BELLUM PATRONUM


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Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang
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Message Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang
par Invité, Mar 13 Oct - 12:11 (#)
Garrus Seth
Ollivander
ft. landon liboiron
Sang-mêlé
22 ans
Célibataire mais fiancé par décision familiale
Hétérosexuel
Etudiant en Onzième année à Poudlard dans le Cursus d'Offensive Magique, Sortilèges Poussés // Apprenti Fabricant de Baguettes Magiques chez Ollivander à Mi-temps
Furet Putoisé & Grand Requin Marteau
Neutre avec une petite tendance Pro-Ordre
EnD
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À propos
Nom: Ollivander, un nom que tous connaissent pour être celui de la plus grande famille Anglaise quand les sorciers parlent de Baguette Magique. Comme ma famille j’ai d’ailleurs ce don, cette passion mais je ne dis presque jamais que je suis un Ollivander car je veux devenir quelqu’un dans ce milieu par moi même et non parce que je suis un membre de cette famille. J’ai envie d’être une personne à part entière et pas juste l’héritier d’un fabricant reconnu, j’ai envie d’être avant tout doué parce que j’ai fais des efforts et non parce que je suis né dans le milieu. Depuis 382 ans avant Jésus Christ, la famille Ollivander fabrique des baguettes magiques, et au travers du temps aucun concurrent en Angleterre n’a su faire ombre à ce nom. Prénom: Garrus est un prénom que je ne donne que rarement, préférant mon second prénom. Mais il semble que dans la famille ce soit presque une habitude de prénommer les enfants en commençant par la lettre G.. Il suffit de voir les propriétaires de la boutique de baguettes, Garrick, Geraint, Gerbold, Gervais,… Alors ils ont décidé de me nommer à mon tour avec cette lettre.  Seth est le prénom choisit par ma mère, celui que je porte. D’après ce qu’elle m’a conté jeune, c’est parce qu’elle a voyagé en Egypte et elle pensait à ce Dieu, mais pas comme une image mauvais du Chaos, mais une image d’équilibre, Seth a battit comme il a détruit, mais il a toujours fait en sorte que le monde ait toujours un équilibre entre Ordre et Chaos pour éviter de sombrer dans une extrémité ou une autre. D’ailleurs elle adorait l’histoire des Ramses qui étaient des Pharaons vénérant Seth.  Âge et Date de Naissance: Né le 14 janvier 1959 j’ai actuellement donc  22 ans.. Rien d’exceptionnel, je suis né à Sainte  Mangouste. Je suis donc du signe du Capricorne et un enfant de l’hiver. Rien de bien passionnant.  Nature du sang: Mon Père est un Ollivander, un homme de Sang-Pur même si cela se fait rare dans la famille, et ma mère est une née Moldu ce qui fait de moi un Sang-mêlé. Je n’ai aucune honte d’être ainsi Sang-mêlé car je ne juge point d’une personne par rapport à la nature de son sang, mais bien par rapport à ses actes. Je crois même que la vie m’a plutôt poussé à me méfier des Sang-Purs, de ce qu’il se cache derrière le nom de certaines grandes familles. Situation familiale: Je suis le fils de Gerald Ollivander né en 1929 à Londres, Pur-Sang, Fabricant de baguette et ancien membre de la Maison Serdaigle. Depuis 1976, il ne travaille plus qu’à mi-temps, se montrant beaucoup moins passionné par cse travail et adoptant un comportement plus dépressif. Fils d’Yliana Ravnos, née en 1933 à Budapest, Née-moldu, Marchante d’ingrédients pour potions et ancienne membre d’une Ecole de Magie de l’Europe de l’Est. Décédée le 16 Juillet 1976. Grand frère de Gregor Ollivander né en 1971 à Sainte Mangouste, décédé le 16 Juillet 1976.Patronus: Kaiju est un furet putoisé qui s’amuse souvent à se montrer taquin, à me lancer des défis, me pousser à rire ou faire des bêtises. Mais il prend de temps en temps l’apparence d’un Requin marteau, mais vu la particularité de cet animal, c’est souvent sous sa forme brumeuse et magique.  Miroir du Rised: Ce miroir ne fait que m’apporter de la douleur, de la peine, ce miroir me montre l’impossible, me rappelant ce que j’ai perdu, ce que j’ai vu sans pouvoir intervenir, me donnant la sensation d’être faible, d’être juste un être inutile dans ce monde, incapable de défendre ceux que j’aime. Ce miroir me rappel qu’il faut mieux être seul que connaître la souffrance de perdre un être cher… Il me montre juste ma famille, mon père souriant et heureux, ma mère vivante lui tenant la main et mon petit frère qui a grandit en arborant fièrement une tenue de Poudlard avec le blason de Serdaigle dessus. Epouvantard: La première fois que j’ai vu un épouvantard, c’était pendant les cours à Poudlard, et à l’époque il prenait l’apparence d’un Dragon prêt à me bruler vif. En faite en étudiant les Baguettes, j’ai vu à quel point le Ventricule de Dragon peut-être puissant mais aussi instable et dangereux, cela m’a donné une image des Dragons assez terrifiante. Mais depuis 1976, mon Epouvantard a changé, il est maintenant un de ces hommes drapés de noir portant un masque cachant son visage, un masque argenté… Un Mangemort. Composition de la baguette magique: Ma première baguette que j’ai eu lors de mon entrée à Poudlard, alors que je n’avais que 11 ans était composée d’un Bois de Noisetier sculpté avec comme cœur un crin de Licorne, une baguette qui était loyale, très attachée à moi et mes émotions, mais malheureusement lors de « l’accident » en 1976, la peur, la colère, la douleur, ma baguette en es morte, point uniquement le crin de licorne mais aussi ce bois très sensible. Je l’ai gardé dans un petit étui, j’ai cherché à lui rendre vie, à réintroduire un autre crin en elle, mais malheureusement elle est éteinte à jamais. Ne voulant point simplement reprendre une baguette, refusant de la remplacer si facilement, j’ai passé l’année à fabriquer ma propre baguette, celle pour moi, avec le bois qui m’inspirait, avec le cœur qui m’a attiré, suivant mon instinct ou ma muse, fabriquant alors une baguette en bois de Charme, un bois chaleureux, un bois fait pour les hommes passionnés, fait pour ceux qui possèdent de véritables préceptes. Le Charme est un bois que je considère me convenir, autant pour sa loyauté que pour ce qu’il représente. C’est un bois rigide, blanc et dense. A celui ci j’ai ajouté un comme cœur un Crin de Licorne, car même si certains n’aiment pas sa réputation de faiblesse, c’est aussi le cœur le plus stable et le plus loyal, le plus attaché à son propriétaire. Elle mesure 24 centimètre et ressemble à [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Etudes Suivies: Cycle primaire à Poudlard, rentrée en première en 1970, Seconde en 1971 avec en options Etude des Runes et Arithmancie, rentrée en troisième en 1972 avec en option Arts et Musiques Magiques et Soins aux Créatures Magiques, BUSE passées lors de la Cinquième année en1974-1975, ASPICs échouées lors de sa Septième année en 1976-1977, Redoublement de la Septième année avec des ASPICs passées en 1977-1978. Rentrée dans le Cycle Secondaire en 1978 dans le Cursus d’Offensive Magique avec comme Sous Cursus Sortilèges Poussées, considérant que cette matière m’apporterait surement le plus pour la fabrication de Baguettes Magiques. Pour le Cycle secondaire j’ai pris les options Histoire de la magie et Arithmancie. Je travaille aussi le Week-End, pendant les vacances et le soir pour ma famille. En 1978 comme vendeur pour Ollivander y recevant des cours particuliers sur la fabrication des Baguettes, un véritable secret de famille. A cette rentrée 1981, je suis en Onzième année, Quatrième année du Cursus Offensive Magique en Sortilèges poussés avec toujours l’option Arithmancie et Histoire de la magie, et je continue à travailler à temps partiel pour ma famille comme Fabricant de Baguettes tout en recevant toujours une part de cette enseignement familial. Animal de compagnie: Mon animal de compagnie est un Fléreur répondant au nom de Tonneau, en fait je l’ai appelé ainsi car je l’ai trouvé seul et abandonné, mais il savait parfaitement se débrouiller pour trouver à manger et cela se voyait vu sa masse imposante. Assez paresseux de base, notre cohabitation fut rapide et facile, surtout tant que je lui donne à manger. Il a une fourrure grise tachetée de noir avec des oreilles imposantes comprenant de petits plumeaux plus sombres et une touffe noire au bout de sa queue.  Bien entendu quand je l’ai adopté et au respect des lois en vigueur, je me suis rendu au  Département de contrôle et de régulation des créatures magiques au Ministère de la Magie pour le déclarer.
Caractère
Seth et le trouble de stress post traumatique :

Suite à une attaque qui couta la vie de ma mère et de mon petit frère, cela devant mes yeux, j’ai été Diagnostiqué lors de l’année Scolaire 1976-1977 comme ayant un trouble de stress post-traumatique. Celui ci d’ailleurs a pu justifier mon redoublement à ma Septième année à Poudlard, en plus bien entendu de ce que j’ai vécu. Alors avant de rentrer dans les détails de ce trouble, il faut savoir que depuis l’accident qui en est responsable, je suis capable de voir les Sombral, petit détail technique qui ne m’aide pour à assumer ce que j’ai vécu vu que cela me rappel souvent els morts que j’ai observé. Mais aussi le Miroir de Rised ainsi que l’Epouvantard viennent justement aussi me persécuter sur cet événement, me rappelant ceux que j’ai perdu et que j’aimerais voir vivant aujourd’hui, ainsi que le « visage » du responsable du sang qui a coulé. Ces divers points particuliers au monde magique ne font que renforcer ainsi le choc psychologique et le traumatisme ressenti.

Un trouble de stress post-traumatique est en faite un traumatisme gravé dans l’esprit d’une personne, ici le mien, et ce traumatisme revient souvent à ma mémoire ce qui influe mon comportement social général et envers autrui. Cela n’a rien de dangereux pour mon entourage, mais c’est surtout une difficulté pour ma propre personne car cela nuit à mon attachement émotionnel ainsi qu’à ma capacité à me concentrer. Ce trouble est surtout lié au faite que j’ai été impuissant face à la situation ayant engendré le traumatisme et qu’aujourd’hui encore je me sens impuissant en le revivant au travers de mes cauchemars, créant ainsi l’angoisse, voir la terreur, de revivre une telle situation et de me retrouver dans un état de faiblesse qui m’empêcherait donc de pouvoir intervenir me poussant donc à reconnaître l’horreur de l’événement ainsi que de la perte.

Je suis donc victime de plusieurs symptômes précis, commençons par ceux dis persistants, c’est à dire ceux qui sont fréquents et souvent les plus complexes à combattre ainsi qu’à assumer. Le premier est lié aux pensées ainsi qu’au monde onirique, mes nuits souvent perturbées par des cauchemars voir terreurs nocturnes me faisant revivre mon traumatisme, ce qui a tendance à me pousser vers le manque de sommeil voir l’insomnie. Ces cauchemars sont intrusifs mais peuvent être aussi éveillés, car un événement ou une situation peut me faire revivre comme un flashback de l’événement qui ma traumatisé. Ce qui est arrivé par exemple avec l’accident du Poudlard Express à la rentrée 1980 ainsi que mon incapacité à me rendre au Mémorial lors de la rentrée 1981. C’est aussi pour cela que je suis tellement tétanisé face à l’épouvantard que je me trouve en incapacité totale de lancer le sortilège du Ridikulus pour combattre ma peur gravée si profondément dans mon esprit. Ce symptôme engendre directement le second qui peut paraître comme une forme de déni mais qui ne l’est point, c’est un instinct de survie qui me pousse à éviter toutes les situations pouvant me rappeler ce traumatisme vécu ou qui représente à mes yeux un risque de le revivre. Ainsi par exemple je suis incapable de me rendre à nouveau au lieu du dit traumatisme, tout comme je suis incapable de me rendre dans un environnement semblable. Dans le cas présent c’est de se balader la nuit dans les rues calmes et silencieuses, plus précisément me balader en compagnie d’une ou deux personnes. Si je suis seul ou avec un groupe plus important, cela ne me pose aucune difficulté. Ce symptôme fait aussi que je suis presque incapable de parler de mon traumatisme, de ce que j’ai vécu ou de ce que je ressens par rapport à ce dernier car je suis dans une forme d’incapacité de me confronter à nouveau à ce souvenir et ce passé. Ce n’est point une amnésie, c’est un besoin d’éviter de revivre encore plus cet événement qui m’a marqué à vie. C’est ce symptôme qui est aussi la cause de mon redoublement car la première année qui a suivit l’accident, je me suis totalement renfermé et détaché des autres ainsi que de mes cours, de mes centres d’intérêts, me concentrant que sur une chose pour tenter d’oublier, la confection d’une baguette. Je ne peux rien faire pour contrer cette angoisse, mais c’est grâce au psychomage qui a su me faire parler que j’ai su être capable de reprendre mes études ensuite. Mais je suis toujours incapable aujourd’hui d’accepter ce que j’ai vécu. Ce Symptôme engendre d’autres dans mes facultés relationnelles dont je reviendrai plus tard. Passons au troisième symptôme de ce trouble, c’est celui qui engendre cette forme de stress, de nervosité paranoïaque, qui me rend vigilant mais de façons exacerbées et intensifie donc mon risque d’insomnie, c’est aussi ce symptôme qui cause ma tétanie ou impuissance face à un événement pouvant me rappeler la cause de mon trouble si puissamment ancré en moi. Quelque part, la présence de Tonneau mon Fléreur m’aide un peu à me rassurer car je sais qu’il saura me prévenir si une personne à de mauvaises intentions.

Mais comme si cela ne suffisait point, certains symptômes engendrent leurs propres symptômes ou conséquences socio-psychologiques.  En faite ceux ci sont des systèmes psychologiques de défenses pour éviter de revivre une expérience identique à celle ayant engendré le dit trouble. Ils sont en quelque sorte une part du subconscient cherchant à me protéger en me poussant vers un comportement ou un autre pour me distraire ou m’éloigner du danger possible et des terreurs présentes en mon être, mais à l’inverse des premiers symptômes plus persistants, ceux ci peuvent se montrer provisoire comme ils peuvent disparaître et revenir par après. Le premier de ces troubles, soi-disant mineurs, est mon détachement affectif envers les autres, en faite la douleur ressenti d’avoir perdus des personnes chères à mes yeux et mon cœur fait que je refuse de connaître à nouveau ce sentiment, donc j’éprouve une forme de rejet face à l’attachement émotionnel. Ce n’est point que je sois indifférent par rapport aux autres et ce qu’ils vivent, bien du contraire, mais j’ai tendance à fuir quand je commence à m’attacher à une personne, tentant d’éviter de dépasser le stade de la connaissance. Je peux avoir des relations oui, intimes ou sympathiques, mais si des sentiments viennent se glisser dans l’histoire, affectifs, amicaux, ou une forme d’attachement pour autrui, j’ai tendance à m’en détacher, fuir ou éviter la dite personne, refusant que celle ci puisse s’attacher à moi ou que je m’attache à elle pour ne plus avoir à subir le moment où je perdrai cette personne d’une façon ou d’une autre. D’ailleurs, même si je dois éprouver une attirance pour quelqu’un ou une forme d’attachement sentimental, je suis dans l’incapacité de l’exprimer, c’est un véritable blocage. Le second de ces petits troubles et quelque chose de psychologique agissant sur le sensoriel, d’après mon Psychomage, ce serait une forme de protection de mon esprit face à la douleur qui atténuerait du coup mes sensations, qu’elles soient de plaisir ou de douleur physique, me rendant point plus solide mais me poussant à des extrêmes pour sentir que je suis bien vivant. D’ailleurs ce trouble plus le besoin de fuir la peur qui m’envahit me pousse vers des activités plus dangereuses et risquées, ce qui fait qu’à cause de cela, inconsciemment, je suis devenu un casse cou, recherchant des sensations fortes pour me sentir vivant, pour vérifier que je ne suis point mort intérieurement, me poussant à faire des cascades, des bêtises ou des activités sportives dangereuses qui me coutent souvent des passages à l’infirmerie. N’avez vous jamais vu quelqu’un tenter de faire du surf sur un balai ? Ou de descendre les étages de Poudlard en sautant d’un escaler à l’autre alors qu’ils sont en plein mouvements ? Non ? C’est que vous ne m’avez jamais rencontré alors.

Malgré ces différents points, ainsi qu’un passage pendant une année par une étape de dépression, je ne subis presque aucune altérations de la personnalité ou perturbations émotionnelles autres que les ceux plus généraux chez les personnes souffrantes de ce genre de trouble. Quelque part dans ma malchance, j’ai la chance de n’être qu’un cas médical classique et non exceptionnel.

Seth avant le traumatisme :

Oh je me souviens de cette époque, j’étais un jeune homme attentif et des plus sérieux, quelqu’un qui voulait satisfaire sa famille, qui voulait travailler, étudier et ne rien laisser me déconcentrer de mes études, j’avais envie d’être le fier fils de cette famille prestigieuse, je voulais devenir un de ces fabricants de baguettes reconnu au travers des siècles. Calme, j’étais vraiment une personne qui savait rester en place, passer des heures concentré sur un événement, un livre, ou une pratique, qui n’avait pas besoin de remuer ou de s’agiter, juste quelqu’un pouvant rester simplement dans une bibliothèque pour assouvir sa soif de connaissances. J’étais d’ailleurs fier car souvent Mère me disait que j’étais intelligent et cela se voyait dans mes résultats, mais je me considérais surtout comme quelqu’un de travailleur qui refusait simplement de se dire que si j’y arrivais, c’était grâce à un don, ou une hérédité, mais parce que je m’appliquais dans mon travail et dans mes études.  Jeune j’étais réellement quelqu’un d’amical, toujours la pour les autres, nouant facilement des contacts, pouvant apprécier toutes les compagnies, toutes les présences, mais surtout j’étais un jeune homme très ouvert qui savait passer du temps à écouter les autres, à simplement me poser pour être le bras fort qui soutenait mes connaissances, qui prêtait une oreille attentive, ou encore apportait des conseils. Oui, ouvert et social. Je pouvais accorder tout mon temps libre pour mes amis, pour ma famille, j’aimais être entouré ainsi qu’accompagné. Joyeux de nature, j’étais une personne qui portait toujours le sourire sur son visage, qui tentait de faire rire les autres, d’étouffer les chagrins. Premier présent pour réconforter ceux qui étaient tristes, premier à se lancer vers les autres, quelque soit leur statut, pour apporter un peu de chaleur ou d’aide. Sportif, je passais beaucoup de temps à courir, faire de la musculation, ainsi que jouer au Quidditch pour mon plaisir, adorant l’idée et le principe d’un jeu d’équipe. Bien entendu, j’étais aussi quelqu’un de vraiment généreux, aimant tendre une main, mais aussi aider ceux qui en avaient besoin. Il m’arrivait de partager ce que je possédais, n’arrivant jamais à dire non quand quelqu’un me demandait quelque chose. J’avais connu l’amour aussi, oui j’ai été un homme amoureux mais cela avait pris fin, vous vous doutez à partir de quand… Mais avec les sentiments, j’étais une personne sincère et fidèle, qui n’allait jamais voir ailleurs, qui ne posait même pas le regard sur une autre personne et ne se laissait pas séduire car j’accordais une grande importance au cœur. D’ailleurs même en amitié je m’étais montré quelqu’un de loyal, ne trahissant jamais un secret, un ami ou un échange. Je pouvais même me sacrifier pour couvrir ou protéger un de mes proches. Bien sur, comme tout homme je n’avais pas que des qualités, j’avais aussi mes défauts. Je pouvais me montrer trop curieux, ce qui me poussait facilement à tenter de faire parler les autres, à tendre l’oreille pour écouter ou pire, me montrer des plus indiscret. J’étais aussi quelqu’un qui était sensible, vous savez facilement touchable par un événement, qui pouvait se montrer presque fragile et rêveur, vivant dans une vision utopiste, pensant à une vie romantique ou tout allait être merveilleux. Je ne savais pas réellement voir la réalité des choses car je croyais réellement qu’une vie n’était que bonheur si on la désirait ainsi. Impatient, je n’aimais pas les surprises, je ne préférais rien savoir pour découvrir en temps voulu, je détestais qu’on me fasse languir, cela me frustrait souvent. Passionné, j’aimais réellement tout ce qui touchait aux baguettes, tout comme j’éprouvais une réelle passion pour mes études, les savoirs partagés, ainsi que l’art, je n’étais jamais paresseux, ni lent, par contre j’étais quelque peu borné. Quand je savais que j’avais raison, je n’acceptais pas de changer d’avis, tout comme je refusais de me plier à la volonté d’une personne juste pour lui faire plaisir.

Seth après le traumatisme :

Beaucoup de choses ont changé chez moi, je reste quelqu’un de joyeux en apparence, mais ce n’est plus la même chose, je me suis totalement détaché de mes amitiés, de mon ex, de ceux qui étaient proches de moi. Je garde un sourire qui n’est qu’un masque pour cacher la douleur constante, telle une âme en peine envahit par les regrets et une culpabilité qui n’arrivent point à disparaître. Je suis bien moins studieux, moins acharné dans mes cours, préférant jouer au casse-cou. Pire que cela, je suis devenu quelqu’un de pugnace, prenant tous les défis et challenges qui se proposent à moi, même les plus fous. Je ne dis jamais non quand on me lance un « tu n’es pas cap », fonçant presque tête baissé. Oui je suis devenu un fonceur, prêt aux pires choses pour faire rire les autres, aux pires cascades, mais me retrouvant souvent blessé. J’ai tendance aussi à me laisser aller, devenu fumeur et buveur, je peux facilement me montrer déraisonnable. Pourtant je reste quelqu’un de protecteur mais envers tous ceux qui ont des ennuis ou sont persécutés. Je reste une personne tolérante, je me fous de savoir si quelqu’un est de Sang-Pur, Sang-mêlé ou Né-moldu, la seule chose que je ne sais pas comprendre, ce sont ceux qui soutiennent les idées des Mangemorts, surtout après ce que j’ai vécu et l’attaque du Poudlard Express. Inconscient, je ne fais pas attention ni à moi, ni aux risques que je prends, je sais que je joue avec ma vie mais cela ne semble plus réellement me toucher, comme si j’ai envie de flirter avec la Faucheuse, mais après tout personne ne peut la fuir alors autant jouer avec elle non ? J’ai perdu toutes mes passions, sauf pour les baguettes, je ne fais plus de Quidditch, je ne cours presque plus, mais je fais un peu de boxe pour me défouler. Je m’intéresse aussi aux créatures magiques, quel quelles soient,  quitte à ce qu’elles me fassent du mal. Rebelle, je suis devenu quelqu’un de perturbateur qui sait facilement distraire les autres pendant un cours en faisant le guignol, quelqu’un qui fait du bruit, ne tient pas en place, en faite j’ai beaucoup changé. D’ailleurs même dans le relationnel, si il m’arrive d’avoir quelque chose d’intime, c’est purement charnel et sans sentiments, peut-être justement parce que je refuse l’attachement. D’ailleurs je ne suis pas séducteur, tout du contraire je laisse les autres venir vers moi, je laisse les autres tenter de me séduire. En faite je ne fais que faire remarquer mon intérêt en attirant de l’attention, mais c’est à ma façon. Genre si je suis intéressé par une Auror, je ferais des bêtises pour avoir des ennuis de ce coté, si c’est une infirmière je me blesserai pour me retrouver aux soins, si c’est une vendeuse je serai un client régulier pour des pacotilles. Je ne sais plus exprimer ce que je pense ou ressens réellement, je ne sais faire que l’idiot en quelque sorte. D’ailleurs il faut dire que mon manque de sommeil ne m’aide pas vraiment pour tout cela, au contraire. Une part de moi est devenue nihiliste, je ne crois plus en l’évolution de notre monde ou en l’avenir, persuadé que nous allons tout droit vers notre propre perte. Je suis aussi devenu totalement borné, refusant d’avoir raison, refusant simplement de changer d’avis, quand j’ai quelque chose derrière la tête, je fais tout pour y arriver, même si cela semble impossible, même si tout le monde me dit que cela n’est pas possible.  D’ailleurs ma propre image de moi même a changé, je n’ai plus de gêne, en faite je n’ai plus aucune pudeur, mais ce n’est point le seul changement dans mon comportement, bien d’autres petits détails font que je ne suis plus réellement le même. Instable, il peut m’arriver d’un coup de changer d’avis ou de réaction, d’être un peu une girouette, comme je pourrais passer du temps à discuter devant un verre et d’un coup disparaître. Pour finir avec cette part de mon esprit, je suis devenu quelqu'un de très modeste, et je travaille en plus de mes études car je veux obtenir mon diplôme par moi même, je veux payer mes propres études, et je refuse d'avoir du favoritisme, d'avoir trop de soutien. En faite je veux être fier de ce que j'obtiens, je veux l'acquérir grâce à mes efforts. Pour cela je cache un peu aussi que je suis un Ollivander en me présentant aux autres, préférant juste être vu comme Seth tout simplement.

Seth face aux Sangs :

Je pense qu’il est nécessaire de parler plus en profondeur de ma vision au sujet des différents Sangs de Sorciers. Alors commençons en détail par les Sang-Purs, ces grandes familles qui sont depuis longtemps inscrites dans le monde des Sorciers, représentées dans un Registre créé par la famille Nott, le Registre des 28 familles de Sang-Pur. Ollivander fait parti de ces familles mais depuis 1930, notre famille a cessé de regarder la Pureté du sang comme quelque chose de nécessaire, comme un fait. Plusieurs d’entre nous sont devenus des Sang-mêlés, chose que les Ollivander cachent aux autres, non point par honte mais par sécurité, voulant éviter que certains voient la famille Ollivander comme des traitres à leur sang alors que sa réputation est si grande grâce à la fabrication de baguettes. Personnellement cela me fait du mal de devoir cacher que ma mère est une née-moldue, surtout depuis qu’elle est morte tuée par ces êtres portant une toge noir et un masque pour dissimuler leur visage, mais j’ai compris que c’est une sécurité, non un rejet. Je ne vois pas les Sang-Purs comme supérieur, mais je sais qu’ils sont encore à la tête de notre société, ils sont les grandes familles, les respectés, ceux qui ont un rôle ou une responsabilité importante dans les différents milieux et rangs sociaux de notre société. Mais il est triste de voir que certains préfèrent se tourner vers la consanguinité pour veiller à leur pureté que de s’ouvrir à notre monde. Ce sont ces esprits radicaux qui vont surement causer la perte de notre monde, qui vont poussés les sorciers vers leur fin… Il est jamais bon de devenir radical, jamais bon de sombrer dans de telles pensées. Les Sang-mêlés sont comme moi, des personnes qui sont vus par certains comme le résultat d’une traitrise à leur sang, qui sont entre deux mondes. Je considère que les sang-mêlés ne sont pas différents des autres, au contraire je préfère me dire que j’ai du sang autant pur que moldu, au moins cela m’indique que ma ligne ne finira pas comme celle des Gaunt, une lignée de « malades » ou de fous furieux dont l’esprit a été altéré à force de vouloir garder la pureté de leur sang, et par finir à détruire leur propre lignée comme ils ont détruit leur richesse familiale. Pour certains les Sang-mêlés ne valent pas mieux que les Nés-moldus, pour moi ils sont peut-être le seul avenir des familles de Sang-Purs, diversifier le sang. Les Nés-Moldus sont pour moi des personnes admirables, ce sont des êtres qui ne sont pas nés favorisés pour la magie et pourtant qui sont devenus des sorciers, mais ce n’est pas la qu’est le coté admirable de leur position, ce qui est admirable c’est qu’ils s’imposent dans notre monde, qu’ils n’abandonnent pas alors que tant de personnes les pointent du doigt ou se mettent à les critiquer voir les insulter en les traitant comme des inférieurs. Mais c’est faux, ils sont comme les sang-mêlés ou les sang-purs, ils sont des sorciers, ni plus forts, ni plus faibles, des sorciers qui méritent d’être traités comme tel et non pour leur sang différent. Pour conclure, il n'y a qu'une chose à dire, nous sommes tous égaux.

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Patronus
Au début j’ai cru devenir fou, j’ai cru que ce n’était qu’un résultat de mon traumatisme, une forme d’ami imaginaire… Jusqu’à remarquer que je n’étais pas le seul à avoir un animal magique auprès de moi, apprendre que moi pouvait entendre le mien comme les autres ne peuvent communiquer qu’avec le leur. Un Patronus devenu corporel, c’est ce qu’est Kaiju. Il semble que mon Patronus possède deux formes, mais aussi deux « personnalités » car il ne change de forme que pour s’adapter à la situation ou plutôt à ma personne, agissant avec moi dans deux sens bien différents. Sa première forme est celui d’un Furet Putoisé mâle qui mesure soixante centimètres pour un poids d’un kilo six cents grammes, court sur pattes il est très agile ne cessant de courir, de me grimper dessus ou de sauter partout. En faite, je peux dire ouvertement qu’il est totalement fou, représentant facilement cette part casse cou et pugnace de ma personne, il ne cesse de vouloir faire des farces ou des tours aux autres. Il adore par exemple venir voler les chocogrenouilles de ceux qui sont proches de lui, tout comme il vient facilement sauter sur la table pendant un repas pour piquer dans une assiette… Il aime aussi tout ce qui brille, voulant toujours voir ce que cela est ou pire, je prendre pour venir le cacher dans mes poches ou dans mes affaires pour se le garder tel un petit trésor. Oui c’est un vilain petit voleur mais c’est aussi celui qui me remonte souvent le moral, que ce soit parce qu’il me pousse dans mes actes manquant de raisons, il me pousse dans des défis de plus en plus étranges ou extrême, mais c’est surtout qu’il arrive à me faire rire en commentant et critiquant tout. Je me souviens encore quand j’étais en cours, il ne cessait au début de faire des remarques sur le professeur, s’amusant à l’imiter parler avec un coté caricatural assez poussé, mais aussi il ne pouvait s’empêchait de faire des remarques sur les élèves, genre dire qu’un tel avait un balai dans le cul, ou qu’un autre se prenait pour le Seigneur de tous les temps, qu’une était sexy et que je devrais l’emballer… Il s’amusait même des fois à  venir me dire la couleur des culottes. Il est totalement incontrôlable pour cela, comme si il veut me faire craquer ou me pousser à éclater de rire. Quelque part Kaiju est le meilleur remède que j’ai contre mon trouble car il me permet de penser à autre chose, il me permet de m’amuser, mais c’est un vrai hyperactif, ne pouvant pas se poser en dehors du moment de manger ou de dormir. Il est par contre capable de faire peur à quelqu’un qui ne le connaît pas, jouant le furet empaillé sans bouger sur un meuble pour d’un coup bondir sur le nouveau qu’il croise pour le faire sursauter. Filou, malicieux, il ne fait pas cela pour nuire aux autres, ni pas fourberie ou par méchanceté, il veut juste faire en sorte que j’arrive à sourire ou que je sois joyeux. C’est comme un lutin farceur, toujours la à faire les quatre cents coups sans aucune arrière pensée négative. Par contre Kaiju déteste par dessus tout les elfes de maison, il pense que ceux ci sont des vilains comploteurs qui comme les gobelins vivent avec un vice dans la peau et qu’un jour ils viendront se retourner contre les sorciers pour renverser le pouvoir et diriger le monde. Pour finir au sujet de cette apparence de Kaiju  au pelage si soyeux, il a aussi tendance à taquiner les autres Patronus, à venir les provoquer ou chercher à les pousser à déconner avec lui.

Mais Kaiju a aussi un autre visage, celui du Grand Requin Marteau de cinq virgule cinq mètres de long. Vu la particularité aquatique de l’animal, la majorité du temps il apparaît sous cette forme brumeuse et lumineuse blanche, mais il n’apparaît pas pour rien, ce n’est pas comme si Kaiju veut réellement changer de forme, il prend celle ci en lien avec mon état psychologique. Ce grand requin marteau apparaît quand je me sens mal, que la peur commence à m’envahir, que mon trouble se montre trop présent ou que je me sens menacé, voir agressé. C’est la forme protectrice, celle qui vient pour me rassurer et me dire qu’il veille sur moi, me défend, prêt à chasser les menaces. Sous cette apparence Kaiju ne parle que peu, il a tendance à tourner autour de moi comme pour créer un cercle d’espace vital, pour empêcher les autres de m’approcher comme si ils me voulaient du mal. Quand il me parle c’est d’une voix plus grave et plus calme, pour me rassurer, pour me dire que personne ne me fera de mal, et je le crois, quelque part cette présence m’aide beaucoup aussi, tout autant que celle du furet. Son défaut est qu’il peut se montrer très rapidement agressif envers les autres, très vite il peut vouloir impressionner ou menacer pour faire reculer les personnes qui m’approchent quand je suis au plus mal. Il faut réellement que la personne soit digne de confiance aux yeux de Seth, mais à cent pour cent, pour que Kaiju accepte de le laisser approcher quand il est mal.

Attention, il est important de préciser que le Patronus est toujours la même personne, quelque soit son apparence, c’est simplement que ce dernier met de coté sa part de folie et de joie pour se montrer plus sérieux et assumer son rôle de protecteur d’une toute autre manière qu’en faisant le foufou.

Pour finir, je m’entends très bien avec Kaiju, je le considère comme mon meilleur ami et il ne me viendrait jamais à l’idée de le maltraiter ou de lui manquer de respect. Je crois que sans son existence, j’aurai surement déjà craqué et commis l’irréparable.

Informations supplémentaires
Ollivanders: Makers of Fine Wands since 382 b.c
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Depuis ses 19 ans, Seth reçoit une formation particulière de la part de sa famille sur la fabrication des Baguettes Magiques, apprenant ainsi les secrets des Ollivander.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Considère que les Baguettes sont des êtres vivants possédant un coeur ainsi qu'une âme. D'ailleurs le faite que celles ci puissent mourir, se nouer d'une loyauté, se rebeller ou encore souffrir des émotions des Sorciers qui en sont propriétaires est une preuve de leur conscience.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] A le dos marqué d'une cicatrice allant de l'omoplate droite à la hanche gauche depuis la catastrophe du Poudlard Express de la rentrée 1980.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] En dehors de son Fléreur nommé Tonneau et de sa chouette-pêcheuse de Pel appelée Crucruche, il a aussi un Elfe de maison qu'il a libéré en lui donnant un vêtement, mais qui revient très souvent lui tenir compagnie, il répond au nom de Sottise
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] La famille Ollivander étant toujours dans le Registre des 28 familles de Sang-Pur, Gerald a décidé de cacher aux yeux des autres sur Seth est un Sang-Mêlé et que sa mère est Née-Moldue.


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Dernière édition par G. Seth Ollivander le Mar 13 Oct - 19:21, édité 2 fois
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Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang  Empty
Message Re: Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang
par Invité, Mar 13 Oct - 12:11 (#)
Histoire
Happiness can be found even in the darkest of times
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1959-1963
Genesis
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Ce jour est particulier à mes yeux, c’est le jour de la naissance de mon fils Garrus, de ce petit homme qui prendra la relève plus tard, un futur fabricant de baguettes qui fera vivre le nom des Ollivander encore une génération. Aujourd’hui j’ai décidé de me consacrer uniquement à ma chère épouse et cet heureux événement, tenant la main de cette femme qui me comble par le présent qu’elle me fait alors qu’elle est allongée sur ce lit à Sainte-Mangouste. Le travail a déjà commencé depuis un moment, je vois bien qu’elle souffre, que c’est difficile comme instant mais je suis la, je la soutiens, refusant de la laisser tomber en un instant si important. Dans la famille, nous avons rarement de temps pour s’occuper des nôtres, pour passer du temps avec celle qui partage nos jours car notre métier est très important et nous donne que peu de liberté, mais je refuse d’être absent alors que mon fils va voir le jour. J’ai le cœur aussi serré qu’Yliana me serre la main, je sais que mon épouse n’est point une femme appréciée par toute la famille parce qu’elle est née-moldue, mais depuis 1930 notre famille n’est plus uniquement composée de Sang-Pur et personnellement je n’ai aucune pensée radicale ou restrictive sur le Sang des Sorciers, c’est une nature comme une autre, mais Purs, mêlés ou moldus, nous sommes pareils, des valeurs que je compte donner à mon fils. C’est dur d’entendre ma femme crier, mais cette douleur n’est point vaine, c’est surement la plus belle chose au monde qui voit le jour, je tente réellement de la rassurer, l’infirmière me dit que tout va bien… Le travail est en cours… L’instant passe si vite et pourtant cela doit faire un moment que nous sommes ici… Après ce moment, elle lâche ma main et ses cris prennent fin, uniquement les siens car un petit être est la maintenant, criant, pleurant, voyant pour la première fois le jour. Yliana prend Garrus dans ses bras et j’admire la scène heureux, déposant mon doigt dans sa petite main. « Un jour ces mains feront des miracles. » J’en suis convaincu, un jour il nous surprendra tous, il réussira à devenir un grand fabricant de baguettes, il apportera innovation comme mon grand-père et comme mon cousin. Chaque génération de la famille a marqué l’histoire par ses recherches, ses découvertes ou ses fabrications, que ce soit par le choix de bois particuliers ignorés par les autres, que ce soit par la découverte de certaines harmonies dans la personnalité des baguettes, ou encore dans le cœur qu’elles portent. Je suis un homme comblé, voyant déjà l’avenir du petit enfant aux yeux clos qui se blottit contre sa mère, je suis un homme heureux qui sent que la relève est assurée.

Gerald, le 14 janvier 1959

Les nuits sont un peu difficiles, il se réveille souvent en pleurant juste pour que je vienne dans sa chambre le prendre dans mes bras et le bercer. Je fais le plus vite possible pour éviter que Gerald soit réveillé. Le pauvre, entre le travail et notre petit Garrus, il n’a plus une seule seconde de repos, de mon coté j’ai pris des congés pour m’occuper de notre fils, préférant être la pour lui que faire appel à une nourrice. Mon époux m’a pourtant conseillé, disant que cela me donnerait plus de temps mais je veux que cet enfant soit éduqué et grandisse dans l’amour de sa famille et pas d’une inconnue qui disparaitra ensuite de sa vie. Bon il est vrai que je demande souvent l’aide de Sottise, l’elfe de maison, mais je crois que sans lui je tomberais de fatigue car mes nuits ne sont jamais complètes. Je ne sais pas comment il fait, il ne dort presque pas, si petit et déjà plein d’énergie, je sens que son adolescence sera bien agitée… Gerald attend déjà tant de lui, parlant souvent de Poudlard, me confiant qu’il espère que son fils sera un Serdaigle comme la majorité des Ollivander, il espère aussi qu’il éprouvera cette passion familiale pour les baguettes, il lui arrive même de parler d’autres familles disant que ceux ci ont une petite fille depuis peu… Souvent je suis la à mettre le frein en lui disant qu’il n’a que quelques mois et qu’il y a tout le temps avant de le fiancer. Pour ma part, tout ce que je souhaite pour mon petit ange, c’est qu’il soit heureux dans son avenir, quelque soit la voie qu’il choisira. Je sais qu’il a l’intelligence de sa famille, je le vois dans ses petits yeux, tout comme à sa vitesse de compréhension… Il apprend vite, il comprend vite, peut-être même trop vite, mais ce que je préfère c’est de le voir rire. C’est dommage que Gerald doit si souvent s’absenter pour travailler, il rate tant de choses. Et j’aimerais qu’il passe moins de temps à lui parler des arbres et des bois pour tenter juste de jouer un peu avec, de se balader avec son fils, mais je crois que je ne changerai jamais mon homme. Je n’ai qu’une seule crainte pour Garrus, c’est quand j’entends certains murmures parlant de Gerald comme un traitre à son sang à cause de notre union… Sa famille faisait partie des vingt-huit familles du Registre des Familles de Sang-Pur, et même si mon époux me dit que cela n’est rien, que cela ne fait pas la valeur de l’homme, je sais que beaucoup ne pensent pas ainsi. Déjà quand j’étais jeune, souvent je me prenais des remarques car j’étais une née-moldue, et je ne sais pas si les choses se sont réellement améliorées aujourd’hui. Le regardant dans son berceau, un sourire sur mes lèvres, je ne résiste pas à glisser la main sur sa petite tête, une suave caresse. « Sois fort mon petit ange. » Je crois que toutes mères s’inquiètent pour son enfant, pour son avenir, c’est ce qu’il y a de plus naturel.

Yliana, le 19 avril 1959

Madame Ollivander a du se rendre en urgence à sa boutique pour régler un problème de livraison… Mais moi j’en me fous des excuses de Madame Ollivander car du coup c’est qui qui doit s’occuper du petit homme hein ? Je vous le donne dans le mille, c’est Sottise… Oh je le vois déjà venir, il va s’agripper à mon nez, ou me tirer les oreilles… Il va vouloir me coller une tétine dans la bouche ou encore me secouer comme si j’étais une peluche ou un jouet. Non mais j’en ai marre, je veux bien tout faire ici mais pas m’occuper d’un petit être, je ne sais pas comment gérer cela moi, en plus il me fixe avec ses grands yeux en tendant ses petites mains vers moi… Il me fait presque peur… Je sens qu’un jour je vais finir par me faire arracher un bout. Mais… Où est ce qu’il se trouve ? Il devrait être la dans sa chambre ? Je me suis juste absenté que quelques minutes… Je me suis mis à chercher partout dans cette pièce, paniquant pour ma pauvre petite tête parce que si j’ai perdu le petit enfant, Madame Ollivander risque de me faire connaître un moment qu’aucun Elfe de Maison désire connaître. Par la barbe de Merlin, mais comment un petit truc rose comme lui peut disparaître, il est si petit et court sur patte, il n’a pas pu aller loin… Je le cherche, je fouille chaque recoin, sous le lit, sous la commode, dans la commode, sur l’armoire, par la fenêtre, derrière les rideaux… Je suis affolé, je vais finir grillé, non je vais être offert à des gobelins,… Mais la alors que je m’apprête à sortir de la chambre pour le chercher dans le reste de la maison, j’entends le petit rire et retrouve ce satané enfant dans son lit… Comment a t’il pu retourner la sans que je le vois ? J’ai bien tout retourné… Méchant jeune Maitre, vilain jeune maitre, je suis sur qu’il me déteste pour me faire subir de telles choses, je suis sur qu’il me hait pour me faire de telles frayeurs. Je soupire en voulant sortir de la chambre et ne plus le regarder, oui… je suis boudeur nom d’un Pitiponk sans lampe et la je vois ce regard, ces deux gros yeux qui me fixent… Non non, je ne me ferais pas avoir par ces yeux doux car c’est un petit démon, il va encore me martyriser, je refuse… Alors je suis tourne le dos quand soudainement j’entends « Sottize »… Mais le jeune maitre ne parle pas ? C’est… Oh… Je suis son premier mot… Comment rester insensible face à cela ? Même un être comme moi ne peut qu’être touché par une telle situation. Je me suis alors rapproché de lui, ne pouvant cacher un sourire touché par la situation. « Oui… Sottise… et toi jeune Maitre Ollivander… » Je me suis alors occupé de lui en attendant que sa mère revienne, oui il m’a tiré les oreilles, oui il a agrippé mon né, mais cela ne m’a pas dérangé cette fois ci car je peux dire fièrement que j’ai été le premier mot d’un enfant sorcier, chose surement bien rare chez les Elfes de Maison.

Sottise, le 21 Janvier 1960

Papa n’est pas la aujourd’hui, comme souvent d’ailleurs. Il est de moins en moins présent à la maison mais je ne comprends pas pourquoi, surement qu’il m’aime moins que maman d’ailleurs quand il est la, il ne fait que me parler de choses que je ne comprends pas toujours, encore la dernière fois il s’est un peu fâché car j’ai dis chemisier au lieu de cerisier. Il m’a aussi fait très peur il y a quelques jours, quand il m’a couché et que j’ai réclamé une histoire, Papa m’en a conté une terrifiante, il m’a parlé des cœurs faits de Ventricules de Dragons, et de leur puissance, alors j’ai bien sur demandé pourquoi ils sont si puissants… Alors il m’a parlé des dragons, de ces animaux magiques majestueux au souffle ravageur, de leur voracité, de leur grandeur, de leur bestialité… Il m’a fait vraiment peur en me parlant d’eux au point que je n’ai pas bien dormi, j’en fais des cauchemars en imaginant un des ces dragons arracher le toit de la maison et souffler son feu à l’intérieur… Y avait même Sottise qui a tenté de chasser le dragons de mon cauchemar mais il s’est fait prendre par la mâchoire de ce monstre… Juste y repenser la j’en ai des frissons et de l’eau arrivant à mes yeux. Maman lui a dit qu’il a été bête de me conter cela, et a tenté ensuite de me consoler en me disant que jamais un dragon ne pourrait venir à la maison, mais si maintenant ces dragons veulent se venger parce que Papa utilise leurs ventricules pour ses baguettes ? Je ne sais même pas ce qu’est un ventricule mais je suis sur que cela ne doit pas leur plaire de s’en voir priver, c’est comme si on me prive de ma figurine en sorbier de licorne. Sottise aussi tente souvent de me rassurer depuis ce jour la, mais à chaque fois je repense aux mots de Papa, surtout qu’il a fait tant de signes avec ses mains pour imiter les ailes, la mâchoire, sans compter l’imitation des bruits et des rugissements. Puis Papa il est très expressif et passionné quand il parle de certaines choses, surtout quand il veut exprimer à quel point ces choses sont impressionnantes. Mais Papa il oublie que je suis tout petit, alors quand il me dit que d’un mouvement de la gueule, un dragon peut dévorer un homme, ou que d’un coup d’aile il sait le couper en deux… Cela me fait vraiment très peur. J’espère que je vais vite oublier ces images, mais je ne veux jamais croiser de dragons, jamais…

Mais aujourd’hui je tente de penser à autre chose, je joue beaucoup avec Sottise, en ayant presque l’impression qu’il est comme un frère pour moi. Oui, même si cela paraît bizarre de dire cela d’un Elfe de Maison, il a toujours été la pour moi et avec moi, alors c’est un peu mon frère avec qui je peux jouer, rire, ou pleurer. Et comme souvent maintenant, il m’aide à m’occuper, sans réellement comprendre qu’il me fait faire des gestes qui m’aideront plus tard dans mon éducation. Puis comme souvent maman s’occupe de moi, mais je m’inquiète malgré tout car Papa ne rentre pas, mon petit regard se portant souvent sur la porte d’entrée. Ce n’est que bien plus tard que maman me dit que ce soir il ne viendra pas à la maison car il a du partir pour aller chercher des plumes d’un phoenix. Je ne comprends pas pourquoi, il suffit qu’il fasse venir les plumes à lui, mais maman me dit que Papa aime souvent voir l’animal car il a besoin de connaître son caractère pour trouver le bois qui correspondrait le mieux aux plumes de celui-ci. Je ne sais pas si je retiendrai tout cela, mais finalement je suis content qu’elle me le dise car d’un coté je me dis que Papa doit aimer malgré tout ces animaux et ne pas leur vouloir du mal.

Garrus, le 11 octobre 1963

1963-1970
Life is Magic
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Le jeune maitre grandit bien, je suis content… surtout il ne me tire plus sur les oreilles, même si des fois il aime ma taquiner en me mettant des chapeaux. Mais j’aime bien le jeune maitre, il me traite comme un membre de la famille, pas comme un serviteur, et je suis content de cela car j’ai l’impression d’être important pour lui. Il grandit le jeune maitre et il semble s’intéresser de plus en plus à beaucoup de choses, il aime les livres mais ce qui me surprend, c’est qu’il me demande souvent mon avis et ce que je pense, il me donne un sentiment d’être son égal, et même si ce n’est pas le cas, j’apprécie cette innocence. Ce n’est pas toujours facile par contre pour le jeune maitre, car il souffre souvent la nuit, même si il fait celui qui est devenu plus grand, j’entends des fois ses cris ou ses tremblements quand je me colle contre la porte de sa chambre, il fait toujours des cauchemars la nuit… Je connais le sujet des ses terreurs, d’ailleurs souvent je le vois la journée regarder les livres du Maitre Gerald, ceux parlant des Dragons, ces créatures si monstrueuses. Je crois que le Maitre Gerald n’a pas compris à quel point ses histoires ont effrayées le jeune maitre, surtout qu’il trouve ce genre de frayeur futile. Pauvre jeune maitre, j’ai peur que sa peur devienne une obsession. Je ne sais pas si Maitre Gerald le voit, mais le Jeune maitre est très intelligent je trouve, il apprend vite pour son petit âge, il semble fort s’intéresser aux livres et se pencher dessus avec un grand appétit, il est plus vite intéressé par les livres qu’autre chose. Je crois que le jeune maitre cherche à attirer l’attention du Maitre Gerald pour que celui ci soit plus présent, mais Maitresse Yliana est déjà très fière elle de lui. Je suis sur que le jeune maitre saura se débrouiller très rapidement et qu’il arrivera à attirer l’attention de Maitre Gerald, mais j’aimerais voir aussi le jeune maitre s’amuser un peu plus, je ne suis pas sur que ce besoin soudain soit réellement bon pour lui mais en attendant je l’aide dans ses lectures, lui lisant ce qu’il n’arrive pas encore à comprendre, ou l’aidant justement pour les mots inconnus. Le jeune maitre s’intéresse aussi à la magie, il me demande souvent quand il va avoir des facultés comme les autres sorciers, et j’explique au jeune maitre qu’il a tout son temps pour le devenir. Je crois que le jeune maitre veut avancer trop vite… Mais si cela le rend heureux, cela me suffit.

Sottise, le 7 Janvier 1965

Cette situation n’est plus possible, j’entends les rumeurs, j’entends les mots qui circulent… Je ne suis pas un idiot, loin de la, ni un intolérant mais il faut que je pense sincèrement à protéger ma famille, à veiller sur les miens. Ma femme vient d’une école de magie d’Europe de l’Est, elle n’est pas connue ici à Londres, son passé non plus ni son sang. Nous n’en parlons jamais car à mes yeux elle est la femme que j’aime, la mère de mon fils et est tout aussi pure que n’importe qu’elle autre sorcière, sauf que cette vision n’est pas partagée par tous. Je sens que cela va créer dispute, voir discorde dans notre ménage, mais je veux veiller sur elle et sur Garrus, il va falloir que je lui annonce qu’elle va devoir laisser entendre qu’elle est de Sang-Pur, que notre fils l’est aussi pour son avenir. Je pense que si moi même ou ma famille était de Sang-mêlé, je n’aurais pas ce soucis, mais les Ollivander sont dans le registre des Sang-Purs et cela pourrait être vu comme une traitrise à mon sang, cela pourrait apporter des ennuis aux miens des mains des radicaux. Je déteste devoir faire cela, mentir ainsi que pousser ma famille au mensonge, je vais devoir faire croire aussi à mon propre fils qu’il est de Sang-Pur pour éviter qu’il se trahisse en discutant avec ses futurs camarades ou les amis qu’il se fera, voir avec les professeurs quand il sera à Poudlard. Ma journée finie au travail, quand je rentre à la maison, je vais d’abord faire un câlin à mon grand garçon, passant la main dans ses cheveux ensuite pour les ébouriffer un peu avant de rejoindre ma chère et tendre, venant lui prendre la main pour la guider dans une autre pièce de notre demeure où nous allons pouvoir discuter sans que Garrus puisse nous entendre. Quand je commence à lui exposer qu’il faut qu’elle cache sa nature, qu’il faille aussi mentir à notre propre fils, elle s’énerve… C’était prévisible. Je tente sincèrement de la rassurer, de la calmer, de lui faire comprendre le pourquoi de ce résonnement, qu’il est important de veiller à l’avenir de Garrus. Une gifle plus tard, quelques mots rudes, des larmes sur ses joues, elle accepte finalement même si pour elle c’est un peu renier sa famille, ses origines, mais ce n’est pas une demande égoïste ni sans raison, c’est une demande pour protéger ce qui nous est cher. Nous restons ainsi un instant seuls avant de revenir dans le reste du Manoir. Pour une fois que je suis rentré tôt, j’ai passé un long moment avec Yliana alors que mon petit gars semblait m’attendre vu son regard quand je reviens dans la pièce où il se trouve. Je le vois la avec ses livres et c’est avec un sourire naturel que je lui fais signe de me suivre, le regardant se lever pour courir vers moi. L’invitant à aller dans mon bureau pour venir lui montrer ainsi comment tailler une baguette. Je sais, je sais, beaucoup de parents trouvent des occupations plus intéressantes ou divertissantes avec leur enfant, mais c’est presque tout ce que je sais faire et j’espère sincèrement lui transmettre ma passion.

Gerald, le 8 Aout 1965

Je panique, je ne sais pas ce qu’il s’est passé… Sottise me dit que ce n’est rien, que c’est normal, naturel mais j’ai peur d’avoir fait quelque chose de mal. Je ne sais même pas comment j’ai pu faire cette chose… Oh je m’en doute, c’est de la magie, mais Papa m’a toujours dis que la magie se pratique avec une baguette et la je n’ai fais que jouer avec Sottise après quelques heures de lecture intense, je lui courrais après pour tenter de l’attraper alors que soudainement dans un geste j’ai fais apparaître des sortes de lueurs blanches chaotiques qui ont frappées les murs et même faites tomber le portrait de mon arrière grand père. Je reste dans la pièce, je vais même m’excuser devant le portait, espérant qu’il ne s’est pas fait trop mal en chutant de la sorte… Oui je suis du genre à m’en faire pour un portrait, m’attendant à me faire gronder quand Papa va revenir, ou quand Maman verra ce que j’ai fais. Pourtant je jure que je ne l’ai pas fait exprès, ce n’était pas mon désir ni ma volonté… Je me sens bien coupable face à ce geste, face à cet acte, je ne sais vraiment pas où me mettre, le regard baissé… Le cadre du portrait est cassé, je ne peux même pas le reprendre. Mais finalement c’est Maman qui entre après que Sottise est parti la chercher, et au lieu de me passer un savon, elle vient me prendre dans ses bras en me disant qu’elle est réellement fière de moi, heureuse de cette nouvelle. Je ne comprends pas tout de suite, en faite je suis surement trop jeune et pas assez préparé pour avoir la compréhension de ce qu’il vient de se passer. Ce que je prends pour une bêtise, un accident, c’est l’apparition en moi de la magie, événement aussi important pour mes parents que mon premier mot, et c’est pour cela que Sottise sautille un petit peu car comme pour le dit premier mot, c’est encore en sa présence que cet événement a fait son apparition. Maman me rassure en me disant qu’elle va réparer le portrait, qu’il retrouvera vite sa place et qu’il ne faut pas que je m’en veuille, elle me parle alors aussi un peu de la magie, m’explique que maintenant je vais surement recevoir une lettre d’admission pour mes onze ans à Poudlard, la plus prestigieuse école de magie. C’est aussi elle qui passe un long moment pour m’expliquer que la magie sait apparaître sans baguette, mais que celle-ci est sauvage, chaotique et sans contrôle réel, que quand je deviendrai plus grand j’aurai une baguette qui sera tel un outil pour m’aider à apprendre la magie, à gérer ce don qui se trouve en moi. Finalement ainsi je suis rassuré, je suis souriant et heureux même, pas parce que je suis magique, mais parce que cela rend le sourire à Maman qui depuis un certain temps se montrait toujours triste, depuis ce jour où elle s’est disputée avec Papa. Finalement, ce réveillon de Noël sera du coup dans la joie et aussi la fête de l'arrivé de la magie dans ma vie de futur sorcier.

Garrus, le 24 Décembre 1966

C’est un jour important pour Garrus, alors que nous marchons dans la Chemin de Traverse, faisant les quelques petits achats pour la rentrée à Poudlard. Je le vois impatient d’intégrer cette grande école mais je suis quelque part triste car il ne sera plus à la maison, je ne le verrai presque plus. Mais il est temps pour lui, il va devenir un grand maintenant, il va pouvoir commencer à forger sa propre histoire. Il garde toujours sa lettre d’admission, fier de lui mais j’espère qu’il n’y aura pas de mauvaises surprises pour lui dans cette école, après tout il va grandir avec un mensonge sur son sang… Je ne sais même pas à quel âge je vais pouvoir lui dire que je suis une née-moldue… Nous avions déjà acheté les trois robes de sorciers, la cape, le chapeau et les gants en cuir de dragon… Cela a été difficile d’ailleurs de lui faire accepter ces derniers, il a toujours cette phobie des dragons, cette peur en lui… Il est presque persuadé qu’à cause de ses gants, un dragon va venir pour se venger et lui faire du tord. Alors cette journée j’en profite pour passer du temps avec lui, acheter les différents livres de la liste et étrangement il ne recherche pas les plus beaux, s’intéressant de temps en temps à des versions plus anciennes de ceux ci car la couverture lui parle plus, que l’ancienneté l’attire comme si il ressent l’envie de connaître l’histoire du passé de l’écrit. Je trouve amusant de voir qu’il ne porte pas réellement d’intérêt aux dernières éditions, mais ne dis rien, le suivant, l’accompagnant en voyant sa joie dans son regard, son sourire alors que nous allons chercher le chaudron, la balance et les autres fournitures scolaires. Nous prenons notre temps car je sais qu’à la fin il va aller voir mon époux pour recevoir ce qu’il attend tellement, la baguette qui l’accompagnera dans ses études et surement son avenir, un outil important pour touts sorciers, mais encore plus pour lui, jeune Ollivander, destiné à être lié au milieu des baguettes magiques. Il nous manque plus que l’animal de compagnie, mais avant de se rendre à cette boutique j’emmène Garrus acheter quelques friandises qu’il ait de quoi se régaler pendant le voyage dans le Poudlard Express le jour de la rentrée. Après les sucreries donc, on passé à la boutique d’animaux, et directement Garrus s’intéresse à une chouette-pêcheuse de Pel en m’expliquant que ce serait bien comme animal et surtout pour faire passer ses messages. Je ne peux rien lui refuser de toute façon, surtout pas avant la rentrée. Alors j’accepte, portant la cage avec cet oiseau et décide de passer encore un instant en sa compagnie avant de rentrer à la boutique Ollivander.

Yliana, le 28 aout 1970

C’est un jour important pour Garrus, surement le moment le plus important avant d’aller à Poudlard, c’est le jour où mon fils va recevoir sa première baguette et depuis un moment j’en ai une que j’ai fabriquée pour lui, une qui attend dans la boutique avec son nom dessus. Je suis persuadé d’avoir fait le choix parfait, que ce soit du bois ou du cœur. Alors bien entendu j’ai prévenu mon cousin qu’aujourd’hui mon fils va passer chercher sa baguette pour sa rentrée à Poudlard, que je suis présent pour ce jour lui confier en personne. Je lui ai préparé une baguette en noisetier avec un cœur en crin de licorne, mais mon cousin me dit que ce n’est pas spécialement judicieux de faire ce choix pour mon fils, que je devrais laisser l’harmonie se faire entre lui et la baguette qui deviendra sienne. Je ne l’écoute pas réellement car je suis persuadé que mon choix est le meilleur, un choix de loyauté, une intensité forte entre le propriétaire et la baguette, un choix où les émotions de Garrus feront vivre la baguette. Mais voilà mon fils qui arrive dans la boutique, faisant naitre le sourire sur mes lèvres et directement je prends la boite comprenant cette baguette que j’ai sculpté avec l’amour d’un père envers son fils, me rapprochant de lui pour poser ma main sur son épaule avant de lui tendre cette boite. Il la regarde un long moment avant de la prendre entre ses doigts, ouvrant cette dernière pour en dévoiler le contenu. Je ne dis rien alors qu’il contemple cette baguette, posant ses doigts dessus, la caressant devant moi. J’apprécie ce que je vois, mon fils qui agit avec cette baguette comme face à un animal qu’il désire dompter, apprivoiser. Je ne peux que garder le sourire, reposant la main sur son épaule, réellement fier de voir que mon petit gars à grandit, qu’il va devenir un sorcier, qu’il va prendre cette route qui le mènera vers cet avenir digne du nom qu’il porte. Tout parent ne peut être que fier en un tel instant, et je le vois refermer la boite sur sa baguette, me regardant d’un air comblé. Malgré que ce moment ne doit être que bonheur, je ne peux que constater ce regard encore froid de mon épouse, elle ne me pardonnera surement jamais ma décision mais je sais que je fais le bon choix pour Garrus, il sera vu comme un Ollivander, comme un Sang-Pur, et c’est la seule chose qui a de l’importance, que son nom soit celui qui lui donnera un avenir. Beaucoup de membres de ma famille ne sont plus purs, bien avant déjà que notre nom soit inscrit dans le Registre des Sang-purs. Certains membres de la famille sont déjà reconnus comme étant des traites à notre sang, mais d’autres comme moi, préfèrent cacher ce détail pour protéger notre famille. Et puis, connaissant le radicalisme de certaines familles, je ne pense pas qu’ils apprécieraient que les Ollivander, fabricant des baguettes magiques, ne soient plus que des Sang-mêlés, car même si nous sommes les meilleurs je reste persuadé que cela nuirait à notre commerce. Je suis certain qu’un jour il n’y aura plus cette sensation de discrimination et que nous pourrons dévoiler au grand jour que notre sang est dilué mais en attendant je préfère garder ainsi cette image fausse de pureté. Je dis à Garrus de prendre soin de sa baguette avant de retourner au travail, le laissant avec mon épouse, persuadé que ce petit bout deviendra rapidement une grande fierté.

Gerald, le 28 aout 1970

1970-1975
Hogwarts Begins
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Après un voyage plutôt paisible en train jusqu’à Poudlard, me liant déjà d’amitié avec certains élèves qui allait peut-être devenir de futurs camarades de classe et de maison, j’ai pu faire mon entrée à Poudlard, un lieu vraiment éblouissant, impressionnant par sa grandeur, admirant chaque pièce que je découvre, admirant autant l’architecture, que les portraits, les statues, les tapisseries, tout attire mon attention ainsi que la magie qui y règne, que les fantômes qui passent de temps en temps. Je suis en admiration envers ces lieux mais surtout je fais mes premiers pas vers l’avenir, mes pas vers l’éducation, comptant devenir la plus grande fierté de mes parents. Je découvre alors chacun de ses lieux avec Crucruche, perdant un peu de mon temps à discutailler avec les portraits, leur demandant des conseils, demandant comment cela se passe ici à Poudlard, comment les différents professeurs sont… Cela me plait de pouvoir discuter, même avec les portraits, appréciant toutes communications. Bien sur j’aimerai aussi parler avec les Fantômes mais eux m’impressionnent encore. Après la répartition, les premiers jours n’ont été que découvertes, me montrant consciencieux à chaque cours, intéressé par ce que dévoile chaque professeurs et enseignements, prenant tout ce qui m’est offert. Je suis à la fois un bon vivant et un travailleur sérieux, pouvant passer du temps avec les autres pour rigoler et discuter, passer du temps aussi à plusieurs pour travailler et s’entraider pour les cours à venir ou encore pour rattraper le retard sur d’autres cours, mais je passe aussi beaucoup de temps seul à réfléchir et travailler sur les différentes leçons ainsi que sur les travaux à remettre. Je m’entraine aussi quand je peux sur les sortilèges que j’apprends en cours, veillant à faire un travail des plus excellent pour satisfaire mes professeurs, voulant recevoir les félicitations pour garder la plus grande des motivations. Ma première année il ne s’est rien passé de bien extraordinaire, j’ai directement trouvé les cours qui me passionne le plus, ceux qui me demandent de travailler plus sérieusement pour rester à jours. J’ai vraiment une grande facilité avec le cours de Sortilèges et Enchantements, celui de Défense contre les Forces du Mal, mais aussi l’Histoire de la Magie, la Botanique et le Vol sur Balai. Pour le cours de Potions me demande beaucoup plus de travail, comme la Métamorphose et l’Astronomie. Mais je ne suis pas du genre à baisser les bras, je veux réellement tout réussir, je veux être brillant. Je sais je me répète, mais c’est une façon de se motiver aussi, ne pas cesser de se booster. Je n’ai pas passez beaucoup de temps à regarder le Quidditch par contre, même si ce sport m’intéresse, je n’ai pas le temps mettant mes études en priorité, puis mes amis. A chaque vacance je rentre chez moi, heureux de revoir ma mère et Sottise, mais malheureusement je ne vois que peu mon Père, toujours trop occupé à travailler, le croisant de temps en temps avant que j’aille me coucher, mais Maman elle passe beaucoup de temps à me demander ce que je fais, ce que j’apprends, et je profite aussi des vacances ainsi que de l’aide de Sottise pour réviser pour la reprise des cours. Je n’en veux pas à papa pour ses absences, mais je me dis que quand je serai grand, je ne ferai pas comme lui, je donnerai plus de temps pour ma famille car c’est important.

Garrus, Année 70-71

Pour ma rentrée en seconde, j’ai reçu de mes parents un balai, ma mère me conseillant de tenter le Quidditch, que cela me permettrait de me faire plus facilement des amis, mais je ne considère point avoir de difficultés de ce coté la, bien au contraire je suis impatient de les revoir, de pouvoir avec eux repasser cette année, que ce soit pour notre franche camaraderie ou pour travailler. Cette année je prends d’ailleurs les options d’arithmancie et d’études des runes, suite aux conseils de mon père qui me dit que cela m’aiderait surement pour la compréhension de la fabrication des baguettes. Ces deux options ne me montrent aucune difficulté, au contraire je les trouve passionnante comme cours, voir plus que cela ils me prennent aux tripes. Certains de mes amis ne comprennent pas que je trouve tant de plaisir à étudier ainsi, à me plonger dans les livres, mais c’est quelque chose qui m’a toujours rassuré. Mais je profite aussi de mon balai pour m’amuser avec mes amis, faisant des petites courses sur nos temps de pauses, nous lançant des défis et étrangement je développe un esprit de compétition la aussi, voulant toujours être premier, voulant me surpasser… Alors quand je perds une course, et bien en douce je sors le soir pour m’entrainer à faire des tours du terrain de Quidditch, d’aller plus vite, de tourner plus franchement, de gagner en temps. Bon il m’est arrivé de faire perdre des points à ma maison, me faisant choper par un professeur dehors après le couvre feu, mais ce n’est pas trop grave car malgré tout c’est du temps qui me permet de m’améliorer. Pendant cette seconde année à Poudlard, j’ai appris par courrier que Maman me fait un « cadeau », si on peut dire ainsi, un petit frère qui s’appelle Gregor et pour moi oui, c’est un cadeau, bien heureux de devenir grand frère, de savoir que je vais avoir quelqu’un sous ma responsabilité pendant les vacances, un peu comme Sottise était avec moi, d’ailleurs je ris seul en imaginant que ce dernier va à nouveau avoir les oreilles tirées. Il m’est arrivé aussi pendant cette année de me mettre certains amis à dos, en effet quand j’ai vu que des camarades de Maison se sont mis à critiquer ou un peu harceler des Nés-moldus, agissant comme des Pro-Sang-Purs, je me suis interposé, j’ai défendu ceux-ci en disant qu’ils sont autant des sorciers que nous, alors qu’à cette époque je suis encore persuadé d’être un Sang-Pur. Sinon je trouve que mon évolution à Poudlard se passe bien, je suis assez content de mes résultats, arrivant à rattraper mon retard dans le cours des Potions sans pour autant diminuer dans les autres branches. Je suis aussi devenu le protecteur d’une jeune fille de mon année qui a eut quelques ennuis à cause des élèves plus radicaux qui aiment la bousculer, et je passe beaucoup de temps avec celle-ci, surtout pour réviser. D’ailleurs pendant les vacances d’été, j’ai invité celle-ci à la maison pour l’aider dans les matières où elle a certaines difficultés, lui permettre de partir sur des bonnes bases pour l’année à venir. Mais ces vacances, j’ai aussi passé beaucoup de temps avec Maman pour l’aider avec mon petit frère, la voyant si fatiguée. D’ailleurs je suis heureux de voir que l’arrivé de Gregor a mis un peu de paix entre mon père et ma mère, cela fait du bien de les revoir sourire.

Garrus, Année 71-72

Troisième année à Poudlard, je me sens de plus en plus en confiance, prenant l’option de Soins aux Créatures Magiques, trouvant cette matière passionnante ainsi qu’intéressante, me disant surtout que celle-ci me permettra de m’ouvrir un peu plus face aux différentes créatures dont certaines ont des particularités servant aux baguettes magiques. Je me dis que mieux comprendre les Licornes, Phoenix ou encore Dragons me permettra surement de mieux prendre en mains la fabrication de baguettes. Mais dans cette même optique j’ai pris l’option des Arts et Musiques Magiques, en pensant que cela éveillera en moi la passion, les émotions, des sentiments qui me seront surement utiles pour créer aussi des baguettes, pour y mettre de mon cœur car je me dis que sculpté le bois est une forme d’art aussi. Je me lâche un peu cette année, profitant de mon assurance face aux cours, je décide de tenter de rejoindre l’équipe de Quidditch de ma maison, de participer à ce sport mais surtout c’est mon esprit compétitif qui me pousse à aller vers ce milieu. Je profite aussi de cette année pour donner des cours particuliers à certains, de les aider dans les matières où ils prennent du retard, de venir expliquer en détail ce qu’ils n’ont peut-être pas compris, en faite je me sens proche des études, trouvant un certains plaisir à apprendre mais aussi à aider les autres, surtout mon amie qui n’hésite plus à venir passer du temps avec moi pour s’améliorer. Sérieux, studieux, je fais attention aux résultats des autres, cherchant toujours à surpasser ceux qui sont premiers, tentant de me montrer parmi le top de Poudlard, prenant malgré tout aussi du temps pour écrire à maman, avoir des nouvelles de mon petit frère et de la maison. Cette troisième année est par contre un peu paisible, juste marqué par un nouveau succès, celui d’avoir pu passer du temps à discuter avec un fantôme, trouvant réellement intéressant de partager la converse avec quelqu’un d’un autre temps qui a décidé de suivre la voie d’une forme d’immortalité. D’ailleurs cette année, j’ai décidé de rester à Poudlard pendant les vacances, sauf celles d’été bien sur, pour travailler avec sérieux, profiter du calme pour me concentrer un peu plus et même à vouloir prendre de l’avance. C’est bien de vouloir donner des cours aux autres, de vouloir faire du sport aussi, tout comme de pouvoir s’amuser à certains instants, mais je joue mon avenir alors le temps que je perds pendant l’année scolaire, je dois le récupérer pendant les vacances pour toujours rester proche des meilleurs. J’avais un peu peur que mes parents soient tristes de mes absences, mais en été quand je suis revenu, j’ai retrouvé ma mère plus que heureuse et fière de voir que je prends tout cela avec sérieux, tout comme j’ai retrouvé mon père qui a décidé de consacrer plus de temps à la maison pour mon petit frère Gregor. Je ne suis point jaloux de cette décision, bien au contraire je suis heureux de voir que papa décide de devenir plus sérieux comme père, et je lui rappelle gentiment de faire attention quand il conte une histoire, car cette année face au cours de défense contre les forces du mal, j’ai appris le sortilège pour ridiculiser un épouvantard, mais celui ci avait pris l’apparence d’un Dragon. Cela m’a permis d’expliquer à papa que cette phobie est venue de sa passion quand il conte, et que son histoire au sujet des dragons avait été trop intense quand j’étais petit, donc de faire attention de ne pas refaire cette erreur avec Gregor.

Garrus, Année 72-73

La quatrième année, dernière avant les BUSEs, une année très sérieuse où je me dois de travailler directement dès la rentrée, une année où je met de coté les amusements en dehors du Quidditch qui me permet de me défouler et de me libérer un peu des heures de travail, mais le reste de mon temps libre n’est fait que d’études, de révisions sur mes trois premières années, ainsi que des cours particuliers que je donne à ceux qui ont du retard, que ce soit des élèves de ma maison ou d’une autre, que ce soit des Sang-purs, Sang-mêlés ou des Nés-moldus. Je sais que certains de mes amis n’aiment pas cela, mais c’est ainsi, je suis fier d’être tolérant, fier de pouvoir agir comme je le fais. Cette année je vais aussi souvent voir le professeur de Défense contre les Forces du Mal pour demander de l’aide face au sortilège du Ridikulus pour réussir à vaincre ma peur et l’épouvantard qui prend cet aspect de Dragon terrifiant. Et ainsi avec un peu d’aide, j’ai réussi à transformer le dragon en peluche qui fait « pouet », à vaincre assez ma peur pour pouvoir riposter face à la menace. Bon je sais que ce n’est qu’un épouvantard, mais c’est pour moi un net progrès et peut-être que je pourrai agir dans le futur face à un dragon au lieu de rester paralysé par la peur. La quatrième année est aussi celle de mon premier baiser, celui venant de cette amie à qui je donne souvent cours, mais ce n’est point un geste de remerciement de sa part, c’est réellement un sentiment réciproque qui nous rapproche. Je n’ai pas peur de ce baiser, ni du contact de ses lèvres, encore moins du faite qu’elle ne soit pas Sang-Pur, j’aime sa compagnie, j’aime discuter avec elle et c’est naturel que tout cela arrive entre nous. Ces vacances, je rentre chez moi mais uniquement pour réviser et travailler, ma mère un peu surprise que je me prépare une année à l’avance pour les BUSEs, mais pour moi c’est sérieux car cela représente aussi les matières que je pourrai continuer après et passer aux ASPICs, donc oui je veux cette avance, ne prenant que des pauses pour aider maman avec Gregor, ou amuser un peu Gregor en lui racontant de petites histoires, partageant celles que j’ai appris avec certains portraits ou fantômes de Poudlard, mais les rendant plus joyeuse pour avoir un coté féérique. Bon, à nouveau en été, mon amie… Pardon, ma petite amie, vient me rejoindre, disant que c’est pour avoir des cours particuliers mais je partage surtout du temps avec elle pour me balader, pour juste avoir le plaisir de sa compagnie, échangeant certes de temps en temps des moments de révisions mais j’aime réellement aussi juste être à ses cotés et pouvoir sortir en ville avec elle. Elle me comprend, je peux être simplement naturel avec elle, et je suis sur à cette époque que nous deux, ce sera toujours du sérieux, ne pouvant pas imaginer autrement. Et puis c’est mon premier amour, c’est normal que je suis un peu rêveur avec elle.

Garrus, Année 73-74

L’année des BUSEs, une année de travail, une année de sérieux et de concentrations, une année qui compte pour l’avenir qu’il faut prendre très au sérieux. Comme l’année précédente, mes activités se résument à travailler, aider les autres, un peu de Quidditch et du temps avec celle qui accompagne ma vie pour le moment. Je révise particulièrement les cours d’Astronomie et de Métamorphose qui représentent mes plus grandes difficultés. J’envoie de temps en temps un message à maman pour lui dire ce que je ressens, pour parler de mon stress, de mon envie de réussite, la tenant informer du travail que j’entreprends surtout que cette année à nouveau je passe mes vacances à Poudlard pour veiller à ne rien avoir pour me déconcentrer. Rien ne peut me détourner de ces études, rien ne peut m’éloigner des examens à passer. Je révise avec la même fougue mes cours en options que mes cours obligatoires, je veux pouvoir me tenir droit en fin d’année et me dire que j’ai tout réussi. Oh oui, l’ambition se fait fort présente cette année, l’esprit de compétition, le besoin de me démarquer et de montrer que je suis digne de l’espoir de mon père. Je n’hésite pas à aller voir le professeur pour demander un peu d’aide si je ne comprends pas parfaitement certains points des matières à réviser, mais passons à ces fameux examens. Botanique, je n’ai aucune difficulté, surement car j’ai une forte attirance pour toutes les formes de vie, que ce soit les animaux, les hommes, les plantes, comme les baguettes, et je sors de cet examen souriant, sans crainte aucune du résultat, pour moi c’est le plus facile. Optimal. Sortilèges et enchantements est aussi un cours que je maitrise assez bien, peut-être parce que j’ai une bonne affinité avec la baguette que mon père a fabriqué pour moi, et même si c’est majoritairement théorique, je réussis cet examen sans trop de complications. Optimal. La Défense contre les Forces du Mal c’est en grande partie grâce au professeur que j’ai pu réussir cette matière car il a su m’apprendre et m’aider face à mes difficultés comme pour l’épouvantard. L’examen que je prends tout aussi au sérieux que les autres est donc une réussite que je ne néglige pas. Optimal. Bien entendu, je fais aussi attention aux BUSEs de ma petite amie, l’encourageant à chaque fois, espérant qu’elle réussit aussi bien, qu’elle s’en sort, montrant que j’ai toute confiance en son travail. Le cours de potion, je pensais pouvoir réussir sans difficultés, mais je me suis retrouvé face à quelques pièges, tombant bêtement dans ceux ci et commettant des fautes d’inattentions, des fautes que je n’aurais pas du faire. Effort Exceptionnel. Métamorphose, un examen que j’appréhende, me disant qu’en faite mes fautes dans cette matière viennent du faite que je n’aime pas être autre chose que moi même. Mais malgré les difficultés et le temps passé sur cette matière, j’arrive à réellement bien m’en sortir. Effort Exceptionnel. L’histoire de la magie quand à elle, c’est comme pour la botanique, une passion pour le savoir qui me permet de réussir sans trop de difficulté, surtout qu’après tout, beaucoup de contes de mon enfance sont des histoires de notre monde et de notre passé. Optimal. Mon plus grand échec est bien entendu le cours d’Astronomie, enfin ce n’est pas réellement un échec, mais c’est un cours que je ne pourrai pas passer en ASPICs car malgré mes efforts je n’ai pas eut la gloire dans cete matière. Acceptable. Je ne vous parle pas du cours de vol sur Balai, car celui ci n’a pas réellement de BUSEs, juste un examen en première année que j’avais déjà réussi sans aucune difficulté. Il ne reste plus que les examens sur mes cours d’options que je prends autant au sérieux que les autres cours, l’Arithmancie où je suis déçu car j’étais persuadé que j’aurais un Optimal mais où j’ai fais des erreurs que je ne comprends pas, des fautes qui me pousseront d’ailleurs à réviser un peu plus cette matière. Effort Exceptionnel. L’étude des runes est une matière qui me rassure, une matière où je n’ai pas ressenti un grand besoin de réviser, ayant vraiment une forme de don naturel pour les runes. Optimal. Les soins aux créatures magiques est un cours qui me passionne, en faite j’ai ressenti un vrai coup de foudre pour cette matière, adorant pouvoir en apprendre plus sur les différentes créatures, sur leurs spécificités, une matière d’ailleurs qui m’a poussé souvent d’écrire à mon père pour demander pourquoi certaines de ces créatures ne sont pas utilisés dans les ingrédients de cœur de baguettes. Quelque part c’est ce cours qui me donne l’envie de suivre un cursus autour des créatures magiques par après, mais j’ai encore deux années pour me décider. Optimal. Mon dernier examen, ce sont les Arts et Musiques Magiques, un cours qui demande plus de passion que d’études, un cours que je prends malgré tout au sérieux mais il semble que j’ai difficile d’exprimer tout ce que je ressens au travers de l’art, donnant un coté pratique et théorique excellent, pouvant réussir en montrant une excellente maitrise, mais le professeur me dit que je ne libère pas assez ce que j’ai sur le cœur, que je manque d’émotions dans cette matière, la prenant trop au sérieux, trop d’une façon purement technique. Effort Exceptionnel.

Garrus, Année 74-75

1975-1978
Hogwarts & Death
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La Sixième année, celle où je dois renoncer aux cours d’Astronomie malgré que j’ai réellement l’envie et le désir de pouvoir le continuer, mais mon Acceptable ne me permet pas de continuer cette matière. Mes parents sont fiers de mes résultats, la fille avec qui je suis aussi, mais personnellement je m’en veux, j’ai honte car je visais la perfection. Je reprends alors mon sérieux directement, après tout ce sont les deux plus difficiles années qui m’attendent, celle des cours préparatoires et celle des ASPICs, alors dès le début je me plonge dans les livres, dans l’entrainement, dans les différentes matières avec un réel sérieux, passant bien sur encore du temps avec ma petite amie, mais beaucoup moins, bien trop concentré sur mes fautes aux BUSEs, voulant obtenir des « Optimal » à mes ASPICs. Cette année est marquante aussi sur deux points, car pendant les vacances de Noël, ma petite amie décide de rester avec moi à Poudlard au lieu de rentrer chez elle, et c’est pendant ces vacances qu’il y a eu notre première fois, une première faite que de suavité et tendresse, un instant parfait de bonheur. Mais malheureusement, la seconde chose qui marque cette année n’est point fait de joie, ni de plaisir. En effet, malgré que je suis avec quelqu’un que j’aime, malgré que je suis heureux avec elle, mon père m’a annoncé par missive que je suis fiancé… Il ne m’a pas encore dit à qui, ni réellement pourquoi, mais juste que pour le bien de la famille, pour notre lignée et pour mon avenir, il a trouvé un accord avec une grande famille de Sang-Pur et a décidé de me fiancer avec la fille de cette famille. Il m’annonce aussi que je vais devoir prévenir celle avec qui je partage tant d’instants pour rompre, chose que je refuse. Je ne comprends pas, je ne pouvais pas comprendre sa décision à cette époque, celle de vouloir s’assurer de mon avenir en m’unissant à une Sang-Pur pour mieux dissimuler mon coté Sang-mêlé, coté que j’ignore d’ailleurs encore. Je le vis assez mal, je le prends très mal, continuant à lui écrire, un peu déconcentré dans mes cours du coup, lui envoyant plusieurs missives pour déclarer mon désaccord, mais je ne fais que recevoir une beuglante pour me faire comprendre que je n’ai point mon mot à dire la dessus. Mais je ne viens pas rompre avec celle que j’aime, comptant le convaincre en été en demandant l’appuie de ma mère, refusant que cela ce passe ainsi, sans même que je ne connaisse la dite fiancée, sans que je ne puisse m’exprimer. Je ne doute pas de son désir de bien faire, mais je ne peux pas non plus me laisser ainsi « manipuler », je suis sur que maman n’est pas du tout d’accord avec lui. Le début des vacances d’été, ce n’est que dispute avec mon père, soutien de ma mère qui tente de me faire comprendre qu’elle n’est pas d’accord avec sa décision mais qu’elle pense qu’il changera surement d’avis entre temps, qu’il ne fait que penser à mon avenir pour l’instant, suite à quelques petites crises politiques qui se forment, des crises suite à l’apparition d’un groupe sombre appelé Mangemorts. Mais je ne m’intéresse pas à cela, je n’ai rien avoir avec ces gens la, et je trouve que se plier à une telle « crise » c’est suivre la terreur qu’ils créaient en leur donnant juste plus de pouvoir et d’influence.

Garrus, Année 75-76

Ce jour va changer ma vie, changer tout ce que je suis, c’est le jour de ma mort… Non point physique, mais la mort d’une part de moi, de mon âme, de mon cœur… Je marche simplement en forêt avec maman et Gregor, une longue balade décidée pour discuter justement de ces fiançailles car depuis mon retour je ne cesse de me disputer avec mon père, de me prendre la tête pour m’opposer à cette décision. Je ne comprends toujours pas sa décision, et maman a décidé alors de prendre la journée, voir la soirée, avec moi pour me parler de cette décision, de ce besoin de protection. Au début tout va bien, ne me doutant pas un instant que nous sommes suivis et surveillés par des êtres qui certes sont trop loin pour écouter la conversation mais dont les intentions sont déjà précises et claires. Elle me parle alors de notre petit secret, du faite qu’elle n’est pas une Sang-Pur mais une née-moldue. Elle m’explique alors que les nés-moldus, pour une grande partie en tout cas, descendent de Cracmols qui ont intégré le monde des moldus suite à une forme de rejet, et que leurs descendants peuvent de temps en temps voir revenir le gêne magique en eux. Elle m’explique donc que pour le bien de son époux et de la famille Ollivander, elle s’est faite passée pour une Sang-Pur de l’Europe de l’est en prenant le nom d’une famille quasi inconnue voir éteinte. Ainsi, Papa en voyant que je suis proche d’une fille qui n’est pas de Sang-Pur a peur que cela attire l’attention d’extrémistes et a pris la décision donc de me fiancer avec quelqu’un qui enlèverait tout doute sur ma pureté. Je trouve cela très pragmatique et politique, même si je peux comprendre son envie de protéger les siens, je ne suis pas d’accord avec cette méthode et sa vision. Mais la conversation pris rapidement fin quand les hommes qui étaient à nos trousses, viennent soudainement nous rejoindre. Vêtus de noir en portant un masque argenté aux dessins étranges, ils s’imposent autour de nous. C’est la première fois que je vois ces masques, ne me doutant pas encore de tout ce que cela représente mais en voyant ma mère sortir sa baguette, j’en fais de même… Tout ce passe vite, un homme me lance Expelliarmus, me désarmant directement, alors rapidement je me dirige vers cette baguette mais l’homme m’arrête à nouveau avec un Feudeymon, libérant des créatures de feu qui brulent d’ailleurs les feuillages, les branches autour d’eux, se rapprochant de moi pour me tenir en respect, me tenir paralyser par la terreur. Je n’arrive pas à bouger, tétanisé par ce que je vois, par ces créatures, ces sorciers, par les flammes… J’entends un sortilège que je ne connais pas lors d’une bataille entre ma mère et ces hommes… Avada Kedavra… Un cri, un silence… Les flammes approchent, mon petit frère pleure avant de lui aussi tomber dans le silence… Je ne me rends pas encore réellement compte, je suis sous le choque, ils sont morts… Tout va si vite, ce silence effrayant, ces hommes partant en me laissant la, proie aux flammes, un seul restant pour se rapprocher de moi, disant que ce serait peut-être mieux d’en finir aussi avec ce détail… Je n’arrive pas à riposter, je n’arrive plus à bouger, ni même parler ou crier à l’aide. Je ferme les yeux attendant ma fin, entendant juste un nouveau combat,… Alors que je pense que tout est fini pour moi, je sens quelqu’un m’agripper, j’ouvre les yeux pour voir une femme plus âgée qui m’emporte d’un coup loin, loin de ce feu… Je peux voir la, juste un instant, les corps… Maman… Gregor… C’est trop tard… Sauvé de justesse par une Auror sans comprendre pourquoi ces Mangemorts ne m’ont pas tué directement, pourquoi seul un semblait avoir l’envie d’en finir alors que les autres étaient partis, emporté pour être emmené directement à Sainte-Mangouste mais je ne dis rien, même pas un merci, je suis une tombe, je suis vide, traumatisé, restant comme pétrifié, sans vie aucune… Fixant le vide dans le plus grand des silences… Oui, je suis quelque part mort.

Garrus, le 16 juillet 1976






Dernière édition par G. Seth Ollivander le Mar 13 Oct - 12:11, édité 1 fois
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Message Re: Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang
par Invité, Mar 13 Oct - 12:11 (#)
Histoire
Happiness can be found even in the darkest of times
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Le reste des vacances s’est surtout passé à Sainte-Mangouste, pas à cause de blessures physiques, mais bien de mes blessures psychologiques. Suivi par un Pyschomage qui tente de me faire parler, de m’aider et de me remettre sur pied. Il en a passé du temps à m’arracher juste un mot, car même quand j’ai récupéré ma baguette, celle-ci est morte entre mes doigts, le noisetier comme le crin de licorne étant bien trop sensibles aux émotions. C’est le Pyschomage qui me suit qui décide de me renvoyer à Poudlard, espérant que cela me redonne gout à vivre, que cela me boost, mais il continue bien sur à me voir sur place à l’infirmerie de cette école. L’année des ASPICs, je ne peux pas dire que je suis réellement en état pour faire face à ces examens que j’attendais avec impatience avant… Au début bien sur, certains sont venus vers moi, ma petite amie comme des amis, mais je les ai tous repoussés, chassés même, refusant qu’ils reviennent dans ma vie, qu’ils se rapprochent de moi, comme si je suis une souche de contamination de tous les maux de ce monde, ne voulant plus m’attacher à personne, persuadé que ceux qui viendraient vers moi seront tous maudits et connaitront une mort atroce. Je chasse tout le monde, refusant la moindre attache, la moindre compagnie, me renfermant totalement. Certains professeurs tentent aussi de me donner un coup de fouet, mais je ne suis aucun cours, je suis une âme en peine, vide et sans intérêt envers ce qui se passe autour de moi. La seule chose que je fais en dehors d’errer et de suivre les séances avec mon Psychomage, c’est de commencer à travailler en secret sur une nouvelle baguette, refusant que mon père m’en donne une, refusant une autre déjà faite… Je veux la faire de mes mains, je veux réussir cela en suivant les quelques petites histoires ou les conseils de la famille… quelque soit le temps que je passerai dessus, voulant que ce soit la voix de mon cœur meurtri qui donne naissance à cette baguette. Je suis seul en cet année car tel est mon désir, je suis dans une tombe illusoire que je me crée pour me couper totalement des autres, je n’ai plus rien de celui que tous connaissaient avant. Et quand les ASPICs arrivent, je m’y rends comme par obligation, mais je sais déjà qu’il n’y découlera rien de bon, et puis à quoi bon tenter d’avancer alors qu’il n’y a plus aucun avenir ? Nous nous condamnons tous à un avenir destructeur à cause de nos intolérances, de nos préjugés… Ma meilleure note est un acceptable en Soins des Créatures Magiques, le reste n’est que Piètre, Désolant et même Troll… Mes études sont un échec, mes efforts passés ne mènent à rien… Je me dis alors que je suis qu’une erreur qui ne finira nul part de bon, qui restera à faire des corvées pour survivre, voir peut-être un futur concierge… Mais le Psychomage décide de parler au directeur, de me faire redoubler cette année, me la faire recommencer en expliquant que je ne suis point fautif de mon échec mais que je suis marqué d’un traumatisme qui demande plus de temps et d’efforts pour que je puisse le surpasser. Ainsi, en quelque sorte, cette année n’est juste qu’une année perdue, qui n’apporte rien, une année qui n’a servit finalement qu’à mon suivi psychologique. Pour les vacances d’été d’ailleurs, je suis renvoyé à Sainte-Mangouste et non à la maison, déjà que mon Père est totalement dépressif, mais en plus le Psychomage ayant pu mieux analyser mon trouble a décidé de profiter de ces vacances pour travailler de plus belle sur mon cas.

Garrus, Année 76-77

Le travail des vacances m’a fait beaucoup de bien malgré tout, m’a aidé pour me remettre debout, pour me donner des forces et me motiver. Je change, j’évolue, mais je ne serai plus jamais celui que j’étais avant. Je ne vois presque plus mon père pour l’instant mais j’ai été voir un de mes oncles pour lui présenter mon travail sur la baguette que j’ai voulu me faire, montrer ce que j’ai pu réaliser et celui ci m’a félicité pour ce travail, me disant qu’après mes ASPICs, je pourrai travailler en assistant à la boutique dans la fabrication de baguettes, en faite les secrets de familles me seront donnés surtout par mon oncle. Du coup avec cette nouvelle baguette de Charme et Crin de licorne, je recommence cette Septième année, ne laissant à nouveau pas mes anciens camarades s’approcher de moi, acceptant la décision de fiançailles de mon père en promettant de ne rien faire pour aller à l’encontre, acceptant mon avenir et je me relance dans les études. Oui je travaille toujours sérieusement, mais je ne fais plus de Quidditch, je ne donne plus de cours particuliers, je travaille et je joue avec ma vie. Oui, je suis devenu quelqu’un d’irresponsable, d’inconscient, pouvant surfer sur son balai, passant beaucoup de temps à l’infirmerie, répondant oui à tous les défis qu’on me lance. Il m’arrive aussi ouvertement à défendre ceux qui sont malmenés, me montrant protecteur, bousculant certains qui osent pointer du doigt les Nés-Moldus, allant me bagarrer quitte à me faire fracasser. Je me retrouve souvent en retenues, mais malgré tout j’étudie sérieusement. Je me fais de nouveaux camarades, mais personne qui peut prétendre être mon ami, gardant toujours une certaine limite dans mes relations, refusant de pouvoir m’attacher à quelqu’un. Et vient les fameux ASPICs que j’ai lamentablement échoués avant. Botanique, point trop de complexité, c’est un cours que j’ai toujours apprécié et il m’a été aisé de récupérer mon retard. Optimal. Sortilèges et Enchantements m’ont demandé beaucoup plus de travail pour récupérer le retard, surtout que j’ai du m’entrainer avec ma baguette pendant plusieurs temps libres, l’apprivoiser, trouver une nouvelle entente, perdre l’habitude que j’avais avec mon ancienne. Mais finalement je m’en suis bien sorti. Effort Exceptionnel. Défense contre les Forces du Mal, j’ai eu les mêmes atouts et difficultés que pour le cours de sortilège, mais ce cours a été surtout théorique ayant reçu une forme d’abstention spéciale cette année la pour l’Epouvantard, car le Pyschomage qui me suit a peur de ce que cela pourrait enclencher. Effort Exceptionnel. J’ai évolué en bien pour l’examen de Potions, peut-être que la pratique avec la baguette m’a donné une autre dextérité pour les manipulations complexes de ce cours. Optimal. Par contre la Métamorphose a été plus complexe, justement à cause de l’image de la transformation… Il m’est plus aisé de transformer un objet ou une autre personne, mais quand je dois agir sur ma propre personne, j’ai un certain blocage. Acceptable. Le cours d’Histoire de la Magie, cela reste de la connaissance théorique pure que je possède, qui ne demande que ma concentration. Pas grands débats, c’est un examen qui ne m’a posé aucune difficulté. Optimal. Arithmancie, malgré mes efforts, je n’ai pas su totalement rattraper mon retard, n’arrivant qu’à faire une note que je considère trop moyenne. Acceptable. Mais je me rattrape grandement avec le cours d’Etudes des Runes, arrivant à montrer que je n’ai rien perdu dans cette matière malgré que je ne suis plus aussi studieux, aussi motivé. Il est vrai que je n’ai point perdu de mon intelligence, juste ma motivation et mon mental qui ne sont plus pareils. Optimal. Pour le cours de Soins aux créatures magiques, voyant les « animaux » comme la seule attache qui m’est autorisée, s’est passé avec facilité, c’est déjà la seule matière que j’avais réussis l’année de mon redoublement, et c’est la matière où j’ai excellé. Optimal. Pour finir, le cours d’Arts et Musiques Magiques, malgré que j’apprécie ce cours, a été une catastrophe, surement car je vis un tel chaos émotionnel que je n’arrive plus à trouver ma place dans un art autre que celui des baguettes, la seule passion qui me reste. Piètre. Mes ASPICs réussis, je me rends alors chez moi, ne trouvant que Sottise à bout, devant s’occuper de tout et mon père qui n’est plus que l’ombre de lui même, ne supportant pas la perte qu’il a vécue. Certes il reste mon père, il m’aime je le sais, mais il a la sensation que tout est de sa faute, il pense que sans ses secrets, ses décisions, maman serait toujours la ainsi que Gregor.

Garrus, Année 77-78

1978-1981
Hogwarts reborn
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Pendant les vacances, je prends quelques conseils de mon père, prends ses livres sur la fabrication de baguettes, et je vais voir mon Oncle pour commencer ce « travail » comme apprenti à la boutique Ollivanders, un travail qui commence par des cours privés et des formations qui se font à la boutique, à la fois pendant les vacances mais aussi qui vont durer les Week-ends et vacances, ainsi que mes temps libres après les cours. Devant perfectionner un secret de famille bien protégé. Je sais que cela va me prendre beaucoup de temps, mais c’est la seule chose qui me reste, la seule passion qui vit encore dans mon cœur. Voulant réussir cette fois de moi même, refusant de compter sur la fortune de mon père en me disant qu’il en aurait surement besoin, voulant que tout soit réalisé par ma propre volonté maintenant que je suis majeur, je décide donc de prendre un petit appartement en colocation, un petit quelque chose pas trop cher que je pourrai payer grâce à mon travail dans la boutique Ollivanders, un appartement qui me sera utile justement pour les Week-end, pour les vacances, un premier pas vers une nouvelle vie. Je prends alors la décision de suivre le cursus d’Offensive Magique et plus précisément le sous cursus de Sortilèges Poussés. Ce choix n’est point anodin, j’avais hésité avec plusieurs matières comme la Zoologie qui aurait pu m’aider à mieux comprendre les créatures utilisées pour faire des cœurs de baguettes, la médecine pour aller vers la Psychomagie et mieux étudier le rapport psychologique entre le sorcier et la baguette, amis l’Offensive Magique me semble plus intéressant, à la fois pour le coté enchanteur mais aussi pour le faite que la pratique avec une baguette ne peut que m’aider à mieux comprendre le besoin du sorcier au travers de cet outil vivant. En plus des matières obligatoires, j’ai décidé du coup de prendre en plus les options d’Histoire de la Magie, d’Arithmancie et de métamorphose, même si j’étais mauvais dans cette matière, ayant hésité un instant pour le droit mais me disant que si je croule sous les options, je ne pourrai pas étudier convenablement avec mon travail à coté. Cette première n’est pas des plus évidente, déjà que les cours me prennent beaucoup de temps, le travail ne me donne pas non plus beaucoup de liberté et ma colocataire, même si je ne la trouve pas réellement méchante, est une perverse maniaque du rangement et dont la voix est bien trop imposante… Mais je l’adore malgré tout, même si je ne fais rien pour tenter de me nouer d’amitié avec celle-ci… En faite je pense que son comportement général me motive, me pousse à me foutre des coups de pied à mon propre derrière pour ne pas flancher. C’est aussi cette année que j’ai pris une grande décision, à force de voir Sottise malheureux dans ce manoir empli de souvenirs mais devenu sans vie. Je suis allé le voir simplement pour discuter avec lui, le remercier de tout ce qu’il a fait le long de ma vie, de mon enfance, et pour la famille. C’est en lui parlant que je lui donne d’ailleurs une lingue propre et à sa taille, lui offrant ainsi la liberté, ne voulant plus le voir captif d’une demeure qui n’apporte que maux. Je sais qu’il ne demande pas cette liberté, mais c’est mon présent à un ami qui a été comme un frère. Etrangement, malgré cette liberté offerte, il vient souvent me voir, passer du temps avec moi, me prouvant quelque part qu’il est bel et bien de la famille. Finalement cette année m’a aussi aidé à me remettre bien sur pieds, même si mon traumatisme est fort présent, le Psychomage est fier de mon progrès.

Garrus, Année 78-79

La seconde année dans ce cursus n’est pas une année anodine, loin de la… En dehors de beaucoup de travail, de mon comportement devenu joyeux mais faussement joyeux, il y a aussi eut un événement spécial à Noël, quelque chose qui m’a surpris et marqué. Au début j’ai cru à la folie, surement à cause de mon traumatisme, à une forme d’ami imaginaire qui est apparu pour me réconforter ou me rassurer. Un furet est apparu, un furet qui parle, qui me connaît, qui s’adresse à moi… Oui j’ai cru que mon cerveau a rendu l’âme, que celui ci s’est totalement brisé, regardant cette créature avec un étonnement sans fin. Mais rapidement j’ai pu constaté que je ne suis pas le seul a avoir subit ce changement, voyant ma colocataire puis ensuite les autres élèves à Poudlard avec une compagnie animalière… Ainsi nous sommes tous touché par ce phénomène. Je n’ai aucune difficulté à l’accepter, nommant cette créature magique Kaiju, trouvant que cela lui va à merveille et je dois dire qu’il m’aide beaucoup à sourire, à me changer les idées. C’est un chenapan, un petit fou qui ne cherche qu’à me faire éclater de rire en imitant les autres, en se moquant, ou en taquinant. C’est d’ailleurs très difficile de garder mon sérieux quand il est la, plus que difficile en faite car il ne cesse de trouver la moindre occasion pour me provoquer, allant aussi jusqu’à me lancer des défis. C’est aussi lui qui m’a permis de trouver Tonneau, un Fléreur abandonné et bien gras que j’ai adopté, ne voulant pas le laisser errer… Peut-être que j’ai un complexe de l’abandon, une forme de détachement qui me pousse à me tourner vers des vies animales comme compagnie de tous les jours, mais je crois que ce sont les seuls que je laisse facilement approcher. Il m’arrive aussi de vouloir retrouver l’Auror qui m’a sauvé lors de l’attaque des Mangemorts, repensant souvent à celle-ci, m’en voulant de ne point lui avoir dit mot, de ne pas avoir cherché à la retrouver pour ne fusse que la remercier, ce serait la moindre des choses car je reste persuadé que je lui dois la vie, ne connaissant point la réelle motivation des agresseurs. Bref, cette année m’aide beaucoup à évoluer, avancer, que ce soit dans la fabrication de baguettes magiques, que ce soit dans mon état mental général, ou encore dans mes études. Certes je n’ai pas une vie relationnelle des plus parfaites, bien au contraire vu que je refuse toujours de montrer une forme d’attachement envers autrui, mais je ne m’oppose plus aux décisions prises pour moi de la part de ma famille, je ne m’oppose plus non plus au Pyschomage avec qui je peux parler maintenant ouvertement. C’est une année de progrès qui arrive à me redonner vie, à me faire renaitre et j’en dois beaucoup aussi à Kaiju, à ce patronus dont l’arrivé est vraiment au meilleur moment fans ma vie, ne faisant que me redonner des forces et du courage. Je ne vais pas dire que je suis heureux car cela est impossible, mais je me sens beaucoup mieux, guéris par rapport à tout ce que j’ai vécu, les plaies ne pourront jamais partir, ni cicatriser, mais au moins elles ne saignent plus. Mon âme trouve une forme de paix.

Garrus, Année 79-80

Malheureusement, même si je retrouve gout à la vie, la rentrée 1980 va quand à elle me marquer à nouveau et violemment. Alors que je suis dans le Poudlard Express occupé à parler avec Kaiju tout en fumant une cigarette au bord de l’ouverture se trouvant au dessus de la vitre, d’un coup un choc violent, tout semble se bousculer… C’est si rapide… Je me sens percuter une paroi, puis une autre, chutant dans le couloir principal de cet wagon, sentant quelque chose chuter dans mon dos, une violente douleur se faisant ressentir avec une chaleur bien étrange… La mort frappe, je vois un élève plus loin qui ne sait pas se remettre du choque… Je suis coincé ainsi, allongé contre la paroi de ce couloir, la tête bloquée et dirigée vers l’autre jeune occupé à agoniser, forcé à le voir mourir sans pouvoir réellement bouger. Je crois que je ne cherche pas à lutter, je ferme juste les yeux pour laisser un voile noir faire son travail, me disant que finalement c’est peut-être mieux d’en finir ainsi, de disparaître dans un accident en ne laissant rien derrière moi que de disparaître adulte en abandonnant une famille. Tombant inconscient je pense réellement que c’est enfin mon tour de rencontrer la faucheuse, de retrouver ma mère et mon petit frère, mais je ne fais que me réveiller dans une infirmerie, blessé mais malheureusement bien vivant… Entendre qu’il s’est fallu de peu ne me fait ni chaud, ni froid, en faite je considère juste cela comme un refus de la mort, celui de me laisser en paix… Peut-être qu’elle considère que je n’ai pas encore assez souffert. Le début de l’année s’annonce alors difficile, revivant certains cauchemars, certaines terreurs, la mort revenant autour de moi comme pour me taquiner, pour me dire que je ne suis qu’un porteur de non vie, un être qui ne pourra que connaître la fin d’autrui. Il m’arrive de sortir pour voir le professeur de Soins aux créatures magiques, simplement car j’ai envie de discuter avec lui des Sombrals que je vois depuis la mort de ma mère et de Gregor, remontant du coup un intérêt pour ce qui touche cette fatalité. Kaiju tente tant bien que mal de me remonter le moral mais ce n’est point chose facile, en faite c’est une effraction à mes règles qui va me redonner un peu de boum, une rencontre intéressante. Je parle d’une jeune damoiselle de Gryffondor, une fille qui se montre douce, gentille, possédant un cœur en or, une petite damoiselle qui est vraiment envoutante… Elle, je me suis rapproché d’elle, au début en venant chercher à la faire sourire quand elle n’est pas bien, puis à la taquiner gentiment, finalement la réconforter sans qu’elle ait besoin à me conter les histoires de sa vie… C’est quelque chose qui a évolué tout au long de l’année, un rapprochement étrange, presque intime mais où rien ne se produisit car elle comme moi étions d’accord sur une chose, ce n’est pas cela qu’il y a entre nous, mais une forme d’amitié très complexe et complice. Avec cette jeune femme, j’ai renoué avec quelqu’un de réel, une première amie depuis les crimes contre ma famille, une personne qui a toute ma loyauté et avec qui je serai toujours aussi présent quand elle aura besoin de moi. Comme quoi il existe encore des anges… Elle est particulière, c’est une réelle amitié qui s’est formée avec elle, d’ailleurs elle est la seule que Kaiju laisse approcher de moi quand je vais mal, la seule en qui il a assez confiance pour considérer qu’elle n’est pas une menace quand je suis en crise. On peut dire que cela me change à coté de ma colocataire qui semble plus froide… Je suis sur qu’un jour, si je fais une terreur nocturne à l’appartement et que je cri trop fort, elle pourrait rentrer dans ma chambre juste pour m’assommer… Mais bon, c’est ainsi que je l’apprécie la coloc. Le seul cadeau que me fait cette année, c’est qu’il semble que la Peste des Patronus me soit épargnée, mais j’ai mal pour ceux qui sont touchés, je pense que si je viens à perdre Kaiju, je ne m’en remettrai pas. Pour le reste de l’année, et bien je ne vais pas vous répéter ce que j’ai déjà tant dis, je travaille sérieusement et je déconne en faisant mon malin… J’étudie et je continue mon apprentissage et mon emploi de Fabricant de Baguettes, pour l’instant posé à des tâches assez simples comme sculpté le bois… Mais chaque jour ma vie avance, chaque jour je sais que je me rapproche d’une destinée liée à ma passion… Mais je sais aussi que l’année prochaine je vais devoir rencontrer celle qui a été choisie pour être ma fiancée.

Garrus, Année 80-81

Cette année en fait que commencer, ma douzième année à Poudlard, ma Onzième de classe, une année que je compte prendre au sérieux. J’ai été incapable de me rendre au Mémorial, même si j’aurais voulu venir faire un hommage aux morts, c’est bien trop difficile pour moi de faire face à cela, bien trop de risques d’éveiller des choses qui ne feront que me plonger dans un nouveau néant. C’est l’année où je vais rencontrer celle à qui je suis promis, l’année aussi où mon oncle me donne bien plus de responsabilités à la boutique. J’ai des cours qui demandent de ma part plus de travail, comme d’autres que je prends bien en mains, c’est une année qui va se montrer surement difficile vu que j’ai pris un peu de retard l’an passé avec le résultat de l’accident de train sur mes troubles. Sortilèges comme Sortilèges appliqués ne devraient point poser de soucis, Histoire de la magie et Histoire appliquée non plus, Défense contre les forces du mal, je pense que je peux m’en sortir sans trop de difficultés. Par contre, j’ai plus difficiles avec les Arts Occultes, un cours qui peut rapidement me mettre étrangement mal à l’aise, j’ai toujours les mêmes complications avec la Métamorphose, et l’Arithmancie, j’avoue que malgré mon intelligence, je n’ai pas assez de temps pour me pencher dessus convenablement. Pour ce qui est des études des patronus, c’est une matière assez récente qui n’est pas spécialement évidente car je n’ai rien comme enseignements précédents sur ce sujet, et l’art du combat… J’avoue que cela ne me passionne pas, même si je dois apprendre le combat pour trouver comment perfectionner une baguette en ce sens, je n’aime pas me battre avec la magie, préférant les poings pour régler un conflit.

Garrus, Année 81


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Message Re: Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang
par Invité, Mar 13 Oct - 12:15 (#)
PREUMS.

Comme t'es beau bave Elle en a de la chance d'avoir un coloc' pareil, Greer HOHOHOHOHOHOHOHOHHO HOHOHOHOHOHOHOHOHHO

Rebienvenue Robert47cm
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Message Re: Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang
par Invité, Mar 13 Oct - 12:16 (#)
J'ai qu'un truc a dire dead ça, c'est de la fiche de malade Brille

Bon retour a la maison HOHOHOHOHOHOHOHOHHO

Edit: ce choix d'avatar dead bave
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Message Re: Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang
par Invité, Mar 13 Oct - 12:20 (#)
ReBienvenue à toi Brille Pas besoin de te dire bonne chance pour ta fiche. xD
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Message Re: Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang
par Invité, Mar 13 Oct - 12:22 (#)
Merci merci beaucoup pour l'accueil love

Citation :
Elle en a de la chance d'avoir un coloc' pareil, Greer HOHOHOHOHOHOHOHOHHO HOHOHOHOHOHOHOHOHHO

Elle va me frapper oui...

Citation :
J'ai qu'un truc a dire dead ça, c'est de la fiche de malade Brille

Merci Brille

Citation :
ReBienvenue à toi Brille Pas besoin de te dire bonne chance pour ta fiche. xD

J'avoue... j'ai été rapide XD
O. Jill Peverell
membre - i don't want just a memory
O. Jill Peverell
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Message Re: Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang
par O. Jill Peverell, Mar 13 Oct - 12:57 (#)
Je veux bien t'offrir des cookies moi mikloslegrostas RUUN Re-bienvenue hihi
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Message Re: Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang
par Invité, Mar 13 Oct - 12:57 (#)
Tu m'avais révélé un petit bout de ton perso, mais la Han! bave
Re-bienvenue à la maison Chou
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Message Re: Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang
par Invité, Mar 13 Oct - 13:03 (#)
Re bienvenue ! Chou
Ce choix d'avatar. dead
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Message Re: Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang
par Invité, Mar 13 Oct - 13:10 (#)
Mon Glibert chéri, enfin Brille
A 13 000 mots l'histoire, tu devrais pouvoir choisir la maison dans laquelle tu veux aller mdr
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Message Re: Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang
par Invité, Mar 13 Oct - 13:12 (#)
Citation :
Je veux bien t'offrir des cookies moi

Cooooooookiiiiiieeeeee

Citation :
mais la Han! bave

Merciiiiii

Citation :
Ce choix d'avatar. dead

Oui, Hemlock Grove dans la peau

Citation :
Mon Glibert chéri, enfin Brille
A 13 000 mots l'histoire, tu devrais pouvoir choisir la maison dans laquelle tu veux aller

Haha, de toute façon je suis sauve... Aucun risque de Serpentard... cela aurait été le comble


Merci beaucoup love
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Message Re: Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang
par Invité, Mar 13 Oct - 14:44 (#)
Ollivander Yaaa Rebienvenue Robert47cm
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Message Re: Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang
par Invité, Mar 13 Oct - 15:14 (#)
Re bienvenue Brille
Isaure Lenoir
admin - war is the sea i swim in
Isaure Lenoir
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Message Re: Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang
par Isaure Lenoir, Mar 13 Oct - 15:53 (#)
Ollivander bave

Rebienvenue Chou
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Message Re: Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang
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Garrus Seth Ollivander : Un bon fond, un grand coeur, un mensonge sur le sang

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