Nom: Lewis. D’origine anglaise, elle porte ce nom de famille moldu comme elle porterait n’importe quel nom de famille. Elle s’en fiche. Sa famille n’a rien fait d’extraordinaire chez les moldus et c’est un nom plutôt répandu chez les non-sorciers d’Europe mais surtout dans le nord. Prénom: Oksana parce que c’est Ukrainien et que c’est là qu’elle a été conçu, un classique, époux qui s’en vont en voyage, font un bébé, et en l’honneur de cette baise inoubliable, lui donne un prénom qui va avec l’endroit… C’est discutable. Aurore, parce que c'est le prénom de la douce et gentille princesse plus connue pour être la belle au bois dormant. On ne peut plus dire que ce nom lui colle bien à la peau. Âge et Date de Naissance: 17 Juin 1962, 19 ans Nature du sang: Mêlée Situation familiale: Son père est décédé quand elle avait 6 ans. Elle vie avec sa mère Élène et sa sœur Alice La relation avec sa mère est conflictuelle mais avec sa sœur, c'est tout le contraire. Elle est à la fois sa protégée et sa sécurité. Elle a un grand pouvoir d'apaisement sur elle. Patronus: Bart un diable de tasmanie qui prend la forme d'un colibri à gorge rubis à l'occasion. Miroir du Rised: Voir l'homme qui l'a soumis au sortilège doloris en être lui-même victime Epouvantard: Un homme encapuchonné baguette devant. Composition de la baguette magique: Douce baguette de 18 centimètre en bois d'if et au coeur de ventricule de dragon. Ce qu'elle appel affectueusement, sa branche, ne la quitte jamais... pas même pour la douche. Etudes Suivies: Offensive magique, deuxième année (Neuvième), spécialité offensive avec légilimencie comme cours optionnel Animal de compagnie: Aucun, elle n'aime pas particulièrement avoir des responsabilités, enfin pas comme ça.
Caractère
Oksana souffre de stress post-traumatique. Sa mère a bien tenté de l’amener chez un psychologue et un psychomage, mais personne n’est venu à bout de son trouble. D’ailleurs elle en voit toujours un. La terreur qu’elle a subie lors du drame est encrée au fond d’elle et elle a complètement modelé sa personnalité. Elle est impulsive et fougueuse tout en étant renfermée et terrorisée. Elle souffre constamment d’insomnie et même avec de la médication, elle ne vient pas à bout de tous ses rêves. Qui pourrait l’en blâmer ? Aucun enfant de 6 ans ne devrait être soumis au sortilège doloris. C’est inhumain. D’autre part, Oksana a tendance à ne rien ressentir quand les gens souffrent autour d’elle. Elle est dépourvue d’empathie parce que la douleur lui fait revivre les évènements passés. Elle est capable de pitié, mais l’empathie et la sympathie sont des sentiments qu’elle ignore et qu’elle ne comprend pas. Lorsque quelqu’un s’approche un peu trop près d’elle, émotivement, elle le fuit à toute jambe, on ne peut pas dire qu’elle ait déjà été en amour. Elle a bien des amants, mais ils ne font toujours qu’un temps.
Parce qu’au fond d’elle, Oksana a peur. Elle est terrorisée constamment par ses émotions. Elle craint de perdre sa soeur, elle a peur de rater un examen, elle s’épouvante à l’idée de perdre son patronus, elle pleure dans son lit quand elle égare sa baguette. Mais qui pourrait le dire ? Elle ne parle quasiment jamais d’elle ou de ses émotions parce que parler de soi s’est être égoïste et faible. Oksana n’est pas faible, elle est une battante, une survivante, une protectrice, mais parfois une tortionnaire. Prend garde à toi petit loup, car tu peux bien être aussi dangereux que tu le crois, mais la peur fait faire des choses pires que la mort… La jeune femme ferait absolument tout pour survivre ou sauver sa soeur cadette. Parce que c’est ce que font les grandes sœurs non ? Si Oksana est une amie plutôt discutable, elle est une sœur irréprochable. Autant un soutien académique que sentimental, elle est une confidente et parfois simplement une épaule.
Pour les autres elle est la folle qui a survécu au sortilège doloris. Elle est l'instable qui ne se contrôle pas et qui peut vous défoncer le visage parce que vous lui avez volé son bouquin. Elle est l’étrange dans le coin de la classe qui ne parle a personne et qui n’écoute personne. Elle est la troublée qui se parle toute seule à haute voix comme si elle était seule au monde. Elle est la demeurer qui fait des dessins de cadavres sur le coin de sa page et qui a toujours du sang d’on ne sait trop quoi sous les ongles. Elle est la grande malade qui collectionne les entailles sur tout son corps et qui vous fixe sans vraiment vous regarder.
Elle est la jeune femme qui ne prend pas la peine de s’arranger parce que qui voudrait d’elle autre que pour baiser ? Elle est la rusée qui fini toujours par obtenir ce qu’elle veut, peut importe les moyens nécessaires. Elle est l’ambitieuse qui compte bien devenir aurore pour botter le cul de tous ces racistes. Oksana est passionnée. Elle est bien décidée à se battre pour éradiquer cette maladie de fous qui se croient plus méritants que les autres de par la pureté de leur sang. Oksana n’est pas particulièrement travaillante. Elle n’a pas besoin, elle est douée. Bien qu’elle ait de la difficulté à contrôler ses émotions, elle a un bon contrôle de sa mémoire et de ses habiletés. Elle sait où miser et ne se donne pas la peine quand elle n’est pas déjà dans les meilleures. Malgré tout elle vise l’excellence, elle choisit donc soigneusement ses combats.
Un combat qu’elle refuse de mener, c’est sa dépendance à l’alcool et à la cigarette. Ça la calme, que voulez-vous. Alice serait bien heureuse de la voir arrêter, mais elle a pour son dire qu’il faut bien que quelque chose la tue un jour et si elle est pour mourir jeune, elle veut le faire soûle la clope à la main.
Quand on regarde les patronus d’Oksana, on ne peut pas parler de prestance ou d’intimidant. Il prend plutôt des formes mignonnes et délicates. Il est vrai que dans la nature, les diables de tasmanie savent se montrer impressionnant malgré leur petite taille, mais Bart est sociable et doux même à la limite un peu naïf. Malgré tout, Bart est courageux. Qu’il ait la forme d’un diable de tasmanie ou d’un colobri à gorge rubis il n’a peur de rien ni de personne. Il ne se méfit pas vraiment des gens qu’ils soient reconnue comme étant gentil ou non. De plus, il se met rarement en colère, il va plutôt user de diplomatie. Il est aussi très sociable, ne se gênant pas pour s’adresser à tous. Il essaie d’encourager Oksana à aller vers les gens mais elle ne l’écoute que rarement.
Bien qu’elle ne veuille pas l’admettre, elle tient beaucoup à lui. Elle fait souvent son indifférente, mais depuis la peste des patronus, elle garde constamment un œil sur lui comme si elle craignait qu’on le lui vole ou qu’il soit encore malade. Bart quant à lui, ne cache pas son amour pour Oksana. Il passe son temps à se coller à elle et à lui faire des compliments auxquels elle répond par une espèce de grognement plutôt inquiétant. Il ne se tient jamais bien loin d’elle mais de temps à autre il aime bien se cacher pour lui faire croire qu’il est partie. À chaque fois ça fini dans une étreinte presque mortel au point où Oksana se donne le tournis toute seule.
Pseudo et âge: Gab, 23 ans Où as-tu trouvé le forum ? Alec Personnage:J’ai recyclé (et beaucoup retravaillé) un perso avec lequel je n’ai même pas eut le temps de jouer sur un autre forum As-tu un autre compte sur BP ? Eze Présence: 5/7, comme dans pas les weeks end sauf exeption Une remarque ?
Dernière édition par Oksana A. Lewis le Jeu 15 Oct - 14:25, édité 16 fois
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Re: Oksana - Il avait autour du coeur une cuirasse de chêne et un triple airain
Le bonheur est une utopie… Il est éphémère. Il ne faut pas le prendre pour acquis, il ne vous est que prêté le temps d’un sourire.✻✻✻ vingt-quatre décembre dix-neuf-cent-soixante-six
Et des sourires dans la maison des Lewis il y en avait en abondance. La petite Oksana était une enfant particulièrement positive et souriante. Déjà à quatre ans, elle bandait les cœurs les plus détruits avec un simple sourire. En plus d’être une enfant facile, elle était douce et gentille. La seule chose qui pouvait être en apparence un défaut était sa fâcheuse manie à mener sa petite sœur Adélaïde, surnommé affectueusement Alice, par le bout du nez. De un an son aînée, elle s’était vue attitrée le titre de grande sœur qui surveille. Un titre bien prestigieux pour une enfant de quatre ans et elle le prenait avec beaucoup de sérieux.
Le vingt-quatre décembre au matin, Oxy et Alice avaient été réveillées par la bonne odeur de tartes au four. Les deux enfants s’étaient levées le sourire aux lèvres et l’estomac dans les talons. Elles coururent toutes deux vers la cuisine. En chemin, leur attention fut attirée par l’état étrange du salon. Celui-ci était remplie de boîtes mystérieuses empilées les unes sur les autres. Alice voulue ignorer l’arsenal de cartons pour se diriger plutôt à leur destination de départ mais Oksana l’interpella. Elle l’attrapa par le bras et exigea d’elle qu’elle l’aide à ouvrir l’un de ses fameux cubes bruns. Lorsqu’elle en ouvrit un, elle fut émerveillée par son contenu. La boîte ou plutôt, le coffre au trésor, était plein de babioles diverses en vu de décorer le sapin. Une idée de génie lui vint à l’esprit. Elle se rappelait vaguement du sapin de Noël de l’année précédente et ne savait pas exactement où il était mais elle se dit que sa soeur serait bien jolie avec tant de couleurs et de brillants sur elle. Elle décida donc de transformer sa soeur en sapin de Noël. Durant l’opération Alice de Noël, la jeune fille ne broncha pas d’un poil. Déjà petite, Alice était lunatique et ne réalisait pas vraiment ce qui se passait autour d’elle, elle n’offrait donc jamais de résistance à sa sœur, de toute manière sa mère lui répétait sans cesse « Alice, écoute ta grande sœur.»
Alors qu’elle achevait son œuvre, sa mère entra dans le salon. Quand elle vu la pagaille du salon, elle resta bouché. Oksana, maladroite, avait renversé plusieurs cartons en essayant d’en atteindre d’autres. D’un bout à l’autre du salon, il y avait du verre cassé et des guirlandes éparpillées. Papa arriva derrière sa femme. Mais au contraire de celle-ci, il trouva l’idée amusante et décida donc de ne pas décorer le sapin mais bien la maison en entière! Après avoir ramassé les boules et lumières cassées, ils s’attaquèrent à la maison.
Au bout de quelques heures, toute la maison prit rapidement des airs de fête et le sapin au coin du salon demeura sans lumière. Après un bon repas bien mérité, la petite famille se dirigea au salon où ils jouèrent à divers jeu. On avait laissé les enfants éveillés bien tard ce soir là. Ils avaient eut le droit de demeurer avec les adultes jusqu’à neuf heure mais leurs petits yeux eurent tôt fait de se clorent pour joindre le pays des rêves. À leur éveil, leur cadeau n’était pas sous le sapin. Oksana se leva en trombe et réveilla sa petite soeur du même coup qui prit un temps avant de réaliser la situation. À trois ans, on n’a pas vraiment la conscience de Noël et particulièrement Alice qui préférait de loin les boîtes aux cadeaux.
MONSIEUR LEWIS – Le père noël a trouvé que notre maison était plus jolie que le sapin alors il n’a pas mis vos cadeaux sous le sapin vous devez les trouver!
Les enfants eurent beaucoup de plaisir avec cette chasse aux cadeaux matinale. Lorsqu’ils les trouvèrent ils se jetèrent sur leurs présents. C’était des cadeaux modestes mais à cet âge le moindre cadeau du Père Noël est plus magique que n’importe quel objet réellement magique. Oksana avait reçu des poupées bon marché et sa petite soeur un kit de crayons à colorer ainsi que beaucoup de feuilles de papier. Elle aimait bien faire du dessin.
Toute la journée durant, on entendit la maison pleine de rires. Même Monsieurs Lewis se laissa charmer par les jouets des enfants. L'année entière fut animée par des jeux avec ses fameuses poupées pour centre. Bien qu’Alice détestait jouer aux poupées, elle s’adonnait bien aux jeux que sa sœur lui proposait. Jamais elle ne lui refusait quoi que ce soit.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Si les enfant ne devraient jamais être malade, il devrait encore moins voir la mort et s'en approcher ✻✻✻ huit juin dix-neuf-cent-soixante-neuf
OKSANA - Viens Tiffany on va allez au marché pour acheter un chien! Oh, regarde celui là comme il est beau!
Oksana brandissait sa poupée avec beaucoup de soins. Elle bougeait chacune des jambes pour chacun des pas. La jeune fille maintenant âgée de six ans, était déjà très minutieuse. Elle aimait observer son entourage et bien imiter les scènes du quotidien avec ses poupées. Mais voilà que sa soeur se contentait d’agiter sa poupée de gauche à droite sans le moindre mot ni expression. C’était Alice. Toujours dans sa bulle. Oksana aurait pu la laisser seule qu’elle n’en aurait pas pour autant bougée. La petite fillette s’insulta. Elle posa sa poupée avec précaution sur le sol et croisa les bras.
OKSANA – Alice! Tu es toujours dans la lune!
Alice s’éveilla le temps d’une seconde, elle hocha la tête et lui sourie pour la rassurer. Contente de la réponse, Oksana reprit sa poupée et continua son jeu où elle l’avait laissé. Alice retourna dans sa bulle et sa sœur continua de jouer sans vraiment réaliser que sa soeur était de nouveau perdue dans ses rêvasseries. Parfois Oksana aurait aimé que ses poupées s’animent toutes seules mais maman ne voulait pas utiliser ses dons spéciaux pour ce genre de chose. Elle allait plutôt réparer des objets cassés ou préparer des repas vite faits. Mais peut-être qu’un jour Oksana pourrait elle-même animer ses poupées.
Lorsqu’elle sorti de sa propre bulle, elle réalisa que sa soeur était de nouveau partie. Elle voulu la brasser de nouveau mais des bruits de pas retentirent dans la maison. Alice sortie seule de sa bulle et les deux enfants se tournèrent pour voir qui venait. Maman était partie faire des courses et papa était dans son bureau. Oksana ne voyait pas qui cela pouvait bien être.
Dans le portique entre le salon et la cuisine, un petit homme à la chevelure de blé s’imposa. Il avait la peau plus blanche que la neige et des yeux d’un vert frigide. Car oui, le vert peut être frigide lorsqu’il est dans des yeux si peu expressifs. L’homme eut un sourire malsain. Il regarda les enfants avec délectation. À croire qu’il allait les mangers. Du moins, c’est ce qui vint à l’esprit de la fillette intriguée. La petite Oksana se leva doucement. Après tout, c’était elle la grande sœur.
Si seulement elle avait su… Son instinct lui disait de fuir mais sa curiosité allait à l’encontre de sa petite voix. Elle s’avança avec de petit pas presque dansants. Elle leva la tête car bien que l’homme était de petite taille, il était beaucoup plus grand qu’elle. Encore une fois un cri d’alerte sonna dans son esprit mais elle ne l’écouta pas.
OKSANA – Vous êtes qui?
L’homme ne répondit pas. Son sourire s’agrandit. Il sorti de son grand manteau noir une baguette, il la pointa vers la petite Oksana en hurlant « Endoloris! ». La petite fille s’écroula au sol. Elle se recroquevilla sur elle-même et poussa des cris perçant.
L’HOMME - Papa est méchant ! Tu as vu ce qu’il m’oblige à te faire ? Ne m’en veut pas… Tout est de sa faute.
Ce fou répétait encore et encore cette même phrase encore et encore comme un disque qui saute. Pendant ce temps, l’enfant se mourrait de souffrance sur le sol. Son corps voulait s’absorber lui-même. Tous ses organes se contractèrent de sorte que tout en elle semblait vouloir imploser. Des larmes coulèrent sur ses petites joues blanchies par le mal mais les cris cessèrent. Sa gorge s’était mise à brûler atrocement et à chaque fois qu’elle essayait de dire quelque chose, une sensation de lame de couteau l’envahissait. La douleur alla même s’attaquer à ses os. Imaginer tous vos os qui s’égrainent au même moment, s’était exactement ce que l’enfant ressentait. Elle allait mourir c’était certain. Son cœur battait si fort qu’elle n’entendait même plus l’homme qui continuait son discourt insensé.
Du coin de l’œil elle vie sa petite sœur. Elle regardait la scène avec horreur. Elle n’avait pas bougé d’un pouce. Pétrifier par l’effroi. Et son père. Mais où était donc son père? Que faisait-il, n’avait-il pas entendu sa fille hurler?
L’enfant était seule au monde. Elle était seule et elle voulait mourir mais son cœur tenait bon malgré cette douleur insupportable. La mort paraissait douce comparativement aux supplices qu’elle vivait sur le moment. Son esprit fini par quitter son corps et l’homme cessa son sort. Ce qui avait semblé une éternité n’avait durée que quelques minutes. Mais pourtant ses minutes avaient changé l’enfant qui était partie loin. Il avait laissé derrière lui une enfant perdue qui ne faisait plus confiance à personne. Le monde entier devint dangereux.
Tous sauf Alice. En partant, l’homme lança d’un ton désinvolte.
L’HOMME - Ah au fait. J’espère que tu as dit au revoir à papa !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Si on te frappe la joue droite, tend lui la gauche ou essaie de lui faire avaler son point... like you want ✻✻✻ septembre dix-neuf-cent-soixante-neuf à juin dix-neuf-cent-soixante-et-onze
Le choc pour la famille fut atroce. Madame Lewis ne se remis pas de la mort de son époux et se tua à son tour en essayant de ramener sa fille qui était traumatisée à un point tel qu’elle s’enferma dans un mutisme durant plusieurs années. La seule personne avec laquelle elle accepta de communiquer fut avec sa soeur. De plus, elle prit d’étranges habitudes qui, à la longue, n’inquiétèrent même plus sa mère tant elle était découragée. La petite Oksana quittait le logis familial pour explorer la cours dans laquelle elle martyrisait d’abord de pauvres insectes puis de petits animaux. Elle alla même jusqu’à voler les chats et chiens du voisinage. La remise à l’arrière de la maison était devenue une vraie salle de torture. Tout ce qui tombait sous la main d’Oksana était objet à torture. Crayons, papiers, cartes de jeu, assiettes, lacets de chaussure, pierres, etc. Parfois, la curiosité qui poussait Oksana à torturer des êtres vivants devenait si intense, qu’elle semblait en démence. Des rires et des cris étranges assourdissaient les voisins si bien que lorsqu’elle commença l’école chez les moldus, tous les enfants étaient prévenus qu’il était strictement interdit de s’approcher de Oksana Aurore Lewis.
La première année après le drame fut la pire. La petite n’avait aucun ami. Elle ne voulait parler à personne et ceux qui se risquaient à lui faire la conversation, risquaient gros. Un jour, alors qu’elle n’était qu’à sa première année, un garçon lui demanda sa chaise. Complètement paniquer et sans raison apparente, elle s’empressa d’empoigner un ciseau et les plantas à deux pouces de sa mains. Elle se retourna lentement sans dire un mot puis alla s’asseoir ailleurs l’air absent. D’autres enfants coururent dénoncer la gamine. Lorsque l’enseignante s’aperçue de la situation elle l’a renvoya chez elle. On dû retirer tous objets pointus de son entourage.
La petite trouva d’autre méthode pour se défendre. À la fin de l’année, une fille lui avait prit part m’égard un crayon de cire sans lui demander d’abord. Croyant que l’autre lui volait son crayon, Oksana se fâcha et attrapa la petite innocente par les cheveux et lui cassa les dents sur le rebord de la table de travail. Ce fut son dernier jour d’école. Sa mère fut obligée de la changer d’établissement pour l’année qui suivie.
Heureusement pour les étudiants, ils n’eurent pas à endurer les crises de nerfs de l’enfant car sa sœur Alice fréquentait déjà cette école. Elle avait se don pour la calmer. Lorsque la situation semblait s’enflammer dans les classes on allait immédiatement la chercher. La petite soeur devint donc la grande soeur même si au fond d’elle-même, Oksana ressentait toujours qu’elle devait protéger sa petite soeur.
La folie sauvage d’Oksana se calma avec les années. Elle retrouva un peu d’esprit et eut tôt fait de devenir un miracle scolaire. Elle passait tout ses cours avec des notes extraordinaires et se fit même quelques amis.
Lorsqu’elle eut 9 ans, elle découvrit ses pouvoirs magiques. Elle n’avait jamais eut l’idée de les expérimenter avant. Elle s’amusa à faire léviter de tous petits objets, à ouvrir des portes sans les mains et tout cela sans se soucier du monde entourant. On commença à la traiter de sorcière à l’école. Oksana en souffrit terriblement. Elle perdit le peu d’amis qu’elle avait réussi à se faire et devint la tête de turque.
Sa soeur Alice se prit souvent des coups pour protéger sa sœur et bien que maligne, Oksana n’arrivais jamais à la défendre. De la voir se faire frapper ainsi la figeait. On eut tôt fait de trouver son point faible et dès que la jeune fille commençait à perdre les pédales, on la menaçait avec sa petite sœur qui ne semblait pas non plus en mesure de se défendre elle-même. Chaque nuit elle rêvait de pouvoir torturer à sa guise tous ces crétins de moldus. Sa soeur réussi cependant à lui faire comprendre que ce n’était pas tout le monde qui était mauvais.
Elle s’imagina donc un don pour pister les méchants. Convaincu de sa capacité, elle trouva diverses façons de torturer ceux qu’elle considérait comme méchant. Elle les choisissait avec soin mais une fois dans sa liste, on n’y échappait pas. Lorsque ce n’était pas la lapidation on se retrouvait avec du vinaigre dans les yeux ou une gomme à mâcher dans le cuir chevelu et puis Oksana vieilli et découvrit la force du mentale. Elle commença à détruire mentalement les filles qui la dérangeaient puis se mit à s’attaquer aux garçons de façon sentimentale. Elle était peut être folle, mais elle n’en était pas moins séduisante, quant elle le voulait.
Oksana avait conscience de son charme et sa tendance dominatrice en attirait certains. Elle s’amusa même à se faire une liste de gens à torturer. Elle farfouillait dans la vie des gens à la recherche de leurs faiblesses et les utilisaient contre eux sans pour autant laisser paraître la sienne bien sûr. Ce qu’il y a d’avantageux avec la violence psychologique c’est qu’il n’y a aucunes preuves qu’elle a été effectuée. Contrairement à la physique qui laisse des cicatrices visibles à l’oeil, elle reste pour toujours au fond du cœur et de l’esprit.
Avec les années, elle devint maîtresse dans l’art de la méchanceté. Et pourtant, cela ne l’empêcha pas d’avoir des amis. Elle devint une fine manipulatrice avec un brin d’hystérie lorsque nécessaire. On n’est jamais trop prudent. Lorsque le mental ne fonctionne pas un accident peut toujours arriver. Quoi qu’Oksana n’aurait jamais tué quelqu’un, enfin, pas si c’est illégal. Elle ne voulait tout de même pas s’attirer trop d’ennuis. Les voir souffrirent était trop agréable pour leur donner la satisfaction de la mort.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Quand je te parle m’entend-tu vraiment? ✻✻✻ douze juillet dix-neuf-cent-soixante-treize
Lors de leur première discutions au sujet de Poudlard, les flammes avaient envahis la maison. Oksana était noire de colère et sa mère désarçonnée tentait tant bien que mal de la convaincre mais rien n’y faisait.
OKSANA – Tu veux te débarrasser de moi!
MADAME LEWIS – Allons Oxy, je veux juste que tu puisses t’intégrer.
OKSANA – Non menteuse! Tu veux te débarrasser de moi comme tu l’as fait avec papa!
MADAME LEWIS – Comment oses-tu? Je l’aimais ton père! Je ne sais même pas moi-même pourquoi il est mort! Comment peux-tu m’accuser de la mort de ton père?
OKSANA – Si tu avais été là il serait encore vivant et tu n’aurais pas besoin de te débarrasser de moi! T’es qu’une salope!
MADAME BLACKBURN – Taie toi! J’en ai marre! Tu n’as aucune raison!
La jeune fille en furie courait maintenant vers la cuisine. Elle se jeta sur le présentoir à couteau et s’empara du plus gros. Un sourire à la fois inquiétant et paniqué se plaqua à son visage puis elle cracha au pied de sa mère en posant avec précaution le couteau contre son poignet. Elle avait déjà manipulé sa mère de la même façon par le passé. Enfin manipuler… il y avait peut-être un soupçon de vérité dans son geste cette fois. Elle ne tenait peut être pas à sa mère mais n’empêchait qu’elle se sentait maintenant rejeter plus que jamais. Si sa propre mère ne voulait plus d’elle qui la voudrais? Cette école. Elle n’avait pas confiance… la seule qui pouvait la convaincre était sa soeur. Elle savait que jamais elle ne l’abandonnerait. Jamais.
MADAME LEWIS – Oxy arrête… Aurore ne fait pas ça… je t’en supplie… il y a eu suffisamment de drame dans cette famille…
OKSANA – Si tu te débarrasses de moi ce ne sera pas en m’envoyant dans une école d’hurluberlu! Tu expliqueras ça à Alice et ne m’appel plus Aurore...
Oksana appuya avec force sur le couteau en glissant doucement. Sa mère se jeta sur elle mais elle l’esquiva. Elle reprit sa mutilation et en quelques secondes, le sang se mit à couler à flot. Elle savait très bien quelle veine viser. Elle jeta le couteau au pied de sa mère puis se laissa crouler sur le sol. Le sang s’étendit dans la cuisine et Oksana se mit à pleurer. Au même moment, Alice entra dans la maison. Toujours aussi lunatique elle ne remarqua pas la scène. Elle glissa sur la mare de sang et se retrouva sur le dos face à sa sœur.
ALICE – Ah salut la sœur. Encore à essayer de faire péter un plomb à maman? Moi qui te croyais de bonhumeur après avoir coupé les cheveux de cette pauvre Isabelle. Dis tu aurais pu prendre un truc moins salissant, va tout falloir ramasser. Ça va maman?
Les pleures d’Oksana s’arrêtèrent. Elle adorait le sang froid avec lequel sa petite soeur traitait tout. C’était la seule qu’elle avait toujours vraiment aimée. Tous les autres n’étaient que des asticots dans un bocal de science, même sa mère. Elle se leva d’un geste habile puis se dirigea vers la salle de bain d’où elle revint avec des pansements et des compresses. La coupure était profonde mais un petit tour de magie, des bandages et le tour était joué.
Oksana avait eut le temps de perdre beaucoup de sang. Elle était plus blême qu’à son habitude mais elle s’en fichait. Sa soeur l’attrapa par l’épaule et la reconduisit jusqu’à sa chambre. Elles s’installèrent côte à côte mais à l’inverse sur le lit d’Oksana. Elles aimaient bien toutes les deux échanger dans cette position. Sans se voir, mais toute oui pour entendre.
ALICE – Dis Oxy, il faut que tu arrêtes de faire ça. Elle t’aime maman. Et si elle te laisse mourir, qui va torturer de pauvres innocents?
OKSANA – En premier lieu, moi maman, je ne l’aime pas et en deuxième lieu, je ne torture aucuns innocents. Seulement ceux qui le méritent.
ALICE – Si tu le dis… Mais sérieusement arrête.
OKSANA – Arrête de faire quoi?
ALICE– De te faire mal pour faire mal aux autres.
OKSANA – Ça fait pas mal. J’ouvre de vieilles cicatrices.
ALICE – À moi ça fait mal… de te voir comme ça.
OKSANA – Toi arête, je déteste quand tu me sors la carte de la grande empathique. T’es vraiment étrange…
ALICE– Merci! Pourquoi au fait tu t’es engueulé avec maman?
OKSANA – Elle veut se débarrasser de moi…
ALICE – Extrapole un peu s’il-te-plait.
OKSANA – Poudlard.
Alice sauta d’un bond sur le lit de sa sœur. Elle empoigna son bras et le brassa de droite à gauche faisant grimacer sa sœur qui n’aimait pas particulièrement se faire toucher et ce, même par sa petite soeur.
ALICE – Non sans blague? Ah la chance! Je veux y aller moi l’an prochain. C’est une école trop géniale! C’est la meilleure pour perfectionner sa magie!
Alice continua à jeter des points positifs en faveur de Poudlard et Oksana se laissa convaincre. Après tout, si Alice y allait, ça ne pouvait pas être si désagréable et puis c’était une façon de repartir à zéro. Plus de mec, plus de copine, plus de gens à haïr et toujours plus de choses à apprendre car bien que Oksana n’en avait pas l’air, elle aimait agrandir son savoir.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Avant il n’y avait que moi, maintenant il y a toi ✻✻✻ vingt-quatre décembre dix-neuf-cent-soixante-dix-neuf
Même si les deux sœurs n’appartenaient pas à la même maison, Alice ne se gênait pas pour rendre visite à son ainée. Elle poussa la porte du dortoir d’Oksana en glissant son nez dans la chambre. L’adolescente était étendue de tout son long sur son lit et gribouillait dans un livre en riant. Sans faire un bruit sa petite sœur sauta sur le lit faisant sursauter Oksana qui laissa tomber son livre par terre et pointa sa sœur avec sa baguette.
OKSANA – Je déteste quand tu fais ça, pourquoi tu fais toujours ça…
Oksana remis sa baguette sous son oreiller et bouscula sa sœur en lui jetant un regard sévère. Elle était nerveuse et brusque, Alice le savait, elle ne comprenait pas pourquoi après tant d’année elle continuait de jouer à ce jeux de lui faire faire des sauts à tout hasard. Sans qu’Alice n’ait eut le temps d’ouvrir la bouche Oksana devinait déjà pourquoi elle était là et elle savait aussi ce qu’elle allait lui répondre.
OKSANA – C’est non. Tu sais que je déteste Noël, je déteste Ellen et je déteste encore plus son petit ami, sans parler qu’il fait moins froid ici.
Alice voulu insisté mais elle savait que c’était peine perdu. Elle haussa les épaules, pris sa sœur dans ses bras qui ne bougea même pas et repartie en gambadant à travers la salle commune. Il n’en était pas question, Oksana n’irait pas passer Noël avec le nouveau diachylon que sa mère avait choisi, quitte à passer Noël toute seule. Elle attrapa sa veste et sorti une bouteille de boisson qu’elle avait enfoui au fond de sa malle. Elle alla s’asseoir au centre du terrain de quidditch bouteille en main avec un petit feu en pot. Quand arriva minuit, elle fini de caller le fond de sa bouteille de vodka.
OKSANA – Joyeux Noël…
En quelque gorgé elle eut tôt fait de voir le fond de la bouteille. Elle la lança derrière elle et se laissa tomber dans la neige fraichement tombée. Elle ne ressentait même plus le froid, à vrai dire elle ne ressentait plus rien. Pas de joie, ni peine, pas de peur ni d’espoir, même pas la vie. Alors que le ciel semblait tourner sur lui-même, la vodka décida qu’il était temps de sortir. Elle se leva en trombe et s’éloigna difficilement de l’endroit où elle était. Elle gerba tout le contenue de son estomac et s’essuya la bouche avec la manche de son manteau. Soudain elle senti une chaleur dans sa poche de manteau. Lorsqu’elle y jeta un œil, un éclair bleu jaillis de sa poche. Probablement sa baguette. L’éclair se transforma en une fumée qui prit progressivement la forme de son patronus. Un Diable de tasmanie. La créature se secoua et la fumée se dissipa pour laisser place à un animal de chair. Oksana recula surprise et tomba à la renverse.
OKSANA – C’est quoi ce putain de cirque?!
PATRONUS – De si mauvais mot dans une si jolie bouche. Attention t’a failli tombé dans ton vomis.
La créature s’approcha d’Oksana qui n’avait toujours pas bougé. Elle était pétrifiée et pas convaincu du tout qu’elle avait assez vomis puisqu’elle avait maintenant des hallucinations. Elle se frappa au visage mais l’animal resta là. Elle se leva poussant le patronus et alla mettre sa main au feu. L’animal colla sa patte à sa bouche. Comme si il avait, lui aussi, senti la brulure occasionnée par le feu. Intrigué et sans prendre en compte sa propre douleur, Oksana recommença.
PATRONUS – Mais t’es taré?! Arrête, ça brûle!
OKSANA – Intéressant… alors tu ressens les mêmes choses que moi au même moment? T’as un nom?
PATRONUS – C’est à toi de me le donner je crois bien.
OKSANA – Parfait. Ce sera Bart.
Bart hocha de la tête pour signaler son approbation. De toute manière qu’est-ce qu’il aurait bien pu dire. Il emboita le pas à la sorcière qui ramassa son gâchis d’un coup de baguette et retourna au château.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ✻✻✻ février dix-neuf-cent-quatre-vingts-un
La peste des patronus faisait rage depuis le début des classes. Jamais Oksana n’aurait pensé que cela la toucherait. Au début quand la peste commença, elle s’imaginait qu’il n’y avait que ceux qui le méritaient, qui en était atteint, puis sa sœur l’avait attrapé et son état s’était aggravé rapidement. Elle avait été mise en quarantaine et Oksana se sentait coupable. Si elle l’avait mieux protégé, ce ne serait pas arrivé. Bart avait beau essayer de la convaincre que ce n’était en aucun cas sa faute, Oksana en prenait le blâme.
Un matin de janvier, Oksana se leva enrhumé. En fait elle ne se leva pas. Se sentant trop fatigué. Elle décida de rester couchée. Elle était censée rendre visite à sa sœur aujourd’hui, mais elle savait aussi qu’Alice et son patronus avaient besoin de repos, repos dont elle ne bénéficiait pas quand sa sœur venait la visité. Elle avait donc doublement raison de demeurer couchée. Elle se tourna sur son oreiller pour dire à Bart de rester couché, mais à sa grande surprise, il n’était pas là. Mais où était-il. Son cœur accéléra et elle se leva en trombe. Étourdi par la vitesse à laquelle elle s’était levé, Oksana du se tenir sur les poteaux de son lit pour ne pas tomber face première sur le plancher.
BART – Oula, on se calme. Qu’est-ce qui ne va pas.
Son cœur fit un bond, elle avait eu si peur. Elle retourna les draps de son lit à la recherche de la créature, mais ne la trouva pas. Comment pouvait-elle l’entendre sans la voir. Elle adressa un regard furtif au lit de ses voisines, mais ils étaient tous vides et bien faits. La chambre était plutôt en ordre, elle ne voyait pas bien où il avait pu se cacher. Soudain elle entendit comme le bruit d’ailes de fée. Un petit oiseau mouche à la gorge rubis apparu devant ses yeux. Nerveuse, Oksana sursauta.
BART – Ça ne va pas ? Pourquoi tu me regarde comme ça ?
OKSANA – Tu t’es vu ?! T’es un putain de colibri !
Bart se tourna pour faire face à un miroir. Il se regarda sous tous les angles et retourna s’installer sur l’oreiller de la sorcière. Il était plutôt satisfait de son apparence. Tout le monde trouvait ça mignon un colibri, il avait de la gueule comme ça, mais la question était, pourquoi maintenant ? Oksana se coucha minutieusement sur son lit en ne lâchant pas l’oiseau des yeux. Elle se dit qu’il y avait forcément quelque chose d’anormal puis elle se souvint que plusieurs avaient remarqué des symptômes de la peste des patronus suite à l’apparition de la deuxième forme de leur patronus. Non pas que c’était un symptôme en soi, mais Bart n’avait jamais pris sa deuxième forme, cela voulait donc dire que quelque chose clochait. Malgré sa grande fatigue, elle décida de prendre son courage à deux mains et d’aller consulter à l’infirmerie. Elle prit le petit oiseau déjà assoupi dans sa main et se dirigea vers sa destination.
Tout en marchant, elle l’observa. Il semblait si fragile ainsi. Elle ne l’avait jamais vu comme quelqu’un de fragile, mais sous cette apparence il était minuscule. Elle ne pensait jamais dire ça, mais elle était inquiète, non seulement pour elle, parce que si il s’avérait que Bart était malade, elle aussi, mais parce que si elle se rendait au cinquième stade, elle serait officiellement toute seule… pour de bon.
Lorsqu’elle arriva, en robe de chambre, la chevelure en bataille, elle passa rapidement aux examens. On lui posa diverses questions auxquels elle répondit positif. À la fin de son examen on ne l’a fit ne pas attendre et on lui assigna un lit dans la zone de quarantaine. D’un côté elle était soulagée. Au moins comme ça, il pourrait la soigner. Enfin, quand il trouverait un remède, sinon elle allait mourir et au moins elle savait de quoi. Lorsqu’elle alla se coucher dans le lit qu’on lui avait assigné, elle ne pensa même pas à aller voir sa sœur. Elle devait dormir elle aussi.
ALICE – Oxy ! Bart ! J’avais espoir de ne pas vous voir ici !
Oksana ne put même pas relever la tête. Elle était bien trop fatiguée. Sans même ouvrir les yeux, elle prit la main de sa sœur et lui murmura dans un soupir.
OKSANA – Va te coucher tu es pire que moi…
Dernière édition par Oksana A. Lewis le Jeu 15 Oct - 14:27, édité 10 fois
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Re: Oksana - Il avait autour du coeur une cuirasse de chêne et un triple airain