BELLUM PATRONUM
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Version 34
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équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| Trisha Lupin - after life there's no light, just take my hand before the end | | | Trisha Lupin - after life there's no light, just take my hand before the endpar Invité, Mer 31 Aoû - 19:08 ( #) | Trisha Christobel LUPIN ft. Lily-Rose Depp Sang-Mêlé 17 ans célibataire hétérosexuelle 7e années à Poudlard Chat Noir Pro-ORDRE crédit photo prise par Chanel | |
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom:LUPIN Prénom: Trisha, elle préfère qu'on l'appelle « Trish », et Cristobel, elle est en fière en sachant que c'est le prénom de sa grand-mère, c'était une très bonne sage-femme, en hôpital moldue. Âge et Date de Naissance: 17 ans, 31 Août 1965 Nature du sang: Sang-Mêlée, elle n'a aucun problème avec ça, elle est fière de ses origines. Situation familiale: HistoriqueLa famille LUPIN descendant d’une grande lignée bourgeoise anglaise située au Royaume Unie. Branche directe Dion et ChristobelCeux sont les grands parents de Trisha. Elle n'a pas connu sa grand-mère et elle ne peut pas en dire autant de son grand-père, qui est mort dix après sa naissance. De tout ce qu'elle a pu entendre d'eux, c'est qu'ils ont toujours été amoureux l'un de l'autre et que Dion a eu vraiment du mal à accepter la mort de sa femme, au point de sombrer dans la folie. Peregrine et ChannahCeux sont les parents de Trish. Malheureusement, elle n'aura pas vraiment connu sa mère, morte deux ans après sa naissance. Difficile pour elle d'avoir des souvenirs de sa mère, au point de la rendre nostalgique. Elle ne porte pas le deuil. Par contre, le démarrage de sa magie plutôt tardive prouve le contraire, les Médicomages supposent que c'est un symptôme de stress post-traumatique. En revanche, Trisha craint pour la santé de son père et surtout lorsqu'il noie son chagrin dans l'alcool. Elle regrette que sa grande soeur part directement au conflit avec lui. HippolyteC'est son aînée, plus vieille de six ans. Elles sont très proches toutes les deux et Trisha voue une admiration sans borne envers elle. Cette dernière sur-protège sa petite soeur, se donnant un grand rôle dans l'éducation de Trish. Même si la cadette l'aime beaucoup, en grandissant, elle va réclamer un peu plus d'espace et d'indépendance, chose que « Lily », comme Trish la surnomme depuis bébé, accepte pas vraiment. Branche indirecte Desmond et OttolineC'est le frère de Dion, le grand père de Trish. Il est toujours en vie et est fan du Quidditch pour y avoir faire son métier. Même si Trish a peur de voler, elle n'arrête jamais d'écouter ce dernier raconter ses exploits. Ottoline a pris la place de grand-mère puisque la cadette n'a jamais connu la sienne. A vrai dire, Desmond a également cette attitude envers Trish. Knight et PsychéC'est l'oncle de Trish. Elle l'aime beaucoup et adore venir chez eux pour les fêtes ou les voir venir à leur tour. Depuis qu'ils ont eu des enfants, c'est encore mieux. Zadig et ZeldaCe sont les cousins et cousines de Trish. Elle s'amuse à jouer le rôle de grande soeur, comme Hyppolite le fait pour elle. Quand Zadig est entrée à Poudlard, ça a été une très bonne nouvelle pour la jeune fille qui a aimé le prendre sous son aile. En ce qui concerne le côté coeur, la jeune fille n'y accorde pas autant d'importance que ses autres camarades. Tout ce qu'elle désire, c'est voyagé, prendre son envol et vivre sa propre vie. Patronus: Au début son patronus avait la eu la forme d'un aigle, hyperactif mais après la Peste des Patronus,elle a cru l'avoir perdu définitivement jusqu'à ce qu'il réapparaisse en chat noir malicieux,prénommé Dunkan. Miroir du Rised: Elle se voit prête à affronter le monde et ses découvertes Epouvantard: Face à l'épouvantard, c'est une montagne de mort empilée les uns sur les autres qu'elle voit et aperçoit des membres de sa famile à l'intérieur. Elle a peur de la guerre et toutes les conséquences qu'elle entraîne sur son passage. Composition de la baguette magique: 28 cm,souple, légèrement tordu pour un bon maintien au niveau de la main, bois de chêne et ventricule de dragon Etudes Suivies: Elle entre cette année dans sa 7e années à Poudlard. La dernière année ce qui veut dire : Examen concluant son avenir. Elle hésite encore ce qu'elle veut faire de sa vie. Si elle veut continuer ses études ou faire ce qu'elle a toujours rêvé : voyager et parcourir le monde... Animal de compagnie: Le chien de son père, un épagnol breton et sa chouette hulotte | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Caractère Trisha est une jeune fille qui a complètement adhéré à caractère générale de la famille. Elle se montre toujours fière et cherche toujours à ce qu'ils le soient pour elle. Elle ne pense jamais à faire quelque chose qui décevrait l’un d’entre eux et il lui est totalement improbable de blesser un membre de sa famille. C’est une jeune fille aimée et protégée par son père et sa grande soeur. Petite, elle n’a jamais pu passer une journée sans être avec Hippolyte, se bornant à tout faire comme elle tant elle l’admirait et encore aujourd’hui cette admiration n’a pas changé même si au fond, parfois elle aimerait qu’Hippo puisse lui laisser un peu d’espace et désire un peu d’indépendance pour qu’elle puisse vivre un peu ses propres expériences, ce qui est loin de plaire à sa cette dernière....
Sa peau de pêche lui donne toujours un teint frais et est une allure juvénile. Elle ne se met pas vraiment en valeur, ne se maquillant que très légèrement avec un simple coup de crayon et un peu de fond de teint car elle veut quand même être féminine. Trisha est persévérante et passionnée, elle va toujours au bout de ce qu’elle entreprend et ne lâche rien.Légèrement timide et réservée lorsqu’elle arrive dans un endroit inconnu, rempli de personne qu’elle ne connaît pas. Lorsqu’elle prend ses marques, sa véritable personnalité prend de plus en plus de place, elle devient plus volontaire et souriante. Sa bonne humeur est communicative et son rire l’est encore plus, il n’y a pas de doute, elle a bien hérité ça de sa mère, toujours lumineuse, émanant une étonnante bonté. On lui donnerait le bon dieu sans confession même si parfois, elle peut paraître un peu indécise car elle est constamment dans le doute et réfléchit toujours avant d’ouvrir la bouche. Ca marche aussi pour ses choix d’avenir. Elle n’en a jamais vraiment parlé autour d’elle, ou alors à très peu de personne, qu’elle hésite entre continuer ses études où partir à découvrir le monde, pour assouvir ses désirs d’aventurière qu’elle nourrit depuis qu’elle est toute petite. Trisha n’hésite jamais à utiliser son petit-super-pouvoir de cadette autant envers son père qu’envers sa grande soeur pour obtenir ce qu’elle désire mais n’en abuse pas non plus. Toute son enfance, elle a exploité son côté aventurière et sa curiosité qui n’a cessé d’évoluer jusqu’à aujourd’hui. Depuis toute petite, elle est fascinée par la magie des avions, rêvant de monter à l’intérieur pour voir l’effet que ça fait. D’ailleurs, lorsqu’elle est chez elle, elle lève toujours la tête pour regarder les avions survoler les terres anglaises. En effet, il existe encore des sorciers fascinés par la magie des moldus. D’ailleurs, elle n’a aucun a priori à ce niveau-là. Elle pense toujours que si tout le monde se ressemblait, la vie serait bien triste et ennuyeuse. Sincère, douce et généreuse, ça ne fait pas d’elle une bonne poire car elle n’a rien d’une personne soumise ou craintive. Elle vous montre une partie d’elle-même dont vous ne soupçonnez pas l’existence. Elle devient mauvaise et revencharde, elle n'aime pas qu'on lui mente ou que l'hypocrisie se mêle. Parce si elle peut être gentille et bonne observatrice, ça lui facilite la tâche pour taper là où ça fait mal. Maladroite et peu méfiante, elle accorde un trop facilement sa confiance mais une fois perdue, elle ne fera aucun effort pour accorder son pardon auprès du fautif. Il y a également son côté un peu mauvaise perdante et une sensibilité sur-developpée pour ne pas avoir eu l’occasion de s’armer, puisque Hyppo la surprotège de tout, pour la suite.
Elle rêve de devenir indépendante et confiante envers elle-même. | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Patronus Dans cette partie, vous pourrez parler du patronus de votre personnage, du lien qu'il a avec celui-ci, s'il s'adapte bien à la situation actuelle et des formes qu'il peut prendre. Minimum de 250 mots. ATTENTION: Les patronus sont apparus durant les vacances de Noël 1978 (nous sommes en 1982 dans le jeu), ni avant ni après. |
Pseudo et âge: Waffle cream Où as-tu trouvé le forum ? je le connaissais déjà avant mais je n'avais pas osé m'inscrire avant hier... Personnage: Famille de sorciers As-tu un autre compte sur BP ? non, pas encore Présence: régulière (7/7) Une remarque ? le contexte et le design sont terrible, j'adore ! |
Dernière édition par Trisha C. Lupin le Jeu 8 Sep - 14:57, édité 29 fois |
| | Re: Trisha Lupin - after life there's no light, just take my hand before the endpar Invité, Mer 31 Aoû - 19:08 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]- uc:
C’est une fille ! » annonça le Médicomage en donnant le bébé à Peregrine et Channah, les deux heureux parents de leur second enfant.
La petite Trisha Christobel Lupin naquit le 31 Août 1965, en donnant beaucoup de difficulté à sa maman ce lundi-là. Dès le lendemain matin, le petit bébé fut entourée par sa famille, ils félicitaient Channah chancun leur tour tandis que sa grande soeur se tenait déjà droite comme un piquet, devant le berceau naissance du nouveau-né. La petite fille lui offrait un grand sourire en regardant sa petite protégée dormir, innocente. En grandissant, La jeune Lupin devenait une jolie petite fille pleine de vie, désirant tout toucher, tout goûter et tout voir. Elle ne se limitait pas aux réprimandes de son père lui rappelant que c’était dangereux ou autres. Elle voulait savoir pourquoi c’était si dangereux, pourquoi il y avait une interdiction à un endroit plutôt qu’à un autre. Elle restait allongée dans l’herbe de son jardin durant des heures entières, rien que pour voir passer un avion au-dessus de sa maison. « Ta maman est au ciel, elle est au Paradis. » Elle s’était longtemps interrogée sur ce lieu, inaccessible aux personnes que l’on voyait toujours et pourtant si facile d’accès lorsque l’on trépasse. C’était une sorte de voyage et d’après Trisha, chaque voyage méritait d’être vécu. Il suffisait d’attendre son tour. Elle imaginait sa mère dans un monde merveilleux où il n’existait aucune limite, aucun mur infranchissable et pouvait sourire en l’imaginant rire aux éclats, surtout à deviner ce dernier. C’était un Mardi, Trisha s’en rappellera toute sa vie parce qu’elle voyait sa soeur dans un train pour partir loin d’elle, faire ses études à Poudlard. Elle n’avait que cinq ans lorsque c’était arrivée et la petite fille était affreusement triste : « Tu m’écriras, hein Lily ? » cria Trisha pour couvrir le brouhaha ambiant de la voie 9 ¾ Elle aimait et admirait sa soeur depuis qu’elle savait marcher ou même s’exprimer et elle avait confiance alors quand cette dernière lui cria : « Promis !! » juste avant que la locomotive commençait à partir, le visage enfantin de la petite s’illumina d’un sourire radieux. Sa petite main logée dans celle de son père, ils repartirent tous les deux au domicile familiale. Pendant ce temps, Peregrine s’inquiétait de ne voir aucune magie faire son apparition sur sa dernière et même si cela ne poserait aucun problème, il avait décidé de l’emmener voir un Médicomage qui ne savait pas quoi dire : « Votre petite est en parfaite santé. |/i] » sans vraiment pouvoir répondre à la question principale du papa. Le 10 Septembre 1970, c’était la fête à la maison, Trisha venait de recevoir une lettre de sa soeur, un hiboux s’était gentiment posé sur le rebord de sa fenêtre, qu’elle s’était précipitée à ouvrir pour la découvrir. Pour cela, elle avait été donné le parchemin à son père, pour qu’il puisse la lire,. A cheval sur ses genoux, lovée dans ses bras, elle écoutait Peregrine lui narrait toutes les nouveautés que sa grande soeur rencontrait depuis son arrivée. L’arrivée, les barques, la répartition et l’accueil incroyable que lui avait réservé sa maison d’accueil durant son année scolaire. Elle avait des étoiles pleins les yeux en demandant à son père si cela allait bien pouvoir lui arriver. « [i]Il faut te montrer patiente. Faut toujours se dire que la vie est une boîte à surprise ! » Elle n’avait pas vraiment compris mais ça lui suffisait. Son papa avait toujours les mots pour l’apaiser, elle l’aimait tellement.« Et ça c’est quoi ? » avait-elle demandé en pointant un sceau qui ornait le bas du parchemin : « Ta soeur t’a dessiné l'emblème de sa maison. » Les journées s’écoulaient, les années aussi et c’était à l’âge de 7 ans que Trisha fit une joyeux découverte. Alors qu’elle profitait des après-midi printanières qu’offraient le mois d’Avril, elle voyait un petit groupe de copine avec qui elle passait des moments sympathiques jusqu’à ce qu’un jour, les choses prirent une direction différente. Alors qu’elle cueillait des fleurs pour les offrir à son père, elle fut peinée d’en voir affaiblis par un trop plein de soleil. Elle désirait leur redonner un aspect plus jeune, plus vivant et sous ses yeux, la petite fleur se redressa. Sa tige qui tirait sur le marron devint verte comme ses voisines, ses pétales poussèrent et son coeur reprit une couleur jaune poussin. La petite marguerite avec reprit vie sous ses yeux, étonnés mais pas seulement. Ses amies avaient vu tout le processus. Plus apeuré que impressionnée, elle entendit très vite des murmures l’accusant d’être un monstre en soit, qu’elle était différente. Trisha s’était mise à courir très vite jusqu’à son père, pleurant de grosses larmes : « Papa, on peut rentrer à la maison ? » Haute comme trois pommes, aussi légère qu’une brise, son père n’attendit aucune explication, il l’avait prit dans ses bras pour l’emmener loin du parc où elle aimait y jouer..Voir sa cadette pleurer était tellement très rare, qu’il pouvait tout faire pour rassurer sa fille.: « Tu sais que tout ce qui t’arrive est normale ? » Oui mais je n’ai pas aimé qu’on me traite de monstre… Tu es la plus belle des petites filles, Tu n’as rien d’un monstre.
Encore quelque chose à fêter, ce qu’elle avait raconté à son père n’était pas une mirage ou une illusion car elle les enchaînait. Elle souhaitait plus que tout que la lumière s’éteigne, toutes les lumières de la maison s’étaient éteintes. Trisha se rendait compte à quel point la magie était une chose incroyable pour la voir évoluer en elle de manière miraculeuse. Les Médicomages qui pensaient à un cas « Cracmol » s’était ravisé en supposant un Stress Post Traumatique dûe au décès de sa mère. Le fait qu’elle a été bébé lorsque ça s’est passé, ça reste une terrible perte. Elle ne s’en est peut-être pas rendue compte mais son subconscient a fait tout le travail. C’était à rien ni comprendre pour la famille Lupin mais comment la petite fille, âgée de 8 ans maintenant, était toujours aussi rayonnante, ressemblant de plus en plus à sa mère. Croquant toujours aussi bien la vie à pleine dent, elle avait passé tout son temps libre à lire « L’histoire de Poudlard », un livre que sa soeur lui avait prêté cette année-là puisqu’elle avait dû le lire une dizaine de fois déjà. Incollable à ce niveau-là, elle pouvait réciter les devises de chaque maison à son père : « Tu sais déjà où tu souhaites allée Trish ? » demanda t-il en plein repas, sa soeur était présente, durant les vacances de Noël : « Non, elles ont toutes quelque chose qui me donne envie d’en faire partie. C’est dur de choisir. Comment tu as fait ? » Le débat avait été appréciable pour les trois Lupin, qui finirent leur repas dans de grands éclats de rire. Pour la sorcière, cela lui faisait du bien de voir que dans leur maison, il pouvait y avoir autre chose que les cris et les pleurs car il y en avait toujours un petit et Trisha était toujours au milieu de ces derniers… C’était ce qui se passait durant l’ été 1974, le mois de Juillet touchait à sa fin et la cadette cherchait déjà ce qu’elle aimerait pour son anniversaire. Elle n’arrêtait pas de cocher les jours qui la séparait de Poudlard, ce monde où la magie régnait et qui l’intriguait. De plus, cette partie là de sa vie lui offrait une semi indépendance en vivant dans l’internat. C’était un grand pas pour elle mais elle était pressée de voir ce que cela donnait. Elle était si bien qu’en arrivant dans le salon, la tension,soudaine et désagréable, y résidait. Lily avait découvert la cachette de leur père, là où il allait pleurer et plonger son chagrin dans une bouteille de vin rouge. Elle était furieuse, elle détestait voir papa boire. Elle sentait bien qu’elle s’inquiétait pour lui aussi mais alors pourquoi elle passait son temps à lui crier dessus : « Tu penses à Trisha. Si il lui arrivait quelque chose et que tu n’es pas en état de prendre soin d’elle ? » Son prénom revenait comme un avertissement, comme un devoir ou une obligation dans ce genre de dispute : « Lily, laisse papa, s’il te plaît ! Arrête de crier ! » La petite ne pouvait pas comprendre ce que cela faisait d’éprouver un chagrin difficile à apaiser mais il était sûr que ce n’était pas sous les cris qu’Hippolyte allait arranger les choses. Il était certain qu’elle ne se fichait pas de la mauvaise habitude qu’avait son père. Elle avait peur pour lui mais une chose était sûr, aucun cri n’avait aidé à l’apaiser alors elle se mettait à sa place. Peregrine avait toujours été là pour sa soeur et elle, il n’a jamais signer aux abonnés absents. Il était seulement triste d’avoir perdu la femme qu’il aimait plus que tout.
1976 ✶1980
Le plus beau jour de la vie de Trisha était le 1er septembre 1976. La veille, elle venait d’avoir 11 ans et avait reçu la lettre qu’elle avait tant attendu. C’était un rêve qui devenait réalité et toute la famille fut témoin de sa joie. Elle se tenait sur la voie 9 ¾ , trépignant d’impatience, sautillant un pied sur l’autre en voyant la locomotive d’une autre façon. Elle n’était plus ce qui lui enlevait quelqu’un, elle était celle qui la mènerait vers la liberté. Vers Poudlard, l’école de magie la plus réputée de la grande Angleterre. Tous les jeunes sorciers voulaient y faire de vieux os et elle en faisait partie. Avant de grimper à l’intérieur, elle n’hésita pas à prendre son père dans ses bras, qui la serrait à son tour, pour se promettre de s’écrire très régulièrement. « Je t’aime papa. » avait-elle dit en grimpant les grandes marches du Poudlard Express, à la suite d’Hippolyte alors que Peregrine demandait à son aînée de veiller sur sa jeune soeur. Il avait conscience d’avoir demandé ça plus pour lui que pour elles, car il savait parfaitement qu’elle veillera très bien sur Trisha. L’année commençait bien et la maison dans laquelle elle avait été répartie, lui convenait plus qu’elle ne l’aurait cru au départ. Poudlard lui offrait maintenant une vie nouvelle.
Papa, 15 Septembre 1976
Tout est si nouveau que je ne sais même pas par quoi commencer mais comme promis, je t’écris. Poudlard est tout simplement merveilleux et tout comme je m’en étais fait à l’idée, c’est endroit où il fait bon vivre. J’aime déjà ce que nous faisons en cours et je me fais pleins de nouveaux amies. Le moment de la Répartition a été un moment difficile parce que je stressais beaucoup. J’ai même failli tomber en montant les marches jusqu’au choixpeau magique. Je resterais toujours celle qui tombera à la moindre peau de banane qui traîne. Le festin de la rentrée avait été incroyable et délicieux. Les filles et les garçons m’ont tous très chaleureusement accueilli à leur table. Cela fait déjà quinze jours que ma première année à Poudlard a commencé et j’ai l’impression d’être déjà chez moi. J’ai déjà mes petites habitudes, j’ai encore des moments où je me perds dans le château et où ma maladresse est devenue légendaire, mais ce ne sont que des détails. J’espère que tu vas bien et que la maison ne te semble pas trop vide depuis notre départ. Même si je me sens bien là où je suis, je reste toujours impatiente de retrouver la maison et ta présence. Tu me manques énormément, je pense très fort à toi, Ta fille; Trish.
C’était la première fois qu’elle laissait sa chouette partir jusqu’au Manoir Familiale, pour y livrer son premier parchemin. Son père lui manquait énormément mais elle était si heureuse de se retrouver au sein de cette école qu’elle n’arrivait pas à ressentir de la tristesse mais au contraire, de l’impatience. Trisha n’était pas du tout du genre à se morfondre sur elle-même,. Elle profitait de chaque jour et de chaque moment que lui donnait la vie à Poudlard. Elle avait cette fierté de réussir cette première année sans encombre, même si elle refusait de laisser faire cette vulgaire guerre entre sang dit “impur” et “pur”. Ce côté sombre lui avait été caché jusqu’à maintenant.
L’ année 1977 avait été incroyable pour Trisha. Toujours aussi proche de sa grande soeur, elle passait un temps impressionnant entre les révisions, les cours et les matchs de Quidditch entouré de ses nouveaux amis. C’était devenu son sport préféré. Elle ne manquait aucun match et adorait l’idée de voir son équipe ratatiner leur adversaire, c’était peut-être les seuls moments où elle laissait ses mauvais travers sortir. Elle se montrait tellement mauvaise perdante qu’elle pouvait en devenir mauvaise lorsqu’on sonnait la défaite. Elle pouvait vraiment être méchante au point de ne plus parler pendant des jours alors que le match était terminé depuis longtemps, ça en devenait personnel. Heureusement, il n’y avait pas que ça. Elle travaillait tellement qu’elle gagnait de très bons bulletins, ayant malheureusement beaucoup de mal en sport, pour sa dangereuse maladresse qui lui avait coûté de nombreuses chutes. Elle ne baissait jamais les bras et si ses professeurs restaient cléments, c’était uniquement pour récompenser sa persévérance pour réussir là où elle n’obtenait pas le résultat attendu. C’était claire qu’après ça, elle n’allait jamais pouvoir monter sur un balais et être actrice des match qu’elle supportait depuis longtemps. Ce n’était pas grave, elle avait d’autres cordes à son arc. - Allez ! Relève toi ! » conseilla Trisha en tendant la main à une petite fille martyrisée par des élèves plus âgée - Que veux-tu que je fasses d'autre contre eux? Je suis toute seule. Trisha lui avait tendu la main, un sourire aux lèvres : - Non plus maintenant... et ce sont eux les victimes ils ont aucun libre arbitre. Ils se sont laissé embobiner par tout ce qui se raconte. Prends ma main !
L’année 1978 était difficile parce que tout le côté sombre qui survolait le monde de la magie devenait omniprésent. Les gens avaient peur. Aucune question ne trouvait sa réponse mais Trisha était une personne qui cherchait toujours la lumière dans n’importe quelle situation. Elle tenait vraiment ça de sa mère, elle trouvait toujours une solution. Si tout le monde pensait que la situation était désespérée, elle se creusait la cervelle pour trouver quelque chose qui ferait passé un petit moment d’insouciance et loin d’un stress permanent.
Papa 25 Octobre 1978
Tu vas être fière de moi, j’ai toujours de bonnes notes en dehors du sport. Ce n’est définitivement pas pour moi, je le crains. J’ai eu le droit à de nombreuses chutes mais je commence à devenir insensible à la douleur au niveau des fesses. Cela dit, j’obtiens des notes excellentes en DFCM et en Potions et surtout grâce à Hippo, je travaille toujours autant. Il faut que tu te rassures, elle veille très bien sur moi tout comme tu le faisais à la maison. Je me demandais si c’était possible de passer Noël tous ensemble, toute la famille ? Je ne sais pas pourquoi mais j’aimerais que l’on organise un jeu. Chacun choisit une personne pour lui offrir un cadeau mais il faut que ça reste anonyme, sinon ce n’est pas drôle. Cela nous permettra peut-être d’apaiser la tension qui règne. J’ai beau n’avoir que 13 ans, je sais que l’annonce du Ministre de la Magie inquiète tout le monde. , Réponds moi vite, Décembre approche à grand pas j’aimerai avoir le temps d’aller au Chemin de Traverse. J’ai économisé pour ça. Ta fille Trish.
Ce Noël 1978 allait rester dans les mémoires de tout le monde. Le flop du Sortilège de Ministère et le résultat qui ne plaisait forcément à tout le monde. Trisha le vivait bien, elle se reconnaissait beaucoup dans ce nouvel animal qui la suivait partout. Un aigle de Bonelli ne cherchait que l’aventure, l’envol et l’espoir qu’un jour, tout cela deviendrait qu’un affreux cauchemar. C’était vraiment ce qu’elle pensait, ce qu’elle voulait et désirait plus que tout. Il était hyperactif, bavard et parfois colérique mais il reflétait tellement une partie d’elle-même, qu’elle n’avait eu aucun de mal à l’accepter. Son apparition avait été une véritable surprise, c’était sûr.
- Tu ne crois pas qu’on devrait aller là haut ? Je pourrais voler plus haut et voir ce qu’il y a au-dessus des nuages. Trish, s’il te plait… Son patronus lui donnait de plus en plus goût à dépasser les limites de ce qu’elle n’avait jamais fait auparavant : ne pas respecter le règlement. Le 15 Février 1978, au soir, elle s’était laissé convaincre et ce nouveau tandem, commençait à installer ce nouveau petit rituel du samedi soir. Elle savait qu’elle n’avait le droit d’aller sur la Tour d’Astronomie en pleine nuit pour apaiser son nouvel ami. Pourtant, elle l’avait fait mais le bien-être qu’elle avait ressenti grâce à Bloom, était addictif. La sensation de voler au dessus de tout lui donnait envie de plus, elle ne voulait plus s’arrêter là. C’était devenu un aperçu de ce qu’elle voulait vraiment, la liberté et grâce à lui, elle pouvait goûter à tout ça. C’en était devenue une nouvelle drogue. Elle aimait de plus en plus sentir le vent glacial de la nuit lui fouettait le visage alors qu’elle fermait les yeux pour vivre au travers de Bloom. - Bientôt, on volera tous les deux de nos propres ailes.. » avait dit Bloom en laissant ses ailes.
L’année scolaire se terminait sur un nouvel espoir surtout pour le monde magique. Les patronus étaient considérés comme une puissante protection alors Trisha ne comprenait pas pourquoi il régnait une méfiance aussi malsaine tout autour.
1980 ✶1982
Si elle devait rester positive ces derniers temps, ce n’était pas les périodes de deuils pour une poufsouffle assassinée en Mai de l’année 1979. Pour Trish, c’était une nouvelle étape qui rendait encore plus réelle et cela l’effrayait. Elle savait bien qu’elle n’était pas toute seule, elle voyait tellement de peur dans le regard de ses camarades, de ses professeurs égalements. Elle s’était rapidement réfugiée dans les bras d’Hippolyte, puis dans une lettre rédigée pour son père. Elle avait plus tellement plus besoin de sa présence aussi rassurante que protectrice. Malheureusement, il fallait que la vie continue mais l’année 1980 devait jouer un rôle majeur dans l’enchaînement d’un malheur générale et le pire allait les frapper de plein fouet. Le 1er septembre 1980. A peine ils avaient tous quitté la voie 9 ¾ pour rejoindre l’école, qu’ils furent embarqués dans un cauchemar sans nom, de rodéos entre les personnes présentent dans leur cabine et les valises sorties de leur case par les tonneaux du wagon. Les vitres se brisaient, les cris se faisaient de moins en moins nombreux ou alors, elle devenait sourde. Plus ça tombait plus elle avait l’impression de n’être qu’une poupée de chiffon. Son patronus n’était pas loin mais la douleur était partagée, difficile et compliqué à gérer alors ils s’étaient étreint en attendant que tout s’arrête. Trisha s’était réveillée quelques jours après l’accident mais elle se souvenait avoir crié le prénom de sa soeur lorsque les choses devenaient hors de contrôle. Au réveil, c’était une jeune fille mal dans sa peau. Elle s’était vue mourir dans ce train alors qu’elle n’avait rien fait de tout ce qu’elle souhaitait faire. Ses rêves de voyage, d’aventure… Elle était bien trop jeune pour que la vie lui prenne la sienne. Cette auto-réflexion avait pris fin lorsque l’infirmière était arrivée pour lui renouveler ses pansements et remarquer qu’elle n’était plus dans le coma. Son patronus n’était pas loin, encore en forme de brume, sonnée par ce qu’il venait de se passer.
Cette épisode de sa vie l’avait affaiblis mais ce n’était pas ce qui lui avait retiré ce sourire enjôleur sur ses joues. Elle continuait de répondre aux hiboux de son père mais désirer de plus en plus que sa soeur lui laisse un peu d’air. Ce fut d’ailleurs les premières raisons de dispute entre Hippolyte et Trisha. La cadette voulait seulement qu’on lui laissait le temps d’apprendre et de vivre sa vie sans pour autant avoir un chaperon à chaque tournant. A lui rappeler qu’il ne fallait pas aller sur la Tour d’Astronomie en pleine nuit, qu’il était dangereux de se balader dans l’école. Elle avait l’impression d’être encore à la maison, là où il existait toujours des interdits. A de nombreuses reprises, Trisha regardait par la fenêtre, l’air rêveuse, surtout lorsqu’un oiseau s’envolait au dela des terres de Poudlard. - Bientôt ! » lui rappelait Bloom, tentant de retrouver sa maîtresse. Et comme d’habitude, elle ne pouvait pas s’empêcher de sourire et caresser le sommet du bec de son aigle. Et si elle rêvait que d’aventure, elle pouvait également pensait aux garçons comme toutes les adolescentes qu’elle croisait tout les jours. Les questions qui lui trottaient dans la tête, lui donnaient parfois le tournis. Ce n’était pas une fille à courir après les garçons, elle peinait déjà à savoir si l’un de ses camarades pouvaient lui donner les mêmes rêves qu’à l’une de ses amies. Cette dernière lui racontait qu’un garçon lui avait demandé de la retrouver à Pré-au-Lard pour le premier rendez-vous, elle avait mis tellement de temps à trouver ce qu’elle voulait mettre que c’en devenait ennuyeux. Une autre était venue lui raconter qu’un garçon avec qui elle sortait, l’avait trompée avec une autre élève, d’une maison opposée.L’amour était un sentiment tellement compliquée qu’elle se contentait généralement de l’amitié mais comme il avait été dit, elle se demandait toujours si elle était assez attirante pour attirer l’oeil d’un garçon. Quelle adolescentes de 15 ans ne se posaient pas la question ? Elle se mettait même à faire attention à son image durant sa toilette du matin.
Le 14 Décembre 1980, Trisha se rendait à l’infirmerie. Elle se sentait faible et nauséeuse. Elle n’avait jamais vraiment été malade de toute sa vie et si cela lui arrivait de temps en temps, elle ne se laissait pas abattre. Une bonne soupe chaude, une bouillotte et un bon livre, ça l’aidait à s’endormir et se réveiller le lendemain matin, comme si de rien n’était. Sauf que ce jour-là, c’était plus dur que la veille, elle avait l’impression qu’un troupeau d’hypogriffe en colère lui était passé dessus. Tous les pas qu’elle faisait, lui donnait un mal de chien à tenir debout. Fiévreuse, elle avait été prise en charge par l’infirmière pensant qu’elle avait surement attrapé la grippe. Tous les symptômes étaient là : état grippal, douleur aiguë et fièvre. Ce nouveau fléau était devenu incontrôlable. Le temps où elle était réveillée, son patronus lui tenait compagnie mais bien vite, ce dernier était pris d’étrange changement. Lui qui n’avait qu’une seule forme depuis qu’il était apparu, il n’arrivait pas à garder la sienne trop longtemps, alternant entre forme brumeuse et forme animal différentes. Trisha ne comprenait pas ce qui se passait et tenter de rassurer son patronus. - Peu importe ce qui nous arrive, on ira quand même faire le tour du monde… » C’était le rêve le plus cher de la jeune fille.
La suite, elle avait l’impression de suivre un film. Un peu comme si elle était hors de son corps. Elle se voyait alitée dans un lit alors que son patronus souffrait de plus en plus de cet étrange phénomène. Elle ne comprenait pas ce qui se passait autour d’elle mais elle savait que Bloom lui échappait. Il apparaissait plus disparaissait. Parfois, elle ne l’entendait plus, comme un manque de réseau entre son animal et la sorcière. Un matin, à son réveil, elle pleurait la disparition totale de son patronus qui ne semblait plus pouvoir revenir. Elle s’était retrouvé dans un coin du château où elle apprenait que Poudlard avait instaurée une mise en quarantaine. Elle se rendait au point de rendez-vous pour voir sa soeur, elle voulait la serrer dans ses bras, l’avoir auprès d’elle mais c’était impossible. Durant trois bonnes semaines, Trisha était éteinte, elle ne souriait plus, elle pleurait une partie d’elle-même perdue. Bloom était devenu son meilleur ami et son soutien. Lorsqu’elle perdait espoir de convaincre sa grande soeur de lui laisser un peu d’espace, il était là pour lui remonter le moral. Qu’une fois majeur, ils allaient pouvoir vivre une expérience hors du commun. Visiter tous les coins reculés du monde, peut-être découvrir de nouvelles espèces animales. Tous leurs projets d’avenir partaient en fumée..
Dernière édition par Trisha C. Lupin le Ven 9 Sep - 18:13, édité 22 fois |
| | Re: Trisha Lupin - after life there's no light, just take my hand before the endpar Invité, Mer 31 Aoû - 19:18 ( #) | |
| | Re: Trisha Lupin - after life there's no light, just take my hand before the endpar Invité, Mer 31 Aoû - 20:06 ( #) | |
| | Re: Trisha Lupin - after life there's no light, just take my hand before the endpar Invité, Mer 31 Aoû - 20:07 ( #) | une lupin bienvenue |
| | Re: Trisha Lupin - after life there's no light, just take my hand before the endpar Invité, Mer 31 Aoû - 20:38 ( #) | |
| | Re: Trisha Lupin - after life there's no light, just take my hand before the endpar Invité, Mer 31 Aoû - 20:59 ( #) | Lily-Rose ce choix de malade bienvenue |
| | Re: Trisha Lupin - after life there's no light, just take my hand before the endpar Invité, Mer 31 Aoû - 21:15 ( #) | FRANZ VON SACHSENHEIM : ohh merciii, j'ai été beaucoup aidé par le créateur de la famille Lupin ! Je n'avais plus qu'à approuver ! |
| | Re: Trisha Lupin - after life there's no light, just take my hand before the endpar Invité, Mer 31 Aoû - 22:14 ( #) | une lupiiiiiiin bienvenuue bonne chance pour ta fiche |
| | Re: Trisha Lupin - after life there's no light, just take my hand before the endpar Invité, Mer 31 Aoû - 22:47 ( #) | |
| | Re: Trisha Lupin - after life there's no light, just take my hand before the endpar Invité, Mer 31 Aoû - 22:52 ( #) | bienvenue parmi nous |
| | Re: Trisha Lupin - after life there's no light, just take my hand before the endpar Invité, Mer 31 Aoû - 23:06 ( #) | Bienvenue |
| | Re: Trisha Lupin - after life there's no light, just take my hand before the endpar Invité, Mer 31 Aoû - 23:41 ( #) | |
| | Re: Trisha Lupin - after life there's no light, just take my hand before the endpar Invité, Jeu 1 Sep - 8:44 ( #) | Lily-rose Bienvenue |
| | Re: Trisha Lupin - after life there's no light, just take my hand before the endpar Invité, Jeu 1 Sep - 9:25 ( #) | Bienvenuuue Bon courage pour ta fiche, excellent choix de famille qui plus est |
| | Re: Trisha Lupin - after life there's no light, just take my hand before the endpar Contenu sponsorisé, ( #) | |
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