Nom: Fielleuse outrance et véritable infamie de ne guère de ces travers altiers en déduire l'immuable évidence. Tout en cet être tortueux n'inspire que l'acquis éclat de ce nom, McLeod. Paraphe pétris d'un panache certain qui lui confère avec dérision et aisance les grâces de ses compères les plus amples.  Prénom: Léandre, Montag,Newton. Trois dénominatifs distincts clairement puisés dans le gargantuesque gouffre des laborieuses appellations fastidieuses d'une feue noblesse emblématique à l'anglaise. Cependant nul ne semblerait ravir davantage l'essence même de son être, en véritable pilier de son existence cette flopée archaïque quelconque lui sied on ne peut mieux. L'élitisme qui en suinte n'est qu'amplement ode à ses vagues travers vaniteux et le sorcier saurait quoiqu'il en soit fort malaisé de ne serait-ce qu'émettre réticence quant à ces dénominatifs triés sur le volet des humeurs  acariâtres paternelles.    Âge et Date de Naissance: Léandre McLeod naquît le deux Mai 1960 et s'émeut de 21 oblongues années d'une existence nauséeuse émaillée de diverses tocades suintant d'une amertume douceâtre.Nature du sang: Tout être aussi misérable son intellect puisse-t-il s'avérer être saura au moins d'instinct que la cohorte de sorcier constituant la lignée McLeod se voit gâté d'un sang immuablement pur. Ainsi Léandre n'y faisant guère une odieuse exception est ainsi aussi pur que ces archétypes lignées ancestrales dont il fait part intégrante. Le Sang-pur lui est même clairement inconcevable qu'importe la forme que ce dernier s'octroie, celle d'un effronté sang-mêlé ou ... celle d'un famélique né-moldu. Situation familiale: De tous les nobles cocons conventionnels qui ravissent le ministère de la magie..Les McLeods sont certainement parmi les plus massifs. Léandre n'a oncques put se familiariser avec les travers même ténus des frêles années d'autarcies que l'on envie traditionnellement aux aînés. Lorsqu'il naquît venant ainsi choyer la branche principale d'Arthur McLeod, son horripilant paternel, il était d'hors et déjà précédé de sept aînés. Cette replète tripotée d'héritiers ne fut pas même close avec les frasques de Léandre qui ne fut cadet que durant quelques années, tout juste deux. Effectivement, lui déroba le titre de Benjamin, un énième rejeton. Lysander. Puis Violett par la suite ... Deux rebus que Léandre n'a de cesse de mépriser sans l'ombre d'une vague complaisance perché au summum de ses conventions. Outre ces quelques assentiments propres aux deux êtres les plus infâme de la branche principale, le sorcier a toujours attesté d'un ample respect à l'égard de ses aînés dont le statut de mangemort pour une majorité les ancrés dans le brio d'un idéalisme despotique. Patronus: Depuis la peste des patronus Montaigne n'est plus véritablement celui qu'il fut. Si rare sont certainement les sorciers à s'être éprit du sanguin piranha et de l'anguleuse velue mygale géante...peut-être le dragon de Komodo et la chauve-souris auront-ils davantage de lauriers ? Miroir du Rised:Bien que le sorcier ne s'émeut guère de son existence paraphée d'une aura mystique, ce dernier ne pourrait cependant pas désavoué l'aigre intérêt qui le saisi lorsqu'un être savant en discoure. Jadis, Léandre aurait certainement pût soutenir oncques s'être interrogé sur le reflet que cet ancestral vieillerie lui aurait fait  reluire, désormais une vague indécision s'enchevêtrerait à sa réponse. Néanmoins il est probable que le reflet idéaliste en viendrait à la somme de ses ambitions. Durant une période de quelques années, elles n'étaient plus que son singulier acquis et le demeurent encore en dépit même de son être dont les torpeurs mouvantes viennent étayer les travers. Ainsi, le miroir de Risèd le laisserait certainement percevoir  l'ascension absolue, l'accession à ses plus amples desseins...Membre influent du magenmagot un délicat arabesque noir à l'appuis sur l'avant bras gauche pour venir y insuffler avec ruse un souffle novateur es plus odieux. Epouvantard: Dans un premier temps, l'infâme créature que s'avère être l'épouvantard par essence adopterait une forme extrêmement perplexe qui ne saurait autre que lui-même. Léandre au-devant de son alter ego le plus .. zélé. Qu'en dire véritablement ? Cela est assez aisé en dépit d'une forme commune immuable, l'effrois s'ancre dans la supposition dans ces prunelles indolentes, placides et impassibles de ce double hermétique, insensible, immobile. Léandre suite à un évènement fortuit a indéniablement changé..Désormais sa crainte la plus sournoise n'est que d'être ce qu'il fut jadis. Actuellement, le sorcier n'aurait d'ailleurs probablement pas de ridikulus  efficace de front cet épineux effrois. Composition de la baguette magique: Si Léandre ne prête aucune attention au matériel d'autrui comme du sien sa baguette est de loin son bien le plus précieux. 32,6 centimètres, oblongue, alambiquée ainsi que d'une finesse que l'on ne lui attribuerait pas nécessairement à voir la stature de son possesseur. Aucune droiture elle est légèrement incurvée vers le bas et se compose d'un ventricule de dragon. Le parallèle est aisé entre la faculté d'apprentissage véloce de ces baguettes et celle de Léandre, cependant le plus frappant est probablement les réactions premières à l'évocation de cette composante..Effectivement l'opinion publique y perçoit les plus sombres desseins de même quant au bois qui vient accentuer ce point précis. La baguette de Léandre se compose de bois d'if ... Cette maîtresse ivre de puissance nauséeuse ne pouvait davantage convenir à cette part macabre de cet être à l'époque âgé de 11 ans, ni médiocre, ni timide. Etudes Suivies: Le McLeod s'est d'essence et sous l'impulsion  douceâtre de ses émois ambitieux tourné vers l'élitiste cursus de la Justice Magique branche le prédisposant au Ministère de la Magiqe épicentre de nombre de fantasmagorie pour le jeune ambitieux. De même conformément  à ses émois glorifiant le sorcier s'est éprit de la spécialisation Justice qui ne représentait pour lui qu'un acquis potentiel. Animal de compagnie: Depuis peu Léandre possède une chouette hulotte aux perles d'or du nom de Mort-vivante.

Léandre fut suite à évènement fortuit  dénué de toute bluette salvatrice de vie, pour égayer ses mornes tréfonds il n'y avait désormais que l'affres d'une vacuité rongeante, famélique et oppressante...Il était cette horripilante coquille vide, stérile plus creuse que le faciès d'un lépreux et se limitait exclusivement à cette existence clairement infâme. Merlin lui en garde, jaugeant que le sorcier avait quasi mûrit de cette noueuse situation.. en bifurqua une fois encore les dédales anguleux. Un maux certes, un effroi innommable même qui  désormais pour une raison demeurant abstraite lui avait rendu la contenance de son être. Ce que magie lui déroba fielleuse, elle lui rendra houleuse, ainsi cela était chose faite, Léandre semblait davantage qu'hier..La peste lui avait été un labeur fastidieux, odieusement laborieux mais pétris de laurier puisque désormais une simpliste vocable n'était plus à considérer telle une définition tangible de ce qu'il s'avérait être en l'instant. Balayant ses certitudes fatalistes funestes, de ses cendres le McLeod renaissait, une fois encore cet être mouvant mûrissait. Si jadis, le jeune homme fut insensible il n'en demeurait plus qu'un singulier vestige. Les émois fébriles ne furent oncques de ses instants choyés, prisés au cours desquels l'être rigide s'épanouissait .. Nullement, il ne fut jamais un ample sensible, un de ces poètes romantiques convaincu d'hériter de toute la misère de l'humanité ..Celle la même qui faisaient crever leurs prunelles d'une immonde sensiblerie.  Certes, maintenant Léandre factuellement est un être doté d'une dimension sensible mais on ne peut guère encenser une quelconque spontanéité attrayante. Il n'est que vague nuance d'une froideur impénétrable et s'échine à faire croître la maîtrise immuable de ces abstractions transcendant l'essence humaine. Toute la niaiserie d'un sentimentalisme galvanisé ainsi que son  paroxysme suintant d'un pathos  nauséeux semble immuablement le révulser, tout état de cela ne saura en lui que lui faire poindre un rictus pétris d'un dédain qui le définit depuis ses plus frêles années.  Ces oblongues années de vacuité interne lui conférèrent une certaine rationalité qui se prédispose aux affres de sa réflexion, les mystiques et idéalismes diverses ne sont plus que fioritures prisées des ingénus qui ne l’atteignent désormais plus que lointainement. Doté d’une aisance intellectuelle notable, le jeune homme ne fait plus qu’observer ce biotope social avec tous les relents haïssables qu’il comporte ces derniers oscillant entre niaiseries infâmes et véritable fléau despotique écartelant la masse informe des êtres en distinctes classes traditionnelles.  L’opinion publique véritable enjeux, les hauts esprits trônant en souverain et les marginaux sous les travers de quelques cervelles frétillantes qui de façon aléatoire octroyaient  une cohorte de divers courant ascendant de perception idéaliste. Léandre archétype même du noble sang-pur n’aspire ainsi qu’au oisif statut des amples statures, pétrit d’ambition il se réserve les fines dorures que confèrent les lauriers..afin de contenter les torpeurs malsaines de ses émois. Mais qu’est-ce que ces émois  si même l’affectivité des êtres ne sait que le laisser de marbre ? L’odieux triomphe, l’ample accomplissement escompté depuis ses douceâtres années à fouler les territoires corrompus de ce biotope terrestre.  On ne saurait omettre l’évidence tant elle crève l’abcès de ses desseins noirâtres où s’enchevêtre les plus pures et saisissantes dorures. Le sorcier n’est que l’archétype somptueux d’une doctrine famélique, être bien né n’est guère aisé ..Surtout si vous êtes un McLeod. Là où l’insignifiant intellect ni perçoit qu’existence enviable, Léandre mesure l’ampleur de son héritage, de son patrimoine, de ses acquis et du fardeau que s’avère en être la contrepartie. Indéniablement, il doit reluire. Son essence doit saisir les stupeurs tant ses pores suintent d’un accomplissement certain dans les convenances des hautes sphères de la société traditionnelle sorcière. Or là où certaines lignées s’y échinerait avec loyauté et véritable épanouissement de vertu .. Le McLeod en est bien loin. Ces notions lui sont bien plus que lointaines, elles lui sont en toute part méconnues. S’élever ? Naturellement, mais qu’importe les moyens tant qu’il arrive à ses fins. Léandre fait état d’une intelligence vive qu’il met en servitude à ses travers  pétris d’une ruse insolente. De même son observation constante qui pourrait jouir d’un statut encensé n’est que crasse lorsqu’il s’y attèle, toujours à ouïr autrui tapis dans les torpeurs d’une retenue le rendant inaccessible en tout point tant celle-ci est le corolaire régulier de sa condescendance. Il pourrait demeurer des heures à vos côtés sans que véritablement il ne brise la jointure de ses lèvres dans la simpliste hypothèse préventive d’user de vos dires à vos dépends. Léandre est un avisé manipulateur qui excelle  en la matière, lorsque dénué de ressentis vous êtes ..La manipulation vous définit de toute part et ces acquis ne s’estamperont probablement plus de son artefact de politicien. Bien que cela trahisse les relents d’un intéressement égoïste extrême et d’une déloyauté tangible, le sorcier sait d’hors et déjà que cela est nécessaire à tout contrôle, à toute maîtrise de l’instant. Car si Léandre se complait en un odieux vice, c’est clairement celui retord et infâme non pas du contrôle mais davantage de la domination. Pour cet être abreuvé indéniablement d’une friande essence de stratège, la somme que compose autrui n’est qu’obstacle nauséeux sur les dédales ambitieux de son existence..Or un obstacle est vouer à être immuablement annihiler ou sous les effluves d’une factice complaisance assimiler, cependant ce n’est qu’affaire d’interprétation pour ce dernier, tout ne se résume qu’à la domination. Extrêmement conventionnel voir de façon éparse « vieux jeu », cette vision radicalement dualiste dans l’ample majorité de son quotidien ne fait qu’accroître le famélisme d’un certain sadisme.  Le sorcier ne fut oncques prédisposé aux niaiseries de l’altruisme, des tendresses infimes et bien que cela fut atténué au cours de ces années d’insensibilité, il peut désormais reluire à nouveau de ce passe-temps sanguin qui révèle une raillerie insipide caractéristique. Léandre est railleur, voir cynique ce qui le rends peu enclin à la compassion quelque soit sa forme ou même à la complaisance même illusoire.  De même s’il faut mieux s’abstenir de lui demander son avis en règle générale ce n’est que parce que ses potentielles remarques cinglantes sont outrageusement venimeuses, corrosives, incisives ..Cependant et cela est certainement une qualité en ce qui le concerne, il n’est guère bavard, ni même épanché en commérage ce qui le rend indifférent, placide au-devant de votre présence même. En ne daignant se mêler de votre existence, il se met à une distance infiniment vaste du commun des mortels et quand bien même son air dédaigneux viendrait à s’appesantir sur vos travers  n’en faîtes rien car ce n’est guère un véritable intérêt qu’il vous confère. Inaccessible excepté avec quelques rares intéressés triés sur le volet de son élitisme vaguement lié à sa vanité et ses affres manipulatrices, il n’en demeure pas moins un être raffiné. Alliance du goût de l’oisiveté, de l’élégance et de la mesure, d’un calme olympien et d’une fierté anglaise caractéristique … Le panel même de l’intolérant sang-pur.  Obtus, il ne concède qu’à quelques sorciers la qualité même d’être vaguement intéressant, sa fierté se mêlant  à ses travers exigeants amplifiés de son immuable inflexibilité elle-même grossit pour ses émois pour l’ordre et vous obtiendrez là l’étudiant de Poudlard le plus sélectif.  Idéalisant intimement une norme bavant de convention, il en découle un aspect autoritaire indéniable et une aptitude à la discipline au vu de la rigueur qu’il s’impose depuis toujours. Cependant il n’est pas dénué d’intérêt de préciser quelques travers hautement critiquables, telle sa faculté innée pour la fielleuse omission mit régulièrement au service infâme de sa ruse manipulatrice..Egalement sa nonchalance au-devant de tout ce qui ne le concerne que secondairement ou encore ce véritable don pour se dédouaner de ses méprises sur autrui.  Cependant Léandre McLeod n’est pas que cet être fiel, sournois et cynique, lorsque son faciès se brise sous le fardeau des ressentis fraîchement reconquis il est aisé de lui attribuer davantage de qualificatif. Au de-là de cette ample méfiance qu’il déploie régulièrement accentuant la distance entre sa grandeur et autrui, il est de ces quelques humeurs privilégiées auxquels seuls quelques uns ont accès. On ne saurait véritablement dire si cela s’avère perpétuellement une bonne grâce octroyée à ces derniers tant ces quelques travers peuvent sembler à bien des égards contraignant..Notamment cette horripilante possessivité qui se corrèle à une tortueuse jalousie extrêmement vivace, Léandre n’est guère altruiste et ne prêt absolument pas bien qu’il puisse se délecter d’emprunter et de briser. Cet épanchement pour ces quelques soubresauts s’étends globalement à ses relations les plus choyées, cependant si cela peut paraître promptement lassant de se sentir dans le carcan du sorcier, ces êtres ont une compensation louable, une certaine fidélité (tout du moins est-ce une vertu que lui-même s’est découvert de  sa relation la plus longue de laquelle il ne démord pas).  Cependant dans les instants d’amples contrariétés vexatoires on peut également lui prédisposé les affres d’un courroux reluisant, de même qu’une certaine provocation tapis dans l’ombre de ses railleries cyniques. L'amitié ?  Avez-vous un nom connu tel que "Malefoy" ou encore "Gaunt" sans quoi vous pourriez éventuellement entrer dans un cercle d'utilité physique mais sans plus...Et  c'est ce prix unique qu'il pourra outrepasser vos .. piètres caractéristiques éventuels, ou votre niaiserie incroyable. Le gaillard a bien compris le fonctionnement de la société : marche ou crère, écrase ou fais toi écraser. Il l'applique naturellement. La peine que vous voudriez lui infliger sera en vain c'est une souche de bois coupé, il n'y a plus d'écorce à dépecer tant il prend de recul sur les situations les observant dédaigneux jouissant d'une objectivité certaine. La conséquence principale de sa feue maladie reste tout de même ce don d'hors et déjà évoqué pour la manipulation. Chaque lipe, chaque sourire, chaque regard est finement et murement réfléchis, c'est un acteur on ne peut plus doué et un menteur avéré. Il peut vous farinez jusqu'à ce que vous y perdiez et surtout cela révèle un énième point de sa personnalité, son infinie patience rarement étanchée.Il brise les espaces vitaux par une proximité génante, il peut vous aborder d'une manière parfaitement inattendue en fonction de ce qu'il attend de vous. Des rivaux ? SI certains veulent le prendre comme tel pourquoi pas pour lui ce ne sera qu'un idiot trop crédule pour penser égaler un McLeod. Plutôt joueur également, il aime les énigmes dès l'instant qu'il les orchestres lui même et pourvu qu'elles aboutissent à une fin tragique. C'est un joueur qui joue avec ses propres règles autrement dit il décide et vous faîtes. L'opposition ne le gêne plus maintenant qu'il réussi à relativisé sa vanité mais il aime s'imposer pour se sentir vivant ainsi il vous fera plier par l'autorité ou la contrainte.  Autrui lui sert aussi, dans votre soumission forcée ou votre faible caractère entendez le comme bon vous semble le brun n'hésitera à vous quémander des services sous le joug de sa nonchalance ou de sa flemme, si une basse besogne lui ait confié il pourrait très bien vous la confier idem pour bon nombre de ses devoirs à rendre et autre nécessité de l'enseignement. Il ne porte pas d'intérêt au travail puisqu'il est assez intelligent pour s'en sortir et assez futé et malin pour combler les possibles lacunes qu'il peut avoir en certaine matière.  Léandre se lasse également assez vite ce qui fait qu'il n'est pas persévérant  outre mesure dans l'immédiateté de l'instante,cela dit une chose qui lui a résistée pourra toujours être retentée quelque mois plus tard le temps que l'intérêt naisse à nouveau et le tout guidé par sa patience.  

Enfin suite au mortuaire accident du Poudlard express, Léandre se voit contraint de posséder une canne à pommeau glorifiée du blason des McLeod tel un vestige nécessaire de sa fracture u fémur infectée.  

Montaigne tel est son nom. Pourquoi ce nom ? Pourquoi pas tout simplement. Cette chose m'a évoqué dès ses premiers mots ce nom, je n'ai pas à me justifié. Lorsqu'il est apparût à mes cotés ce devait être aux alentours des vacances de Noël de l'année 1978. Nous avions eut le droit à un repas de famille fastidieux et alors que je regagnais ma chambrée il était là. Flottant et brumeux ce regard placide et carnassier, il me regardait. Il ne fut pas chose aisée pour moi de l'accepter. Je ne le voyais que comme un poisson, un poisson quelque peu hargneux je dois l'avouer mais un poisson tout de même. Ses dents pointues faisaient l'objet de toutes mes contemplations puis ces écailles par endroits sinueuses laissant planer une impression de lutte passée..C'est Lysander et son horrible volatile bleu qui me fit néanmoins adorer ce que quelques jours plus tard le ministère appelait : patronus. Mon piranha (initialement) car Montaigne n'était que cette horrible bestiole mauvaise jusqu'à la pointe de queue écailleuse s'avérait tout ce que je n'étais plus dans un premier temps. je n'avais plus aucune espèce de sentiment à l'époque. Montaigne lui en avait ... il me les transmettaient lorsque l'intensité suffisamment forte de ces derniers arrivaient tant bien que mal jusqu'à mes méandres graciées de vie. Il était donc en quelque sorte un rempart face à mes maux les plus profonds et c'est ainsi que j'acceptais sa présence. Un accord tacite entre lui et moi ? Plus vraiment même si sur nos débuts cela pouvaient y paraître. Les premières semaines furent douloureuses pour nous deux, nous n'arrivions pas à canaliser ce besoin de domination qui me faisait haïr ses interventions inopinées dans ma tête. Jusqu'à ce que je comprenne qu'il était tout mon être, qu'il était moi, non pas seulement une partie mais totalement. Montaigne était l'inespéré, il était l'être qu'avant lui j'avais été mais maintenant oublié. A la fois mon inconscient et mon jadis. A force d'observation silencieuse je compris bien vélocement qu'il avait ce même comportement d'apparence calme mais prêt à déferler une vague d'agressivité gratuite au premier venu rythmée de quelques violences. Un calme troublée par une aura étrange malsaine comme-ci il ne cherchait qu'une chose votre humiliation, votre maux, votre souffrance. J'ai rapidement remarqué que les autres étaient son enfer autant que sa jouissance. En quelque sorte c'était à la fois son terrain de jeu nourrissant son plus profond sadisme et ses plus profondes souffrances faisant bien trop souvent naître des impératifs contre son grès. C'est à cette occasion que je perçu sa flegme quant aux tâches qu'autrui pouvait lui léguer et de l'intérêt naissant lorsque quelque chose l'intéressait ou même le stimulait de part une quelconque nocivité tapis pour les autres. Cela lui donnait des travers capricieux qui me sied si bien par le passé .. Il aime voir l'exécution de sa volonté et pourrait même s'en montrer particulièrement insistant à votre égard... Bref pour ne guère m'étendre, il était l'allégorie de ce que je fus et de ce que je suis à nouveau depuis la peste des patronus. La peste des patronus qui vint à profondément me changer le changeant également. Le piranha n'était plus, de même la mygale géante non plus. De cet évènement isngulier naquît des travers diverses ... Un Dragon de Komodo ainsi qu'une chauve-souris. Montaigne sous ces travers n'a fait que s'apparenter à cette oblongue période durant laquelle je n'étais qu'une coquille vide. L'imposant lézard d'une violence inouïe ne vient que ponctuer de froideur mes humeurs, il brise , réduit à vacuité toute vivacité comme vengeur de cette expérience, de cette maladie. Extrêmement placide, extrêmement absent...Comme si à son tour il avait perdu ses ressentis. C'est cette chauve-souris qui vint à me le faire assimiler pleinement sous cette forme vous n'êtes plus qu'une pièce dans son échiquier où Montaigne est le Roi. Il est fasciné par ce qui nous rend plus fort, ce qui nous fait trépigner, les essais occultes, les potions douteuses , les lectures interdites. Montaigne est un monstre bouillant d'ambition. Ces formes novatrices ne sont plus que rancœur placides s'accrochant à la fièvre de mon ambition.  Le raisonnement est extrêmement simpliste, ce Montaigne est l'incarnation même de mon observation, de ma fourberie, de cette sale manie que j'ai de m'entourer de gens utiles, de personne au beau nom, de cette façon que j'ai d'être partout et nulle part à la fois.