Le problème était la chose manquante ou plutôt la personne, tes yeux scannent toutes les personnes dans la pièce, il n'est pas là. Tu apprendras plus tard qu'il n'a pas survécu, mais qu'il n'a pas soufflé qu'il était mort sur le choc. Comme si tout cela pouvait être d'un quelconque réconfort pour toi. Il t'avait laissé seul ici.
Tu ne savais pas comment gérer ça, le problème avec la vie, qu'elle ne vient pas avec un mode d'emploi, elle nous tombe dessus sans prévenir. Quelques fois, elle est magnifique comme des milliers de feux d'artifice qui éclairent le ciel et nous rend tellement heureux et légers qu'on pourrait presque s'attendre à s'envoler, mais d'autre fois, elle est aussi dévastatrice et dangereuse qu'un ouragan ou un incendiée ne laissant sur son passage qu'un être cassé. Et c'est là qu'intervient le pire sentiment, le regret, cette émotion tapie au fond de nous qui nous dévore de l'intérieur tel une bête sans que rien ne puisse l'arrêter, alors on pense, on réfléchit à ce qu'on aurait dû faire, dire ou décider. À ce moment-là, il y a principalement deux sortes de personnes, ceux qui croient au destin et que tout ce qui arrive doit le faire d'une manière ou d'une autre et ceux qui ont le plus de remords, qui pense être libre et par extension que leur mauvais choix sont entièrement de leur fait. Dans les deux cas, à un moment ou à un autre, tôt ou tard la bête se calme, elle est repue. Tout d'un coup tout s'arrête la peine, le chagrin, la douleur et on se reconstruit comme ont peu, on continue à vive sa vie. Mais tout au fond de nous il y a toujours des cicatrices, des marques, de griffes et de crocs, des souvenirs qui resteront comme des marques au fer rouge, gravé à vie.
Éventuellement, tu es sortie de l'hôpital quelque moi plus tard, tu avais fait ton deuil. Misfits était revenu à tes côté inchangé toujours aussi joyeuse, Vodka aussi, ce qui avait changé était la présence de deux nouvelles formes auditionné à tes anciennes un chat sauvage et un varan, le patronus de Zadig. Il n'avait pas compris, mais tu avais ta propre explication. C'était Zadig, il était resté prés de toi et veillé maintenant sur toi sous la forme de son patronus.
Tu n'es pas rentrée chez toi, préfèrent la familiarité de Poudlard, le mariage avait était annulé ou plutôt reporté jusqu'à la fin de ma scolarité, me laissant tout le loisir de revoir ma position comme son père le disait. Mais pour toi, c'était déjà tout vu.