Angleterre, mars 1957. Une moldu comme bien dans ce monde voit le jour dans un hôpital non loin de Londres. Maïwenn Esmeralda O'Leary. Elle a grandi normalement, ni dans la richesse ni dans la pauvreté. Une petite maison dans la banlieue de Londres et deux parents aimants. Elle alla à l'école comme tous les enfants de son âge. Même étant petite Maïwenn avait déjà la langue bien pendue et se faisait facilement des amis. Une grande partie de sa primaire se passa très bien, Maï étant de nature travailleuse.
C'est à l'approche de ses onze ans qu'elle changea d'attitude. Têtue, n'en faisant qu'à sa tête, Maïwenn devint rebelle au grand désespoir de ses parents. A ce moments ses pouvoirs commencèrent à se montrer lors de forts moments de colère ou d'énervement, effrayant encore plus ses parents qui ne comprenait pas ce qui arrivait à leur fille. Lorsque la fameuse enveloppe arriva le jour des onze ans de Maï se fût à la fois un soulagement pour ses parents car ils comprenaient enfin pourquoi leur enfant était si bizarre ces temps si, mais d'un autre côté on leur demandait de laisser leur fille aller dans une école qu'il ne connaissait pas pour faire de la magie. Mais ils n'avaient plus de solution et décidèrent de l'envoyé faire sa scolarité à Poudlard.
Maï elle n'était pas si enchanté que ça et ne comprenait pas pourquoi elle était différente des autres. Elle ne voulait pas quitter ses parents et sa vie à Londres. Quand elle est allé faire ses fournitures dans le chemin de traverse, qu'elle eut beaucoup de mal à trouver malgré les indications, elle était totalement perdue. Sur sa liste s’enchaînait des noms d'objets complètement inconnus. Elle n'avait pas très envie d'aller à Poudlard mais la magie l'attirait quand même et trouvait cela passionnant. Ce qui la marqua le plus c'est l'achat de sa baguette c'est Ollivander. A ce moment-là tout prenait vraiment fore. Une baguette en bois d'ébène avec une plume de Phoenix en sont cœur. Elle en avait essayé pas mal avant de trouver la bonne mais quand elle prit celle-là dans les mains elle sut directement que c'était la bonne.
Lors de ses premières années à l'école la jeune fille ne se calma pas vraiment et resta turbulente et rebelle. Elle continuait tout de même de travailler, grâce à ses facilités qu'elle découvrit au fur et à mesure de sa scolarité dans cette nouvelle école et s'assurait des bonnes notes.
Son cycle primaire se termina mieux qu'il n'avait commencé. Maï se calma et continua à travailler. La magie la passionnait vraiment et elle voulait toujours en savoir plus. Pour elle tout était nouveau puisqu'elle est une moldu. Ce qui la fascinait le plus c'était les combats et les sortilèges d'ailleurs en cycle secondaire elle pensait s'orienter en offensive magique pour approfondir ses connaissances en combat et s'y former d'avantage mais aux examens de fin d'années elle eut de très bonnes notes et après mures réflexions elle choisit l'enseignement. Non pas par dépit loin de là mais au fond d'elle Maï savait qu'enseigner, vu son niveau serrait plus utile. L'enseignement magique n'étant réservé qu'au meilleurs elle ne voulait pas gâcher sa place car beaucoup voulait y aller et peu y arrivait.
Maintenant elle entame sa deuxième année de son cycle tertiaire. Elle compte bien devenir professeur: Professeur de Défense contre les Forces du Mal et d'Entrainement pour le cursus Offensif. Il y a peu de temps Maï pris enfin parti pour un des deux "camps". Elle en avait marre de joué les "neutres". Il fallait bien prendre position un jour ! Etant maintenant pro-ordre elle se mit dans la tête de convaincre Meredith de devenir pro-ordre tout comme elle.
Meredith, elle avait entendu parlé de lui il y a peu de temps à cause de la mort de ses parents. Un jour à la bibliothèque elle se décida enfin à aller lui parler. Ils discutèrent, Maï ayant toujours quelques choses à dire, tenta de le réconforter comme elle pouvait. Une amitié naissait entre les deux sorciers. Le temps passait et les deux restaient de plus en plus souvent ensemble (à cause de sa mission mais la présence du jeune homme ne déplaisait pas à Maï non plus), n'échappant pas à quelques remarquer taquines de certaines. Mais Maï n'en avait que faire. Pour lui Meredith devint plus qu'un ami mais pour l'instant aucun ne le fit comprendre à l'autre.