coucou vous.
je tenais premièrement à vous faire part de mon admiration pour votre travail, car c'est un très beau forum, et avec de belles intrigues très tenues.
c'est franchement superbe. bon, trève de bavardages, avant de m'inscrire je voulais me faire une petite valise de lien, si ce n'est une assurance à la vie de mon personnage.
je pensais prendre Lily Collins, qui est honnêtement le grand amour de ma vie, et qui physiquement est l'incarnation parfaite de ma petite. donc, ma chère Theo Mora - Théodora en entier mais en rigide qui s'ignore tout à fait, elle tente par tous les moyens de lutter contre ce que les autres pensent d'elle en se contentant d'une version raccourcie de son prénom. elle aurait... hum entre vingt et vingt-deux ans, et aurait le sang relativement pur mais pas mal mélangé quand même - oui bon, sang mêlé j'arrête les sophismes, sans pour autant qu'il soit de grande renom. au contraire, sa famille est de celle qui ont fait leur réputation de la sueur de leur front : jamais les Mora n'ont compté sur les autres, si ce n'est leurs acclamations. son arrière grand-père, éminent écrivain et grand amateur de débats endiablés - s'étant lui-même qualifié d'épurateur des âmes et philosophe, est le premier à avoir construit une véritable fortune familiale. (celui a les idées très arrêtés, qu'il tient de ses ancêtres, et aurait été un fervent amoureux du Lord Noir, s'il n'était pas mort aux premiers signes de réussite de son fils, lui bien plus marginal.) s'en suivit alors de fils prodigieux - littéraires, bon analystes, et de filles fantastiques et sérieuses - politiciennes, potionistes. malgré cette grandeur infinie, aucun d'eux n'a porté le moindre jugement à visée péjorative sur les moldus - depuis 1945 seulement. pour eux, le sang est une fatalité terrible en ces temps durs, si bien que l'intolérance est un luxe que personne ne devrait s'offrir. bref bref, j'en viens à mon personnage.
Théodora s'oppose clairement à la légèreté brillante et spirituelle qui régit sa famille, bien qu'ils aient remarqué les stigmates de la grandeur dès son plus jeune âge : à ses yeux, les moldus ne méritent pas tant de gentillesse et générosité - au sens d'orgueil aristocratique, sans pour autant souhaiter des mesures radicales. une simple séparation lui semble justice. gamine, comme un poids générationnel et immense sur ses épaules - celle-ci ne savait pas être le fruit d'un adultère qui a longtemps fait trembler sa famille (l'amant étant un grand intolérant, m'voyez faut que je creuse), elle a vite oublié les douceurs de l'enfance et n'a jamais véritablement voulu jouer : tout ce qu'elle faisait était lire, relire, s'inspirer des écrits de son ancêtre - oui, l'intolérant mégalo philosophe. en grandissant, elle s'est tout de suite bcp bcp intéressée à l'éloquence, qu'elle travaille, et à l'élégance du corps que son ancêtre voyait un joyau de plus à l'intelligence, qu'il est important de compenser car la beauté est souvent bridée par un trop grand esprit (oui, c'est un fou amoureux d'Oscar Wilde). donc, sans attendre, en plus de cultiver son esprit, elle cultive son style en adoptant ce que les belles années avaient de plus grand : bouche rouge, sourcils travaillés, taille serrée, blouses vaporeuses, grands manteaux masculins, chaussures vernies... cigarette aux doigts. bref, une vraie petite poupée avec un côté rétro.
chacun de ses gestes est mesuré, calculé, sans pour autant qu'elle soit à l'abri de l'imprévu - qui la met dans tous ses états : colérique à la moindre contrariété, et s'énerve au moindre faux pas des autres. ne cherche pas la relation, mais l'expérience et le succès, bien que sa famille souhaite la voir s'épanouir et aimer elle s'en pense tout à fait incapable. le moindre plaisir est une source de distraction (malgré un amour secret pour les bons vins) qu'elle aimerait éviter au possible pour se concentrer sur les arts majeurs que son arrière grand-père adorait - potion, politique, histoire...
donc en clair, elle est très rigide, amoureuse de toute science, information, et lecture. mais fait aussi preuve d'un esprit critique sur toute théorie non avérée, et de tout ce qui a été pris ou toute inspiration moldue. pourtant, elle a une passion folle pour le cinéma qui est le représentation parfaite des erreurs répétitives de l'homme, et une manière saine de parfaire son jugement. puis, elle rêve des plus grandes choses pour son avenir, et ferait tout pour y parvenir malgré des valeurs très fortes.
ce n'est qu'une maigre ébauche, et je recherche donc des liens.
j'ai quelques maigres idées, mais je ouverte à absolument tout, du très loufoque au plus sérieux.
- quelqu'un qui serait toujours dans ses basques, et absolument l'inverse d'elle : pas controlfreak, pas du genre à se presser ni même à faire tout bien ni en heure. toujours, ils seraient obligés de se rencontrer, d'être confrontés l'un à l'autre. il mettrait toujours théo dans une colère furieuse avec son laxisme.
- un autre amateur de grands classiques, de vin rouge et de cigarette. une vieille âme un peu, avec qui elle puisse parfaitement échanger et partager ses passions. ce serait pour elle un moment d'insouciance.
- un homme qui réussit mieux qu'elle, et sur presque les mêmes terrains. peu importe ses efforts, elle ne parviendrait qu'à l'égaler quelques secondes pour mieux lui laisser la place de maître. une relation de compétition, bien qu'elle se verait presque contrainte de l'admirer. aussi, j'aurais beaucoup aimé que dans ce lien, elle joue de ses charmes pour le destabiliser avant un exam', du style elle l'invite à boire un verre et le soule à mort tandis qu'elle vide le sien dans une plante.
ou lui demande de la rejoindre à un endroit la veille d'un oral et l'y enferme une bonne partie de la nuit.
je sais pas trop, à voir.
ALLEZ, VIENDEZ JE SUIS GENTILLE ET PLEINE D'AMOUR. (pas comme théo)
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