19ansϟ Cursus ORDINAIRE)ϟ Tortue et Chat ϟ Sang-mêlé
Sans me venter, je suis quelqu’un à de multiples qualités. Enfin je dis ça, parce que c’est ce que me disent les autres, après peut-être qu’ils ne sont pas très honnêtes avec moi. Mais au pire ça fait rien, des défauts je peux m’en trouver tout seul. Par exemple, je reproche beaucoup aux gens, en particulier à ma famille. J’évite les reproches envers mes amis, mais quand ça sort, ça sort. Je suis aussi pas mal impatient, il me faut tout, tout de suite, sinon je commence à devenir surexcité, mais pas méchant vous en faites pas. Malheureusement je suis plutôt rancunier. Et puis ma plus grande passion, c’est faire des conneries, ne pas respecter les règles, en restant discret et respectueux quand même. J’aime emmerder les gens, toujours de façons gentille, et faire des blagues, peu importe la situation. Ingrat c’est ça ? Je suis un peu ingrat oui. Bon à part tout ça, je suis quelqu’un de gentil, souriant, charmant et charmeur surtout. J’essaye d’être le plus drôle et sociale possible. Je veux profiter de la vie et la croquer à pleine dent. J’adore les filles, je suis d’une facilité avec elles. Enfin je dis ça et je ne dis rien. Disons que je suis doux et gentille avec elles. A ajouté : coquin avec celles qui me plaisent. Mon but ce n’est pas de les enchaîner les unes après les autres, mais de leur montrer que je suis un bon garçon. En tout cas c’est loin d’être la réputation que je cherche. Et je suis d'un romantisme si vous saviez! J'ai toujours besoin de sortir de mon cœur ce qui aurait du mal à sortir autrement. Les filles que j'ai aimé, étaient pour moi plus que de simples jeunes femmes. Je n'aime pas les filles qui se sous-estimes. Pour moi, toutes les femmes sont belle, et elles doivent le savoir.
Alors, puisque c’est permis, autant vous le dire tout de suite, je possède un caleçon porte bonheur. Il est vert, et je le porte pour les grandes occasions. Peu de gens connaissent mon délire, mes meilleurs amis seulement je crois.
Les fous rires et les délires font partis de ma vie. Je ne peux pas m’imaginer une journée sans un délire. En plus à chaque délire, je fais une nouvelle connaissance, et le plus souvent positive. Nan sérieusement, c’est important de rire. Mais j’avoue que je devrais diminuer les conneries. Parce que je manque un peu de sérieux quelque fois. Par contre, quand je décide vraiment de l’être, oh mon dieu, je peux vous promettre que je le suis.
Ah oui, et j'allais oublier: je suis Bi et je l'assume. Je suis comme je suis, et qu'on me respecte ou pas, je m'en fou. J'ai toujours fait partie de la même morale que ces personnes qui se foutent de ce que les autres personnes peuvent bien penser sur eux. Pour être exacte, je ne suis encore jamais sortie avec un garçon, j'aime bien trop les filles et leurs corps de déesse pour ça. Mais j'avoue avoir déjà été attiré par un garçon. C'est pas une honte. Si je suis aussi attachés aux demoiselle, c'est aussi, je pense, pour me prouver à moi et aux autres blaireaux que je ne suis pas gay.
Petites anecdotes pas trop importante, mais qui vous permettrons de mieux me visualiser, moi et mes drôles de façons de faire. J'ai une façon très bizarre de me recoiffer, et le pire c'est que je le fais très souvent. J'ai un sourire immense jusqu'aux oreilles ou une tête de clown lorsque je suis de bonne humeur et que je crois quelqu'un que j'apprécie. Je ne me rend pas compte du sourire charmeur que je lance lorsque je vois une fille, c'est comme automatique. Alors il arrive souvent qu'une dizaine de filles disent à ces copines "Haaaa il a des vues sur moi !!!" Pyschopates bonjour. Et pour finir, j'isole discrètement mon nez lorsque je sens l'odeur de la cigarette, et je suis rarement remarqué.
Mon pire ennemie, c'est mon hibou du nom de Fluffy. Il est casse pied, si seulement vous saviez! Non seulement il mord lorsqu'il ne fait pas beau, mais en plus il ne veut pas me donner les lettres qu'il me remmène. Il tourne en rond sans vouloir les lâcher. Et pourtant je l'aime. Allez savoir pourquoi.
a little something from you.
Comment vous raconter en détail, la peur que j’ai eu ? Mais la peur de ma vie le jour où j’ai entendu une petite voix sortie de nulle part, prononcé mon nom ! J’étais en trin de fouiller dans le sac d’un pote, tout à fait illégalement (oui on est d’accord ça se fait pas, mais y’avait urgence.), quand soudain « Fais tes devoirs plutôt Hugo ! » J’ai fais un bond énorme et mon cœur bâtait la chamade. J’ai regardé autour de moi, mais je ne vie personne ; juste cette toute petite lueur blanche qui se serrait contre moi. Je suis tombé sur le cul et je me suis précipité à l’autre bout de la pièce. Je pensais lui avoir échappé, mais cette lueur en forme de tortue était toujours là. Et le lendemain c’était un chat…Je peux vous dire que j’ai eu peur, mais au fond je trouvais ça vraiment trop cool ! Je suis tous le temps conseillé, suivi, et j’amais seul, tout ce que j’aime !
This one moment when you know you're not a sad story.
Tu m’as demandé dans ta lettre précédente, de te donner de mes nouvelles, de te raconter quelques péripéties vécus depuis ton départ. Tout d’abord sache que tu manque beaucoup à maman et à moi. Depuis ton départ, l’atmosphère semble étrange et la solitude règne. Heureusement que Poudlard est là pour moi. Mais qui est là pour ma mère ? Ne t’en fais pas, je ne te reproche rien, c’est plutôt elle. Mais ne lui en veut pas, tu sais à qu’elle point ta belle-sœur est perturbé depuis la mort de papa ?!
Tu me parlais de Marie-Jane dans ta lettre. C’est vrai que je ne te l’ai pas encore dis, mais entre elle moi s’est terminée. On à du se dire au revoir, dès qu’elle m’a appris son déménagement à l’autre bout du monde. J’en ai pas mal souffert, mais je dois avouer que je me suis senti libre. J’aimerais beaucoup la revoir, c’est clair, mais je ne ressentirais plus ce que je ressentais. J’en vois trop passer, des filles. Je te rassure, je ne joue pas de mes charmes…enfin pas exactement. Mais ça c’est autre chose tonton, et ça reste entre nous.
Quoi dire d’autre ? Ah oui, j’ai une fois de plus faillit me faire engloutir par un strangulot. C’était prêt du lac noir, une nuit. Je sais qu’il est interdit de sortir le soir, mais c’était trop tentant. N’en parle surtout pas à Maman, elle me tuerait et le Professeur Dumbledore aussi. Par chance je n’étais pas tous seul, je ne suis jamais seul, alors inquiète toi plutôt sur le sort de ta belle-sœur. Je ne veux surtout pas te donner de leçon, mais c’est juste que je m’inquiète aussi beaucoup pour elle, seulement je ne peux rien faire pour l’aider. Elle croit que j’ai entièrement besoin d’elle et que son éducation m’est précieuse. « Tu es sur d’avoir tout ce qu’il te faut là bas ? Tu ne manque de rien ? Tu dois avoir froid le soir quand même, je devrais te tricoter un pull...et gnagnagna» Mais c’est fini tout ça, j’avais eu besoin d’elle avant et elle était là, aujourd’hui elle doit s’occuper d’elle. Difficile à comprendre pour une femme à qui il ne reste que son fils et son beau-frère, qu'elle ne voit jamais. Je t’en prie, parle lui.
Je t’embrasse de tous cœur. Hugo."
Je suis né dans la jolie ville d'Oxford, à l’ouest de Londres, un matin de printemps. Ma mère était une moldu, et mon père un sorcier. Mais je ne l’ai appris que beaucoup plus tard, en même temps que mes pouvoirs. Puis mon père est mort. J’ai terminée mon enfance auprès de ma mère et de mon oncle. Mais à mon entrée à Poudlard, le frère de mon père à du partir pour la France. Je n’ai jamais cherché à comprendre pourquoi, c’était comme ça. Bien sûr je lui en veux un peu d’avoir abandonné ma mère, qui se retrouve seule dans notre appart à Oxford.
Ma vie à Poudlard est passionnante. J’ai perdu mes amis restés à Oxford, mais je m’en suis fais de nouveaux. Et en cours qu’est ce que ça donne ? Je suis plutôt sérieux en cours, je m’en sors toujours avec de bonne notes, et pourtant en dehors des cours, je suis loin d’être sérieux. Mon meilleur ami me dit que c’est une sorte de don. J’ai une peur horrible des strangulots, et j’envoie chaque semaine une lettre à mon oncle et une à ma mère. Je crois que sans Poudlard, j’aurais sauté du pont depuis longtemps…!
Maman...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Il n’y a pas si longtemps, un petit matin d’hiver, alors que je n’avais pas cours ; j’en avais profité pour passer un peu de temps au lit. Une grasse matinée si on veut. Mais après m’être longuement noyé dans mes pensés, j’ai finis par lever mes fesses de mon lit plus que confortable, et d’aller prendre l’air. Après avoir coiffé mes cheveux d’un mouvement sec et rapide, je suis sorti de la salle commune avec l’espérance de ne croiser aucune de mes connaissances. Je voulais rester seul, après avoir longuement pensé. Je sais c’est étrange, mais c’est humain ! Je suis sorti dans la cours, les mains biens au chaud dans la poche de ma veste. Le sol était recouvert d'une épaisse couche de neige. De tous petits flocons se posaient sur mon visage encore un peu endormis. Je sais, il faut être complètement fou pour avoir envie de sortir avec un temps pareil. Mais personnellement, je me fou du temps qu’il fait, j’adore prendre l’air. Par contre, ce que je déteste, c’est le vent. Eh oui, avec mes cheveux ça fait palmier !
En fait, j’avais l’intention de me rendre à la volière. J’espérais juste que ma mère m’est écrite. Je m’inquiète beaucoup pour elle, et je veux absolument avoir de ses nouvelles chaque semaine, comme elle veut de mes nouvelles chaque jour! Après m’être battu pendant au moins 5 minutes avec Fluffy pour pouvoir tenir entre mes mains cette fichu lettre, je l’ouvris enfin, avec la joie et l’angoisse qui allait avec.
« Mon cœur,
Tout ça, sans toi, c’est difficile. Tu n’imagine pas combien je dois me battre pour me sentir heureuse. Je te rassure, je ne te demanderais pas de revenir à la maison. Tu es un sorcier, comme ton père, et même en temps que femme sans le moindre pouvoir magique, j’ai la chance de comprendre l’importance que tu as, à rester étudier dans cette école. Si tu me dis que tu es heureux, alors ça me suffit pour l’être aussi. Lors de ta dernière lettre, tu me disais te sentir merveilleusement bien ici, alors je me suis senti bien. Mais après quelques heures, quelque chose vint bouleverser ce sentiment, et je me dois de t’en parler. Après tout, tu reste ma seule famille, y compris ton Oncle. Depuis le décès de ton père, tu sais que j’ai perdu tout envie de rencontre. J’ai perdu ce que j’avais de plus chère en moi : mon côté sociable. Je ne te demande pas non plus d’avoir pitié de moi, mais de prendre grand soin de toi car qui sait ce qu’y pourrait m’arriver ? »
Des larmes ont commencés à couler du coin de mes yeux. Je sais qu’elle est malheureuse, mais qu’est ce que je peux faire pour elle ? La seule chose qu’elle m’interdit de faire ; revenir à la maison. Je passe mes doigts sur le coin de mes yeux pour sécher les larmes avant qu’elles ne gèlent par le froid.
« Je t’envoie cette lettre pour te parler d’une nouvelle plutôt importante. Ne commence surtout pas à pleurer une fois que je t’aurais écrit que cette nouvelle concerne en réalité, ma santé. J’ai le cancer du sein Hugo, le cancer du sein. Je ne savais pas comment t’annoncer cela autrement que comme ça, je ne m’y étais évidemment pas préparé. Tu dois le savoir, je risque ma vie à tout moment. Je sais que ce qu’y va suivre va paraître totalement ridicule, mais je t’en prie mon cœur, ne t’inquiète pas pour moi. Je pense que ce qui arrivera aura bon d’arriver. Je promets tout de même de te donner de mes nouvelles chaque jour si j’en ai l’occasion. Si je devais mourir demain, je voudrais que tu sache que ton bonheur est la chose qui compte le plus pour moi en ce moment. Les années auprès de ton père et toi étaient les plus belle de ma vie, et tu ne dois surtout pas te sentir coupable d'être partie. Prend soin de toi, je t’aime.
Maman. »
La lettre serré fort entre les paumes de mes mains, je m’assois sur l’un des bancs de la volière, et de tout le chagrin que je pouvais ressentir en ce moment là, je me suis mis à pleurer. Qu’est ce que je deviendrais si je devais la perdre ? Ma vie deviendrait un vrai désastre. Le temps était pour une fois parfaitement assortie à la situation…Et je me disais, tout au fond de moi, qu’en fin de compte j’aurais aimer avoir quelqu’un auprès de moi en ce moment.
Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge: CHOUCROUTE ϟ Où as-tu trouvé le forum? mouhahaha ϟ Personnage: Inventé ϟ As-tu un autre compte sur BP? Oui oui ϟ Présence: 6/7 ϟ Une remarque? je vous nème
Dernière édition par J. Hugo Wilson le Jeu 11 Avr - 18:39, édité 31 fois
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Re: Oh her eyes, her eyes make the stars look like they're not shining. Cause you're amazing, just the way you are! ♔