BELLUM PATRONUM
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Version 34
Nouveau tournant, nouvelle version installée ainsi que les nouveautés qui vont avec ! Vous pouvez la commenter ici.
Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| out of control (Ksusha)par Invité, Mer 24 Fév - 11:08 ( #) | Ksusha-Ann Richards ft. Emily Rudd née-moldue 18 ans Célibataire insupportable Hétérosexuelle qui s'en fout Communication magique, option journalisme Chat viverrin et caïman nain pro-ordre fière de l'être crédit images | |
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: Richards, qui lui vient de son père. Nom commun, anglais... Et moldu. Prénom: Ksusha-Ann. C'est son grand-père paternel, et ukrainien, qui en est à l'origine. La jeune fille l'adore, à en devenir hystérique si quelqu'un ose massacrer sa prononciation. Vous voilà prévenu. Âge et Date de Naissance: Dix-huit ans, née un 9 Juillet à Londres. Nature du sang: Moldu. Pourtant, la jeune fille aurait pu avoir connaissance de la magie avant sa lettre pour Poudlard. En effet, son grand-père paternel est un sang-mêlé. Mais n'ayant pas de véritable lien de sang avec lui, son père provenant du premier mariage de sa grand-mère, Ksusha est une vraie née-moldue. Situation familiale: Ksusha vit avec ses parents à la capitale d'Angleterre. Elle s'entend plutôt bien avec eux, même si son père semble ne pas apprécier le comportement qu'elle peut avoir au sein de son école magique. Comportement qu'elle possédait déjà auparavant, dans son école moldue. Elle est également très proche de son grand-père paternel, Vadim. Ce dernier n'ayant eut aucun enfant et ayant reconstruit une famille avec sa femme actuelle, son fils n'est pas le sien biologiquement parlant. Ainsi, son sang magique ne s'est pas répandu sur l'arbre généalogique des Richards, isolé. A la demande de son fils, il n'a jamais parlé de la magie à sa petite fille avant sa lettre pour Poudlard. C'est à ce moment-là que Ksusha s'est considérablement rapproché de lui, trouvant son point de repère en sa personne. Vadim est par ailleurs un apothicaire du chemin de traverse, passionné par l'alchimie. Une passion qu'il a communiqué à sa petite fille. Patronus: Le patronus de Ksusha, que celle-ci s'est d'ailleurs amusée à nommer Vad' en l'honneur de son grand-père, n'a pas de forme préférée ou première. Ce dernier semble plutôt jongler naturellement entre les deux, se transformant parfois en caïman nain, parfois en chat viverrin. Dans les deux cas, le patronus a un goût prononcé pour tout ce qui provient de la mer. Miroir du Rised: Son plus grand rêve serait sûrement de tenir une chronique dans la Gazette du Sorcier et d'écrire des livres. Livres qui parleraient bien évidemment d'alchimie. Epouvantard: Difficile à dire, puisque la jeune brune semble s'évertuer à aller au-devant du danger et à surmonter ses craintes. Pourtant, il y a bien une chose qu'elle craint plus que tout : écrire. Oui, l'action d'écrire, que ce soit avec une plume ou un stylo moldu. Ksusha étant atteinte de dysgraphie, elle éprouve énormément de difficulté à réaliser cette tâche. Lorsqu'elle le fait, son écriture est illisible, les formes et les espaces des mots ne sont pas respectés et, en plus de devoir se concentrer beaucoup trop sur son écriture comme le ferait un enfant qui ne sait pas faire, cela en devient douloureux. Ainsi, la jeune fille est constamment accompagnée de ses plumes à papotes. Devenir journaliste serait, en plus de devenir un rêve réel, une victoire sur cet handicap qui lui a valut une enfance moldue terriblement difficile. Composition de la baguette magique: Bois de houx, plutôt courte et incurvée. Elle possède en son coeur un ventricule de coeur de dragon. Etudes Suivies: Première année de Communication Magique, option Journalisme. Animal de compagnie: Elle possédait un rat nommé Furtou, mais elle a abandonné l'idée de l'emmener avec elle à Poudlard depuis que son patronus est apparu. Ce dernier ne cessait de vouloir le croquer. | Caractère Ksusha, c'est cette tempête de feu qui ravage tout sur son passage, ce rayon de soleil brûlant qui n'en a que faire de ne pas plaire aux autres. C'est cette jeune fille un peu trop téméraire et butée pour écouter quiconque sera de l'avis contraire au sien, celle qui enjambe les obstacles même si cela lui écorche les genoux, celle qui contourne les règles même si cela lui vaut sa fierté. C'est cette élève à peine assidue qui, pourtant, se penche sur ses études de journalisme avec des rêves pleins les yeux. Plume à papote dansant sous son regard, elle oublie ses difficultés tout comme elle a toujours oublié ses atouts. C'est un visage d'ange qui ne se met jamais en valeur, un corps de jeune femme qui se camoufle souvent sous des vêtements trop grands lorsqu'il n'est pas affublé de l'uniforme de l'école qu'elle exècre. Une jeune fille trop masculine dans un corps de femme qui pourtant préférera toujours jouer au naturel avec les autres, quitte à ne pas être prise au sérieux lorsque son envie de rapprochement se fait ressentir. Quitte à passer pour le bon pote de service, titre qui, au final, a ses bons comme ses mauvais côtés. Ksusha, c'est une personne libérée qui n'a peur ni du ridicule, ni de la vie elle-même qu'elle préfère croquer à s'en casser les dents plutôt que d'en être effrayé. C'est celle qui, régulièrement, termine ses soirées en retenue sans aucun regret. Celle qui met du désordre dans la vie des autres mais qui essaie toujours de leur prouver que ça n'a jamais fait de mal à personne. Celle qui, curieuse et passionnée, s'intéresse à tous les bruits de couloir que ses oreilles peuvent atteindre. C'est une tornade joueuse parfois hystérique, parfois trop impulsive, mais qui n'en est pas moins affectueuse. Un baril de poudre prêt à exploser à la moindre étincelle, avec un sourire accroché aux lèvres. C'est cette personne qui ne se gêne de rien, qui n'aime pas les faux semblants et a en horreur les politesses hypocrites. Celle qui passe outre, qui contourne les jeux conventionnels de société. Un animal sauvage pourtant prêt à être dompté. | Patronus Vad, caïman nain et chat viverrin, particulièrement attiré par l'odeur du poisson et les plongeons dans le lac de Poudlard. Malgré ses crocs acérés, le patronus ne fait pas grande impression aux premiers abords : de petite taille dans un cas, grosse boule de poil dans l'autre, il ne fait pas véritablement honneur aux animaux sauvages. Néanmoins, son caractère bourru et terriblement ressemblant à celui de sa propriétaire pallie à ce problème plutôt rapidement. Il n'est pas rare de le voir agresser un autre patronus pour la simple et bonne raison qu'il a l'impression que ce dernier se moque de lui. Un peu paranoïaque sur les bords, Vad réunit également tous les traits de caractère que Ksusha n'aura jamais : l'instinct surdéveloppé de survie, la tendance à la paranoïa et la terrible crainte de ne pas être apprécié des autres par telle ou telle action. Ce qui n'empêche pourtant pas les deux individus de s'entendre à merveille et d'effectuer, la plupart du temps, les quatre cent coups ensemble. Ksusha en reine des conneries, Vad en guet un peu trop nerveux. Mais s'il y a bien une chose sur laquelle ils ne s'entendent pas, c'est la façon dont Ksusha traite et considère son patronus. En effet, pour la brune, ce dernier n'est autre qu'un animal - adorable bien que râleur mais un animal tout de même - qu'elle se doit d'apprivoiser et d'éduquer. Ce que Vad n'apprécie guère, toujours agacé en voyant la jeune femme lui taper sur le museau, le doigt pointé vers lui dans un geste accusateur, et une voix un peu trop haut perché déblatérant des phrases tel que « Vilain, c'est pas bien ! » « Méchant Vad, méchant ! » Hormis cela, chacun des deux caractères se complètent plutôt bien malgré les quelques sacrifices que chacun ait dû faire de son côté. Ksusha en laissant son animal de compagnie chez ses parents - ne voulant plus prendre le risque de le voir se faire croquer par Vad - et le patronus en abandonnant à moitié l'idée de retrouver constamment le contact de l'eau contre sa peau. La sorcière n'a jamais été une grande fan des étendues d'eau, bien qu'elle fait souvent l'effort de se poser près des berges lorsqu'elle le peut. |
Pseudo et âge: acidbrain et 23 ans Où as-tu trouvé le forum ? Personnage: Inventé depuis un moment As-tu un autre compte sur BP ? Non, nous nous soignons. (Shawn le loup-garou malchanceux & Duncàn le serpent protecteur) Présence: Dès que mon PC est allumé Une remarque ? |
Dernière édition par Ksusha-Ann Richards le Mer 24 Fév - 19:09, édité 7 fois |
| | Re: out of control (Ksusha)par Invité, Mer 24 Fév - 11:08 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Vadim apothicaire, Londres, monde sorcier et moldu
La vieille porte en bois fait tinter la cloche à son ouverture, laissant son bruit mourir à travers les allées. L'azur de ses prunelles se pose sur les différentes fioles enfermées dans de lourdes vitrines transparentes, un sourire crispé se dessinant sur ses lèvres. L'odeur singulière des potions lui fait froncer le nez, jamais il n'aurait pu oublier celle de l'opium. « J'arrive ! » Lance une voix faiblarde et harassée. La langue de l'individu passe sur ses lèvres, dévore son semblant de politesse pour n'y laisser qu'un pincement de bouche agacé. Il fait quelques pas hésitants à l'intérieur de la boutique remplie de cartons, passe ses doigts sur un vieux meuble rongé par le temps. La poussière lui colle aux phalanges, tout ici a un air défraîchit et dépassé. « Que puis-je pour vous ? » Commence à nouveau cette voix, celle qui le fait tant frissonner. Relevant la tête vers son père, il l'observe se diriger vers lui, voûté et absorbé par la contemplation du plancher miteux avant de se figer lorsque son regard croise le sien. « Zacharie ? » Ce n'est pas une question, il sait qu'il l'a parfaitement reconnu. Son murmure se meurt dans la gorge serrée du vieillard, le visage soudainement pris de tics nerveux. « Tu sais pourquoi je suis venu ici. » A nouveau, ce n'est en aucun cas une question. L'homme redresse le dos, observe son père qui en fait de même en détendant ses épaules. Ce dernier hoche la tête et rejoint son comptoir d'un pas lourd. « J'aurais aimé ne pas en arriver là. » Un léger rictus triste se dessine sur le visage de Zacharie. Lui non plus ne voulait pas en arriver là. « Comprends moi papa, je ne... Nous ne voulons pas ça pour elle. » L'aîné lève un regard à demi-incrédule vers lui, mais n'en relève rien. Il sait que si cela ne tenait qu'à sa belle-fille, sa petite fille Ksusha-Ann serait déjà au courant de sa nature. La femme de son fils a toujours eut suffisamment la tête dans les étoiles pour ne pas être effrayé par les choses sortant de l'ordinaire. De leur ordinaire. « Zacharie, tu sais que je ne lui ai jamais rien dit au sujet de la magie. Pourquoi veux-tu me priver de ma petite fille, n'as-tu donc pas confiance en moi ? » Le vieil apothicaire jette un œil critique à son fils d'adoption, se doutant de ce qu'il va lui répondre. De ce qu'il lui a toujours répondu lorsque cela l'arrangeait de le mettre de côté dans sa vie. « Ce n'est pas vraiment ta petite-fille. » Le vieillard ferme soudainement les yeux. Le savoir n'est pas pareil que de se l'entendre dire d'une voix aussi cruelle. Dans son coeur, elle restera sa petite-fille. « Qui plus est, tu... Tes histoires m'inquiètent. Elle commence à y croire, à se dire que les loup-garous et autres sottises existent. » L'aîné se laisse tomber doucement sur une vieille chaise en bois, se tenant la tête. Depuis que Ksusha-Ann est née, il lui arrive régulièrement de lui raconter une histoire pour l'endormir. Une histoire... Pourtant réelle, mais dont il s'est toujours gardé de lui dire. Sous les ordres de son fils. « Ce n'est qu'une enfant, Zacharie, elle a besoin de rêves. » Mais ce n'est pas suffisant, il le sait. La discussion ne dure pas bien longtemps, dix minutes tout au plus, avant que son fils d'adoption ne s'en aille sans revenir sur sa décision. Désormais, il doit rester en retrait de la vie de sa petite-fille. En retrait comme il l'a toujours été dans la vie de son fils. Et, alors que ce dernier s'éloigne et fait tinter la cloche de la boutique pour la dernière fois, il retient sa haine, sa tristesse, sa colère. Il ferme les poings, ravale sa faiblesse. Il aime son père, mais jamais il n'a pu accepter le fait qu'il soit... Un sorcier. Un vrai. Et devant la pancarte A vendre de la bâtisse en déménagement, il jette à peine un regard vers son enseigne avant de tirer un trait sur cette partie de sa vie, sur ce monde magique dont il ne fait pas partie.
Barnet's shcool, Londres, monde moldu
Elle remet ses cheveux en arrière d'un geste élégant de la main, ça sent le jardin de sa grand-mère lorsqu'elle était petite, mélange de fleurs et de plantes aromatiques. Ses talons claquent contre le sol, aussi longs que le sont ses ongles peinturés de rouge carmin. Sa robe semi-démodée atteint timidement ses genoux creux, laissant ses plis volés dans la brise s'engouffrant depuis la seule fenêtre ouverte de la salle de classe. Ses bagues cognent la poignée de porte lorsqu'elle la tourne aussi sèchement qu'érotiquement, sa langue passant dans ses dents pour y retirer l'excédent d'un café froid. Lorsque la porte s'ouvre, elle se retrouve enfin nez à nez avec le parent d'élève qu'elle attendait tant. Elle se force à se tenir droite, à relever la tête. Quelques mèches brunes de ses cheveux balaient sa nuque plissée. Ses lèvres couvertes d'un rouge à lèvre trop foncé s'étirent dans les plis de son fond de teint. La professeur, âgée d'une quarantaine d'année, a toujours eut un faible pour les jeunes pères de famille. Son côté vieille fille n'en ressort que trop bien. Alors elle dévoile ses dents à peine blanchit par son rendez-vous chez le dentiste du mois passé, elle met son manque de poitrine en avant. Elle sait qu'elle ne lui plaira pas de toute façon, mais elle aime jouer ce rôle dans ses propres comédies romantiques se jouant dans sa tête. D'un geste maniéré de la main, elle l'invite à rejoindre son bureau et à s'y installer, tandis qu'elle fait de même de l'autre côté. Elle n'a pas besoin de le détailler pour savoir à quoi il ressemble : chemise légèrement plissée mais pas suffisamment pour être célibataire, cravate nouée un peu trop strictement, bague à son doigt. Ses cheveux châtains sont tirés en arrière, sa barbe de trois jours apparaît timidement sur sa mâchoire un peu carrée. Il est beau sans être exceptionnel. Et elle aime ça. « Monsieur Richards, si je vous ai convoqué aujourd'hui, c'est pour parler de votre fille, mademoiselle Ksusha-Ann. » Elle force sur son timbre de voix bouffé par la nicotine, s'appuie sur sa main pour se pencher un peu plus en avant. Ksusha-Ann Richards est dans sa classe depuis bientôt un an maintenant et jamais elle n'avait eut à faire avec une enfant pareille. Oh, des turbulentes, elle en a eut. Des casses-cous et des têtus, à la pelle. Mais une enfant aussi en retard sur la supposée progression qu'elle devait faire, jamais. A se demander comment elle avait pu passer dans sa classe. Une légère grimace se peint sur sa bouche mordue, elle l'observe soupirer et passer une main dans ses cheveux. Un sourire lui vient, elle sait qu'il a l'habitude d'entendre cette phrase-là. « Je vous écoute, qu'a-t-elle encore inventé ? Est-elle retournée dans les toilettes des garçons parce qu'elle ne voyait pas le problème à ça ? A-t-elle encore donné des coups de pieds à la petite Fredericsen ? Est-elle retournée sur le toit de la cantine ? » Oh, oui. Il est habitué à cette phrase, à ces convocations. Bien trop souvent. Un nouveau sourire sur ses lèvres et la professeur se redresse, secouant la tête. « Je crains que ce soit pour quelque chose d'un peu plus... Sérieux que ses sottises d'enfant, bien que je sois personnellement persuadée que ces soucis-là soient liés à ce que je vais vous dire. » Le père fronce les sourcils, tripote sa montre. Il semble un peu mal à l'aise, un peu agacé, mais étrangement bien plus curieux. « Votre fille a... Disons, de très gros problèmes en écriture. Moi et mes collègues n'avions jamais vu ça. Et je... Laissez moi finir, fait-elle lorsqu'elle le voit prêt à lui couper la parole, rattrapant son ton un peu abrupt par un décolleté qu'elle remet en avant, je pense sincèrement qu'il serait mieux pour elle de redoubler une classe. Peut-être même redescendre d'une ou deux sections. Oh je sais, vous et madame Richards faites de votre mieux. Mais je crains que... Hé bien, que Ksusha-Ann ne soit... Hmm... Différente. » Elle hausse un sourcil, attend de voir s'il comprend son allusion. Et il ne lui faut qu'une minute pour le comprendre, lorsqu'il se redresse soudainement et l'observe d'un oeil critique et agacé. « Ma fille n'est pas une attardée ! Elle a simplement quelques... Difficultés à écrire, comme certains ont du mal à lire, ou à marcher, ou à ce que vous voulez d'autres de normal pour un enfant. Jamais elle ne retombera d'une classe, ce n'est pas ce qu'il lui faut. » La professeur affiche un air contrit et un peu gêné, bien qu'il n'en ait rien. Elle baisse doucement sa tête, se redresse à son tour pour lui faire face. « Allons, je ne voulais pas vous vexer monsieur Richards. Ksusha-Ann arrive parfaitement à faire ses devoirs et obtient régulièrement de bonnes notes en travaux oraux. Malheureusement, son... Soucis fait qu'elle ne semble pas concentrer totalement sur le cours, qu'elle le suit et le comprend en retard si elle doit l'écrire. Les classes au-dessus seront bien plus intransigeantes que la mienne, monsieur Richards. C'est bien pour cela que je vous ai proposé ces alternatives. » Les recherches n'ont jamais été suffisamment avancées pour comprendre ce que cette enfant a. Jamais, même, personne n'a réellement cherché. Une dysgraphie, silencieuse, destructrice. Ksusha-Ann a redoublé une année et a dû suivre des cours particuliers d'écriture... En vain. Jamais il n'y a eut d'évolution, jamais il n'y a eut de changement. Comme si elle était bloquée au stade de la découverte. Son stylo trace des courbes imprécises, des mots illisibles et étrangement espacés comme il ne le faut pas. La professeur sait depuis le début que la petite fille en souffre, que ses camarades la pointent du doigt, se moquent d'elle. Mais elle n'a jamais su comment régler cela. En réalité, elle ne l'a jamais vraiment voulu.
Vadim apothicaire, chemin de traverse, monde sorcier
Ses jambes épuisées terminent de descendre les marches, un grimoire gigantesque sous le bras. La cloche tinte, une fois, puis deux, et un sourire étire ses lèvres. Cela aurait pu en agacer plus d'un mais lui, lui est simplement heureux d'entendre ce son. Heureux d'entendre sa petite-fille, qu'il n'avait pas vu depuis deux ans par Merlin - et si peu avant cela qu'il pourrait ne pas les compter - s'amuser dans sa boutique d'apothicaire, au beau milieu du chemin de traverse. Il avait tant espéré la voir ici. Tant rêvé qu'elle soit une sorcière, elle aussi. Mais s'il avouait une chose pareille à son fils, il lui dirait sûrement qu'il lui a jeté un sort ou quelque chose comme ça pour qu'elle soit ainsi. Il faut dire que les nés-moldus sont plutôt rares, dans son monde, et que son fils n'a jamais voulu apprendre quoique ce soit sur la magie. Amusé, Vadim dépose le grimoire sur le comptoir et prend un temps pour observer Ksusha-Ann. La petite tornade brune gambade dans les allées, renifle une ou deux potions dans une grimace qui lui tire un rire franc. Lorsqu'elle l'entend, la petite fille vient immédiatement le rejoindre avec de grands yeux brillants. La main de Vadim passe dans ses cheveux, un sourire si émerveillé aux lèvres qu'il s'en surprend lui-même. Il n'a jamais été très démonstratif, à dire vrai. Mais se sentir si proche d'un membre de sa famille lui réchauffe son coeur engourdi. Et comment ne pas craquer face à ce visage d'ange ? Depuis qu'elle a reçu sa lettre pour Poudlard, il y a une semaine à peine, Ksusha-Ann passe son temps dans sa boutique. Elle en apprend sur le monde qu'elle va rejoindre d'ici peu, elle le découvre, elle l'observe comme un enfant regarderait ses rêves. Vadim n'y aurait jamais cru, malgré toutes ses espérances. Mais un jour, son fils lui a téléphoné, la voix raillée et un peu hésitante. Il ne sait pas comment il a pris une nouvelle pareille, lui qui désirait tant mettre sa famille en-dehors du monde magique que lui a dû subir toute sa vie... Le grand-père sait même de source sûre qu'il en ait venu à rayer le parrain de sa petite fille de leur vie à tous, lorsqu'il a appris sa nature de sorcier. Comme il l'a mis de côté lui, il y a plusieurs années. Un sourire triste se dessine sur ses lèvres plissées et, soudain, des bras frêles viennent l'entourer. « Il faut pas pleurer papi ! » Il manque de sursauter, dépose une main sur la tête déjà bien remplie de sa petite-fille. « Je ne pleure pas » Fait-il doucement, la prenant dans ses bras. Merlin, ce qu'elle ressemble à sa grand-mère. « Non, mais tes yeux sont tout mouillés ! » Elle lui arrache un rire attendrit lorsque ses doigts enfantins essuient des larmes fantômes sur ses joues. Dire qu'il y a encore une semaine, elle savait à peine qui il était. Et pourtant, lorsqu'elle est entrée ici pour la première fois, c'était comme si elle avait toujours été à ses côtés. Elle lui avait sourit, lui avait parlé comme un enfant parlerait à ses parents. Et plus les jours se sont écoulés, plus Ksusha-Ann a semblé s'attacher à lui. Vadim n'est peut-être pas un né-moldu, mais il peut comprendre à quel point découvrir un monde nouveau peut être perturbant, déstabilisant. Il sait à quel point Poudlard n'aide pas spécialement les gens comme sa petite-fille à s'intégrer. Alors il serait celui qui ferait d'elle une vraie petite sorcière, et il voit dans son sourire qu'elle l'a parfaitement compris. « Papi ? » Appelle-t-elle finalement, le tirant de ses songes. Rapidement, il la dépose sur une chaise et s'assoit à ses côtés. « Oui Ksusha ? » C'est lui qui a choisi ce nom. Lui qui a tellement voulu qu'elle se nomme ainsi. Il ne sait pourquoi son fils a accepté sans trop rechigné - il en soupçonne sa belle-fille de l'avoir fait céder - mais il est bien trop fier de l'origine de ce nom pour y redire quoique ce soit. « On est pareil toi et moi, n'est-ce pas ? » Cette question, il l'entend pratiquement tous les jours, comme si elle voulait s'en assurer, comme si elle avait peur d'être seule. Il étire un léger sourire, hoche la tête et tire le grimoire vers eux. L'histoire de Poudlard. « C'est l'école où je vais aller ? Poudelare ? » Il rit, mais n'essaie même pas de la corriger, ouvrant plutôt le livre à la première page. « C'est ça Ksusha. Tu vois ce croquis ? C'est le château. » Emerveillée, la petite fille tire le livre vers elle avant de se lever sur sa chaise, le doigt pointé sur le livre. « CA BOUGE ! » A nouveau, un rire fuit les lèvres usées de l'apothicaire. « Oui et tu vas devoir t'y habituer, parce que là-bas... Tous les dessins, les tableaux, les peintures, ont une vie. » Amusé, il l'observe se réinstaller confortablement, la bouche grande ouverte sur un woaaaaw. Et il se mit à lui enseigner ce monde à laquelle ils appartiennent enfin tous deux.
Bal de Poudlard, monde sorcier
« Ca ne fait pas trop... Trop ? » Fait-elle avec une grimace peinte sur ses lèvres. L'animal ricane, déposé au beau milieu du lit sous sa forme de caïman. Oh, il n'est pas bien gros, mais il est suffisamment long pour occuper une bonne partie du matelas. Ses yeux à demi-clos scrutent sa propriétaire, se souvenant sans aucune difficulté de la première fois qu'il l'a vu. En réalité, il n'a jamais été aussi effrayé que ce jour-là. Il était à la fois désireux de s'imposer, à la fois angoissé à l'idée... D'exister, comme s'il comprenait que ça n'était pas normal. Alors que elle, elle... Elle s'était contentée de l'observer après un sursaut franc, une grimace incompréhensible aux lèvres avant de lui tapoter le crâne. Comme si c'était une évidence. Comme si ça ne lui semblait pas étrange. Mais au fur et à mesure, le patronus avait bien compris que la brune est étrange, un peu en décalée par rapport à ses camarades. A travers les souvenirs qu'il a réussi à acquérir, Vad a pu découvrir par lui-même que la plupart de ces derniers le pensaient depuis le premier jour d'école de la brunette. Impulsive, imprévisible, vive, elle existe et ne s'en cache pas, bien au contraire. Pourtant, le côté amical et amusant de la brune lui a toujours permis de se trouver quelques amis, bien que certains sont de la même trempe qu'elle : pas froid aux yeux, qui aime faire les quatre cent coups. C'est ce détail précis qui rend Vad si serein et soulagé lorsque Ksusha-Ann se retrouve avec sa meilleure amie, une serdaigle bien plus posée qu'elle. Elles se sont rencontré il y a peu dans la boutique de son grand-père, Emeraude étant venue y travailler pour l'été. Mais depuis, Vad ne les a jamais vu se quitter. Comme des aimants qui se retrouvent enfin après de longues années d'attente, de froid sans l'autre. Alors parfois, il y a des disputes, parfois, il y a des malentendus - et Vad n'oserait jamais le penser tout haut, mais il trouve bien souvent que cela est dû au caractère bien aiguisé de sa propriétaire - mais... Jamais rien qui ne défait cette amitié aussi soudaine que bienvenue. Ce jour-ci, elles se trouvent toutes deux dans le dortoir de la bleue, se préparant pour un énième bal organisé par le château. Sauf que cette fois-ci, Ksusha a visiblement décidé de surprendre tout le monde de la manière la plus efficace qui soit : s'habiller en fille. Amusé, le caïman la voit faire virevolter sa robe légère d'un carmin qui s'accorde à la perfection avec son tempérament de flamme. Elle n'a pas l'air à l'aise dans ce bout de tissu, ne fait que remonter sa poitrine dans une grimace dérangeante et tirer sur sa robe pour la descendre un peu plus. Mais, dans un rire, la serdaigle se contente toujours de lui taper doucement sur les doigts et lui affirmer qu'elle est parfaite. « Tu vas tuer tout le monde d'une crise cardiaque ! » S'amuse à lancer le patronus, bien que soudainement un peu effrayé à l'idée d'avoir raison. Oui, il a toujours été ce côté plus pragmatique mais surtout plus... Pied sur terre et un peu paranoïaque sur les bords. Drôle de façon d'être pour un animal qui a toujours préféré se retrouver dans l'eau, mais il a toujours été ainsi. Ce qui compense sans aucun doute le manque d'instinct de survie ou de réflexion sur ce genre de sujet de Ksusha. Celle-ci, à sa remarque, se contente de lui faire un doigt d'honneur avant de repasser ses mains dans ses cheveux - longs à l'époque - et détachés. Elle soupire en se fixant dans le miroir une dernière fois. Du maquillage recouvre légèrement son visage, des talons finissent sa tenue... Vad ne la reconnaît pas. Mais elle est si belle, il en est fier. Un rictus lui vient malgré tout, se répercutant très certainement dans le crâne de la brune qui le bouscule un coup avant de sortir du dortoir d'un pas mal assuré. « Les garçons vont jamais me reconnaître putain d'merde » lâche la jeune femme d'un ton... Tout à fait élégant, attirant un rire au patronus s'étant transformé en chat viverrin. Patronus qui a toujours été un peu exaspéré à l'idée que la bande de pote avec laquelle traîne régulièrement Ksusha soit... Constituée uniqument de garçon. Philip, Jared, Sven, et Sirrush. Sirrush qu'elle semble apercevoir dans la salle puisqu'une fois arrivée, la brune s'élance vers une silhouette familière, un sourire accroché aux lèvres teintées de rouge. « Sirrush ! » Vad lève la tête, observe d'un oeil à la fois méfiant et à la fois défiant au patronus du rouge et or. « Bonsooir jeune demoiselle » Fait soudainement la voix suave et charmeuse du gryffondor, attirant un coup d'oeil vif de la part du patronus. « Pourquoi est-ce qu'il te drague ? » Fait-il, aussi étonné que... Méfiant, comme à son habitude. « Est-ce qu'on se connaît ? Je suis pourtant certain que je me serais souvenu de vous » Et c'est reparti pour le beau blabla habituel que le gryffondor sort à toutes les filles. Toutes... Sauf à Ksusha, normalement. Vad plisse les yeux, se colle aux genoux de la jeune brune qui ricane. « Mais Sirrush, c'est moi, Ksusha. Abruti va ! » Un silence tombe entre les deux protagonistes. Tout ce qu'aperçoit le patronus, c'est la tenue décontractée du gryffondor, le gros chat à ses côtés, et l'alcool qui coule un peu trop à flot pour une soirée organisée par l'école. Il allait devoir faire attention aux conneries de Ksusha, encore plus que d'habitude. « Ksusha... Tu es une fille ! » Excédé, le patronus lève les yeux au ciel, laissant la brune taper dans le bras de son ami. Il ne l'a pas volé, après tout. « Bien sûr que je suis une fille pauvre tâche ! Une fille qui n'hésitera pas à te frapper à nouveau si tu recommences ton bordel de dragueur à deux mornilles là, hein. Non mais y en a qui se font avoir dis moi ? » Soupirant, Vad échange un regard blasé avec le gros matou du gryffondor qui, visiblement, n'avait même pas reconnu la jeune femme. Ce qui, en soit, n'a rien de bien surprenant. A croire que Ksusha et fille n'ont pas grand chose à faire ensemble, finalement.
salle de classe, poudlard, monde sorcier
Il lui avait dit, pourtant. Il lui avait dit que quelqu'un arrivait, mais non. Elle ne l'avait pas cru. D'accord, peut-être passait-il un peu trop son temps à sursauter et angoisser pour le moindre bruit qu'il entendait lorsqu'il devait faire le gai. Mais il avait eut raison, cette fois-ci, quelqu'un était bien en train d'arriver lorsqu'elle s'amusait à repeindre les armures de la galerie du château en jaune poussin ! Il ne sait même pas pourquoi elle avait voulu faire une chose pareille. Une envie de mettre de la couleur dans le château, avait-elle dit. En réalité, il n'y avait pas eut que du jaune poussin. Certaines avaient hérité de bleu pétant, d'autres d'un rouge sang, d'autres encore d'un vert canard. Et parfois, elle leur dessinait des petites moustaches ou des sourcils pour les rendre un peu plus vivantes. A écouter Ksusha, les armures l'auraient remercié. Le patronus ne sait même pas s'il doit la croire. Le fait est que, encore une fois, la demoiselle se retrouve en retenue un samedi soir. Le fait est que, encore une fois, Ksusha est attablée à ce même bureau, devant le même professeur. Professeur qui commence, ce jour-ci, à s'habituer à la voir dans sa salle de classe pour autre chose que des cours. En réalité, Vad sait pourquoi c'est encore et toujours lui qui s'occupe de ça, à part de rares fois où lui-même est surpris. Lorsque Ksusha s'est retrouvée en retenue avec un autre professeur, la dernière fois, celui-ci lui a demandé de recopier des lignes, pourtant conscient de sa dysgraphie. Ksusha, au départ dépitée, ne s'est pas laissée faire et a saccager la pièce avant de le menacer de se plaindre au directeur de sa maison pour une faute professionnelle de la sorte. Le professeur n'était pas méchant en soi, malgré sa punition somme toute cruelle, mais Ksusha a violemment retourné sa salle de classe ce jour-ci. Après quelques retenues supplémentaires à cause de ce comportement, Ksusha n'a plus jamais eut à faire à cet enseignant. Vad ne sait qui plaindre le plus : Ksusha, ou bien ce professeur. Au moins a-t-il la chance, lui, de ne pas devoir la supporter lorsque l'envie lui prend de discuter de la guerre qu'elle juge stupide et de ses opinions politiques. Dans ces moments-là, même le patronus ne peut pas l'arrêter, destiné à subir son courroux détourné. La plume à papote de la jeune femme danse sur le parchemin, alors que le caïman se tourne vers le professeur assit derrière son bureau. La sorcière l'oublie bien trop souvent à son goût mais il y a peu, celle-ci a appris que l'enseignant n'est autre que son parrain. Oui, son parrain. Celui que son père a délibérément mis de côté en apprenant sa nature sorcière. Lorsque Ksusha a découvert cette histoire, elle n'a plus parlé à son père durant de longues semaines de vacances d'été, ou bien seulement pour lui gueuler dessus. Elle sait qu'il n'apprécie pas trop son caractère un peu trop de feu - son grand-père lui soutient sans arrêt qu'elle tient énormément de sa grand-mère disparue - et qu'il a un peu trop en horreur le monde magique... Ksusha peut le comprendre, en réalité, elle n'est pas idiote. Elle sait se mettre à sa place, et elle aussi si elle avait été enfant - adoptée qui plus est - d'un sorcier sans pouvoir connaître ce monde-là... Elle aussi, elle se serait retrouvé à s'en méfier, à presque le détester. Comment faire autrement, lorsque l'on découvre que le monde n'est pas ce que l'on croit, qu'une partie de lui est flou mais que l'on ne pourra jamais y voir clair ? Mais elle n'avait pas pu s'empêcher d'avoir des crises de colère. Parce que son père n'avait pas à décider de qui était dans sa vie ou non. Certes, elle n'a jamais appris à connaître son parrain, elle découvre seulement récemment qu'elle en a un même, mais... Tout de même. Ce n'est pas quelque chose d'important, en réalité, pas lorsqu'elle se retrouve dans une retenue avec lui ou lorsqu'ils ont une quelconque altercation, parce que la brune l'oublie un peu trop souvent. Mais, elle n'aime justement pas oublier ces détails-là qui font d'elle ce qu'elle est. Qui font de sa famille ce qu'elle est. Elle n'arrive même pas à se dire qu'il s'agit d'un ami de son père - évidemment, lorsque ce dernier a repris contact avec lui, Ksusha a été à la fois contente, à la fois exaspérée - lorsqu'elle se trouve à Poudlard. Comme si, sans forcément le connaître, elle ne pouvait pas concevoir le fait que le professeur Wellington l'ait vu grandir.
Dernière édition par Ksusha-Ann Richards le Dim 6 Mar - 19:44, édité 2 fois |
| | Re: out of control (Ksusha)par Invité, Mer 24 Fév - 11:09 ( #) |
Dernière édition par Emeraude A. Prewett le Mer 24 Fév - 11:12, édité 2 fois |
| | Re: out of control (Ksusha)par Invité, Mer 24 Fév - 11:10 ( #) | Emily pas moyen faut qu'on est un lien etçamemanquederpavectoi Bref bon retour à la maison |
| | Re: out of control (Ksusha)par Invité, Mer 24 Fév - 11:14 ( #) | Emily Comme tu es belle Rebienvenue chez toi |
| | Re: out of control (Ksusha)par Invité, Mer 24 Fév - 11:22 ( #) | Emily Rebienvenue et bon courage pour ta fiche |
| | Re: out of control (Ksusha)par Invité, Mer 24 Fév - 11:24 ( #) | Emeraude > mposldkfjqslkdjfqs Depuis le temps qu'on attend ça (dire que je m'étais dit maximum deux ou trois comptes ici hein en revenant alors que j'en ai encore un qui attend là, même deux) Ryan > Jennaaaa Oh oui des liens, je veux. Ca me manque aussi Charlie > Merciii Joakim > Merci |
| | Re: out of control (Ksusha)par Invité, Mer 24 Fév - 11:25 ( #) | Re bienvenue chez toi Une pro-ordre, j'adhère Et j'aime beaucoup le pseudo |
| | Re: out of control (Ksusha)par Invité, Mer 24 Fév - 12:27 ( #) | Nih rebienvenueee ! |
| | Re: out of control (Ksusha)par Invité, Mer 24 Fév - 12:40 ( #) | Emily Rudd et tes patronus sont Rebienvenue à toi et bon courage pour ta fiche |
| | Re: out of control (Ksusha)par Invité, Mer 24 Fév - 12:56 ( #) | Haaan un TC J'aime ton pseudo Re-bienvenue etjeveuxunlien. |
| | Re: out of control (Ksusha)par Invité, Mer 24 Fév - 13:06 ( #) | ksuuuuuuuuuuuuuu rebienvenue t'as réservé qu'un seul post d'histoire ça va suffire ? /crève/ liens. |
| | Re: out of control (Ksusha)par Invité, Mer 24 Fév - 13:35 ( #) | Quel joli personnage Hâte de voir ce que ça va donner ( car ça va donner ) Re-bienvenue! |
| | Re: out of control (Ksusha)par Invité, Mer 24 Fév - 14:28 ( #) | |
| | Re: out of control (Ksusha)par Invité, Mer 24 Fév - 14:30 ( #) | Emily elleesttellementcute Joveux aussi un lien avec elle Re bienvenue à la maison sinon |
| | Re: out of control (Ksusha)par Contenu sponsorisé, ( #) | |
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