| R. Victoire LeRoy ♆ Fear makes us feel our humanity.par Invité, Dim 22 Sep - 23:13 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Romain Victoire LeRoy FEAT. Ryan Gosling 22 ans ϟ Justice Magique ϟ Vautour ϟ Sang-MêléParlez-moi un peu de votre enfance. Comment c'était ?
Je suis vraiment obligé de faire ça ? Bon très bien. Mon enfance a été très mouvementée si je puis dire. Vous savez vivre en tant qu'un mâle LeRoy, c'est dur à assumer et mes cousins peuvent en être témoin. Tout au long de ma vie, j'ai dû suivre un code imposé par mon père, qui lui a lui-même été dicté par son père ; au sein de cette famille les traditions passent avant le reste. Mais on ne m'a jamais demandé si j'étais en accord avec tout ça, avec toutes ses conneries qu'on essayait de nous implanter dans le crâne. Il est bien normal qu'au bout d'un certain temps, j'ai commencé à péter mon câble, à me rebeller pour ainsi me décider à suivre mon propre chemin. À vrai dire, je crois que j'aurais été différent de ce que je suis à présent, si j'avais résidé dans une tout autre demeure que celle des LeRoy ; bénéficiant sûrement d'une meilleure éducation, j'aurais peut-être pu être considéré comme ce qu'on appelle un homme 'bon'. Hélas, on ne choisit pas sa famille et j'ai très vite compris que j'allais devoir prendre sur moi. Quand j'y repense, je me dis que tout ça, ce que me racontait mon père, la loi LeRoy, cette haine envers la magie, c'est vraiment du grand n'importe quoi. Comment toute une famille entière ne parvenait pas à s'accepter comme elle était, jusqu'à en vouloir éradiquer ce fardeau qui nous accapare depuis longtemps déjà. Mais, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Eh bien, j’admets que ma famille à tort de se dénigrer ainsi par rapport à la magie, mais contrairement à ce que vous pouvez croire, je déteste également la sorcellerie. Je ne sais pas comment vous voyez ça docteur, mais pour moi la magie n'est rien d'autre qu'une malédiction. Pourtant, contrairement aux anciens, je pense qu'on devrait exploiter cette magie à notre avantage. Par exemple moi, je me perfectionne dans la magie dans l'unique et bonne raison de l'utiliser dans le monde moldu. Rien de bien extraordinaire, quelques petits tours de magie que je fais passer pour de l'illusion et voilà quelques personnes émerveillées qui en payent de leurs poches : comment se faire de l'argent facile.
On vous déclare comme être une personne imbue d'elle-même, cleptomane avec une tendance à dire pas mal de mensonge. Est-ce vrai ?
Eh bien, je n'ai pas honte de le dire, je suis quelqu'un de très égocentrique. Je prends soin de moi et je me fais passer avant les autres et personnellement je trouve ça normal, pas vous ? Oui, dans mon monde je suis le centre et j'en ai que faire des petits soucis des personnes qui m'entourent. Bien sûr, les problèmes de ma famille, sont aussi mes problèmes, alors il est normal que je m'en occupe un tantinet, mais pour ce qui est du reste, rien à foutre, ah je vous le dis clairement. Maintenant pour ceux qui me disent cleptomane, je ne sais pas, je ne me décrierais pas comme tel. Je suis une personne qui adore l'argent, à un tel point que je suis obligé de voler mon prochain. Pour ça, il m'arrive d'utiliser diverses méthodes. D'abord, la plus simple : le vol à la tire. Plonger sa main dans la poche des autres, en extirper un portefeuille et disposer comme si de rien n'était. J'aime beaucoup cette méthode, mais le gain rapporté n'est pas suffisant à mon goût et bien trop aléatoire. Alors, j'opte plus souvent pour ma deuxième méthode : l'escroquerie. Je me sens mafieux dans l'âme, et je ne me gêne pas à en escroquer plus d'un. Comme cette fois où j'ai vendu ce petit canard en caoutchouc à prix d'or à ce sorcier simple d'esprit, lui faisant croire que c'était une arme légendaire ; c'était marrant.
Vous êtes quelqu'un de très colérique, croyez-vous que cela à un quelconque rapport avec le lien que vous partagiez avec votre père ?
Moi et mon père on ne s'est jamais réellement entendu. Il m'indiquait une route à suivre et j'allais dans l'autre direction. Reprenons l'exemple de la magie. Le vieux n'a jamais accepté que j'utilise celle-ci pour gagner ma vie. Longtemps il m'a battu pour m'en dissuader, mais je pense avoir un réel problème avec l'autorité, car chaque coup qu'il m'infligeait, m'incitait d'autant plus à user de ce 'don'. Je sais que j'ai un problème, c'est bien pour ça qu'on m'a envoyé ici en même temps. J'ai dû mal à gérer ma colère et je m'emporte très souvent. Mais je déteste qu'on se moque de moi ou qu'on ne fait pas ce que je dis ; quand j'ordonne quelque chose, tu as intérêt à le faire sans discuter point. Et s'il y a un problème avec ça, on le règle avec les poings, c'est simple. J'ai un crédo : si tu n'es pas réglo, je te casse le dos. Fin poète que je suis. Cela dit, il peut m'arriver d'être aimable, envers ceux qui ont conscience de mes excès de colère et qui ne se risquent pas à jouer avec -ma famille par exemple-. À première vue, je passe pour quelqu'un de calme et chaleureux, mais ça serait trop vite me juger.
Sinon côté coeur ? Vous vous intéressez à la vie en couple ?
Hm tout le monde a connaissance de mon côté charmeur, nous l'avons tous ce petit côté dans la famille. Vrai baratineur que je suis, je peux faire croire n'importe quoi à une fille, dans l'unique but d'arriver à mes fins. Mais ça s'arrête là. Je ne me vois pas prisonnier dans une vie à deux, avec une même personne partageant celle-ci ; non. Tout cela me prendrait vraiment la tête et je ne pourrais pas le supporter. Mais comme tout homme résidant sur cette terre, j'ai des besoins, des besoins qu'il faut que j'assouvisse. Alors, il m'arrive très souvent d'aller séduire la gente féminine, leur dire à quel point elles sont belles, intelligentes, marrantes, les conneries habituelles quoi. Et quand j'aurais fait ce que j'avais à faire, on partirait chacun de notre côté, reprenant notre route comme si de rien n'était, voilà comment je vois la vie. On me considère comme un grand manipulateur ; c'est-ce que je suis. Et cet art qu'est la manipulation ne s'implique pas qu'aux filles, mais aussi pour tout le reste. Afin d'arriver à ses fins, il faut savoir jouer avec l'esprit des gens, le détraquer, le mettre à l'envers, leur faire perdre la tête. Le résultat n'en est que plus gratifiant.
Comment se passent vos cours ? Je sais que votre cousin est prof de vol, cela vous intéresse ?
Je dois l'admettre, je ne suis pas un bosseur, comme vous pouvez le voir sur mon relever de notes. Mais j'ai tout de même réussi à passer mon examen et à poursuivre mes études dans la justice magique. La rumeur raconte que j'aurais triché à mon examen et c'est grâce à cela que je l'ai eu. Si c'est vrai ? Haha, comment j'aurais pu tricher à un examen aussi important sans même en connaître le sujet ? Pour cela j'aurais dû pénétrer au ministère de la magie sous une fausse identité, rentrer dans l'aile de l'éducation, me présenter comme inspecteur et ainsi prendre à l'avance une copie de ce fameux examen. C'est un peu tiré par les cheveux vous ne croyez pas ? Mais bon depuis toujours on m'a soupçonné de tricher ou de rendre des devoirs fais par un autre, eh bien moi je dis tout simplement de me montrer la preuve qui soulèverait ma culpabilité. Pour ce qui est de mon cousin, je l'apprécie, mais le fait qui donne des cours de vol, non je ne peux pas le tolérer. Qu'est-ce que le quidditch ? Une connerie de sport magique dédié aux sangs-purs ; non ça ce n'est pas pour moi. Non moi le vrai sport qui m'intéresse, c'est la boxe anglaise, on y rencontre bien plus de contact et au moins de magie. Ça c'est un sport d'homme, un vrai.
Je peux voir dans votre dossier que vous avez été pas mal collé. Pourquoi ?
Oh ça ? Rien de bien grave. Hormis le fait que je me batte souvent, on m'a soupçonné d'organiser des combats de patronus. À vrai dire on m'a soupçonné de pas mal de choses, je me vois souvent endosser le rôle de bouc émissaire au sein de cette école. Mais la plainte la plus hilarante que j'ai pu recevoir, était que soi-disant quelqu'un avait appris d'une source sûre que j'avais mis sur pied un fight club dans la cabane hurlante ; j'ai une sacré réputation quand même. Bon, on a fini ?
▬ Romain est donc un homme plutôt : Agressif, arnaqueur, arrogant, astucieux, baratineur, calculateur, charmeur, coléreux, confiant, habile, inconstant, indépendant, impulsif, joueur, macho, manipulateur, menteur, pickpocket, rusé, stratège et voleur. Il possède une baguette faite de bois de merisier, contenant un poil de licorne et mesurant 38,5 cm. Son épouvantard prend la forme de l'image qu'il se fait du diable.▬ a little something from you. Dollar : « Salut, moi c'est Dollar et je suis le patronus de Romain. Ne tenant pas à expliquer le lien qui nous relie tous les deux, il me chargea de le faire à sa place. Pour tout vous dire au début, lui et moi, ça s'annonçait très mal. Il ne m'aimait pas et c'était réciproque ; je le trouvais même plutôt agaçant. Ne me portant pas dans son coeur, le premier prénom qu'il me donna était 'truc' ou 'machin', des prénoms qui ne pouvaient convenir à un aussi magnifique vautour que moi. Alors, je me suis moi-même renommé 'Dollar', car je trouve cela classe et montre que j'ai un minimum de valeur. Peu à peu, je découvris le rôle que je jouais dans sa vie, à vrai dire je lui avais moi-même imposé ce rôle. Loin d'être sa conscience, j'étais plutôt du mauvais côté et lui incitais à faire le mal, à profiter des autres, à se battre quand quelqu'un lui manquait de respect, ainsi qu'à moi. Oui, je ne suis pas le meilleur patronus au monde, mais comme tous les patronus, je pense à lui et à son bien-être et même si pour y arriver il doit en écraser plus d'un, il le fera. J'ai bien apprécié ce petit lien qu'il avait avec sa famille, même s'il n'aime jamais l'avouer, il est très attaché à eux et les fera toujours passer avant lui. Malgré le fait qu'il ne soit pas le plus doué en magie, il n'hésite pas à affronter les meilleurs sorciers, même si la fin du combat est déjà annoncée d'avance, car il a des tripes ; il a du courage ce gosse. Peu à peu, on a commencé à s'entendre se comprendre, je ne peux pas dire qu'à présent on est ami, mais on est quand même devenu plus que de simples connaissances. Je suis son patronus, il est mon maître, on se protège mutuellement.
Je suis un vautour, mais je possède aussi une tout autre forme, une forme qui est loin de ressembler à celle que j'ai en cet instant. Un requin tigre. Voilà ce qu'est ma deuxième forme. À mes yeux le requin tigre est le plus grand prédateur du monde sous-marin, bien plus grand encore que le 'grand' requin blanc, même si celui-ci est jugé comme tel. Comme Romain, le requin n'hésite pas à se battre contre plus fort que lui et ne cède jamais sous la pression ; j'aime ça. » You're not a sad story. ▬ Journal d'Inès Grégoire, femme de Romain Hyacinthe LeRoy et mère de Romain Victoire LeRoy. ▬ 8 Août 1957 : En ce jour, j'ai eu un enfant. Après m'être vis une nouvelle fois engrossée par un homme que je n'ose plus qualifié de mon mari, je lui ai enfin donné ce qu'il attendait de ma part : un fils. Comme la tradition le voulait, je n'ai pas eu la chance de nommer moi-même mon fils ; comme son père il fut prénommé Romain. Je dois l'admettre, à sa venue j'ai eu peur. Lorsque mon regard s'est posé sur ce petit bébé, je me demandais déjà si j'allais avoir le courage de l'aimer. J'appréhendais déjà un futur proche. Et s'il devenait comme son père, voire pire. Je ne pourrais pas le supporter. En repensant à mon mariage, il m'arrive des fois de pleurer ; de méditer sur la chose qui m'a fait aimer un tel homme, où est-ce que j'avais fait une erreur. Romain possède les traits de visage de son père, est-ce que j'aurai la force de le regarder chaque jour, sans que celui-ci me rappelle Romain Senior ? Très vite j'ai compris que oui. Je sais à présent que je vais l'aimer, m'occuper de lui sera ma priorité, c'est bien là le devoir d'une mère. J'ai compris en plongeant mon regard dans le sien qu'il allait être différent ; il avait mes yeux. 20 Septembre 1957 : Cela fait depuis quelques semaines que ma fille Euphrasie a repris l'école, elle est en cours élémentaire première année ; elle grandit si vite. Me voilà donc de nouveau seule dans cette immense demeure à m'occuper d'un fils possédant un père qui ne daignait même pas le regarder pour l'instant. Ce petit bébé ressent déjà un manque, je le sens, intuition féminine. Cela dit, contrairement à mes attentes, il ne pleure pas. Lorsque son regard se pose sur son père, il l'examine tel un enfant examinerait un étranger, puis il détourne le regard, ne se souciant guère de qui peut représenter cet homme à ses yeux. J'avais tort, m'occuper de cet enfant n'est pas une nouvelle épreuve que je pensais devoir traverser en me refermant chaque jour un peu plus, non. Il est une bénédiction et je l'aime tout autant que ma fille. Malgré le fait qu'il soit destiné à suivre le même chemin que son père, je vais tout tenter pour faire en sorte qu'il construise un chemin bien meilleur, afin qu'il devienne un meilleur mari pour sa femme ; un homme bien meilleur que n'aurait jamais pu être Romain. 2 Février 1964 : Pendant l'année 1963, mon fils Romain est entré en cours préparatoire, je crois qu'il n'aime pas vraiment l'école, mais y fais face sans trop broncher. Aujourd'hui, celui-ci est rentré à la maison un sourire arborant son visage, fier de la journée qu'il venait de passer ; c'était une première. Arrivé à la maison, il accourut aussitôt vers moi, me montrant un dessin qu'il avait fait à son école. À la vue d'un tel dessin, mon coeur se mit à battre, comme s'il tentait de transpercer à grand coup de marteau ma poitrine. J'ai eu peur. Mon fils venait de dessiner un petit enfant s'exerçant à la magie, je crois bien que cela le représentait. J'ai compris tout de suite qu'un tel dessin ne serait pas passé comme une lettre à la poste, entre ses murs. Mais trop tard, avant que je ne puisse faire quelque chose, le voilà en train de courir en direction de son père, feuille en main, prêt à lui montrer son chef-d'oeuvre. La réaction de mon mari fut alors prévisible. Celui-ci regarda longuement le papier qu'il tenait à présent entre ses mains et là je l'ai vu, il fronçait des sourcils, montrant amplement son mécontentement. Ce jour-là fut marqué d'un fer rouge dans mon esprit, c'est ce jour où pour la première fois, mon mari frappa notre enfant. Je n'avais qu'un seul regret, être resté debout, ne faisant rien pour venir en aide à mon fils, qui je voyais être roué de coup. Il n'avait que six ans. 24 Avril 1967 : Depuis le février 1964, mon fils a beaucoup changé. Son regard est à présent différent. Il m'en veut je le sais, je le vois bien à travers son regard, qu'il m'en veut de n'avoir rien fait ce jour-là et si je pouvais lui dire à quel point je regrettais également ; mais je n'en trouve jamais la force. J'ai senti qu'un truc s'était cassé chez lui, son innocence avait disparu. À l'école, il est devenu violent, il ne cesse de se battre avec toutes les personnes qu'il rencontre et ne fait rien pour arriver à percer dans une quelconque matière. Il n'écoute plus quand je lui parle et commence à tenir tête à son père qui continue jour après jour de lui faire comprendre à travers ses poings, que c'était lui le chef de la maison. Une dure année que voilà. 4 Juillet 1968 : Jour fatidique que voici, le jour où Romain reçut sa lettre d'admission à Poudlard. Longtemps, j'avais appréhendé ce jour, ma fille étant déjà passé par là, je connaissais déjà la réaction de mon mari, qui s'accentuera étant donné que c'est notre fils. Romain lui, semblait vouloir aller à Poudlard, lui qui avait si longtemps souhaité quitter cette maison de fou, il allait pouvoir enfin se détacher de sa famille une année entière, c'est ce qu'il voulait. Un tel enthousiasme ne passa pas inaperçu auprès de Romain Senior, qui lui rappela en haussant le ton comme chaque fois, que la magie c'est mal et que s'il tentait d'approfondir ses connaissances dans un tel domaine, il se verrait dans l'obligation de le châtier. Chose que Romain prit comme un nouveau défi et un nouvel affront à faire envers son père et j'ai tout de suite compris à travers son regard, qu'il allait tout faire pour décevoir celui-ci. 1 Septembre 1968 : Aujourd'hui, Romain prit la route qui menait à Poudlard l'école de sorciers. Son père n'avait pas eu la force de voir s'éloigner son fils en direction d'un lieu qu'il réprimandait et ne préféra pas venir ; cela ne m'étonna guère. En voyant Romain partir, j'ai pleuré, j'avais cédé, je ne voulais pas le savoir loin de moi, même si lui n'en avait que faire de mes sentiments. Prenant marche en direction du train, il pénétra dans celui-ci sans même se retourner, sans dire au revoir, rien. C'était comme s'il tournait une page de sa vie qu'il comptait dès à présent oublier. Ce jour-là, je savais que ma relation avec Romain était fini, que je ne pourrais plus le considérer comme mon fils, comme celui-ci qui ne me considérait déjà plus comme sa mère ; j'ai pleuré. Je me sentais si faible. J'étais si désolé de ne pas avoir été une si bonne mère, et je désirais tant retourner en arrière, mais c'était déjà trop tard. Son train partait. 8 Août : C'est aujourd'hui l'anniversaire de Romain. Il est grand maintenant. Pourtant, lorsque je le regarde, je revois ce petit garçon souriant me montrant le dessin qu'il venait de faire à son école ; ça me manque. À présent considéré comme adulte chez les sorciers, il décida de vivre quelques temps là-bas, loin de l'ambiance familiale, loin de nous. À vrai dire, ces derniers temps, une crise avait dévasté le calme de la famille LeRoy. L'enfant la troisième génération des LeRoy, Ermenegilde mon neveu et cousin de Romain, décida de renier toutes les traditions imposées par l'arrière-grand-père et alla se construire une vie dans le monde magique. Une chose qui ne passa pas inaperçu auprès de toute la famille qui commença à le juger et à le renier comme on pouvait si attendre de la part de purs LeRoy. Cela dit, son départ sema le doute chez les plus jeunes, prenant exemple sur lui, ils comptaient bien suivre leur propre voie, une voie qu'ils auraient eux-mêmes choisi et non leurs parents. Romain en faisait partie. Lui qui voyait depuis toujours son cousin Ermenegilde comme un modèle, il décida d'en faire de même et de se construire sa propre route. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Brownie de 19 ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? Fitna la guide. ϟ Personnage: Inventé. ϟ As-tu un autre compte sur BP? Je suis le reboot de Harley ! ϟ Présence: Ça dépend, je ne sais pas. o: ϟ Une remarque? Encore un LeRoy ?
Dernière édition par Romain V. LeRoy le Mer 25 Sep - 0:40, édité 18 fois |
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