BELLUM PATRONUM
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| Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrine | | | Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrinepar Invité, Sam 25 Juin - 15:52 ( #) | Peregrine Lewis Lupin ft. Viggo Mortensen sang-mêlé 50 ans veuf hétérosexuel Psychomage à Ste-Mangouste Grand corbeau pro-ordre crédit images | |
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: Lupin. Ça ne nous évoque pas la même chose, vous et moi. Prénom: Peregrine. Le voyageur. Le pèlerin. Mais ce n'est pas non plus le genre de voyage auquel vous pensez, je suppose Âge et Date de Naissance: 10 septembre 1931 Nature du sang: sang-mêlé Situation familiale: Veuf. Veuf, d'abord et avant tout, comme un leitmotiv, comme les éternelles mêmes première notes d'une mélodie changeante. Veuf comme un poids à porter quotidiennement, veuf comme une nouvelle cape derrière laquelle s'y dissimuler, veuf comme marié à la mort. Père, ensuite, d'Hippolyte d'abord, de Trisha ensuite. Oncle trois fois et, en dernier, comme dernier rempart avant le rien, cousin, mais on pourrait tout aussi bien dire frère. Les Lupin, son univers. Patronus: Grand corbeau. Sombre corbeau Miroir du Rised: Si on lui demandait, il dirait toute sa famille, tous les Lupin présents et les Lupin à venir, parce que c'est un désir sur lequel il aurait l'impression d'avoir encore un peu de contrôle, parce que c'est un désir plein d'espoir, un désir qu'on partage. Mais s'il se retrouvait devant e miroir du Rised, il n'y verrait que Channah et son reflet et personne d'autre. Epouvantard:Ses filles. Elles avanceraient devant lui, pâles et déterminées. Il ne saurait lire dans leur regard. Il n'y verrait rien. Il y verrait de la souffrance. Il les croirait mortes et il suffoquerait. Elles avanceraient encore et il les croirait bien vivantes et il tremblerait. Elles seraient plus grandes, plus vieilles, elles ne seraient plus des enfants, elles ne seraient plus ses enfants, elles avanceraient et le dépasseraient et disparaîtraient et le laisseraient se languir, se détestant pour s'être demandé, même pour une fraction d'instant, quelle forme d'abandon il préférerait. Composition de la baguette magique: bois de vigne (appréciez l'ironie), plume de Phoenix, 28 centimètres Emploi: Réputé psychomage à Ste-Mangouste Animal de compagnie: un chien. Un épagneul breton | Caractère C'était quelqu'un de bien, assurément, quelqu'un qu'on souhaitait connaître, avec qui on se sentait naturellement à l'aise, quelqu'un au regard bienveillant. Intelligent. Quelqu'un d'empathique, quelqu'un qui, à défaut d'approuver, parvenait à écouter, cherchait à comprendre, voulait absolument comprendre, comprendre si bien qu'il aurait presque pu deviner ce que l'autre risquait de dire, de faire. Pour lui, les mystères des hommes étaient encore plus grands que ceux des étoiles. C'était un philanthrope, un amoureux des gens, un romantique de l'humanité, et si parfois les gens l'ont laissé sans voix, il a toujours trouvé inutile d'haïr les imbéciles. Oh! Le nombre de cours qu'il a manqués parce que l'être humain qu'il avait devant lui à ce moment-là était mille fois plus intéressant que l'histoire des gobelins ou l'art de transplanter des mandragores... C'était quelqu'un de bien, oui, un homme dévoué, aux autres et aux causes, de ceux qui ne semblent jamais hésiter, qui ne semblent jamais trembler, un homme courageux, vaillant, juste. C'était un homme-phare, un homme-pilier, un optimiste, à l'humeur constante. Il émanait de lui une douce énergie, réconfortante et intarissable, auprès de laquelle on en arrivait à croire que tout irait bien, qu'il ne pouvait pas en être autrement. C'était quelqu'un de simple aussi, adepte des plaisirs simples de la vie : les réunions autour d'un repas, l'observation des étoiles, le crépitement d'un feu de foyer. On comprendra son amour pour les petites communautés, dans lesquelles il peut connaître les gens, on comprendra que l'anonymat des grandes villes jumelé à tous ces êtres auxquels il ne parlera jamais le déstabilisent un peu. C'était quelqu'un de bien, sans aucun doute. Il l'est probablement encore, il n'a pas changé, mais il est fatigué, si fatigué, fatigué de tenter de bien faire pour tout le monde, d'être généreux et présent et enthousiaste et optimiste, et tout ce qui semblait être une qualité semble s'être mutée, devenue monstrueuse à force de tenter d'en être digne. C'est difficile de ne pas se laisser abîmer par le temps et les gens. À force d'essayer d'avancer il s'est mis à tourner en rond. Depuis 14 ans qu'il tourne en rond. Son dévouement frôle maintenant l’excès, son côté protecteur est devenu presque étouffant, son empathie s'est transformée en assurance un peu arrogante, comme si lui seul comprenait le monde mais que personne ne le comprenait. C'est quelqu'un plein d'orgueil, sans aucun doute, qui n'admettra pas l'erreur, qui n'admettra pas ses faiblesses, qui n'admettra pas qu'il a besoin d'aide, convaincu qu'il peut se débrouiller lui-même, convaincu que ses proches ont plus besoin de lui qu'il a besoin d'eux, convaincu qu'il serait un fardeau, déterminé à ne pas en être un. Alors il ment et il fait semblant qu'il est heureux, il tente d'être cet homme fringant qu'il était, et il boit, quand il n'y parvient pas. C'est quelqu'un qui acceptera peu la critique, surtout celle qu'on lance trop facilement. C'était un idéaliste qui recherchait les moments parfaits, qui courrait après le moment présent. Il l'a atteint. Il l'a rattrapé. Il ne sait plus après quoi courir. C'était un homme à l'humeur légère, un homme patient, mais peut-être n'est-ce plus vrai, peut-être est-il maintenant un peu colérique, surtout lorsqu'il boit, surtout lorsqu'il voudrait secouer le monde entier pour le réveiller de son inertie, surtout lorsqu'il voudrait se réveiller lui aussi de ce cauchemar qui le retient en laisse, qui ne lui permet que de tourner en rond. Il a peur. Peur de l'amertume, peur de la lassitude, peur de sa propre fuite inexorable, peur de ce qu'il pourrait devenir.
| [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Patronus Le patronus de Peregrine se matérialise sous la forme d'un grand corbeau. Fringant jeune homme aux espoirs nombreux et toujours renouvelés, il su rapidement maîtriser le sortilège. Il intégra d'ailleurs le patronus dans le traitement de certains de ses patients afin d'ouvrir la porte sur leur subconscient. Il s'avéra que cela augmentait aussi la relation de confiance entre lui et ses patients que la révélation du dit patronus soit partagée.
Mais rares sont ceux qui pourraient se rappeler de sa forme. Il y a bien longtemps qu'il n'a pas eu à jeter le sortilège, du moins par pour se protéger, car il pouvait être plaisant de voir cet être de fumée vagabonder à ses côtés dans un élan de joie. Mais depuis la mort de sa femme, l'oiseau est sombre et les élans de joi sont amers. Il n'y voit plus autant un reflet de sa personnalité qu'un oiseau de mauvais augure cherchant un nouveau chemin à indiquer à la faucheuse.
Depuis le sortilège qui toucha les jeunes sorciers et matérialisa leur patronus, il se permet de partager ses pensées avec ce patronus qui demeure pour lui intouchable et éternellement silencieux. C'est parfois pour se tenir compagnie, pour justifier ses soliloques solitaires et ses remarques adressées à personne. C'est parfois en quête d'une réponse. Si ces jeunes gens peuvent converser avec un sortilège matérialisé, c'est que quelque chose existe en soi, une partie autre de nous-même, que cette partie soit aussi invisible que le vent ou aussi tangible qu'un autre être humain. Quoiqu'il en soit, nous supposons que cela ajoute quelque peu à son caractère légèrement excentrique, à la naïveté quelque peu enfantine avec laquelle il saisit parfois quelques détails de la vie. |
Pseudo et âge: Où as-tu trouvé le forum ? Personnage: Famille Lupin As-tu un autre compte sur BP ? Présence: Aléatoire. Souvent Une remarque ? J'ai craqué. On craque tous. C'est de ta faute BP |
Dernière édition par Peregrine L. Lupin le Dim 26 Juin - 3:13, édité 5 fois |
| | Re: Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrinepar Invité, Sam 25 Juin - 15:53 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
(Pour une expérience plus complète, savourez avec une playlist de Jean Leloup).
Il y a des choses dont il ne vaut mieux pas parler. Des choses qu'il vaut mieux ne pas remuer, au risque qu'elles vous aspirent en retombant, vous entraînent dans leurs profondeurs, dans un infini tourbillonnement vers l'abîme. Les choses tournent. Tout tourne. Les souvenirs vagabondent, se frôlent, s'entrechoquent. N'est-ce pas curieux de se souvenir d'avantage lorsqu'on cherche à oublier?
Retour a la maison, empruntant le chemin le plus long avant de rentrer, à pied, malgré la distance, à pied, malgré le détour, à pied malgré le mauvais temps, à pied parce qu'il aime le mouvement, parce que le mouvement éclaircit ses pensées, il les ordonne, il les fait avancer avec lui, et son esprit vagabonde sans entrave, des dossiers de la journées aux dossiers de sa vie. À pied, aussi peut-être pour se donner l'impression d'avancer, d'aller ailleurs, pour tenter de fuir des pensées et des souvenirs qui ne cessent de l'assaillir tôt ou tard. Nuages bas le temps est gris.
La maison est silencieuse. Il est seul. Ce sont deux choses avec lesquelles il est normalement confortable. Il a grandi dans le silence, le silence des longues promenades sur les collines entourant Pré-au-lard, le silence d'un village encore endormi, désert le dimanche matin. Il connaissait les gens de son village par cœur, comme des personnages d'un roman qu'il aurait inventé, il les a connu de fond en comble jusque dans leurs plus sombres pensées, ils furent ses premiers patients, ses premières passions, ses premières recherches sur l'homme. Ils furent ses premiers compagnons aussi, quand sa mère est morte, et que le silence de la maison se teintait de suie, devenait irrespirable, irrespirable mais moins terrible que les sanglots de Dion qui venaient le fracasser à intervalle régulier. Non, le silence ici restait doux, paisible, le silence d'un refuge plein de souvenirs heureux, doux-amers, mais heureux. Non, il n'était pas de ceux qui pleuraient, il était de ceux qui consolaient, et jamais, jamais ses filles ne devaient avoir à le consoler, les enfants ne consolaient pas les parents. Parfois, il se demandait s'il n'avait pas perdu la capacité de pleurer devant les rivières formées par le chagrin de Dion. Il n'avait pas été un enfant triste comme on le condamnait à être. Il avait su conserver sa grâce, son innocence, sa lumière, parce qu'il le fallait bien. Il avait été un bon fils...Avait-il été un bon fils? Ou était-il parti en quête de d'autres gens à aimer à défaut de sa mère, à défaut de son père? Y avait-il dans ces premières années de vie un dévouement qui dissimulait une tentative de fuite...
Il prit une gorgée.
Il n'en voulait pas à son père. Il avait fait de son mieux. Seulement voilà, il voulait faire encore mieux, il voulait briser le cycle des tragédies. Non, il fallait leur laisser le droit de pleurer. Ses filles avaient perdu leur mère, hors de question qu'elles perdent un père.
Oh comme le vin était bon.
Comme il s'était fait un sang d'encre pour lui. Il l'avait tellement détesté. Il l'avait tellement aimé. Comme il se faisait un sang d'encre pour elles, maintenant. Pour tout le monde, constamment, comme s'il était devenu audacieux d'encore faire confiance au monde alors que le monde maintenant se déchirait. Il fallait être fort, tenir tous ces lambeaux bien unis.
Il fit tourner le liquide pourpre dans le fond de son verre. Et tourbillonnent et s'y perdent les esprits errants, et s'y enfoncent encore plus.
Il faudrait faire preuve de courage. Il faudrait se rappeler qu'il fut un fier Gryffondor. Se rappeler les raisons. Se rappeler que son courage ne fut jamais le courage flamboyant des justiciers ni le courage audacieux des fougueux, mais le courage de celui qui ne fonce pas dans la bataille mais qui reste tenir la main de ceux qui ont trébuché, le courage de celui qui continue quand le meilleur devient le pire, sans hésiter malgré les tremblements, le courage tranquille de celui que rien n’abat, le courage de celui qui se fait pilier, qui se fait phare. Il avait été préfet, il avait fait de brillantes études, il s'était bâti une réputation à Sainte-Mangouste, pas par carriérisme, mais par passion, par dévouement. Il était de ceux sur qui on pouvait compter. Channah... Channah lui avait toujours fait aveuglément confiance, Channah l'avait toujours suivit, toujours avec ce sourire moqueur de ceux qui savent qu'ils n'ont rien à craindre. Channah était rentrée dans l'Ordre avec lui, peut-être autant par convictions que pour l'avoir à l'oeil. Channah savait qu'il n'était pas infaillible.
Ce soir, le courage se trouverait au fond de la bouteille avec ses souvenirs. Il n'avait pas été un enfant triste, il n'avait pas à être un homme triste. Mais ce chagrin! Il en venait à demander pardon à sa défunte mère pour ne pas avoir eu le quart du chagrin qu'il éprouve en permanence depuis la mort de Channah. Peut-être avait t'il peur d'oublier. Cela faisait 14 ans après tout. On le lui répétait souvent. Peut-être avait t'il besoin du petit moment de grâce qui précède la chute, celui qui le remplissait d'extase et d'espoir et de la douceur d'un passé qui s’éteignait un peu plus chaque jour.
Il passa une main dans ses cheveux. Ils étaient grisonnants depuis longtemps maintenant. Les premiers étaient apparus avec la naissance d'Hippolyte, les autres avaient suivit lorsque son caractère s'était affirmé. Ses filles... Il leur avait probablement sacrifié quelques années de son espérance de vie... Ses collègues lui suggéraient souvent de changer leur couleur, c'était si simple, il aurait meilleur mine, il attirerait plus de regards. Il ne voulait pas plus de regards. Il avait trop peur d'oublier le sien. Elle aimait ses cheveux gris. Elle les aimait même s'ils prenaient un peu d'avance sur leur temps. Elle les aimait, oui, elle disait qu'ils lui donnaient un peu de sérieux, que c'était bon pour sa carrière, qu'il pouvait être un peu pimpant pour un psychomage, que ça ferait oublier aux sceptiques qu'il gambade parfois dans les corridors de Sainte-Mangouste, ils croiraient plutôt que c'était un homme dévoué, autant à sa famille qu'à sa vocation. Il ne voulait pas meilleure mine. Il ne voulait pas d'une nouvelle compagne. Il avait aimé d'autres femmes avant Channah. Il en avait aimé d'autres, et peut-être même plus intensément, mais il les avait oublié quand il fut évident que Channah deviendrait la femme de sa vie, la mère de ses enfants.
Et pourtant... comme la chaleur humaine lui manquait.
Il prit une autre gorgée. Puis une autre. Puis se resservit. Il buvait du vin, c'était plus noble que de se saouler à la bière bon marché, disait-on.
On disait beaucoup de chose. On disait qu'il avait un problème d'alcool. Son problème d'alcool était le moindre de ses problèmes. Tout le monde avait des problèmes, tout le monde était un peu cassé, et on en faisait pas tout un plat. Il était fonctionnel. On disait qu'il avait l'alcool méchant, et il disait qu'ils n'avaient qu'à ne pas l'accompagner, ils n'avaient qu'à fermer les yeux, ils n'avaient qu'à refuser de le voir autrement que sous son mauvais jour. Il participait encore à la vie sociale. Il était un excellent psychomage, malgré ce que les mauvaises langues pouvaient en dire. Ils disaient qu'il était instable, imprévisible, trop occupé, trop dépassé. Ils disaient qu'il avait tenu bon toutes ces années parce qu'il n'avait pas eu le temps de penser, parce qu'il devait s'occuper de ses filles et qu'il prenait tellement de patients en même temps, un vrai bourreau de travail. C'est que les histoires de ses patients, leurs démons, devenaient les siens, parce qu'ils étaient plus doux et chimériques que ceux qui le hantent chaque jour dans le regard de ses filles. Ils disaient que maintenant, il avait trop de temps devant lui. Trop de temps pour boire. Et on était prêt à anéantir tout ce qu'il avait été pour quelques verres de trop. C'étaient des imbéciles, mais nous l'avons dit, il ne détestait pas les imbéciles... Se le répéter, comme un mantra.
La bouteille était vide.
C'était novembre, novembre temps-mort, novembre-tristesse, novembre fin d'année à endurer, novembre la lumière fuit. Il faut tenir. Fort. Ce serait bientôt décembre, décembre-fêtes, décembre-lumière, Channah aimait décembre, elle aimait l'excitation progressive des jours qui s'écoulaient jusqu'à Noël, Channah était une femme généreuse, généreuse de son temps aussi, décembre était un mois facile pour les gens généreux. Bientôt ce serait décembre et la maison se réanimerait avec Hippolyte et Trisha et peut-être aussi Knight, oui, Knight et sa femme et leurs enfants, oui, ce serait joyeux, il serait bon de vivre, de continuer à vivre, encore un peu, jusque là et puis après jusqu'à la prochaine promesse de joie.
Il pleut. Par la fenêtre, il ne voit rien. Il a des envies de vagabondage. Il n'ira nulle part. Il n'est jamais allé nulle part, accroché au quotidien par tous ces liens qu'il tissait. Il n'y avait nulle part où aller. Partout, le monde s'effriterait. .
Dernière édition par Peregrine L. Lupin le Dim 26 Juin - 4:33, édité 6 fois |
| | Re: Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrinepar Invité, Sam 25 Juin - 16:15 ( #) |
Dernière édition par Charline Borthwick le Sam 25 Juin - 16:37, édité 1 fois |
| | Re: Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrinepar Invité, Sam 25 Juin - 16:31 ( #) | Bienvenue bon choix de famille !! |
| | Re: Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrinepar Guest, Sam 25 Juin - 16:36 ( #) | Mais quel choix de PV monsieur Bienvenue ! Bonne rédaction, hâte d'en lire plus . Edit : cette naïveté rebienvenue |
| | Re: Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrinepar Invité, Sam 25 Juin - 17:30 ( #) | |
| | Re: Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrinepar Invité, Sam 25 Juin - 17:40 ( #) | |
| Delliha McLeod admin - shame to die with one bullet left Répartition : 06/12/2015 Hiboux Envoyés : 3371
| Re: Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrinepar Delliha McLeod, Sam 25 Juin - 18:12 ( #) | UN PSYCHOMAAAAGE Joveuxunlienunrp Bref. Re-bienvenue |
| | Re: Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrinepar Invité, Sam 25 Juin - 18:25 ( #) | Re-bienvenue ! Lupin très bon choix de famille et de perso cettetêteenplus |
| | Re: Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrinepar Invité, Sam 25 Juin - 20:29 ( #) | VIGGO MORTENSEN MON AMOUR (dans ma tête c'est jawhar plus vieux, donc voilà ) rebienvenue avec ce pv, et bon courage pour ta fiche |
| | Re: Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrinepar Invité, Sam 25 Juin - 20:32 ( #) | Le fameux Peregrine Jeviendraitedemanderunlien Re bienvenue |
| | Re: Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrinepar Invité, Sam 25 Juin - 21:50 ( #) | Peregrine Bienvenue et prévois moi une petite place IRP avec Lyly |
| | Re: Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrinepar Invité, Sam 25 Juin - 22:19 ( #) | ReBienvenue |
| O. Jill Peverell membre - i don't want just a memory Répartition : 11/04/2015 Hiboux Envoyés : 11656
| Re: Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrinepar O. Jill Peverell, Dim 26 Juin - 10:05 ( #) | Avec Viggo en plus Rebienvenue |
| | Re: Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrinepar Invité, Dim 26 Juin - 11:53 ( #) | ouuuh viggo rebienvenue |
| | Re: Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrinepar Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | Car il faut des fois un accord entre la peur et le confort - Peregrine | |
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