BELLUM PATRONUM


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I guess the only thing that makes me feel like myself these days is when I’m not. ➳ Stelian
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Message I guess the only thing that makes me feel like myself these days is when I’m not. ➳ Stelian
par Invité, Mar 3 Mai - 23:02 (#)
Stelian Ioshua
Tzara
ft. Sebastian Stan
Sang Mêlé
27 ans
Célibataire
Pansexuel
Batteur professionnel des Flèches d'Appleby
Élan d'Eurasie / Bec En Sabot du Nil
Neutre
crédit images
   
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À propos
Nom: Tzara. Non, je n'ai aucun rapport avec l'un de ces chefs de file de je ne sais quel mouvement Dada. Mais il s'agit tout de même d'un nom que le monde sorcier connaît en Roumanie pour sa présence dans le domaine des créature magiques et plus particulièrement des Hippogriffes. Un nom qui pèse lourd sur mes épaules alors qu'il vous est probablement tout à fait inconnu. Je ne peux vous en vouloir. Prénom: Stelian , c'est le nom que tout le monde utilise le plus communément, c'est surtout le nom qui peut-être, sonne le plus anglophone. Peut-être une raison pour laquelle tout le monde choisit de l'utiliser? Qu'est-ce que j'en sais. Ioshua est mon second prénom. Par habitude je me présente toujours par mes deux patronymes, à chacun de choisir celui qui lui sied le mieux. Ioshua est le prénom utilisé dans la sphère familiale. C'est aussi le prénom de mon père, ça se fait, dans la famille.Âge et Date de Naissance: 27 ans à l'instant présent, je suis né le 13 Août 1954. Pas facile de l'oublier quand on ne cesse de vous rappeler combien le treize peut porter malheur.  Nature du sang: Sang-Mêlé au milieu des loups au sang pur. Je suis une erreur à qui l'on n'en pardonne aucune. Combien de fois me l'a-t-on dit après tout: je ne porte le nom de mon père que parce que celui ci dans sa grande mansuétude a accepté de reconnaître un fils qui n'était pas le sien. Je me dois d'honorer ce nom comme si l'erreur qui coule dans mes veines n'avait jamais existé. C'est le plus grand mensonge de ma vie. Je connais mon statut, mais publiquement c'est une réponse qui reste floue. Des rumeurs des assomptions, mais aucune réponses claires. Je suis l'enfant d'une famille de sangs purs, pour le reste les touristes et autres journalistes pourront utiliser leur imagination. Situation familiale: La majeure partie de ma famille est restée en Roumanie, ma patrie de naissance. Je suis toujours en contacte avec mon père et ma mère quand bien même il me soit souvent dit que je me fait du mal. Je ne suis pas en bon termes avec mon père, trop autoritaire trop droit, trop tout, alors que je ne suis rien. Mais si je continue d'y aller c'est pour ma mère qui m'a toujours épaulé même de loin, même si elle ne savait pas trop sur quelle chaise s’asseoir. De l'aide, même timide lorsque l'on est tiré vers le fond sans cesse, c'est toujours précieux. Et ignorer cela, même si je parais être le plus immature de mon équipe de Quidditch, me paraîtrait être exagéré. Ce n'est pas la faute de ma mère si mon père ne m'accepte pas, si nous nous battons constamment, et si j'ai décidé de fuir le tombeau familial que l'on avait créé juste à ma mesure.Patronus: Conştiinţă est un élan d'Eurasie. Oui, ceux que l'on peut trouver dans certains pays de l'est qui n'ont gère de différences avec leurs cousin d'Amérique si ce n'est une couleur plus claire et un nom distinct. C'est un élan au bois larges et menaçant malgré son caractère habituellement pacifique. Si j'utilise son nom roumain, les autres préférerons généralement son équivalent traduit: Conscience. Il comprend les deux et est loin d'être stupide. Il a aussi révélé une seconde forme: un Bec en Sabot du Nil, grand oiseau au plumage gris bleu, qui n'a rien à envier au calme de l'élan. Miroir du Rised: Malgré ma langue bien pendue et ma propension à être un peu trop curieux, le reflet que me renvoie ce miroir est une chose que je préfère garder pour moi, et dont je ne parle jamais, sauf en cas d'extrême nécessité. Mon miroir ne me concerne pas, aussi surprenant que cela puisse paraître, je me vois peut-être, mais ce qui me marque le plus dans mon reflet est la présence à côté de moi, du rejeton Lupin, celui qui m'a, comme qui dirait, offert le meilleur accueil à mon arrivé en Grande Bretagne, et celui qui fait certainement partie des êtres que j'ai de plus chers au Monde. Je vois un Illyrio vivant, je le vois souriant et frais, je le vois à mes côtés, et chaque fois que j'y pense, cela me rappelle ô combien je crains de le perdre. C'est une apparition qui semblerait si anodine à beaucoup, mais qui, sans que j'accepte de dire pourquoi, me tord toujours un peu plus les boyaux. Epouvantard: L'odeur étouffante des hôpitaux, ce sont des types en blouse blanche, l'isolement... Tant de formes que l'Epouvantard prendra pour venir à bout de mes forces. Il lui arrive aussi de se montrer sous les traits de mon père, quand bien même il ne m'effraie pas réellement, il est l'une de ces faiblesses que l'on n'accepte pas d'avouer. Composition de la baguette magique: 32 centimères, Ventricule de coeur de dragon, en bois de Sycomore.  Emploi: Batteur professionnel de l'équipe de Quidditch des Flèches d'Appleby, je suis fier d'être arrivé là et même si je parais dissipé et pas franchement sérieux, je ne laisserai ma place pour rien au monde. Cela va sans dire que j'apprécie aussi, mes petits moments de gloire lors des matchs. Et dissipé ou non, je ne manque que rarement ma cible. Animal de compagnie: Cneaz, un hippogriffe aux couleurs sombres. Ne vous en faites pas, même si je suis un as pour oublier les délais, les papiers sont en règles et Cneaz est un caractériel à l'attitude aussi douce qu'il peut se montrer charmant. Il est de tradition dans la famille que chaque membre obtienne son poulain à sa majorité. Mouton noir de la famille j'ai tout de même eu le droit d'accéder à cette tradition, sous les pressions de ma mère, et c'est cette année là que j'ai reçu Cneaz. Son nom traduit signifie Prince, mais n'essayez pas de l'appeler ainsi, il ne vous comprendra pas. Il ne comprend par ailleurs que les ordres en roumain et n'accepte d'être approché que par moi, et Illyrio. Celle qui me porte le courrier se nomme Tăcere (Silence, pour les incultes) et est une chouette chevêche amicale et câline. Très gourmande aussi.
Caractère
S'il y a bien une chose remarquable à propos du jeune Tzara, c'est sa capacité à passer pour un véritable cancre alors qu'il est en réalité une personne brillante et avec de grandes capacités. Pour peu qu'il s'en donne la peine ou qu'il ait une motivation correcte, il est capable de bien des choses qui auraient donné du fil à retordre à ses camardes. C'est un jeune homme avec un potentiel bien réel, mais aussi totalement gâché. En effet, son comportement changeant et imprévisible, en plus d'être presque constamment dans la provocation, est très difficile à gérer et canaliser. Si lorsqu'il était plus jeune, le roumain ne se dressait que contre l'autorité parentale, cette habitude à commencé à envahir d'autres formes d'autorités, et il est au jour d'aujourd'hui habitué à sans cesse se confronter au limites, aux règles quelles qu'elles soient. C'est un jeune homme qui n'apprécie ni les limites que l'on lui impose, ni les figures d'autorités. Il n'a pas de cran d'arrêt et peut par moments se montrer dangereux pour lui-même mais aussi pour les autres, s'il n'est pas, ironiquement, correctement encadré. Rares sont les personnes qu'il écoute, mais il repose toute sa confiance sur ces personnes là.

Parlant confiance, Stelian n'est pas exactement un exemple à suivre. En effet il affiche publiquement un excès de confiance considérable, véritable bête de scène il n'hésite généralement jamais à aborder les gens, il sait ce qu'il faut faire pour se faire apprécier du public, et chaque match qu'il joue est pour lui une démonstration de plus. Il est la part festive d'un groupe, celui qui plane sur son nuage sans accepter que l'on lui demander de se montrer réellement sérieux. Mais cette excès de confiance n'a d’égal que sa jalousie. le jeune batteur est en effet paranoïaque, une paranoïa maladive, destructrice, qui n'épargne ni son entourage, ni sa propre personne. S'il a de bon jours, il entre souvent dans des phases handicapantes de jalousie, et de peur symptomatiques. Tout devient alors un ennemi, ses meilleurs amis complotent contre lui, son Patronus devient un danger, il s'enferme dans sa coquille et tenter de l'en sortir est un véritable combat. Sa paranoïa est tout à fait surdimensionnée et lorsqu'il n'est pas dans un état incontrôlable, le jeune homme s'en rend compte, en a honte. Il ne s'empêche pourtant pas de continuer, il refuse de l'admettre, et s'il accepte de prendre de quoi canaliser ses maux, c'est uniquement grâce à ses collègues. Il a déjà passé quelques temps à l'hôpital pour ses crises, et la seule motivation qui l'incite à suivre son traitement de manière à peu près correcte, c'est de ne plus y retourner.

Maître de tous les excès, Stelian, fidèle à lui-même, teste tout ce qu'il lui est possible de tester. Les substances illicites ne lui sont aucunement inconnues, qu'elles soient moldues ou sorcière, cela lui importe peu. Cela n'est évidemment pas public, mais Stelian essuie depuis bien trop longtemps déjà des problèmes de toxicomanie. Des rumeurs ont couru et courent encore aujourd'hui, mais jusqu'à présent, le batteur a toujours su éviter les problèmes, que ce soit par de surprenantes pirouettes pour échapper aux questions difficiles, ou une gestion de son emploi du temps que l'on ne lui soupçonnerait pas de manière à ne rien risquer pendant les matchs. Il sait ô combien cette petite addiction peut être destructrices et l'est déjà, mais comme d'habitude, il ne semble pas s'en rendre compte, et n'écoute pas les conseils que l'on lui donne. Stelian est un jeune homme entêté, et les conseils, le plus souvent, passe par une oreille et ressortent par l'autre.

Cela ne signifie pourtant pas qu'il ne sait pas écouter. Il apprend vite, un peu trop peut-être, et n'a jamais jugé bon d'étudier plus que cela, aux vues de sa capacité à assimiler les cours et autres sortilèges pratiques. C'est pourtant un jeune homme plein d'ambition aux rêves un peu trop éloignés de la réalité pour certains. Mais il a la tête dure et ne se laissera jamais dire qu'il lui est impossible de réussir. Preuve en est sa récente arrivée en Angleterre dans les flèches d'Appleby. Arrivée tellement récente que le jeune roumain parle encore aujourd'hui un anglais très approximatif. Il a besoin que l'on lui parle lentement pour suivre une conversation, parle d'un anglais haché et maladroit, faisant souvent des erreurs de langues malgré sa tchatche habituelle. Il n'est pas rare de l'entendre jurer en roumain, se parler à lui-même dans sa langue natale, ou même utiliser le roumain pour parler à ses interlocuteurs, généralement lorsqu'il souhaite que ses mots ne soient pas compris.

Stelian a des idées bien à lui sur tout ce qui touche à la pureté de sang. Sa famille étant une famille de sangs purs, on lui a tout naturellement inculqué la haine des moldus et autres sang mêlés. Sang mêlé étant ce qu'il est lui, ce sont des mots qui ont toujours été durs pour lui, il a grandi avec dans l'idée qu'il ne seraient jamais suffisant. Son père n'a de cesse de le lui faire remarquer, une pression mentale qui joue beaucoup sur les nerfs du roumain, mais qui est, fort heureusement, un peu apaisée par une mère qui essaie de contrebalancer ce malêtre. Tout ce que Stelian fait aujourd'hui, il le fait pour sa mère, pour la rendre heureuse. Quant à son père, il est l'une de ses plus grandes faiblesses, il est celui qui sait lui faire baisser le regard d'un seul coup d’œil, il est celui qui ternit ses journées et pour qui il n'oserait refuser de se mettre à genoux s'il le lui demandait. Si Stelian est, dans ses actes, en constante provocation envers son père, il ne sait lui désobéir réellement. Ses idées sur le sang quant à elles ont peu à peu été diluée, même si elles sont toujours présentes, surtout lorsqu'il tente de faire mal par les mots, il sait aire abstraction de toutes ces croyances pour ses amis, et les gens qui lui veulent du bien.

Stelian a passé sa scolarité à Durmstrang, il y était l'un des meilleurs de sa classe et de son âge, mais au delà de ses résultats scolaires, cela signifie aussi qu'il est hermétique à bon nombres de systèmes d'éducation stricts. Il ne craint pas le froid et ne supporte pas le chaud, ayant passé sa scolarité dans une école à l'atmosphère largement plus froide que le climat de Pré Au Lard où il habite maintenant. Il est extraverti, fêtard, n'aime pas être seul, et est de ces personnes qui apprécient une bonne nuit avec un ou une inconnu sans se soucier du reste. C'est un peu la réputation que possède le batteur de l'équipe des Flèches d'Appleby, et il s'en amuse. Il a vécu dans la restriction toute son enfance et une bonne partie de son adolescence, alors il essaie de "rattraper le temps perdu". C'est aussi et surtout un moyen de ne pas se retrouver face à ses démons. En effet, la solitude est pour Stelian un monstre invisible. Elle lui fait peur, lui rappelle des moments forts désagréables de son passé. Lorsqu'il est laissé en proie à ses démons, toute la jovialité, du jeune homme, toute son excentricité disparaissent. Stelien est capable de passer du tout au tout en très peu de temps, des sourires aux larmes, du rire à la colère. Un simple mot, un geste de travers peut, potentiellement, détruire la gentillesse du batteur, et il n'est pas batteur pour rien. Son impulsivité n'a d'égal que son instabilité et sa force. Mieux vaut ne connaître que le Stelian qui affiche un façade joviale, un peu pitre et qui aime se faire remarquer.

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Patronus
L’apparition de mon Patronus a chamboulé une bonne partie de mes habitude et depuis qu’il est à mes côtés, je ne m’y suis jamais réellement fait. Pour tout dire, il m’est souvent arrivé de souhaiter qu’il disparaisse. La plupart du temps je regrette assez rapidement ce genre de pensées, et pourtant elles ne sont pas rares. En effet, l’entente avec Conştiinţă est loin d’être un long fleuve tranquille. Il est une grande partie de ce quelle ne suis pas. Imposant, encombrant, il est pourtant d’un calme extraordinaire, un calme mensonger. Je n’ai jamais voulu me dire que cette chose pouvait faire partie de moi, je n’ai jamais accepté que son comportement puisse refléter une quelconque partie de ce que je suis. Comment pourrais-je un jour faire preuve d’un tel flegme, d’un tel calme, comment pourrais-je fuir des conflits que l’on m’oblige presque à accepter? Je déteste qu’il tente de me donner des conseils et je passe mon temps à serrer les dents à reporter mes fautes sur lui, à me fâcher. Pourtant il ne m’a jamais abandonné, il continue de me protéger lorsque j’en ai besoin. Pourtant, c’est dans sa fourrure que je vais cacher mon visage lorsque rien ne va plus, ce sont ses bois qui m’empêchent de m’écrouler lorsque je ne tiens plus debout pour diverses raisons dont je ne suis pas spécialement fier malgré ce que j’avance régulièrement. J’ai beau me plaindre sans cesse, j’ai beau le repousser lorsque sa présence imposante m’indispose, j’ai beau être odieux et méchant, il est toujours là, il ne s’énerve pas, il se contente d’attendre que la tempête passe. Dans le fond, je sais que je l’apprécie, je sais que s’il venait à disparaître pour de bon, je ne saurais que faire, je m’y suis attaché, je l’aime de tout mon cœur. Mais je n’ai jamais su garder les choses que j’aimais près de moi, et je me débrouille toujours pour tout faire capoter. Avec mon Patronus, j’agis exactement de la même façon, j’entre en conflit avec dès lors que je ne suis pas d’accord, je hurle parfois à voix haute alors même que la communication se fait habituellement par l’esprit. Que ce soit envers  Conştiinţă ou envers n’importe qui, je ne change pas ma façon d’agir. Mais lui ne peut réellement s’éloigner de moi, il ne peut disparaître comme le ferait un ami, une connaissance. Non,  Conştiinţă a cette chose que beaucoup n’ont pas:  Conştiinţă me connait, sur le bout des sabots, il est capable de savoir si les mots que je lui hurle en roumain sont une simple manière de larguer du lest où s’ils sont réellement pensés, il sait tout de moi. Il est moi, que je l’accepte ou non, il est ma Conscience, comme son nom l’indique, et il joue parfaitement son rôle. Malheureusement je n’ai jamais su écouter ma conscience.

Conştiinţă possède deux formes. La première et celle qu’il utilise le plus est celle d’un élan d’Eurasie aux larges ramures. Il n’hésite pas à utiliser son imposante carrure pour dissuader d’éventuels assaillants de venir m’ennuyer, et il représente aussi pour moi un soutient physique important, ma seule compagnie lorsque je ne traîne pas dans les bars et autres lieux que mes connaissances aimeraient me voir cesser de fréquenter. Il ne me fait que rarement la morale sur mon comportement bien que je mérite régulièrement des claques. Il est, en quelques sortes, une énorme peluche tiède et un peu brute dans ses gestes. Voilà là un point commun avec moi: cette brutalité maladroite qui lui donne quelque chose d’attachant, je dois bien l’avouer. L’élan n’est pourtant pas la forme idéale dans les lieux étriqués et bondés, Conştiinţă n’appréciant pas de devoir passer sous la forme de brume possède une autre forme, plus petite, mais qui attire l’œil et ne laisse que difficilement place à la réflexion quant à son profil de Patronus. C’est un Bec en Sabot du Nil. Oiseau gris qui, tout à l’image de Conştiinţă, possède toujours un air sérieux et quelques peu réprobateur. L’oiseau est grand mais sa taille ne l’empêche pas de m’accompagner lors des entraînement de l’équipe, des réunions de familles ou autres sorties publiques. Attention à son bec imposant qui n’hésitera pas à se refermer sur votre main si celle ci venait à devenir trop menaçante envers moi. Il réagit à ce que je pense plutôt qu’à des actions concrètes, il est donc assez aisé de lui donner l’impression que l’on me veut du mal.

Conştiinţă est le nom que j’utilise moi-même pour dialoguer avec mon Patronus, ou parler de ce dernier. Généralement, mes connaissances le nomment par un équivalent de son nom roumain: Conscience. C’est une appellation qu’il comprend et accepte, je le trouve bien gentil. Moi, je fais l’effort de parler anglais pour qu’ils me comprennent, alors pourquoi personne ne tenterais d’avoir au moins le nom de mon Patronus juste? Mais je ne dis rien, qu’ils fassent, comme toujours.
   
Pseudo et âge: Mika (ceschosesetranges) 22 ans Où as-tu trouvé le forum ? Je squatte depuis presque un an. Personnage: Inventé As-tu un autre compte sur BP ? Horus B. Malefoy - Napoléon L. Potter - V. Mandhatri Narayanin Présence: Régulière  Une remarque ?  Daengelo   


Dernière édition par Stelian I. Tzara le Sam 21 Mai - 0:22, édité 9 fois
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Message Re: I guess the only thing that makes me feel like myself these days is when I’m not. ➳ Stelian
par Invité, Mar 3 Mai - 23:02 (#)
I WILL NOT FADE AWAY
I can't drown my demons they know how to swim.
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L’appétit de la perfection est un appétit insatiable,  plus on tente de le combler, plus il devient grand. C’est une évidence avec laquelle j’ai toujours du cohabiter et contre laquelle je n’ai malheureusement jamais rien pu faire. C’est une évidence qui a toujours sommeillé dans un coin de ma tête sans que je n’accepte réellement de l’entendre, que je n’ai pas le droit d’entendre. Pas lorsque reposent sur mes épaules les responsabilités, les critiques et les regards à peine dissimulés d’une famille qui en demande trop pour réparer ses erreurs.

La famille Tzara, si elle n’a pas un nom renommé de par le Monde n’en reste pas moins reconnu dans mon pays de naissance, la Roumanie. Spécialisée dans les créatures magiques ce n’est pas vers les majestueux dragons ou vers les mystérieux sombrais que ma famille à jeté son dévolu, mais envers les fiers hippogriffes. Depuis plusieurs générations, les Tzara gèrent d’une main de fer un remarquable cheptel d’hippogriffes qui n’ont rien à envier aux autres créatures magiques. J’ai toujours admiré ces créatures, et j’ignore si c’est le fait d’avoir grandi à leur côté qui me donne cette facilité à les approcher. De tout ce que j’ai pu côtoyer étant enfant, les hippogriffes étaient certainement les choses les plus douces qui m’entouraient. En effet, je vivais dans la propriété, je jouais dans les couloirs, mais quelque part, j’ai toujours eu l’étiquette du petit mouton noir. Ma famille est une famille au sang pur, une famille importante, riche sans l’être à outrance, personne n’a jamais eu à se plaindre d’un porte monnaie vide. Mais contrairement aux rouages parfaitement huilés des miens, mon sang n’est ni pur, ni propre. Depuis ma plus tendre enfance, j’entends sans cesse ma mère et mon père se disputer sur mon cas, ma mère pleure, mon père lui dit de sa voix d’acier qu’il regrette d’avoir reconnu la faute qu’elle a commise. Un geste dit-il « pour sauver l’honneur de la famille ». Me faire porter le nom des Tzara, m’élever parmi eux, alors que je n’ai de leur sang que celui de ma mère. Depuis petit, j’ai bien compris une chose: ne jamais révéler les secrets que l’on entasse sur mes épaules, le plus important étant celui du sang. Aux yeux du Monde, Stelian Joshua Tzara est né sang pur, et tout va pour le mieux, dans le meilleur des Mondes. Aux yeux de ma mère, je suis le regret, je suis les excuses dès lors que mes yeux s’embuent face aux sermons de mon père, je suis l’impuissance de ne pouvoir me protéger face à la fierté de ma famille. Pour mon père, je suis l’image même de l’erreur à ne pas commettre. Plus les années passaient et plus son indulgence envers moi était fine.

J’ai appris très tôt à baisser les yeux face à mon père. S’il n’a jamais réellement levé la main sur moi, ni sur qui que ce soit, ses mots ont toujours semblé être pour moi comme tant de couteau aiguisés. Se rebeller face à mon père me paraissait déjà insurmontable. Il était l’autorité suprême, celui qui dicte, celui qui avait raison, et il l’est encore aujourd’hui.  Mon enfance, si elle n’a essuyé aucun épisode plus impressionnant que n’importe quel enfant élevé dans une famille riche et conservatrice, n’a pas été des plus joyeuses non plus. Mais c’est tout ce que j’ai, et l’on ne peut refaire le passé. Chaque caprice, chaque tentative de rébellion, d’épanouissement, étaient étouffés dans l’œuf par cette maudite étiquette dont personne ne démordait. Seul exemple de douceur dans un monde bien gris: ma mère. Lorsqu’elle n’était pas sous le regard de mon père ou de qui que ce soit d’autre, elle faisait de son mieux pour recoller les morceaux. Mais dans le fond, tout le monde sait que cela n’était pas suffisant. J’étais un enfant calme avec ses périodes d’énervement, ses moments d’excitation, je j’avais rien de spécial, selon mon père, rien. La confiance en moi me faisais défaut, et j’étais parfois turbulent, mais c’était un comportement qui n’était pas toléré dans l’enceinte de la maison.

Les choses ont commencé à devenir plus délicates lorsque j’ai grandi. Un Tzara nait avec une destinée toute tracée: poursuivre l’élevage d’hippogriffes, faire perdurer le cheptel, honorer la famille. Sauf que ce n’était pas un avenir pour moi. Celui que j’appelle encore aujourd’hui mon père n’a de père que ce mot. Il y a dans ma famille un frère légitime qui lui, sera choisi pour récupérer l’élevage. Quant à moi, je n’ai qu’à prouver ce que je vaux. Et prouver ce que je vaux est une bien jolie manière de dire que je dois montrer deux fois plus d’efforts à ce que je fais que mon frère. Un frère que j’aime et qui n’a, à l’inverse de mon père, jamais montré d’animosité envers moi, mais qu’y pourrait-il, lui? Des règles de famille? Par chance, j’étais doué, bon en piano, doué avec les hippogriffes, un gamin, puis un jeune adolescent, qui faisait de son mieux. Je passais la majeure partie de mon temps à tenter d’éviter les représailles de mon père. C’était ainsi que j’agissais depuis l’enfance, et j’avais appris avec le temps que baisser les yeux et accepter les sermons étaient certainement la meilleure façon de passer inaperçu.

Si seulement passer inaperçu m’avait suffi.

La découverte de mes capacités magiques fut un véritable désastre, et ce fut pourtant, à priori, la seule chose que je réussis à faire correctement depuis que je savais marcher. Si mon père biologique était un moldu, le reste de ma famille était de sang pur, et naître sans capacité magique aurait été une honte. J'étais déjà le petit mouton noir des miens, cela aurait été la catastrophe. J'avais un peu plus de neuf ans lorsque, finalement, c'est arrivé. J'avais cette fâcheuse tendance à toujours vouloir aller voir les hippogriffes sans attendre d'être accompagné, et il avait fallu que je m'aventure dans leur écurie un soir, filant entre les mains de la personne sensée me garder pendant l'absence de mes parents. Tout s'est passé vite. Moi qui avait toujours de très bonnes relations avec les créatures, je ne pouvais rien contre les éléments, et le mauvais temps à l'extérieur eut plus de capacité de persuasion que moi. Un éclair, un craquement dans le lointain, ce fut tout ce qu'il suffit pour effrayer les créatures, pour m'effrayer moi aussi. L'on me retrouva le lendemain dans un coin d'une écurie sans dessus dessous. Les affaires nécessaires à l'entretien des hippogriffes avaient été laissées sans dessus dessous, et j'avais par je ne savais quel moyen réussi à me fabriquer durant la nuit, une véritable petite forteresse qui n'avait rien d'un empilement habituel. Évidemment, ceux qui vinrent me chercher après avoir tourné une bonne partie de la nuit ne me félicitèrent pas, je fut même réprimandé pour mon comportement, mais dans le fond, tout le monde avait compris ce que cela signifiait.

Quelques années plus tard, c'était l'école de magie pour moi. Si je pus enfin prendre congés de ma famille pour les années à venir, je pus aussi rapidement découvrir la froideur des murs de Durmstrang. Là bas, personne ne savais pour mon sang souillé, et personne ne me posait de questions, mon père avait très bien fait son travail, comme toujours, pour masquer mon statu, masquer toutes les traces, effacer les risques et les curieux. J'appris à vivre sans être jugé sur ce que j'étais, d'autant que personne n'eut jamais à se plaindre de mes capacités. Non, en revanche, au fil des ans, ce fut mon comportement qui posa plus soucis. Plus les années passaient, et plus je devenais "compliqué à gérer" selon eux. Imprévisible, entêté, mes facilités en cours n'aidaient en rien à canaliser mon comportement. Et pour cause, je m'ennuyais rapidement, là où d'autres devaient travailler des heures, j'avais déjà envie de passer à la suite. Je réussissais tout et j'avais pourtant toujours l'impression que cela ne serait pas assez. Ma famille m'avait appris à viser toujours plus haut, elle m'avait encré à l'encre indélébile dans la tête, que je n'était pas suffisant. Et je les prenais aux mots.

Mais je savais, au fond de moi, que je n'aurais jamais la possibilité de reprendre la ferme d'hippogriffes. Mon frère était l'héritier de cette part de notre héritage commun, c'était lui qui aurait la possibilité de perpétrer la tradition. Pourquoi en serait-il autrement après tout, l'enfant légitime, c'était lui, pas moi. Et si j'excellais en la majeure partie des matières enseignées à l'école, c'était envers les balais que j'avais jeté mon dévolu. L'étendue immense des parcs de Durmstrang était un terrain parfait pour s'entraîner, des forêt, des montagnes à perte de vue, c'était mon terrain de jeu favoris. A l'évidence, il paraissait exclu que mon père accepte ce petit passe temps et ce fut à partir de ce moment que je me dressai contre l'éducation que l'on m'avait donné. Je m'étais trop longtemps laissé marcher dessus par mon père.

Je profitai des vacances d'été pour tenter une approche, lui parler de sport, mais toute discussion était une collision droit dans le mur. Ce furent certainement les plus longues et les plus désagréables vacances de ma vie. Les reproches, les éclats de voix, toutes la frustration que j'avais à sortir sortit pendant ces vacances. Ce fut lorsque je retrouvai mon balai en dizaines de débris fièrement disposé dans ma chambre que je pris panique et je ne me rappelle même pas avoir pris le temps d'enfiler une paire de chaussures alors que je quittai la demeure familiale. Je ne savais pas où aller, je n'avais pas la moindre idée de ce que je faisais, et par dessus le marché, je n'avais pas l'esprit franchement clair. Quelques verres de pur feu en trop, il m'en fallait peu à ce moment. Et ce fut sans doute pour cela qu'il fut si facile de me retrouver. J'avais pourtant la ferme intention de fuir aussi loin que possible et de ne jamais rentrer, mais ce fut ma mère qui me trouva. Ce fut elle qui fit en sorte de me protéger du mauvais temps et qui réussit à me faire entendre raison, malgré mon humeur, malgré ma détresse. Ce fut elle qui me ramena à la maison.

La vie repris son cours, triste et morose. Depuis ce jour, j'eus l'impression que tout dégringolait. Je me sentais mal, faible et incapable. Pourtant l'on m'avais appris à toujours reste fier, ne pas montrer ses défauts, ne laisser voir à personne que l'on ne maîtrisait plus la situation: et c'était ce que je faisais. Mais mentir n'a jamais été mon fort et si j'arrivais à cacher ce qui me tourmentait, mon comportement me trahissait. J'étais encore à l'école lorsque je fis ma première crise de paranoïa. J'avais développé cette tendance à être sans cesse sur mes gardes, prêt à être remplacé, pas suffisant malgré mes efforts, j'avais pris l'habitude que l'on me coupe l'herbe sous le pied en ce qui concernait mes projets, j'avais l'habitude que l'on me prive de futur. C'était devenu une sorte d'obsession pour moi, et un jour il fallut que cela éclate. Toxique aussi bien pour moi que pour les autres, je ne me souviens plus réellement des faits et je ne serais pas objectif, mais je sais avoir passé de longues journées à l'infirmerie, dans l'attente que mon état se calme. Rien de physique, mais un était mental instable et dangereux, en particulier pour moi. Les marques sur ma peau, mes mains, mes pieds, étaient déjà indélébiles, il était inutile que je continue de me détruire ainsi. Aussi dure soient réputée la qualité de l'apprentissage à Durmstrang, je pus tout de même trouver une certaine quiétude dans le temps passer à l'infirmerie, isolé du monde, où l'on tenta de chasser mes démons.

Ce fut peut-être grâce à cela que je pus redresser la tête. Peut-être que ma famille n'acceptait pas le destin que j'espérais, mais où pourrais-je aller si je les écoutais? Tant que ma mère serait en vie, elle n'autoriserait personne à me rejeter de la famille, tant que ma mère serait en vie, elle était celle que je pouvais tenter de rendre fière. C'était aussi la personne qui m'encourageait le plus, regret ou réel amour, je n'en savais rien, parfois je pensais au second, souvent au premier, mais les faits restaient les mêmes. Si je pris le parti de me démener comme je le fis pour un sport auquel personne ne croyait dans ma famille, ce fut pour elle. Si je sortis de l'école avec les notes maximale à la quasi totalité de mes matières, ce fut pour elle. La seule chose contre laquelle je n'arrivais pas à me battre, même pour elle, était mes propres démons. Au fil des mois, il y avait eu une crise, une autre, je m'entendais, je me dégoutais parfois, je m'enfermais dans mes fausses peurs, mes fausses idées, le reste du temps. Je cachais les marques sur mes mains et mes jambes à l'aide de sortilèges de camouflages lorsque j'étais en compagnie. N'alerter personne, ne jamais laisser penser à qui que ce soit que je puisse être faible. Je n'avais pas hérité du sang pur de ma mère, mais j'avais hérité de la fierté du nom que je portais.

Le retour à la maison ne fut pas accueilli par une haie d'honneur, malgré mes résultats, malgré tout. Cependant, le discours de mon père avait changé, du mépris, il s'était mu en une sorte d'ignorance qui, si elle ne semblait guère encourageante, était certainement tout ce que je pouvais espérer de sa part. Je préférais cela aux sermons, je préférais ses remarques comme quoi j'avais tout intérêt à réussir dans le Quiddicth, plutôt que sa tendance à toujours me mettre à genoux. Qui sait si ce ne fut pas un peu grâce à lui que je me retrouvai, assez peu de temps après, intégrant l'équipe nationale de Quidditch de Roumanie? Peut-être ne m'aida-t-il pas le moins du Monde à me faire une place, mais il tentait avec tant de mépris de me faire perdre espoir que je n'eus qu'une cesse: lui prouver que pour une fois, je pouvais réussir là où il m'en croyait incapable. Intégrer l'équipe me permit de prendre un peu d'indépendance, le rôle de batteur était un rôle qui me plaisait énormément, au delà de fait que j'avais toujours été d'une grande précision, cela me permettait, en quelques sortes, d'évacuer la pression, la colère, et toutes ces idées négatives qui fluctuaient dans mon esprit. Je ne quittai pas vraiment la demeure familiale, y trouvant malgré tout une certaine stabilité, et y gardant surtout Cneaz. Ma mère avait du se battre pour que l'on me laisse avoir mon propre hippogriffe, comme le voulait la coutume de la famille, une fois la majorité acquise et l'école réussie avec brio. C'était une fierté, mais aussi une lourde responsabilité, et mon tempérament laissait parfois douter que je sois capable de m'en occuper seul.

Peut-être avaient-ils raison. Après des années à tourner aux côtés de mes coéquipiers, et malgré que je m'entende bien avec la plupart d'entre eux, ma paranoïa avait toujours tendance à être plus forte que moi, à me ronger de l'intéreur. Elle était un poison dont je ne pouvais me débarrasser, alors je vivais avec, le sentant me consumer un peu plus à chaque malentendu. Peut-être tout cela était aussi envenimé par mon rythme de vie qui n'était absolument pas irréprochable. Soirées, consommations douteuses, je n'avais pas grand chose du parfait petit soldat, malgré mes capacités sur un balais. Ce fut une énième dispute qui m'envoya au fond du gouffre. Un problème puéril, une jalousie qui n'avait pas lieu d'être, j'avais eu un geste violent, j'avais menacé mes coéquipiers de je ne sais quelles inepties, et me voilà loin de ma famille, loin de tout. Plusieurs semaines d'hôpital, d'isolement. J'étais surveillé, afin que je ne risque pas de faire de bêtise, afin que je ne nuise ni à ma santé, ni à celle des autres. Si c'était pour mon bien, je le vécu très mal. Persuader que l'on me voulait du mal au début, mon état de paranoïa était à son apogée. Ils me voulaient forcément du mal, sinon pourquoi m'auraient-ils isolé? Pourquoi auraient-il voulu m'empêcher de voir mon équipe, ma famille, Cneaz, tout? Je refusais de croire qu'ils souhaitaient juste m'aider. Je refusais d'accepter avoir menacé pour la énième fois d'attenter à ma vie "puisque tout le monde me voulait mort". Je ne pouvais avoir dit cela, c'était impossible. Et pourtant.

J'obtins le droit de sortir après de longues semaines. Je n'étais pas au mieux mais tout semblait pourtant aller mieux. Mais cet épisode était la goutte d'eau, la claque qui m'avait fait peur. Il ne me fallu que quelques semaines pour préparer mes affaires, régler les détails administratif -avec lesquels j'étais tellement mauvais-, me pencher sur des livres d'anglais, moi qui n'avait jamais réellement été intéressé par l'apprentissage des langues. Quelques semaine n'étaient, évidemment pas suffisantes, mais il faudrait que cela le fasse. Et ce fut ainsi que je me retrouvai à voyager jusqu'en Angleterre. J'avais besoin d'un nouveau départ, et je savais que leurs équipes de Quidditch étaient parmi les meilleures. Alors pourquoi pas? Je n'avais plus de réputation à me faire en Roumanie, j'avais toujours excellé dans mon domaine. La raison de mon hospitalisation forcée n'avait pas été publiquement divulguée, mon père mettant toujours un point d'honneur à ce que l'on ne salisse pas la réputation de la famille.  

Cela fait à peine un an que je vis en Angleterre, j'ai passé quelques mois à Londres et je me suis finalement installé à Pré Au Lard. Le village était plus propice pour ramener Cneaz avec moi. Je savais transplaner alors la distance avec la capitale ne me posait pas de problème. J'ai intégré l'équipe des flèche d'Appleby en tant que batteur quelques semaines après mon arrivée au pays. Un anglais incompréhensible, un joli sourire, et un petit palmarès plutôt alléchant furent ce que j'offris au capitaine -plus jeune que moi?!- de l'équipe. Ce dernier sembla convaincu, et je lui en serai éternellement reconnaissant. Je suis depuis peu de temps dans l'équipe mais je m'y sens bien, comme si, à sa manière, elle comblait les trous que l'on s'était toujours évertué à percer dans ma poitrine. A l'occasion, je sers d'hôtel à mes amis et équipiers sur Pré Au Lard, et j'apprécie de pouvoir croiser au passage, quelques élèves d'une école de sorcellerie que je n'ai pas eu le plaisir de connaître. Le voilà, mon nouveau départ, et mon pied de nez à ma famille. Et même si mes mauvaises habitudes sont vite revenues, j'ai bien l'intention d'empêcher qui que ce soit de tenter de m'enfermer encore. J'ai bien des torts, mais certainement pas celui de laisser mon équipe sur la touche.




Dernière édition par Stelian I. Tzara le Sam 21 Mai - 0:11, édité 2 fois
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Message Re: I guess the only thing that makes me feel like myself these days is when I’m not. ➳ Stelian
par Invité, Mar 3 Mai - 23:03 (#)
MON PETIT LOUPPPPPPPP Han!
Te voilà enfin love

Et bien re-bienvenue et content de voir mon possesseur d'Hypogriffe parmi nous avec son accent roumain à croquer. Crois moi, on va lui en faire voir de toutes les couleurs Han!

Roh non mais je me remets pas de la surprise Han!
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Message Re: I guess the only thing that makes me feel like myself these days is when I’m not. ➳ Stelian
par Invité, Mar 3 Mai - 23:07 (#)
rebienvenue sur le forum Brille
Très bon choix d'avatar Daengelo
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Message Re: I guess the only thing that makes me feel like myself these days is when I’m not. ➳ Stelian
par Invité, Mar 3 Mai - 23:37 (#)
/me bave bave bave bave de partout Hen !
Pourquoituprendstoujoursdesavatarstropsexy gérardrpz
Re bienvenue chez toi Twisted et bon courage pour ta fiche ! Han!
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Message Re: I guess the only thing that makes me feel like myself these days is when I’m not. ➳ Stelian
par Invité, Mar 3 Mai - 23:41 (#)
Illyrio A. Lupin a écrit:
MON PETIT LOUPPPPPPPP Han!
Te voilà enfin love

Et bien re-bienvenue et content de voir mon possesseur d'Hypogriffe parmi nous avec son accent roumain à croquer. Crois moi, on va lui en faire voir de toutes les couleurs Han!

Roh non mais je me remets pas de la surprise Han!

hihi Je savais que la surprise te plairait Han! et je suis content que ce soit le cas Han! j'ai tellement hâte d'embêter le petit Lupin (et mes coéquipiers, et le père du petit Lupin, et... tout le monde en fait hihi )
Accroche toi bien ta tempête préférée arrive Han!

Meredith T. Pilliwickle a écrit:
rebienvenue sur le forum Brille
Très bon choix d'avatar Daengelo

Merci beaucoup love (je te retourne le compliment pour l'ava, je bave encore dessus dès que je passe sur ton profil hihi )

Daphné I. St-James a écrit:
/me bave bave bave bave de partout Hen !
Pourquoituprendstoujoursdesavatarstropsexy gérardrpz
Re bienvenue chez toi Twisted et bon courage pour ta fiche ! Han!

/me essuie la bave avec un kleenex
C'est pour essayer de t'arriver à la cheville hihi
Merci love


Dernière édition par Stelian I. Tzara le Mer 4 Mai - 12:04, édité 1 fois
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Message Re: I guess the only thing that makes me feel like myself these days is when I’m not. ➳ Stelian
par Invité, Mer 4 Mai - 0:05 (#)
Re bienvenue love
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Message Re: I guess the only thing that makes me feel like myself these days is when I’m not. ➳ Stelian
par Invité, Mer 4 Mai - 0:08 (#)
coucou toi Robert47cm

re bienvenuuuuue Twisted
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Message Re: I guess the only thing that makes me feel like myself these days is when I’m not. ➳ Stelian
par Invité, Mer 4 Mai - 0:26 (#)
Re bienvenue Hen !

(Sache que je t'aime probablement, mais que je n'arrive pas à percer ton identité au travers des initiales)

Edit: (Ouais, j't'aime love hihi )
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Message Re: I guess the only thing that makes me feel like myself these days is when I’m not. ➳ Stelian
par Invité, Mer 4 Mai - 0:48 (#)
IL EST LAAAAAAAAAA amen amen amen depuis le temps... hihi

Re bienvenue chez toi chou Daengelo taggletesamoi
Attention à mon filston hein, je t'ai à l'oeil Nih
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Message Re: I guess the only thing that makes me feel like myself these days is when I’m not. ➳ Stelian
par Invité, Mer 4 Mai - 8:12 (#)
bave
Re bienvenue Daengelo
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Message Re: I guess the only thing that makes me feel like myself these days is when I’m not. ➳ Stelian
par Invité, Mer 4 Mai - 9:06 (#)
Sebastian bave
Bienvenue ici !! Han!
Bonne rédaction de fiche Daengelo Daengelo
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Message Re: I guess the only thing that makes me feel like myself these days is when I’m not. ➳ Stelian
par Invité, Mer 4 Mai - 9:40 (#)
Sebastian Robert47cm quel bon choix Robert47cm

Rebienvenue Brille
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Message Re: I guess the only thing that makes me feel like myself these days is when I’m not. ➳ Stelian
par Invité, Mer 4 Mai - 11:23 (#)
Rebienvenuuue hihi Brille J'ai hâte de lire tout ça du coup Haww
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Message Re: I guess the only thing that makes me feel like myself these days is when I’m not. ➳ Stelian
par Invité, Mer 4 Mai - 13:37 (#)
Re bienvenue Chou j'aimedéjàtonpersonnage. voilàvoilà.
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Message Re: I guess the only thing that makes me feel like myself these days is when I’m not. ➳ Stelian
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