Nom: Von Sachsenheim Prénom: Adelaïde Âge et Date de Naissance: 19 hiver, née un 14 février 1963 juste après son frère jumeau Franz Nature du sang: Sang-mêlé, mais elle se dit sang-pur car accepter une erreur aussi grave d'un de leur ancêtre n'est tout simplement pas envisageable. Situation familiale: Avant toute chose, Adelaïde est très proche de son frère jumeau Franz, même si ils se chamaillent parfois, elle ne supporterai jamais que l'on lui fasse du mal, complice et lié rien ne les séparent. Puis il y a Julian et Amadeus, les grands frères avec qui elle s'entend assez bien, même si elle reste moins lié à eux. Ses parents ? Sa mère est une Lestrange, elle partage les mêmes point de vue (comme si elle avait le choix...) Et vois cette partie de la famille d'un bon oeil et passe son temps à vouloir leur plaire, elle reste donc proche de sa mère même si ce n'est pas la première personne vers qui elle va se tourner pour demander conseil, si ce n'est que pour ses études et son orientation future. Son père, elle ne le voit pas souvent, il est désintéressé mais très sévère quant au devenir de ses enfants, il les remets dans le droit chemin quand il faut et trace la route de ses enfants comme bon lui semble. Ensuite viens les cousins et cousines, avec qui elle s'entend assez bien, la mort d'Eurydice les a tous rapproché, car elle était très proche de sa famille . Pour Adelaïde (dite Leni) la famille est très importante, trop importante, même si son point de vue diffèrent quelque fois sur des sujets sans importance, elle fera tout pour élever le nom des Von Sachsenheim et donner une descendance pure, afin d'essayer de réparer les erreurs passé de son ancêtre. Patronus: Brume est un paon blanc rarissime, il a survécu à la peste des patronus et est pour sa sorcière toujours de bon conseil. Il peut aussi prendre la forme d'un coyote quand Adelaïde se sent menacée. Miroir du Rised: Elle voudrai remonter le temps, revivre les belles années avant toute ses catastrophe et ne pas à avoir faire un choix aussi important que de porter une marque ou privilégier son ascension sociale. Elle voit tout de même son reflet dans ce miroir, au côté de sa défunte cousine.Epouvantard: Son épouventard n'est autre que le cadavre mutilé de son frère jumeauComposition de la baguette magique: Bois de hêtre et ventricule de Dragon, 29,2 cm, assez flexible. Etudes Suivies: Elle ne sait que choisir, elle a tout de même continuer les études dans la branche Justice magique afin de repousser l'échéance pour recevoir cette marque tant attendue par le reste de sa famille.Animal de compagnie: Elle possède un chat, de race Norvégien, il s'appelle Lucifer, il aime bien s'amuser (ou plutôt embêter) avec Gunther le gros chat de Franz
Caractère
L'éducation qu’Adélaïde a reçue est très stricte, bien évidement la haine des moldus et des sang-impurs a été la doctrine qu'elle a bien évidemment développer avec le temps et la peur et l'aversion de commettre les mêmes erreur que son ancêtre la hante jour et nuit. La seule pensée de tomber amoureuse d'un moldu voire même d'un sorcier au sang impur lui donne la nausée. Elle respecte donc à la lettre les traditions familiales, malgré un poids assez lourd qui repose sur ses épaules. Comme tous les membres de sa famille y compris ses grands frères, Julian et Amadeus, elle doit choisir entre recevoir la Marque ou bien continuer les études, elle a le choix, ce serait pour elle un grand honneur de recevoir la marque mais elle a préféré continuer ses études se disant encore trop indécise dans ses choix. Pour en revenir à son style vie, Adelaïde est belle, et elle le sait, elle ne passera pas moins d'une heure dans la salle de bain à se pomponner. Hormis sa haine envers tout ce qui n'est pas pur elle est très hautaine et regarde la plus part des autres élèves de haut, venant de la noblesse cela va de soit. Comme son frère jumeau elle aime taquiner et est assez joueuse. Elle ne fait pas confiance facilement et ne donne pas son amitié au premier venu, les seule personne en qui elle a confiance se confinent à sa famille, et surtout Franz avec qui elle entretient une relation très fusionnelle. Surtout que depuis qu'elle a appris que les moldus et sang-impurs ont joué un rôle fondamental dans l'accident qui a entraîner la mort de sa cousine Eurydice, elle les fuient comme la peste, et prend un malin plaisir à les humilier quand elle en a l'occasion. Elle reste aussi une élève modèle avec l'envie de réussir. Mais sa face sombre existe aussi, elle est introvertie, et quand le vase déborde cela peut vite dégénérer à coup de sortilèges, de larmes et de cris. Elle ne sait pas vraiment sur quel pied danser surtout après tous les événements tragique qui sont survenus ces dernières années. Elle est perfectionniste et à une peur bleue de décevoir ses parents et sa famille. Bien sûr cela n'arrivera jamais car elle fait trop attention à son comportement et à ses choix, mais sa sensibilité la fait des fois perdre pied mais elle sait qu'elle peut compter sur son frères jumeau sur qui elle se repose souvent malgré ses taquineries.
Brume est un paon blanc magnifique et très narcissique un peu comme sa sorcière. Il est très intellectuel et sait se montrer fin stratège quand il donne des conseil réfléchi à la jeune femme. Leur relation est basée sur la confiance et la bienveillance du patronus amène à Adelaïde l'assistance dont elle a besoin lors de ses moments de déprime. Foncièrement mauvais avec les ennemis de sa sorcière, il n'a pas la langue dans sa poche et murmure quelque réplique acide aux oreilles de la jeune femme quand il sent qu'elle est en manque d'argument. Franz s'est souvent moqué de sa soeur du fait que son patronus n'était autre qu'un "volatile sans cervelle", ce que la jeune femme ne peut s'emplêcher de répliquer que les loups sont des créatures grossières et puantes, même si elle adore le patronus de son frère. Mais Brume s'avéra avoir une deuxième forme, mais uniquement quand la sorcière se sentait menacée ou en danger. Comme ce jour où elle bravait l'interdit et se baladait seule dans les couloirs de Poudlard, Brume prit la forme d'un coyote d'Australie. Adelaïde avat regarder son patronus de haut en lui répliquant qu'il était laid sous cette forme, ce qui provoqua un air courroucé de la part de Brume qui ne prit presque plus cette forme de canidé. Il y eut ensuite la peste des patronus dont Brume survécu, ce qui renforça leur liens. Il restera à jamais son double vaporeux, celui sur lequel Adelaïde pourra toujours compter quoi qu'il advienne.
Pseudo et âge:Ory 25 ans Où as-tu trouvé le forum ? quelque part suri internet Personnage: La meilleure famille du fofo As-tu un autre compte sur BP ? Non Présence: aussi souvent que possible Une remarque ?
Dernière édition par Adelaïde Von Sachsenheim le Mar 17 Mai - 21:43, édité 7 fois
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Re: Adelaïde Von Sachsenheim ♤ Everything has its beauty but not everyone sees it.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]"The laugh on Childhood is always near to tears ✻✻✻Elle marchait dans le couloir obscure sur la pointe des pieds, suivie de près par son chat qui la regardait avec de grands yeux curieux. Couverte d'un grand draps blanc la petite Adélaïde ne pouvais pas s'empêcher de pouffer de rire à la simple pensée de la blague qu'elle allait faire à son frère. Son frère jumeau bien sûr, elle n'oserai jamais faire des blagues aussi puériles à ses deux autres grands frère Julian et Amadeus elle était beaucoup trop intimidé en leur présence même si elle les aimait beaucoup. Mais avec Franz elle se permettait toute les fantaisies possibles d'autant plus que son jumeau ne se gênait pas de l'embêter dès qu'il avait l'occasion. Elle n'oubliait pas que la veille, Franz avait courue après elle avec une araignée dans les mains. C'est pour cela qu'elle avait attendue que tout le monde soit endormie pour sortir de sa chambre en catimini, couverte d'un drap et jouer le rôle du fantôme dans la chambre de Franz. Elle arriva devant la porte entrouverte de son jumeau. Il ne dormait pas encore et elle le savait. Elle se mit donc dos à la porte et ouvrit la porte de façon à ce que Franz ne puisse pas la voir. Elle attrapa de justesse Goliath son chat afin qu'il ne gâche pas son effet de surprise. Elle entendit son frère descendre de son lit. Il marchait lentement d'après les craquement du parquet. Adélaïde pouffait silencieusement, puis elle prit une voix aussi grave qu'elle pu. "Ouuuuuh" souffla-t-elle. Franz avait stoppé son avancée. Elle étouffa une autre série de rire en se plaquant la main sur sa bouche. Mais sans prévenir, Franz bondit soudainement de derrière la porte, les mains levées en criant un "bouh" qui fit sursauter Adéaïde et elle étouffa un petit cri aiguë, faisant tomber le draps qui la recouvrait. S'en suivit un fou rire de la part de son jumeau. "Non !" marmonna la petite fille et poussant son frère gentiment. "Chut Franz tu vas réveiller tout le monde !" Le petit garçon,dans un hoquet de rire, attrapa sa soeur par le bras et l'entraîna dans la chambre prenant soin de fermer la porte derrière eux. Une fois son hilarité finie, il frotta le sommet du crâne de sa jumelle avec un grand sourire. "Tu sais très bien que tu n'arriveras jamais à me surprendre Adé !" La petite fille tira la langue et alla sauter sur le grands lit baldaquin au milieu de la pièce, son chat et le draps dans ses bras. Elle fut vite rejointe par Franz qui s'assit en tailleur en face d'elle, toujours ce grand sourire malicieux aux lèvres. Les deux jumeaux avaient alors six ans. Ils vivaient dans le grand manoir familiale en Allemagne, entouré d'une famille aimante, même si leur père était assez distant, ils savaient pertinemment qu'il ne voulait que le bien pour ses enfants. Il était assez absent, toujours à faire des allers et retours, donc les enfants Von Sachsenheim n'avait pas vraiment le temps de le voir. En revanche, surtout pour les jumeaux, Cressida, leur mère, était très présente, douce, gentille, mais souvent au regard triste. Adélaïde savait que sa famille vivait en Angleterre, elle ne les voyait pas souvent, ses cousins et cousines du nom de Lestrange, même si les réunions de famille se faisait assez rare, elle les aimait bien. Mais elle trouvera jamais cette relation fusionnelle qu'elle avait avec son jumeau Franz. Ce dernier s'allongea sur son lit avec sa petite soeur dans les bras. Adélaïde soupira, soudain rattrapée par le sommeil. "Tu resteras toujours avec moi pas vrai ?" Franz pouffa de rire avant de répondre un oui sérieux et de serrer sa jumelle encore plus fort. Les deux enfants s'endormirent ainsi en souriant.
Malheureusement tout n'a pas été rose... Deux ans plus tard, alors que les jumeaux s'amusait avec des balais pour enfant dans la cours, un Elfe de maison vint les chercher, la mine plus sombre qu'à son habitude, Sebastian intima aux enfants que leur père voulait voir tout le monde dans le grand salon immédiatement. Adélaïde regarda son frère avec de grands yeux où se mêlaient la surprise et la crainte. Généralement, Karl Von Sachsenheim ne réunissait la famille uniquement pour leur remémorer les valeurs de la famille et l'ambitions qu'il avait prévue pour eux. Mais pourtant la petite fille, alors âgée de huit années, avait un mauvais pressentiment. Ils étaient tous assis autour de la grande table du salon, Julian, Amadeus et leur père Karl qui avait un teint pâle et la mine déconfite. Il mit un peu de temps avant d'ouvrir la bouche. Il annonça à la petite famille réunie qui le regardait avec le même regard plein d’appréhension, que Cressida, leur mère avait été victime d'une attaque et qu'elle était alitée à Ste Mangouste gravement blessée. Adélaïde serra la main de son frère plus fort, le cœur battant et le souffle court. Elle croisa le regard de Franz et elle y lut la même peur qui saisissait son cœur. Tout un tat de question lui vinrent à l'esprit, que c'était-il passé ? Qui étaient les coupables ? Est ce que leur mère allait mourir ? En proie à la panique la petite fille sentit les larmes lui monter aux yeux. Son père les emmenèrent finalement voir leur mère dans cette chambre d'hôpital. Tous étaient calme, ils ne pipaient mots. Cressida était allongé dans un lit, entièrement enroulée dans des bandages. Adélaïde eut une pensée sordide, elle vit sa mère comme une momie. Mais sa mère ne disait rien, elle était là immobile. La petite fille ne put s'empêcher de fondre en larme dans les bras de son frère. C'est alors que Franz posa la question à son père, cette question qui fit naître en Adélaïde une haine profonde. "Qui a fait du mal à maman ?" son père avec un ton qui laissait deviner sa colère marmona entre ses dents serrées "Les moldus..." Adélaïde serra les poings et les dents. Elle ne dit rien mais n'en pensait pas moins. Elle se mit à penser que ces gens...non ces sauvages n'étaient que des parasites qu'ils fallait écraser comme des fourmis insignifiantes. Surtout que le temps n'arrangea rien à l'affaire. Souvent, Franz et Adélaïde rendèrent visite à leur mère mais elle avait changer. Elle criait souvent et était transie de peur, une peur qui se lisait aussi dans les yeux de ses enfants. La petite fille haïssait ceux qui avaient fait ça à sa mère, si douce, si gentille et si souriante. Et rien ne s'arrangeait non plus vis à vis de ses grands frères, même si Adélaïde haïssait en silence les moldus, Julian ne se privait pas de clamer haut et fort qu'il fallait qu'ils paient leurs méfaits. Franz était de plus en plus triste et rigolait moins avec sa jumelle. Le temps d'absence de Cressida au manoir, se ressentait et laissait un vide immense dans le coeur de ses enfants. Le temps d'attente devenait vraiment long, la petite fille jouait sans vraiment d'enthousiasme avec son frère dans la chambre de ce dernier, quand ils entendirent la voix de leur mère au rez-de -chaussée. Ils se dressèrent en vitesse avec un grand sourire qu'ils n'avaient plus eut depuis quelques semaines, et descendirent en trombe. Ils se jetèrent dans les bras de leur mère, la petite fille pleurait toute les larmes de son corps en gémissant des maman par ci et maman par là. Elle paraissait guérie, elle ne criait plus et apparemment le traitement que le médicomage avait donné à Cressida marchait bien, même si elle devait prendre potions sur potions. Le cours de leur vie pouvait reprendre sa route en toute "normalité"
Mais un autre problème frappa à la porte et eut pour effet sur Adélaïde, une perte considérable de confiance en elle. Son frère Franz avait montré les premier signe de la magie, il était enfin un sorcier et avait été félicité par toute la famille. Mais Adélaïde, restait encore dénué de pouvoir magique. Et elle angoissait car son père la regardait avec insistance à chaque repas et au fur et à mesure que les jours et les semaines passaient, et qu'elle ne montrait toujours pas se signe magique, son regard changeait pour au final devenir froid et dédaigneux. Elle savait que la hantise Karl était d'avoir un enfant Cracmol, et malgré les encouragement de son frère qui essayait tant bien que mal de la rassuré, elle n'était pas bien et finissait toujours sous sa couette à pleurer, pestant sur son inaptitude à rendre fier ses parents. Un soir alors qu'elle était assise en boule sur son lit à faire jouer son chat qui avait fraîchement repris sa couleur blanche et immaculée ( car son frère avait eut la bonne idée de laisser libre court à son sang de sorcier en le faisant devenir rose bonbon), avec un bout de ficelle, Franz entra dans la chambre, un sourire bienveillant sur les lèvres. Adélaïde le fusilla du regard tentant de refouler les larmes qui lui montaient aux yeux. "Tu as de la chance toi ! Tout le monde est fier de toi et tu va aller à Poudlard, c'est bien non ?" Elle eut un hoquet et son frère monta sur le lit et la prit dans ses bras, elle se recroquevilla et se mit à pleurer. " Tu me raconteras comment c'est Poudlard ?" Franz prit la tête de sa soeur entre ses mains et plongea son regard bleu azure dans le sien, il était sérieux et ne rigolait plus du tout cette fois, et une légère angoisse traversa ses iris. "Ne dit pas n'importe que Léni, tu es une sorcière toi aussi, il te reste encore quelque mois avant que ta magie se déclare alors arrête d'angoisser, nous ne serons jamais séparer tu entends ? JAMAIS !" Adélaïde se laissa aller dans les bras de son frère et continua à sangloter, touchée par l'attention et la douceur que son jumeau avait toujours eut pour elle, et elle repris peu à peu confiance. Et le jour tant attendue arriva enfin. Alors qu'ils étaient à table pour le repas et qu'un silence de plomb régnait autour de la table. Adélaïde, assise en face de son frère, le regardait manger goulûment une cuisse de poulet rôti. "Je suis sûre que je peux le faire, j'en suis sûre..." Elle se répéta en boucle des paroles d'encouragement puis elle pensa au coup que Franz avait fait à son chat, malheureusement son animal de compagnie n'était pas en vue et elle eut une idée assez drôle qui lui vint à l'esprit. Elle plissa les yeux, fixant la cuisse de poulet, elle était si concentré qu'elle avait arrêter de manger et serrait sa fourchette si fort que le couvert lui faisait mal à la main. Puis soudain, Julian se pencha vers son Franz en pointant la cuisse de poulet qu'il était en train de porter à ses lèvres. Il la recracha aussi sec après s'être aperçue que celle-ci avait pris une couleur verte et était couverte de poils. Adélaïde sauta presque littéralement de joie, frappant dans ses mains pour s'applaudir avec un immense sourire au lèvres. Son père en bout de table soupira, signe qu'il était soulagé que son dernier enfant était un sorcier et non une calomnie de Cracmole. Julian rit aux éclats suivie d'Amadeus, Cressida prit Adélaïde dans ses bras la couvrant de félicitation. Et Franz lança à sa soeur un regard qui voulait à la fois dire "tu va le payer" et "Je suis si fier de toi". Finalement les deux jumeaux iraient à Poudlard. Ils allèrent faire leurs achats si tôt la lettre reçue. Lors du shopping, Adélaïde bloqua devant la vitrine de balais volants et accessoire de Quidditch, elle avait toujours aimé ce sport tout comme son oncle Berthold, et quand il venait et qu'il refaisait les matchs elle était toujours la première à s'enthousiasmer à ce sujet. Elle passa quelques heures à la boutique de robe pour sorcier. Elle voulait absolument que ses robes soient parfaite, elle avait le soucis du détail et ne voulait pas ressembler un un chiffon ambulant. Elle alla ensuite avec son frère et sa mère à la boutique de baguette magique. Franz avait été choisi par sa baguette assez rapidement, elle était en bois de cornouiller et ventricule de dragon, 30 cm. Il avait regardé sa mère avec un grand sourire plein de fierté. Adélaïde mit un peu plus de temps, une bonne dizaine de baguettes passèrent entre les mains de la petite fille, et après quelques pots cassés et boîtes renversés, sans oublier une partie de la barbe du vendeur qui avait été carbonisé, elle finit enfin par être choisie. Une baguette de 29cm2, bois de hêtre et ventricule de dragon, assez flexible. Elle la brandit comme un trophée l'agitant un peu dans tous les sens, quelques petite étincelles bleue et verte jaillirent ce qui amusait la petite fille. Une fois les achats terminé, Adélaïde partie dans sa chambre enfiler une de ses robes de sorcière, et défila dans le salon sous les éclats de rire de ses frères.
La rentrée tant attendue à Poudlard arriva, les jumeaux, surexcités passèrent tout le voyage dans le Poudlard Express en compagnie de leur frère et cousin, ils virent aussi leurs cousin et cousines Lestrange qu'ils n'avaient pas vu depuis l'accident de leur mère. Ils discutèrent des maisons dans lesquelles ils allaient être répartie. Adélaïde fut un peu prise au dépourvue car elle avait omis ce détail. Elle se voyait mal se retrouver dans une maison autre que ses frères et ses cousins. L’inquiétude la gagna peu à peu au fur et à mesure que le voyage touchait à sa fin. Puis ils arrivèrent à la gare de Près-au Lard. Les premières années furent dirigé vers les chaloupe qui devait les amener au château. Adélaïde, ne lâchant pas la main de son frère, s'extasia devant la beauté des environnements, et lâcha un petit "oh" quand les grandes tours imposante du château apparurent à l'horizon, comme de grande lance pointant vers le ciel. "Regarde comme c'est beau. C'est notre deuxième maison Adé" La petite fille regarda son frère avec un grand sourire, qui s'estompa quelque peu quand elle repensa à la répartition dans différente maison. "Dis, tu crois qu'on va pouvoir rester ensemble ?" Franz eut un petit rire nerveux avant de répondre. "Je ne sais pas, mais on est là tout les deux et c'est tout ce qui compte".
Teenage & Nowadays
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]it is from mistakes that we learn the most ✻✻✻ Adélaïde ne pensait pas que Poudlard pouvait être aussi accueillant, et elle considéra les lieux réellement comme sa deuxième maison. Durant sa scolarité la jeune fille était une élève modèle, même si quelque fois elle se perdait dans ses pensées, elle avait toujours de bonne note, et les matières qu'elle préférait étaient le potions et la métamorphose. En classe elle écoutait à moitié sérieusement et à d'un autre côté elle aimait bien papoter et faire un peu l'imbécile. Au niveau de ses relations elle ne traînait qu'avec des Sorciers de bonne famille. Mais au fur et à mesure que les années passaient, elle se rendait compte que Poudlard accueillait des enfants de moldus, beaucoup trop à son goût. Depuis l'accident de sa mère quand elle était enfant, elle nourrissait une haine irréversible envers les moldus et tout ce qui avait attrait à eux, et les "sang-de-bourbe" en faisait partie. Elle ne se gênait pas pour leur faire remarquer qu'ils n'étaient pas digne de recevoir l'enseignement magique, elle les regardait de haut et se plaisait avec cousins et cousines à leur rendre la vie assez difficile. Au fil des années ses ambitions devinrent de plus en plus troublées. Elle souhaitait travailler au ministère, à un poste assez élevé comme son rang l'exigeait. Mais Julian, son frère arrêta les études ce qui mit Karl Von Sachsenheim dans une colère noire. Le grand frère d'Adélaïde désertait les bancs d'école pour les rang des Mangemort, il prit la marque et s'enrôla auprès du seigneur des ténèbres. Les idéaux de ce dernier charmaient énormément la jeune fille, qui arriva à la croisée des chemins. Allait-elle suivre la voix des mangemort comme son frère ou bien continuer ses études ?
Mais comme si le sort s'acharnait sur la famille, un autre drame survenue, et il laissa un grand vide. Au camp de Belize au Honduras il y eut une attaque et l'été 1979 Adélaïde et ses frères apprirent la mort de leur cousine Eurydice. Cette funeste nouvelle eut pour l'effet d'une bombe. Adélaïde souffrait énormément de cette perte car elle était très proche de sa cousine. Dès qu'elle l'apprit, la jeune femme alors âgée de seize ans, s'isola quelque jours, tailladée entre la douleur de cette perte, la peur de ne pas rendre ses parents fier d'elle, la peur de perde son frère dans une autre attaque, la peur de perdre encore des gens qui lui étaient cher, l'angoisse de recevoir la marque et de s'enrôler dans les mangemorts. D'ailleurs beaucoup de membre de sa famille recevait la marque après cet évènement, son grand cousin Orpheus, son autre frère Amadeus et sa cousine Cythère. Ce qui n'aida fichtrement pas la jeune fille. Puis, comme si cela n'était pas assez il y eut une attaque sur le Poudlard express. Adéaïde était avec ses amies dans un wagon, elles riaient tranquillement, sans se douter de ce qui allait se passer, quand soudain retentit un gros boum, puis des cris, et le train qui se mit à trembler, à tanguer, les vitres explosèrent et des éclats griffèrent violemment le visage d'Adélaïde, les lumières s'étaient éteinte et Adélaïde ne pensa qu'à une seule chose : Franz. Elle sortit du compartiment, jouant des coude pour se frayer un chemin parmis les élèves en panique. Quand elle arriva au bout du wagon elle poussa un hurlement de terreur. Un des compartiments avait déraillé et avait fini plus loin, on pouvait apercevoir dans un champs de la fumée s'échapper de la cime des arbres. Elle ne savait pas si son frère était dans ce compartiment ou pas, et si il y était ? Si il lui était arrivé quelque chose ? Le souffle court elle se mit à chercher Franz parmis les élèves qui se tenaient là. En vain. L'angoisse se transforma en sanglot, et quand les secours arrivèrent et les emmenèrent tous à Poudlard, elle voyait défiler tout un tas de brancard couvert de draps blanc. Elle se précipita vers l'infirmerie, et elle le vit, allongé sur un lit, des égratignures sur les bras et le visages, des hématomes. Elle couru vers lui comme une folle, en proie à la panique. Elle s'agenouilla près du lit et lui prit la main. A ce moment là elle s'en fichait de savoir qui était mort et qui était vivant, du moment que son frère était bel et bien là. D'ailleurs, celui-ci gémissant, tourna la tête vers elle. Il eut un sourire déformé par la douleur avant de marmonner quelques paroles et de retomber dans les pommes. Franz changea un peu, devenant très protecteur envers Adélaïde et cette dernière collait de plus en plus son frère. La frayeur de l'accident du Poudlard express lui avait suffit, elle ne voulait plus être séparée de lui. Mais elle le fut, un temps, lors de la peste des patronus, Franz et néon avait été affecter et elle rendait visite à son frère tout les jours, le regardant dépérir à travers une vitre épaisse pour éviter la contamination des patronus sain.
Les événements tragique s'étaient enchaînés ses dernières années ce qui eut pour effet de perdre la jeune fille dans ses choix et dans ses sentiments. Elle devint quelque peut renfermer, même si elle montrait devant les gens une personnalité affirmée et forte. Sa haine des moldus et autre sang impur explosa comme un volcan, mais elle choisi tout de même de finir ses études pour ne pas décevoir son père et sa mère, elle choisi la justice magique, alors que Franz se dirigeait vers la zoologie magique, lui qui adorait les animaux. Adélaïde avait de l'ambition, même si dans sa tête tout n'allait pas vraiment droit. Acculée de choix important à faire ainsi que d'appréhension et de peur, la jeune fille essayait tant bien que mal de joindre les deux bouts.
Au risque de me répéter mais on ne le dit jamais assez quand il s'agit des VS : quel excellent choix de famille En tout cas j'espère que tu te plairas par ici et si tu as des questions concernant la famille hésite pas à demander, tout le monde est incollable sur les Von Sachsenheim
Au plaisir d'avoir un lien et rp avec toi, bienvenue
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Re: Adelaïde Von Sachsenheim ♤ Everything has its beauty but not everyone sees it.