BELLUM PATRONUM


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I'm only a man with a chamber who's got me
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par Invité, Jeu 12 Mai - 20:26 (#)
James Henry
Cole
ft. Jeremy Renner
Sang mêlé
44 ans
Célibataire
Hétérosexuel
Directeur de Cole & Iuris, cabinet d'avocats
Aigle Impérial
Pro-Ordre
Bazzart
   
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À propos
Nom: Cole Prénom: James Âge et Date de Naissance: 44 ans, né le 10 Juin 1938 Nature du sang: Sang-mêlé Situation familiale: Fils unique, il n'a pour lien de parenté que ses parents. Ces derniers sont à la retraite, à la campagne, loin du tumulte de la ville. Il s'entend bien avec ses deux parents. Son travail a toujours été la priorité, si bien que James n'a jamais été marié ou fiancé. Bien qu'une fois, il aurait pu l'être. Victoire Hepburn, femme mariée, fut l'amour de sa vie, avec un grand "A". L’idylle dura plusieurs mois, avant qu'elle ne disparaisse du jour au lendemain lorsqu'elle tomba enceinte de James. Ce dernier ignore encore aujourd'hui les raisons de sa disparition, tout comme il ignore être le père de Narcisse Hepburn. Patronus: James est trop vieux pour avoir un patronus possédant une forme physique. Il s'agit toutefois d'un aigle Impérial lorsqu'il a recourt au sort.Miroir du Rised: Lorsque James était plus jeune, son plus grand rêve était de réussir en tant qu'avocat. Ce qu'il aurait voulu que le miroir lui montre, c'est lui en train d'entrer au ministère de la magie, en tant que directeur du département de la Justice. Mais, ce n'était pas son désir le plus profond. En effet, ce que le miroir lui montre c'est lui avec Victoire, vivant la vie heureuse qu’elle lui avait promis avant de disparaître à jamais. Ce désir enfouit au plus profond de son être et de son cœur. Epouvantard: Une poupée en porcelaine géante, de grands yeux ouverts, un sourire de clown sur le visage. Un visage de psychopathe en somme. Composition de la baguette magique: Baguette en bois de Cyprès, ayant en son cœur un crin de licorne, d'une longueur de 31,13 cm et souple. Emploi: Directeur de Cole & Iuris, cabinet d'avocats à Londres. Egalement intervenant pour des cours auprès de Poudlard. Animal de compagnie: Aucun
Caractère
James est quelqu’un aux valeurs très fortes. Il croit en ce qui est juste, et il se bat pour ses convictions. Il croit en la Justice, c’est entre autre ce qui l’a poussé à devenir avocat. Il voulait défendre la veuve et l’orphelin. Cela fait très cliché, mais c’est aussi simple que ça. Au-delà de cette envie, il a toujours voulu faire quelque chose qui lui permettrait de faire la différence. C’est sans nul ce qui l’a poussé dans cette direction. Il voulait toujours faire partie de quelque chose de plus grand que lui.


L’avocat ne supporte pas les injustices. Au même titre, il a beaucoup de mal à supporter les querelles de sangs. Ces histoires de sang pur ou pas. A ses yeux, tout le monde était placé à la même enseigne. Pour lui, les sorciers ne sont et ne doivent pas être supérieurs aux Moldus. Surtout que lui-même à un père moldu. Et, il en est très fier. C’est sans doute grâce à lui qu’il se sent impliqué dans les deux communautés.


Via son métier, James est devenu quelqu’un de très audacieux. C’est notamment ce qui lui a permis de construire sa réputation, en prenant les affaires qui lui ont permis d’être à la tête de l’un des cabinets d’avocats les plus prestigieux de Londres. C’est quelqu’un de très professionnel et réfléchit. Contentieux, il a toujours fait passer son travail avant le reste. Chose qu’il regrette à l’heure actuelle. Il aurait aimé fonder une famille, notamment avec la femme dont il est tombé amoureux mais qui a disparu du jour au lendemain. Encore aujourd’hui, elle représente le grand amour de sa vie.


James fait toujours ce qui est juste pour lui. Aujourd’hui à la tête d’un grand cabinet d’avocats, ce n’est pas les moyens de ses clients qu’il regarde en premier. Il ne viendrait jamais défendre quelqu’un qui ne le mérite pas à ses yeux. Chacun des dossiers que traite son cabinet est validé par lui au préalable. De même, les tarifs sont fixés au cas par cas. Ainsi, il n’est pas rare que Cole & Iuris apporte leurs conseils aux plus démunis. Il est arrivé que James se charge même de dossier qu’il a vu dans la presse de manière gracieuse. Tout dépend des gens et du dossier. Il fait payer à ceux qui le peuvent.


C’est quelqu’un d’engager et de sûr de lui. Il sait où il va et généralement comment s’y rendre. Dans presque tous les domaines de sa vie. James transpire la réussite, mais il reste quelqu’un de relativement simple, qui aime les belles choses de la vie. Les beaux meubles, les belles œuvres d’art etc… Et comme il possède l’argent, pourquoi s’en priver ?
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Patronus
James ne possède pas de patronus avec une forme physique. Toutefois, au cours de sa scolarité à Poudlard, il a appris à maitriser ce sort. Son patronus prend la forme d’un Aigle Impérial quand l’avocat l’invoque, bien qu’il ne s’amuse pas à le faire tous les jours. Il peut toutefois l’invoquer si cela s’avérait nécessaire.

La situation actuelle des plus jeunes, et l’apparition de patronus corporels, attise en lui plus de curiosité qu’autre chose. Ce n’est pas quelque chose qui l’effraie, mais l’intrigue bien. Il se demande les tenants et aboutissements de ses événements. James aimerait comprendre plus en détail ce qui se passe. Il aimerait d’ailleurs découvrir la sensation que cela produit de posséder un patronus de forme physique, une partie de soi qui ne l’est pas tout à fait mais avec qui il pourrait communiquer. Mais pas se séparer. C’est un lien étrange qui lie un patronus à son sorcier. Un lien qui attise une curiosité brulante, mais aucune forme de jalousie.
   
Pseudo et âge: Phil', 22 ans (ou presque) Où as-tu trouvé le forum ? J'étais déjà venu, mais certains raisons ont fait que je n'y suis pas resté Personnage: Inventé As-tu un autre compte sur BP ? répondre ici Présence: Non Une remarque ? Aucune 


Dernière édition par James H. Cole le Dim 15 Mai - 15:58, édité 5 fois
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Message Re: I'm only a man with a chamber who's got me
par Invité, Jeu 12 Mai - 20:27 (#)
Histoire
Happiness can be found even in the darkest of times
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- Avant de commencer notre interview pour notre journal, la gazette du sorcier, je souhaiterai vous remercier au nom de la rédaction de nous accueillir au sein de vos locaux.

- Je vous en prie, tout le plaisir est pour moi.


Un maigre sourire se dessina sur le visage de James, alors que son regard se déposa sur la journaliste. Cette dernière et lui-même se tenaient assis dans son bureau. La pièce était sobre, mais transpirait une certaine force et un prestige. Tous les meubles de la pièce étaient en bois. Dans son style, le décor pouvait faire penser à celui d’un bureau du 19ème siècle.  Lorsque vous baissiez le regard, il se posait sur immense tapis rouge et or – rappelant la maison de James : Gryffondor – recouvrant tout le sol. Les murs étaient ornés de divers éléments. Des tableaux dignes des meilleures galeries d’art, des photos de James avec des personnalités qui bougeaient lentement, son diplôme de Poudlard - obtenu avec la meilleure mention - ainsi que plusieurs articles de journaux retraçant ses plus grosses affaires.

Vers le fond de la pièce, devant une immense fenêtre se tenait un magnifique bureau de la période Napoléonienne avec la chaise qui l’accompagne. Sur le meuble, de nombreux dossiers appartenant à l’avocat. Bien entendu, il s’agissait là de dossiers sans grande importante. James avait bien fait attention de ne laisser aucun document sur ses affaires en cours ou ses clients, notamment en la présence d’une journaliste. Il avait une réputation à tenir.

Au milieu de la pièce, deux fauteuils qui s’accordaient parfaitement avec le tapis. Ces fauteuils ne servaient que pour des entretiens avec ses clients les plus importants et en de rares occasions. Comme celle-ci. En somme, tout dans cette pièce était fait pour impressionner, mais également rassurer.

Droit dans le fauteuil, tout en étant détendu, James fixait la journaliste, attendant patiemment la suite de cet entretien qu’il avait accordé. Ses bras étaient posés sur les accoudoirs, légèrement redressé, il disposait ainsi d’une position de force sous-jacente.

- Si vous commenciez par nous parler un peu de vous, de votre enfance. Nos lecteurs connaissent James Cole, le directeur de l’un des cabinets les plus réputés de Londres, mais ils ne connaissent pas votre histoire.

- Parce qu’il n’est pas le plus réputé ?


James ne cacha pas un sourire amusé à sa propre réflexion. Si ce n’était pas encore le cas, son cabinet allait le devenir. Par la force des choses. Il n’avait même pas besoin de se fixer cela pour objectif. La réputation de Cole & Iuris ainsi que le travail réalisé feraient tout le nécessaire.
Bien entendu la journaliste ne répondit pas, souriant uniquement à l’attention de l’avocat, sa plume prête à écrire la moindre de ses paroles. Les interviews étaient toujours un exercice délicat. Elles pouvaient faire ou défaire la réputation d’un homme. Il était hors de question que cela porte préjudice à son affaire. C’était à James d’assurer le coup.

- Par où commencer ? Je suis né à Londres le 10 Juin 1938. Ma mère est une sorcière, travaillant au ministère de la magie. Quant à mon père, c’est un moldu qui avait un bar à vins dans Londres. C’est au cours d’une commande que ma mère était venue passer pour une réception que mes parents se sont rencontrés. Et pouf, me voilà deux ans plus tard.

James fit un geste des mains dignes des magiciens moldus lorsqu’ils font « apparaitre un objet ». Si seulement il s’avait que la magie était réelle.

- Je suis enfant unique. J’ai tout de suite été bercé dans la magie. Littéralement. Heureusement, à ma naissance mon père était déjà au courant de notre monde. Ce qui a d’ailleurs évité certaines surprises à l’apparition de mes pouvoirs. Un plat de légumes qui se transforme spontanément en eau, c’est quelque peu surprenant.


Un nouveau sourire naquit sur les lèvres de James à l’évocation de ce souvenir. C’était l’un des rares qu’il disposait encore de sa jeune enfance. Un petit pincement au cœur se manifesta. Il était triste de voir que de nombreux souvenirs avaient tout bonnement disparus pour lui. Un seul regard dans la direction de la journaliste lui suffit à savoir qu’elle fût en train d’obtenir ce qu’elle voulait. Parfait.

- Je dois bien l’admettre, ma famille était plutôt aisée. Je n’ai jamais eu à me plaindre bien au contraire. C’est d’ailleurs grâce à mes parents que j’ai pu ouvrir mon cabinet à la fin de mes études.

- D’ailleurs, voulez-vous bien nous parler de vos études ?

- Comme la grande majorité des Anglais – tout du moins les sorciers – j’ai fait mes études à Poudlard. On peut dire que j’étais un excellent élève. Pas des plus assidus, mais quand on est jeunes… J’ai obtenu de très bons résultats à tous mes examens et je me suis dirigé vers le droit. Une sorte de tropisme. Je voulais être avocat, spécialisé dans la défense – bien que ce ne soit pas ce qui m’a poussé sous le feu des projecteurs. Pour faire la différence, à ma façon.

- Puis que vous l’évoquez, Monsieur Cole, quels sont les secrets d’une telle réussite ?

- Si je vous les confie très chère, ce ne seront plus des secrets.

Deux petits rires résonnèrent dans la pièce. James reporta son attention sur la journaliste pour répondre plus sérieusement à sa question.

- Du talent, du savoir-faire et de l’audace. Cela devait faire un an que j’avais ouvert mon cabinet. J’étais jeune, 26 ans. Jusque-là, je n’avais eu que quelques petites affaires. Toutes couronnées de succès toutefois, sans vouloir m’en vanter outre mesure. Puis, de jeunes sorciers sont venus me voir. Je n’étais sans nul doute pas leur premier choix. Honnêtement, sur le papier, le dossier était suicidaire. Aucune chance de gagner le procès. Pourtant, c’est l’exploit que je suis parvenu à accomplir. Mais tout cela, vous le savez déjà. Les journaux en ont fait l’étalage à l’époque.

- C’est exact.

En effet, le premier article sur le mur derrière James traitait de cette affaire. On y voyait James aux côtés de ses clients à la sortie du tribunal, triomphant le jour du verdict. Il s’agissait du procès qui l’avait propulsé sur le devant de la scène. Deux jeunes sorciers étaient venus le trouver, désespérés. Des anonymes parmi tant d’autres. Ils expliquèrent au jeune avocat que leurs parents – deux moldus – avaient été assassinés au cours de la seconde guerre mondiale.

Apparemment à l’époque, les héritiers d’une importante famille de sorciers au sang pur avait profité du chaos pour s’amuser avec deux moldus. Et par « s’amuser », il fallait entendre les torturer puis les tuer.

L’affaire était impossible à gagner, pour plusieurs raisons. Le procès avait lieu en 64. Une vingtaine d’années après les faits. Les preuves manquaient et la famille était riche et haut placée. C’était un suicide au niveau d’une carrière. James pouvait voir le regard de ces deux jeunes sorciers de parents moldus qui étaient convaincus qu’aucun avocat n’allait les aider et que justice ne serait jamais rendu. James avait pourtant accepté.

Le jeune avocat avait travaillé tel un acharné pour recueillir les preuves nécessaires et monter son dossier. Le procès, très médiatisé, avait duré des mois. Puis l’impossible s’était produit : les héritiers, vingt ans après, furent conduits derrière les barreaux. Ce fut l’affaire qui propulsa James dans sa carrière.

- C’est sans doute parmi mes plus grandes réussites jusqu’à ce jour. Voire la plus grande. En plus d’être le procès qui a propulsé ma carrière, et m’a permis de me faire un nom. Très rapidement, je me suis vu crouler sous les demandes. Tout le monde voulait m’avoir pour défendre sa cause. J’ai dû recruter de nouveaux avocats, triés sur le volet bien entendu. C’est ainsi que naquit vraiment Cole & Irius. Aujourd’hui, nous sommes une équipe de sept avocats, spécialisés dans tous les domaines. Nos clients viennent du monde entier et nous trions les dossiers au cas par cas, pour qu’ils correspondent aux valeurs de notre cabinet.

- Depuis cette première affaire, les échecs pour votre cabinet se comptent sur les doigts d’une main. Votre nom apparait dans de nombreuses autres affaires très médiatisées. Pouvez-vous nous citer quelques clients prestigieux ? Ou hors du commun ?

- Malheureusement, vous comprendrez ma chère que pour des raisons professionnelles, je dois passer cette question sous silence.

Bien que plusieurs dossiers finirent par faire la une des journaux, certains clients préféraient obtenir une discrétion des plus totales de la part du cabinet du sorcier.  Quant aux clients hors du commun…

C’est au début des années 1970 que James fut approché. Cela faisait quelques mois qu’il entendait des rumeurs sur une organisation secrète qui venait de se former et qui se battait dans l’ombre. Malgré sa position, les informations avaient été dures à obtenir. Jusqu’à ce que l’Ordre du Phénix s’approche de lui.

Dans un premier temps, ils avaient besoin de ses services pour envoyer un de leur ennemi derrière les barreaux. James avait entendu assez de rumeurs pour savoir qu’il souhaitait rejoindre leur rang. Mais, il n’avait pas trouvé le moyen de le faire. Or, c’était eux qui venaient à lui. Leur représentant expliqua la situation et évoquait le fait qu’ils avaient besoin de ses talents pour les procès. Notamment un premier pour voir si leur association pouvait porter ses fruits.

James accepta, à titre gracieux. Il remporta le procès, et mis un ennemi de l’Ordre derrière les barreaux. Les dossiers venaient de temps en temps, notamment pour sortir certains membres de l’organisation de fâcheuses postures face à la justice. Toujours pour des actions justes aux yeux de l’avocat réputé.

Finalement, ce fut au milieu des années 70 qu’il devint un membre à part entière de cette organisation.  

- Changeons un peu de sujet. Un homme avec votre position et votre talent doit attiser les convoitises. Une petite question pour nos lectrices, il n’y a jamais eu de Madame Cole ?

Le visage de James s’assombrit alors qu’un visage sortit de ses pensées. Rapidement, il s’était ressaisit, si bien que la journaliste n’avait sans nul doute rien remarqué.

- Cette question est pour l’interview, ou pour vous ?


Nouveau sourire de James. Un sourire forcé alors qu’une douleur se propageait au travers de son cœur à la pensée de cette femme. Victoire Annabelle Hepburn. Elle était à la fois le grand amour de sa vie et sa plus grande déception.

James se rappellera toute sa vie de la nuit où il l’a rencontrée.
C’était une nuit d’hiver, froide. Il venait d’obtenir son diplôme et commençait sa carrière. Le jeune avoat était à la recherche d’un tableau bien précis. Une galerie d’art proposait une vente ce soir-là. Un de ses amis lui avait indiqué que l’œuvre pourrait s’y trouver. Et, il n’avait pas menti.
James contemplait la magnifique peinture, jusqu’au moment où il entendit « Elle vous plait ? ». Les mots résonnèrent encore dans sa tête. En se retournant, il eut presque le souffle coupé.

La beauté de la femme était saisissante, tel le crépuscule coloré d'une belle nuit d'été. Cette beauté n'en était que d'autant accentuée par l'aura qui se dégageait de cette femme. Elégante et d'une présence indéniable. James pouvait sentir cette forme de chaleur dégagée par la jeune femme, sentir l'envahir par cette proximité. Une sorte de chaleur qui partait du centre de son ventre, et qui remontait le long de sa poitrine pour rejoindre les extrémités de son corps. Elle semblait parfaitement dans son élément, et même au-delà. Elle semblait maîtresse des lieux. Elle irradiait la pièce par sa présence, chacune des œuvres semblait à James être mise en valeur par sa présence, comme si elle se battait pour avoir son attention. Rares étaient les regards qui ne s'arrêtaient pas sur cette femme, que ce soient les regards des hommes ou des femmes. La femme avait un pouvoir d'attraction certain.

Il se trouvait que Victoire Hepburn était la directrice de l’exposition pour la vente. Après avoir échangé, James lui proposa un dîner pour parler de l’œuvre qu’il souhaitait acheter. Ils se virent donc le lendemain au soir. A sa grande déception, Victoire était déjà mariée… Toutefois, cela ne les dissuada pas de passer la nuit ensemble.
James entretenait donc une relation avec une femme mariée pendant plusieurs mois. Victoire lui promit qu’elle finirait par être sa propre femme.  Ce fut le grand amour, jusqu’à ce que du jour au lendemain, elle disparaisse. Sans une explication, sans un mot. Il avait déployé tous les efforts qui lui étaient possible pour retrouver sa trace, mais ce fut impossible. Encore aujourd’hui, il ignore pourquoi elle avait coupé tout contact avec lui, ses promesses d’être ensembles raisonnant dans la mémoire de James. Des promesses qui ne virent et ne verront jamais le jour.

- Non, personne.

- Maintenant que nous avons parlé du passé, parlons de l’avenir. Quels sont vos projets ? Des rumeurs racontent que vous venez de signer avec Poudlard en tant qu’intervenant, est-ce vrai ?


- C’est exact. Je souhaite en effet m’investir auprès des jeunes générations, pour leur apporter mon savoir et pourquoi pas en inspirer certains pour créer leur propre réussite. C’est donc dans cette optique que j’ai accepté la proposition de Poudlard pour rejoindre leur rang afin d’y enseigner à l’occasion mon expérience.


Dernière édition par James H. Cole le Dim 15 Mai - 16:17, édité 1 fois
Delliha McLeod
admin - shame to die with one bullet left
Delliha McLeod
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Message Re: I'm only a man with a chamber who's got me
par Delliha McLeod, Jeu 12 Mai - 20:30 (#)
Coucouuuu papyyyy Yeah!
Bon retouuuur dans notre belle maison jaredditoui

Hâte de lire ta fiche Nih
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Message Re: I'm only a man with a chamber who's got me
par Invité, Jeu 12 Mai - 21:02 (#)
Je t'accueille pas sous la bonne mais Robert47cm quand même Nih

Rebienvenue Chou
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Message Re: I'm only a man with a chamber who's got me
par Invité, Jeu 12 Mai - 21:07 (#)
Rebienvenue Brille

Qui étais tu ? Chou
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Message Re: I'm only a man with a chamber who's got me
par Invité, Jeu 12 Mai - 21:25 (#)
Delliha A. McLeod a écrit:
Coucouuuu papyyyy Yeah!

Tu sais ce qu'il te dit le papy ? Hen !

Merci love Daengelo (Non, ce n'est pas la réponse à la question ci-dessus Hen ! )

L. Charlie De Breteuil a écrit:
Je t'accueille pas sous la bonne mais Robert47cm quand même Nih

Toi-même tu sais Robert47cm

Merci Daengelo love

Lawrence L. Wellington a écrit:
Qui étais tu ? Chou

Hemeris Ashmore Hum Jecomptebienresterdurablementcettefois HOHOHOHOHOHOHOHOHHO

Merci Brille
O. Jill Peverell
membre - i don't want just a memory
O. Jill Peverell
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Message Re: I'm only a man with a chamber who's got me
par O. Jill Peverell, Jeu 12 Mai - 21:49 (#)
Re Robert47cm
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Message Re: I'm only a man with a chamber who's got me
par Invité, Jeu 12 Mai - 22:05 (#)
Jeremy Renner dead Re bienvenue Haww
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Message Re: I'm only a man with a chamber who's got me
par Invité, Jeu 12 Mai - 22:20 (#)
Re bienvenue alors ! Brille hihi
Bon courage pour ta fiche Daengelo
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Message Re: I'm only a man with a chamber who's got me
par Invité, Jeu 12 Mai - 22:26 (#)
rebienvenue sur le forum Brille
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Message Re: I'm only a man with a chamber who's got me
par Invité, Jeu 12 Mai - 22:31 (#)
Re bienvenue Lalalaa
Nous faudra probablement un lien jaredditoui
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Message Re: I'm only a man with a chamber who's got me
par Invité, Jeu 12 Mai - 23:32 (#)
Renner Brille Bienvenuue, ou bon retour plutôt du coup Haww
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Message Re: I'm only a man with a chamber who's got me
par Invité, Jeu 12 Mai - 23:57 (#)
rebienvenue Daengelo

J'aime bien l'occupation du perso Brille
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Message Re: I'm only a man with a chamber who's got me
par Invité, Ven 13 Mai - 1:15 (#)
OMG Jeremy Renner bave bave bave

Re-bienvenue du coup hihi
Un avocat Robert47cm
Jevoudraisunlien Chou
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Message Re: I'm only a man with a chamber who's got me
par Invité, Ven 13 Mai - 4:28 (#)
Renner dead Chou Bon retour parmi nous Brille
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Message Re: I'm only a man with a chamber who's got me
par Contenu sponsorisé, (#)
 

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