Nom:Lupin Prénom: Hippolyte Âge et Date de Naissance: vingt et un avril mille neuf cent cinquante neuf , soit vingt trois ansNature du sang: sang mêlé Situation familiale: Un père, Peregrine Lupin. Un psychomage avec lequel elle a des relations plutôt conflictuelles et sa petite soeur Trisha, de qui elle est très proche depuis toujours. Trisha est un peu comme son premier enfant. Patronus: un Maine Coon nommée Pia. Miroir du Rised: Retourner en arrière, lorsqu'elle avait huit ans. Dans son Rised, Hippo verrait sa mère, et serait certainement dans ses bras, en sécurité, à jamais. Epouvantard: Le vide, le néant, le rien. Composition de la baguette magique: Crin de licorne et bois de tilleul argenté Etudes Suivies: douzième année d'offensive magique option legilimancieAnimal de compagnie: Elle n'en a pas, à moins que les souris chassées par Pia ne comptent...

Hippolyte est une jeune femme de caractère. Elle parait très sure d'elle et presque obtue, ce qui cache un manque d'assurance du au fait qu'elle a grandit sans modèle féminin, sans sa mère. Elle s'est donc construit comme on marche sur des oeufs, tentant d'en être un pour sa soeur cadette du mieux qu'elle pouvait. Sauvage et asociale, on pourrait même la décrire comme agoraphobe et solitaire, du moins, quand on la connait bien. Son agoraphobie n'est pourtant pas très importante, les bains de foules lui créant des crises d'angoisses, elle vit plutôt bien le fait d'être dans des lieux publics en règle générale. En revanche, sa solitude presque maladive est souvent méconnue de son entourage, car la jeune femme le dissimule très bien, en se montrant sociale et guillerette. Sanguine et irascible, elle se montre souvent impatiente et irritée à la moindre occasion. Seule sa soeur peut lui faire naître une patience à toute épreuve. En classe, Hippolyte est plutôt du genre rebelle, sans grand respect pour ses supérieurs hiérarchiques. Elle répond, donne son avis à tout bout de champs et s'est même déjà battu en pleine cours de DCLFDM. Jeune femme plutôt dure à cerner, elle peut être presque violente comme sensible et vulnérable. Par dessous cette carapace de force et d'invulnérabilité se cache une jeune femme douce et instable, qui se cherche sans cesse et qui ne sait pas sur qui se reposer. A la mort de sa mère, c'est un sentiment d'abandon profond qui l'a envahit, malgré les efforts de son père pour faire au mieux. Ce sentiment d'être seule au monde, de n'avoir que soi-même pour continuer. De ce fait, la jeune femme s'est crée elle-même un handicap social. Un refus de toute attache, ou presque. Loin de toute relation amoureuse, elle se décrit elle même comme louve solitaire, ne cherchant ni rencontre profonde, ni changement. Elle a des amis mais ses relations sont souvent superficielles. Ses divergences de comportements ont été diagnostiqués de troubles socio-affectifs il y a quelques années, à cause de ses difficultés à maîtriser les situations sociales et émotives ; son impulsivité : son comportement est dicté par les émotions; sa difficulté à engager et (ou) à entretenir des relations... Au delà de ses troubles sociaux, l'étudiante peut se montrer légère et drôle lorsqu'elle est détendue, avec ses amis ou sa famille par exemple. Contrairement à ce qu'elle veut à tout prix faire croire, elle prend les choses très à coeur, elle peut même se montrer très empathique envers de simples inconnus. Hippolyte paraît donc étrange à première vue, mi sociale, mi très mystérieuse ; entre terre à terre et très lunaire, seuls les personnes qui la connaissent très bien et depuis longtemps savent qu'elle est profondément bienveillante et généreuse. Son étrangeté vient donc surtout du fait de son introversion, cet espèce de mystère qu'elle garde du fait de ne jamais parler d'elle-même, malgré sa facilité à aller vers les autres.
En cours, Hippolyte est plutôt calme et sérieuse, mais n'hésite pas à dire ce qu'elle pense tout haut lorsqu'elle n'est pas du tout d'accord avec ce qui est raconté,à provoquer le professeur, à sortir de classe. Cela ne l'empêche pas d'avoir des notes excellentes depuis son entrée à Poudlard, l'une des premières de sa classe en partie parce qu'elle est très sérieuse dans son travail, mais aussi parce qu'elle est d'une grande curiosité intellectuelle. Hippolyte est du genre à avoir une réponse à toutes question, un avis sur chaque chose, ce qui peut être très agaçant mais aussi très intéressant pour avoir une conversation, faire un débat. Enfin, comme son oncle, Hippolyte est atteint d'une insensibilité congénitale à la douleur. Cette particularité, elle l'a découvert lors de sa petite enfance lorsqu'elle est tombée des escaliers et que malgré le fait qu'elle était tombée dans les pommes et qu'elle saignait beaucoup, elle n'éprouvait aucune douleur. Ses parents ne la croyaient pas au début, jusqu'à ce que Peregrine repense à son cousin et à son insensibilité à la douleur... Quelques analyses plus tard, le diagnostic était posé chez la petite blonde.

Lien recherché: description ici. Ut enim quisque sibi plurimum confidit et ut quisque maxime virtute et sapientia sic munitus est, ut nullo egeat suaque omnia in se ipso posita iudicet, ita in amicitiis expetendis colendisque maxime excellit.
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