Nom: un patronyme qui rend fiers ceux qui le partagent, rosier, élégant, témoignant d'un sang pur et intimant le respect. à l'instar des fleurs du même nom qui ne cachent pas leurs épines, les rosier ne dissimulent pas non plus leurs orientations politiques. ce nom est synonyme de piqure, de sang. elle l'exècre. Prénom: celle qui, assise sur son rocher, envoûte les marins de son chant mélodieux, cristallin, et les pousse à la noyade, lorelei. elle affectionne ce prénom pour le mythe qu'il cache, mais son extravagance porte par trop l'empreinte de sa famille à son goût, elle le diminue en rory. à sa suite, le prénom germanisé de la déesse chasseresse, artemisia, héritage de la branche maternelle. Âge et Date de Naissance: une rose qui pointe le bout de son nez le 7 mai 1963, elle est à présent âgée de dix-neuf ans. Nature du sang: d'une pureté irréprochable. Situation familiale: indiquez ici la situation de votre personnage, s'il a des frères et des sœurs, s'il est fiancé, s'il s'entend bien avec ses parents etc... Patronus: nyx, un grand corbeau capable de se transformer en cygne blanc, deux facettes bien différentes mais pourtant de la même pièce. Miroir du Rised: écrire ici le plus grand désir de votre personnage Epouvantard: écrire ici Composition de la baguette magique: écrire ici  Etudes Suivies: deuxième année du cycle secondaire dans le domaine de la justice magique, sous cursus sciences politiques magiques. enfin une orientation qui convient aux rosier, du moins tant qu'ils ne découvrent pas l'idéologie montante dans le coeur de la demoiselle. Animal de compagnie: si vous la lâchiez dans une animalerie, elle rentrerait probablement avec douze espèces d'animaux différents. cependant, en pratique, s'adapter à nyx ne fut déjà pas une mince affaire et être forcée de prendre soin d'elle lui suffit amplement. elle partage bien un hibou avec son frère mais ne s'en occupe pas vraiment, elle se contente de lui laisser quelques graines quand elle a besoin d'envoyer du courrier.

Brillante. Si l’idée saugrenue venait à quelqu’un de demander aux Rosier à quel âge leur fille a prononcé ses premiers mots, leur réponse serait sans doute que ce fut trop tôt. Dès son plus jeune âge, Lorelei fit preuve d’un éveil, d’une curiosité hors normes. Elle courait dans tous les sens, une expression émerveillée collée sur le visage, en posant un millier de questions commençant chacune par « pourquoi ». Ce désir de comprendre le monde qui l’entoure a naturellement guidé sa passion pour les livres et sa brillante réussite scolaire. Élève studieuse et véritable rat de bibliothèque, elle a dévoré chacun des ouvrages de la collection familiale et bien plus encore. Cette soif de connaissance intarissable qu’elle tentait de satisfaire du mieux qu’elle put participa sans nul doute à sa divergence d’opinion par rapport au reste de sa famille mais ne suffisait pas à expliquer pourquoi elle en était l’unique vilain petit canard noir. Lorelei est une jeune femme emplie de compassion, la souffrance d’autrui lui est insupportable, inconcevable. Ce que certains mages noirs appellent faiblesse, elle l’appelle humanité. Depuis toujours elle a été une incarnation de douceur, de chaleur, une fleur prête à éclore et déverser sans vanité sa beauté sur le monde. C’est une véritable guerre qui se joue à l’intérieur de son esprit, incapable de conformité avec les idéaux partagés par ses parents, leurs leçons ruissellent contre elle sans pouvoir s’infiltrer, s’insinuer à l’intérieur de son cerveau. Mais pour comprendre cela, il faudrait pouvoir percer les couches de sa carapace une à une, il faudrait pouvoir apercevoir Nyx sous sa forme de cygne blanc, plutôt que sous celle du corbeau. Pour son propre bien, elle a appris à garder ses secrets pour elle, à ne pas s’ouvrir au monde et à ne compter que sur sa propre personne. Plus que tout elle aurait aimé être capable de se conformer aux attentes que l’on place en elle, mais elle ne peut changer qui elle est. À défaut d’être elle a tenté de paraître. La sympathie pour tous les êtres humains, nés moldus et moldus y compris, est inscrite en elle au même titre que son attirance pour les filles. Elle a tenté de camoufler l’une par quelques insultes sans conviction, l’autre en enchaînant les conquêtes masculines, malgré son fiancé auquel elle refusera toujours de se donner. Elle trouvait toujours un quelconque défaut à son dernier amant du moment, partait parfois même sans une explication et avait également appris comment se rendre détestable à ses yeux pour passer au suivant. Lorelei, la sirène noyeuse d’hommes. Cette façade avait pris le dessus tant elle voulait y croire, peu importe la réputation qu’elle en tirait. Au fond, Lorelei, c’est une fille paumée. Emplie d’insécurités, elle a constamment peur de décevoir ceux auxquels elle tient, constamment peur de prendre la mauvaise décision. Elle prend les choses trop à coeur, quand elle se lance c’est corps et âme, sans retour en arrière possible. Alors quand décidera-t-elle de se rebeller, d’envoyer balader les apparences ?

Dans cette partie,  vous pourrez parler du patronus de votre personnage, du lien qu'il a avec celui-ci, s'il s'adapte bien à la situation actuelle et des formes qu'il peut prendre. Minimum de 250 mots. ATTENTION: Les patronus sont apparus durant les vacances de Noël 1978 (nous sommes en 1982 dans le jeu), ni avant ni après.